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n° 17698Fiche technique24661 caractères24661
Temps de lecture estimé : 14 mn
21/12/16
Résumé:  Une visite chez le médecin qui finit bien pour tout le monde.
Critères:  fh fhh médical nympho fellation pénétratio -totalsexe
Auteur : Lafurie  (Femme au foyer, qui s'occupe à fantasmer parfois)            Envoi mini-message
Check up





Et tout ce que tu veux d’autre, beau gosse. Waouh, mais qu’il est canon, ce remplaçant, avec sa mèche de cheveux châtain qui retombe devant ses yeux bleus. En plus, il est bien foutu et il ne porte pas d’alliance. Ouh là, la visite commence bien !



Hum, c’est si gentiment demandé, rien qu’à l’idée de tes mains qui m’examinent, je mouille.


Je m’exécute en me félicitant du choix de mes vêtements – une petite robe fleurie qui épouse mes formes sans être moulante – et de mes sous-vêtements – string noir en dentelle et soutien-gorge assorti. Je commence par enlever ma robe, puis me penche pour enlever ma paire d’escarpins. Je sens son regard posé sur moi… Je me redresse en prenant bien soin de lui laisser mon fessier bien en vue. Il s’approche :



Mais faites donc docteur, faites. Mes seins ne demandent qu’à jaillir de leur carcan et se faire malaxer par vos mains qui semblent si douces.


Il dégrafe mon soutien-gorge et ses mains viennent se poser sur ma poitrine offerte. Ses gestes sont professionnels, mais cela me fait un effet monstre et je ne peux m’empêcher d’humecter mes lèvres avec ma langue. Il le remarque bien évidemment et me fixe dans les yeux. Ses mains s’attardent sur mes seins dont les tétons se mettent à durcir, ses pouces les effleurent avant de se faire plus insistants. Ma bouche s’entrouvre, mon souffle se fait plus court, s’il continue je vais haleter comme une chienne en chaleur.



Il pose alors ses mains le long de mes hanches, attrape l’élastique de mon string et le fait glisser le long de mes jambes (épilées juste avant de venir, elles sont toutes douces et le string descend en douceur jusqu’à mes chevilles). Il soulève un de mes pieds puis l’autre afin de finir de retirer ce qui cachait – très peu – mon intimité. Son regard remonte vers mon entrejambe, un haussement de sourcil et un léger sourire me montrent qu’il apprécie mon rasage intégral.


Putain, je mouille comme une folle, si ça continue je vais lui faire un remake des chutes du Niagara dans son cabinet. Je ne rêve plus que d’une chose c’est qu’il me fourre sa bite dans ma chatte ruisselante.



Et en plus on dirait que sa voix est du velours.

Ses mains frôlent l’intérieur de mes cuisses.


Si je ne me retiens pas, je vais finir par ronronner.



Ses doigts se meuvent à l’intérieur de mon vagin.


Oh la la, il a des doigts de fée, il n’a même pas touché mon clito et pourtant je suis sur le point de jouir.


Je me mords la lèvre pour me retenir.



Oui putain ! D’ailleurs je veux entretenir ma forme physique, alors sors ta queue et prends-moi sur la table.


Retirant ses doigts, (Non ! Non ! Mais qu’est-ce que tu fais ? Ils étaient très bien là où ils étaient), il me regarde alors et voit que je me mords la lèvre comme une dingue pour ne pas hurler.



Je vais défaillir, je le sens.



Je m’affaisse sur la table, pendant que ses doigts redescendent le long de mon corps, il se met à palper et pétrir chaque parcelle de ma peau. Je me liquéfie sous ses doigts. L’une de ses mains me caresse un sein pendant que la seconde continue sa course vers mon bas-ventre. Je sens ses doigts qui pénètrent à l’intérieur de moi tandis que son pouce fait des petits cercles sur mon clito en feu. Ma main s’écarte du bord de la table et vient se poser sur son entrejambe. Je sens la bosse dure de son érection à travers son pantalon.



Et ses doigts se mettent à fouiller plus profondément en moi et son pouce accélère la cadence. Mon corps se cambre soudain et la jouissance éclate dans une vague de plaisir.


J’en veux plus, hurle mon cerveau. Encore ! crient mes neurones.


Pantelante, chancelante je me redresse légèrement afin de pouvoir déboutonner son entrejambe, son sexe jaillit à l’air libre comme s’il manquait d’air et avait besoin d’une grande goulée d’oxygène.


Attends, mon tout beau, je vais t’en insuffler de l’air moi !


Et prenant sa queue tendue à pleine bouche, je me mets à lui astiquer le manche avec la langue. Sa main lâche mon sein et vient se perdre dans mes cheveux.

Je redouble d’efforts et accélère le mouvement de va-et-vient tandis que je le sens frémir et gémir. Me tirant par les cheveux, il m’arrache à son membre et me dit :



Il me retourne et grimpe à son tour sur la table. Il me prend alors en levrette, son membre raidi pénètre profondément dans mon vagin. Mains sur mes hanches, il accélère le rythme et l’orgasme me saisit à nouveau. Je sens soudain son sperme jaillir dans ma chatte, il retire alors sa queue et finit de vider son foutre sur mon cul offert.



Toi, ta grosse queue bien dure, tu peux me la fourrer dans la chatte toutes les semaines, je suis plus que partante



The end




Check up bis




Bientôt la fin de journée, il est temps ! Elle a été longue et pénible aujourd’hui. Allons chercher la dernière patiente, au moins d’après ce que j’en ai vu, je terminerai sur une note agréable…



Eh bien, effectivement, elle est plutôt jolie avec ses cheveux blonds et ses petits yeux gris, et elle ne semble pas mal en point, c’est déjà un bon point pour elle, disons… qu’elle mérite déjà beaucoup…



Au moins, elle est claire et directe, jolie voix. Je vais pouvoir avoir un petit déshabillage en règle, voyons ça…


Elle commence par se mettre de trois quarts dos, et enlève sa petite robe légère qui ne cache déjà pas grand-chose.


Oh, mais petits dessous adorables, string noir et dentelles. Ah, me provoquerait-elle ? Elle s’est tournée juste assez pour me montrer sa belle petite croupe arrondie. Vais-je réussir à rester pro et ignorer sa provocation évidente ?



Il va falloir que j’y aille doucement pour ne pas montrer que mon envie monte…


Joignant le geste à la parole, je la dirige d’une main ferme, mais bien à plat dans le creux de ses reins vers la table de consultation.



Elle a vraiment de jolis seins qui ne demandent qu’à sortir et à se faire malaxer, quel bonheur ! Je souris intérieurement, c’est ce que je m’apprête à faire. Elle a au moins une taille en moins pour qu’ils aient tendance à vouloir s’échapper ainsi.


Tout en dégrafant son soutien-gorge, je l’observe du coin de l’œil. Oui c’est certainement de la provocation, elle sourit la coquine ! Commençons…

Ses seins sont fermes, ils ne tombent pas du tout et… oui, ils pointent vers moi. Visiblement, mes mains font de l’effet, elle me regarde dans les yeux sans se départir de son sourire et sa bouche s’entrouvre alors que je les malaxe et frôle ses tétons érigés. Bon, j’ai peut-être un peu trop insisté à leur contact.

Je m’écarte légèrement pour rester au maximum près de son corps, elle dégage une chaleur !



Passons à la phase test, si elle me laisse faire, il n’y aura plus de doute.


Je pose mes deux mains sur ses hanches, mon visage est très proche du sien et je sens son souffle qui s’accélère. Je saisis le bord de son string, et le fais doucement glisser le long de ses jambes en le suivant du regard. Mes mains courent le long de ses très belles jambes sans en perdre un instant le contact de mes doigts et de mes paumes. Elle a les deux mains appuyées en arrière sur la table et je lui soulève lentement un pied puis l’autre pour la débarrasser de son bout de dentelle noire.


Accroupi, je redresse la tête et avec une petite moue appréciatrice, je remarque son jardin secret rasé de très près. Elle a un joli sexe, bien fendu, on ne devine pas son bouton, mais ses jambes légèrement ouvertes me montrent qu’elle n’a pas de grosses lèvres. Comme j’aime, petite chatte discrète et apparemment bien humide. À la couleur de son rasage, c’est vraiment une vraie blonde.



Bon sang, elle est trempée.



Je lui insère deux doigts. Ils rentrent dans sa petite chatte ouverte sans à-coup.



Je tâtonne l’intérieur de son sexe tout d’abord médicalement, explorant son utérus, mais progressivement je prends un peu plus de liberté avec mes doigts et son vagin réagit en s’ouvrant encore plus. Je décide pourtant de faire traîner les choses un peu plus longtemps, car il est clair qu’elle est maintenant soumise à mes doigts, mais je voudrais qu’elle se dévoile plus. Elle s’est redressée sur ses coudes et tente avec beaucoup de mal à garder son sang-froid sous mes doigts.



Je retire mes doigts luisants. Zut, je n’ai même pas mis de gants !

Je la regarde et m’aperçois que dans son trouble à se contenir, elle s’est mordue la lèvre et saigne légèrement.



Remarquable, elle se contient tellement, qu’elle se mord au sang !


De mes doigts humides, je lui essuie la lèvre et elle laisse échapper un petit gémissement adorable. Elle était sur le pont de jouir, la vilaine !



Bon, inutile finalement de la faire attendre, moi-même je ne tiens plus. J’ai envie de ses lèvres et de sa chatte.


Elle se laisse aller et je décide donc de passer à la vitesse supérieure. Je commence à parcourir son corps de mes doigts, le cou, la poitrine, le ventre les cuisses, l’intérieur de ses genoux, ses mollets et ses pieds. Elle a la chair de poule et moi je bande comme un âne.


Sa peau est douce et ferme. J’avance une main sur son sein, et pose la seconde sur le haut de son sexe, et tout en caressant son sein et le téton que je pince, je lui mets deux doigts dans le vagin et posant mon pouce sur son clito que je découvre dur et érigé lui aussi.


Aaaah ! Voilà sa main se pose sur mon sexe qui bande sec.



J’active mes doigts et la salope jouit de suite en s’arquant sur la table.

Elle est terrassée, son corps frissonne et tremble sous l’impact de son orgasme. Je laisse mes doigts dans sa chatte et lui pince violemment le téton.


Pantelante, elle se redresse et déboutonne mon pantalon rapidement pour faire jaillir mon sexe tendu entre ses mains. Elle me serre les bourses et m’attire vers sa bouche où sa langue commence un travail extraordinaire, elle lèche, aspire, gobe, suce merveilleusement. Elle va me faire jouir la vicieuse ! Elle le sent et augmente son rythme. Elle m’enfonce dans sa gorge tandis que ma main caresse ses cheveux.


Mais c’est sa chatte que je veux.


Je lui tire les cheveux, l’obligeant à me lâcher et je la retourne sur la table à quatre pattes.


Une bonne levrette !


Je m’installe derrière elle et d’un coup, j’enfonce mon membre dans sa chatte trempée et ouverte. Mes coups de boutoir lui défoncent la chatte et elle jouit de nouveau en contractant ses muscles intérieurs. Je viens aussi et en me retirant après un dernier coup violent, j’éjacule le reste de mon sperme sur son cul offert.


Il nous faut bien trois minutes pour reprendre notre souffle. Elle n’a pas bougé de la table, la protection de papier n’existe plus et le skaï est humide de sa mouille et de mon sperme qui coulent sur ses jambes.



Elle se redresse, s’assoit sur le bord de la table. Son regard appuyé en dit long, mais elle répond, effrontée :




The end




Check up - Une semaine après…




Cela fait une semaine.

Je suis dans la salle d’attente.

Bientôt l’heure de mon rendez-vous.


Je suis impatiente. Rien qu’à me rappeler nos ébats de la dernière fois, je sens la chaleur envahir mon entrejambe. J’ai chaud, la chaleur me monte aux joues. Je vais me passer un coup d’eau sur le visage histoire de me rafraîchir les idées.


Ça va mieux, mais le miroir me renvoie l’image d’une femme aux yeux fiévreux. On pourrait vraiment croire que je suis malade alors qu’en fait je n’ai envie que d’une chose : qu’il me baise encore une fois.

Bon allez, il est temps de retourner en salle d’attente. Je ressors tout en me retournant pour éteindre la lumière derrière moi, mais j’aurais dû faire plus attention : je viens de percuter quelqu’un.

Je lève les yeux et c’est lui. Il me sourit et me dit :



Mon cœur manque un battement, tandis que ma chatte se met à pulser de plaisir anticipé.

Hélas, un sourire contrit sur le visage, il m’annonce qu’il a un interne en stage et que la visite s’effectuera en sa présence si cela ne me gêne pas.


Mais bien sûr que ça me gêne, moi je voulais du sexe, je voulais du cul, je rêvais d’une partie de jambes en l’air, je voulais baiser quoi !



Je me résous déjà à sortir un sextoy en arrivant à la maison afin d’éviter la frustration qui me guette. Je pénètre dans le cabinet (putain, mais c’est moi qui devait être pénétrée !) et j’aperçois l’interne qui me tourne le dos en train de trier des médicaments.


Au moins, il a un beau cul, je pourrai toujours me souvenir de ça lorsque je m’enfoncerai le jouet dans le vagin.



Je m’exécute.


Et dire que j’ai passé une heure à choisir ma tenue et mes sous-vêtements avant de venir. Et tout ça pour rien. Enfin il a l’air aussi désolé que moi-même si ça ne me console guère.



Sauf que je croyais que vous alliez me sauter sauvagement sur la table d’examen, ou le bureau pour changer, mais que je me rends compte que pour ça, je peux me rhabiller direct.



J’enlève ma jupe crayon (qui me faisait un cul d’enfer) et mon top, et me voilà dans mon soutien-gorge fuchsia à frou-frou et son shorty assorti. Je m’allonge.

Le stagiaire se retourne enfin et me salue.


Belle gueule, ma foi, dommage que je lui en veuille trop de m’avoir gâché une occasion, sinon j’aurais pu apprécier la vue.



Ses mains arrivent pour me palper la poitrine. Les souvenirs de la dernière fois affluent et j’ai le plus grand mal à me retenir de gémir.



Ce dernier s’approche et pose à son tour une main sur mon sein afin de m’examiner. (Oh putain, j’ai la chatte chauffée à blanc !) Je serre les dents et jette un œil sur mon docteur. Ses yeux vrillés dans les miens, j’ai vu qu’il a compris mon trouble.



Oh, mais c’est que je serais tombée sur un connaisseur en plus. Putain ça va pas arranger mon envie de sexe ça).


Plaquant les épaules sur la table, je soulève mon cul de manière à pouvoir retirer le shorty en question. Ce faisant, je surprends le coup d’œil du doc vers mon entrejambe.


Eh oui, j’avais vu que tu avais apprécié la dernière fois et j’ai refait l’intégral, quel dommage quand même) !


Écartant les cuisses sans invitation, j’attends l’examen.



Le stagiaire s’exécute (la vache ! Il a de longs doigts) et les fait bouger pour son examen (putain c’est bon ! Ça y est, je mouille comme une dingue.) Perplexe, l’interne se tourne vers le docteur :



Il me prend alors le poignet avec son autre main et s’exclame en questionnant :



Mais non, abruti, j’ai juste envie… Non, plus que ça, besoin de me faire défoncer la chatte.



Le stagiaire retire ses doigts et le docteur m’enfonce les siens à la place. Il en profite pour effleurer subrepticement mon clitoris en feu. Une décharge électrique me parcourt. Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps et le pire c’est que je crois que le toubib le sait.


Et il en profite le salaud ! D’accord, fini de jouer, je craque, je capitule.



Souriant (il a compris bien entendu, lui aussi a envie), il retire ses doigts de mon intimité.

Je peux enfin me redresser. Je descends alors de la table et me jette sur la braguette du stagiaire. Surpris, il se laisse faire et je me retrouve bientôt avec sa queue entre les mains. Je me mets alors à le sucer et il ne faut pas longtemps avant qu’il ne réagisse à mes caresses et se dresse bien droit.


Le doc fait le tour de la table et nous rejoint. Il a déboutonné sa braguette et sort son braquemart déjà raide. Je l’engloutis alors aussi. (Hum, même goût que la dernière fois, que du bonheur !) Passant d’une bite à l’autre, je suce et je caresse, mes mains malaxent leurs couilles pendant que ma langue titille leur gland. Léchant leurs grosses queues bien dures, je lève les yeux pour les observer, tous deux ont l’air d’apprécier si j’en crois le sourire en coin et l’œil mi-clos du docteur, et la bouche entrouverte et les yeux vitreux de l’interne. Tant mieux. Moi aussi j’apprécie. Ils commencent à couler et je peux goûter la saveur de leur liquide séminal.


Bientôt c’est leur sperme que je goûterai.


Le docteur éloigne son sexe de ma bouche. (Hé ! mais où va-t-il, j’ai pas fini moi, je suis encore en manque !), Mais il ne va pas bien loin : me contournant, il relève ma croupe et empale ma chatte luisante sur sa hampe. (Ouch que c’est bon !) Il agrippe mes hanches et commence à se mouvoir à l’intérieur de moi. Il impose un rythme que je répercute sur la bite qui me fait face.


Le stagiaire se lâche enfin et empoigne ma nuque pour enfoncer sa queue plus avant dans ma gorge. Glissant sa main le long d’une de mes hanches, le docteur vient agripper mon clitoris et se met à me caresser de plus en plus vite à mesure que ses coups de reins se font plus pressants. (Putain, c’est trop bon, je viens). Je jouis violemment et tout mon corps est parcouru de spasmes alors que le plaisir me submerge.


Le docteur accélère encore et bientôt je sens un liquide chaud me remplir la chatte avant de s’écouler le long de mes cuisses tremblantes.


Le stagiaire agrippe avec vigueur ma chevelure et dans un brusque coup de reins éjacule dans ma bouche grande ouverte. Je laisse son foutre s’écouler sur mes seins, il se rapproche alors et l’étale tout en caressant mes tétons durcis. En même temps, trois doigts s’insinuent en moi et un brusque sursaut de plaisir me surprend à nouveau.




The end