Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17700Fiche technique30772 caractères30772
Temps de lecture estimé : 18 mn
22/12/16
Résumé:  Ce vendredi après-midi, j'attends dans ma voiture que vienne à moi la belle dévergondée en puissance qui m'est promise, la charmante femme d'un de mes bons amis...
Critères:  fhhh inconnu nympho fépilée hotel voiture collection fmast fellation -extraconj -exhib
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Mise en bouche pour Capucine


Toute vague ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé n’est pas forcément purement fortuite. Bonne lecture à celles qui se reconnaîtraient, et bien sûr, à tous les autres lectrices et lecteurs non concernés :)





À deux




Ce vendredi après-midi, j’attends dans ma voiture que vienne à moi la belle salope en puissance qui m’est promise. En effet, depuis quelque temps, Capucine, la charmante femme d’un de mes copains de longue date a décidé de jeter son bonnet par-dessus les moulins, à condition que son entourage ne soit pas au parfum de sa glissade dans le stupre et la luxure. Et devinez qui en profite le premier ?


Je viens d’envoyer un SMS pour indiquer que j’étais bien arrivé. Je n’ai pas longtemps à attendre, Capucine arrive peu après. Elle est magnifique comme toujours, son manteau sombre et court la met incontestablement en valeur, ses jambes sont gainées de bas, ses pieds chaussés de talons aiguilles qui claquent sous ses pas, et je suppose que sous sa pelisse noire se cachent bien des choses.


Dès qu’elle frôle la voiture, aussitôt, j’ouvre la portière et elle monte.


À peine ses fesses posées sur le siège, elle se penche vers moi pour me donner un baiser assez appuyé, ce que je ne déteste pas du tout. Alors que je m’apprête à le lui rendre, elle m’arrête :



Nous quittons le parking, tandis qu’elle incline fortement de la tête, comme si elle ne voulait pas qu’on puisse la reconnaître. Peut-être faudra-t-il changer de point de rendez-vous la prochaine fois. Alors que nous nous dirigeons vers la suite des événements, je lui demande :



Elle se contente de sourire, elle déboutonne le bas de son manteau et me dévoile aussitôt une belle chatte bien lisse et toute douce, encadrée d’un porte-jarretelles du plus bel effet ! Glabre et impeccable, cet adorable abricot ! Elle n’a donc rien sous son manteau, sinon que de la lingerie ? J’en profite pour glisser deux doigts inquisiteurs dans son adorable fente. Le résultat ne se fait pas attendre, ma passagère mouille déjà, ce qui ne m’étonne pas du tout de cette belle catin que j’ai l’immense plaisir de véhiculer vers le lieu de ses turpitudes.


Tandis que je continue de la câliner de façon très intime, j’en profite pour lui demander :



D’un ton docte, elle me rectifie aussitôt :



Nous arrivons au lieu du rendez-vous, sur le parking du C&C (Chambre & Confort, une chaîne d’hôtels). Je connais les lieux, le coin est assez retiré, à l’extrémité d’une zone d’activités, même s’il est assez près de la rocade. Je me gare dans le fond du parking, à l’abri des regards. Deux voitures vides sont déjà présentes. Après avoir consulté ma montre, je me tourne vers ma passagère :



Actionnant une manette, je recule mon siège :



Sans attendre sa réponse, je révèle au jour une queue déjà bien disposée. Capucine se penche dessus, y donne un petit coup de langue, ce qui fait frémir ma bite. Ma passagère entreprend de me sucer comme si mon sexe était une sucette, puis après quelques agaceries, elle avale la totalité de mon mandrin, me faisant durcir irrémédiablement !



Tandis qu’elle s’active autour de ma bite, j’en profite pour caresser ses fesses, puis petit à petit, je remonte vers son sillon, à la recherche de ses lèvres intimes que je finis par dénicher. Cette belle garce mouille déjà comme pas possible ! J’en profite pour la caresser délicatement, puis de plus en plus fortement.


Soudain, je sens comme une présence. Un bonhomme s’approche de l’une des voitures du fond du parking. Il passe devant la mienne, et ne manque de remarquer que ma passagère a une curieuse position. Il ne lui faut certainement pas longtemps pour comprendre qu’elle est en train de sucer ma queue. Avec un large sourire, il me montre un pouce tourné vers le haut. Je tente de lui faire comprendre qu’il peut venir plus près, mais, ou bien il n’a pas vu, ou bien il ne veut pas, je le vois monter dans sa voiture. Peu après, il passe devant nous en donnant un petit coup de klaxon, ce qui fait sursauter Capucine qui en délaisse ma bite pour demander :



Elle donne un rapide coup d’œil aux alentours, puis continue la sucette qu’elle avait commencée.




Deux plus deux



Peu de temps après, mon téléphone sonne. Je décroche aussitôt, j’ai reconnu le numéro de téléphone de mon contact. À prime vue, nos invités sont sur la route. Ils sont deux et non trois comme convenu. Mon interlocuteur est déçu :



Un petit silence, puis mon interlocuteur reprend :



Peu de temps après, une voiture se gare près de nous, deux hommes en descendent. Capucine s’arrête de me sucer, je l’arrête :



Alors elle continue son entreprise autour de ma bite tandis que nos invités s’approchent. Bien sûr, ils constatent que ma passagère est en train de me faire une belle fellation, la croupe dénudée que je caresse toujours depuis tout à l’heure. L’un des hommes hoche la tête, visiblement épaté par le spectacle que nous lui offrons. Ils la regardent faire, puis je finis par déclarer :



Un sourire radieux illumine les deux visages. Capucine relève la tête, me libérant. Puis nous sortons du véhicule. Nous mettons un peu à l’écart, histoire d’éviter d’être dérangés. Ma belle salope m’interroge du regard quant à la suite. Je réponds aussitôt, affirmatif et impératif :



Une fois sous l’arbre, Capucine déboutonne complètement son manteau qu’elle ôte lentement pour mieux exciter son petit monde. Une fois son manteau enlevé, elle me le donne calmement. Elle apparaît nue, sauf ses jambes gainées de bas noirs accrochés au porte-jarretelles, ses pieds chaussés de talons aiguilles. Je découvre qu’elle a mis un redresse-seins assorti à la lingerie du bas. Capucine a des seins un peu pendants, et les voir présentés presque à l’horizontale, comme offerts sur un plateau est une incitation au crime ! Devant pareil spectacle, nos deux invités la matent avidement, presque langue pendante !


Elle s’accroupit, jambes largement écartées afin que tous puissent voir sa chatte bien lisse. Les deux invités sortent leur queue ; moi, je garde la mienne à l’air. Et c’est ainsi qu’en ce début d’après-midi, ma belle traînée s’occupe de deux bites, sur le parking d’un C&C. Actuellement, elle suce l’un des deux hommes, lui soupesant les valseuses, tandis qu’elle astique joyeusement le mandrin de l’autre. Puis au bout d’un certain temps, elle alterne, suçant celui qu’elle branlait et astiquant celui qu’elle léchait. Moi, durant ce temps, j’en profite pour faire quelques photos.


Comme la femme de mon ami a acquis une certaine dextérité et un bon savoir-faire (et j’en sais quelque chose), dans un grand râle de plaisir, un premier homme finit par céder, éjaculant de tout son saoul dans la bouche de Capucine. À peine a-t-il un peu récupéré, qu’il s’extasie :



C’est une Capucine aux lèvres maculées qui lui répond candidement :



Ceci dit, elle s’attaque à l’autre bite bien érigée. Quelques agaceries plus tard, c’est à nouveau un sperme chaud qui inonde sa bouche et sa gorge. Alors qu’il est visible que l’homme, qu’elle suce toujours et encore, a ses réservoirs à foutre complètement vidés, Capucine s’amuse toujours autour de sa verge qui mollit. C’est alors que le premier partenaire revient à la charge, libérant son compagnon de l’emprise vorace de ma petite pute décidément en forme !


Puis, pendant presque une demi-heure, Capucine s’occupe sans relâche de nos invités. Je me demande comment elle fait pour ne pas avoir une crampe à la mâchoire ! Je réalise qu’elle alterne sucette et branlette, sans doute pour se ménager. L’un des hommes, qui vient juste d’éjaculer à nouveau entre des lèvres voraces, s’approche de moi pour me confier :



Sans quitter des yeux ma Capucine toujours affairée autour de la queue de l’autre invité, l’homme siffle entre ses dents :



Puis il s’éloigne de moi quand il constate que son comparse vient de se vider une nouvelle fois. Capucine se fait un plaisir de choyer à nouveau la bite qu’il lui propose. Quelque chose me dit que nous nous acheminons vers la fin de cette séance, nos deux compères ont bien donné de leurs personnes, surtout en liquide…




D’eux et elle



Ça y est, la séance est finie. Personne n’est venu nous importuner. Capucine a littéralement vidé nous deux invités du jour. Après quelques échanges de circonstance et de politesse, les deux hommes se sont éloignés, visiblement repus et contents. Capucine et moi les regardons disparaître de notre vue. Je félicite ma partenaire :



À mon grand amusement, elle rougit. Je la serre contre moi, puis je l’embrasse. Notre baiser s’éternise, mais j’adore ça avec elle. Puis il faut bien reprendre une activité normale, nos lèvres et nos corps se séparent à regret. Elle remet son manteau. Durant ce temps, je sors mon smartphone de ma veste puis j’envoie un bref SMS. Celui-ci envoyé, je fais surgir une carte plastifiée que je montre à ma vicieuse comparse :



Un peu intriguée, trottinant sur ses talons-aiguilles, ce qui lui donne une démarche chaloupée que je ne déteste pas, elle me suit. Nous faisons partiellement le tour du bâtiment, puis je me poste devant une porte anonyme.



Une main toujours plaquée sur l’encolure de sa pelisse, elle s’étonne :



Néanmoins, elle s’exécute, apparaissant à nouveau en lingerie, ses seins toujours présentés en plateau, sans parler de tout le reste, des bas, du porte-jarretelles. Je glisse la carte, un déclic se fait entendre. J’ouvre, puis tendant la main vers Capucine, je lui dis :



Elle passe devant moi et entre dans la chambre. Une fois le seuil franchi, les yeux grands écarquillés, stupéfaite, elle s’immobilise. Dans la chambre, en évidente bonne forme, l’attendent des hommes déjà nus pour la plupart, queue érigée en main.



J’en profite alors pour la pousser à l’intérieur, fermant la porte derrière moi. Ayant posé son manteau sur un meuble proche de l’entrée, la prenant par la taille, j’avance avec ma belle chienne au milieu de tous ces hommes avides qui la regardent comme si elle est un splendide os à ronger. Je présente tout le monde à tout le monde :



Soudain, on toque à la porte, je laisse Capucine face à ces cinq hommes pour aller ouvrir.



Les deux hommes du parking entrent dans la chambre qui semble se rétrécir. Soudain, quelqu’un pose leur pose la question :



Un murmure d’approbation roule dans la chambre qui semble bien petite avec cinq hommes nus, deux invités, une belle salope en lingerie et moi. Total : neuf. Les deux nouveaux arrivants se joignent aux autres participants. Sans complexe, ils extirpent même leurs bijoux de famille. Un peu perdue devant tout ce monde, Capucine me demande, en désignant les deux nouveaux arrivants qui viennent de passer devant elle :



À présent, les sept hommes l’entourent, formant un cercle d’environ un mètre cinquante de diamètre. Capucine paraît se prendre au jeu. Elle pivote lentement sur elle-même, comme pour se donner une première idée de la « marchandise ». Durant ce temps, elle dodine de la tête, semblant apprécier les hommes que je lui offre. Puis décidant d’y aller, tandis qu’elle pivote à nouveau sur elle-même, elle frôle, elle flatte, elle caresse les queues à sa disposition. Puis elle s’agenouille au milieu du cercle qui se rétrécit, les hommes se rapprochant d’elle. Pour commencer, pivotant sur elle-même, ma belle pute dépose un petit baiser au bout de chaque gland face à elle, et il est visible qu’elle y prend goût !


Une fois le tour terminé, elle lève la tête vers moi et demande :



L’instant d’après, un oreiller sous les genoux, elle recommence son petit jeu d’embrasser chaque gland à sa portée, mais cette fois-ci, elle s’attarde plus longtemps, s’offrant souvent le luxe de capturer un bout de bite pour le faire disparaître quelques instants entre ses lèvres humides.


Avec un appétit qui fait plaisir à voir, elle enfourne en bouche chaque queue, l’une après l’autre, elle branle les autres bites. Lentement mais sûrement, les hommes ainsi servis commencent à la toucher, à la caresser, à la tripoter. À présent, ses deux seins sont capturés, ses tétons manipulés, pincés, étirés.


Un homme plus hardi capture sa tête pour y enfoncer une queue bien grosse et commence une série de va-et-vient dantesques. Il grogne :



Il ne lui faut pas très longtemps pour qu’il lâche toute sa semence dans une ultime tension. Il se vide dans de longs spasmes tandis que ma chienne avale tout sans broncher. Sitôt sa bite hors de la bouche de ma belle pute qu’une autre queue se fait un plaisir de prendre illico sa place. Deux, trois mouvements plus tard, cet autre homme se déverse à son tour entre les lèvres avides et dociles.



Deux autres partenaires veulent la place, Capucine les met d’accord en les accueillant tous les deux dans sa bouche vorace. Elle sait parfaitement s’y prendre, on pourrait jurer qu’elle a fait ça toute sa vie. Quand je songe aux confidences de son mari, il y a quelques mois, il me disait qu’elle était bien gentille, sa femme, mais un peu coincée quand même… Comme quoi qu’il faut se méfier de l’eau qui semble dormir…


Armé de mon appareil-photo, j’immortalise cette fabuleuse prestation. Je tourne autour des protagonistes, shootant chaque instant. Capucine se déchaîne, suçant, léchant, aspirant, buvant, avalant. Méthodiquement, elle épuise un à un ces hommes-objets que je lui ai offerts. C’est avec une certaine admiration que je la vois vider le septième homme.


Alors que celui-ci s’éloigne, elle se relève lentement, puis elle vient vers moi, son visage, son cou et sa gorge luisants de sperme :



Elle rit doucement, plutôt fière d’elle :



En effet, nos partenaires de jeu reviennent à eux, et convergent lentement vers Capucine. Curieusement, je songe à la nuit des morts-vivants, à ces trucs de zombies, ce qui n’est pas charitable de ma part. Mon adorable salope, avec un charmant sourire, me répond :



Pour se faciliter la tâche, elle se couche sur le lit à deux places, puis bien calée sur l’oreiller, elle commence à accueillir dans ses mains et dans sa bouche tous ces sexes à nouveau d’attaque pour l’honorer de leurs jus.


C’est début d’une orgie de sucettes, de sperme. À un moment, je dois intervenir, l’un des hommes semble ne pas vouloir se contenter de la bouche de ma pute, mais vise visiblement une autre entrée. Pourtant, quand je l’ai formulé pour chaque participant, le deal était clair et net, j’avais bien expliqué le contexte et les limites à ne pas franchir. Le fautif s’excuse, je passe l’éponge, mais le quidam passe illico dans ma tête dans la liste des contacts moins prioritaires.


Par-dessus son corps, Capucine a plein de queues bien tendues et bien gonflées de convoitise, toutes à sa disposition. Celles-ci ne sont que pour elle, et d’ailleurs elle en profite allègrement ! C’est un vrai délice que de la voir prendre toutes ces bites en main, de les sentir palpiter sous ses doigts, entre ses lèvres. Je vois bien qu’elle adore goûter leurs diverses saveurs, certaines plus sucrées, d’autres plus aigres, allant des jus épais aux plus liquides. Les autres queues qu’elle ne manipule pas de ses doigts et de ses lèvres se frottent sans vergogne sur son corps, laissant une trace humide. Certains éjaculent même carrément sur elle, sa peau devenant petit à petit de plus en plus luisante.




Qu’elle et moi



Le dernier invité vient de partir. Le silence retombe dans la chambre, un silence reposant. Un peu vidée par tous ces événements, vautrée dans le lit, Capucine est étendue sur le dos, les bras en croix. Je m’assieds à côté d’elle :



Pour toute réponse, je me contente de lui caresser la joue, même si celle-ci est quand même un peu collante. Je continue sur ma lancée :



Je me penche sur elle pour l’embrasser. Notre baiser dure longtemps. Quand nos lèvres se décollent, elle dit, mutine :



Je la bouscule pour venir me plaquer sur elle :



Je me rue sur elle. Cette femme m’excite, elle m’allume, c’est indéniable. Quand je pense que je l’ai connue timide et effacée. Jamais, je n’aurais pensé qu’elle puisse devenir ma maîtresse et que ce soit moi qui l’aide à devenir petit à petit une splendide dévergondée. Je songe alors qu’elle risque de dépasser la frontière que je croyais inaccessible.


En attendant de la voir franchir cette frontière, je me fais un plaisir de me vautrer sur elle, entre ses jambes, sans trop d’égards, puis d’un bon coup de reins, j’entre sans effort en elle, tant son entrée est humide, complètement liquide. C’est si bon d’être en elle !



Je fais quelques va-et-vient. Il ne me faut pas longtemps pour constater que je ne vais pas résister longtemps. Alors comme si j’étais un dominant s’adressant à sa soumise, me redressant un peu, je lui ordonne :



Ma simili-soumise obéit. Elle glisse ses doigts entre son ventre et le mien et commence à se taquiner. Parfois ses ongles touchent ma verge, ce qui n’arrange rien à mon self-control ! Capucine m’a tellement excité qu’il ne me faut pas bien longtemps pour atteindre mon point de non-retour, et malgré mes efforts pour résister, j’éjacule en elle, déversant ma semence, tandis que les autres l’avaient déversée sur elle et dans sa bouche. Car moi seul ai le droit de visiter sa grotte, Capucine est à moi, rien qu’à moi, même si je la partage parfois.



Tandis que je me déverse dans son corps à grands coups de tremblements, je me demande comment tout finira, car je sais, je sens que je deviens possessif. Déjà, il m’arrive de jalouser son mari, mon ami de longue date. Je chasse ces pensées, je continue à me vider dans ce corps impudique qui jouit lui aussi dans de multiples petits cris. J’ai l’impression que je la remplis de tout le sperme que j’ai pu avoir en moi depuis des mois, des années, voire de mon sang, tellement la sensation de vidange est intense !


Soudain, un grand flash !

Puis je ne me souviens trop bien…

Je me laisse couler dans une chaude béatitude…


Quelques instants plus tard, Capucine est collée contre moi tandis que je la caresse. Nous commentons la journée, la séance. Je la félicite sincèrement :



Toujours blottie contre moi, elle lève son visage lumineux vers moi, me souriant d’une façon particulièrement malicieuse :



Quelque chose me dit que je vais devoir organiser bien d’autres séances, et que celles-ci seront crescendo vers des cimes auxquelles je ne veux pas songer, là tout de suite…