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n° 17704Fiche technique8676 caractères8676
Temps de lecture estimé : 6 mn
26/12/16
Résumé:  Une femme de ménage vient d'arriver à la maison, elles est très particulière.
Critères:  ffh couple poilu(e)s soubrette fmast cunnilingu anulingus pénétratio -couple+f
Auteur : Francdar      Envoi mini-message
Une nouvelle femme de ménage

Je vais vous raconter une histoire qui me trotte dans la tête depuis quelques jours.


Nous habitons une maison en plein centre-ville. Pour entretenir cette maison, Maria vient nous aider une fois par semaine, le mercredi. Maria est une Portugaise qui est arrivée en France il y a quelques années. C’est une femme de trente-cinq ans environ, plutôt sympa et très travailleuse ! Elle a un physique assez agréable, mais sans être vraiment canon.


Quand elle vient à la maison, en général ma femme est là, moi rarement. Maria a pris l’habitude de se mettre à l’aise avant de commencer son travail : elle enfile une blouse sur un slip et un tee-shirt. Elle dit qu’elle est plus à l’aise pour travailler et ça ne dérange personne. Un jour que Maria se déshabillait, ma femme a remarqué par hasard qu’elle est assez poilue, voire très poilue. Elle me l’a dit en riant et ça m’a rendu perplexe, je voulais m’en rendre compte.


Un jour, je m’arrange pour rentrer avant l’heure de son arrivée, car je sais que je serai seul avec elle. Elle sonne, puis entre et commence à se changer dans l’entrée. J’attends quelques instants et j’ouvre la porte rapidement. Elle est complètement nue et s’apprête à enfiler son slip et son tee-shirt. Elle n’est pas très gênée et continue à s’habiller tout en me regardant. Je la regarde et effectivement, constate une pilosité bien développée.


Elle a une belle chatte très fournie, les poils dépassent largement sur les cuisses et sur son ventre. Je bredouille une excuse et elle me tourne le dos. Là, je vois que ses poils sortent également de sa fente, de façon drue pour venir rejoindre sa raie. Je sors, puis ferme la porte plutôt perturbé. Rentré dans le salon, je me sers un verre et médite sur ce spectacle.


Ma femme rentre du boulot, je l’accueille, elle me jette un coup d’œil puis à Maria qui passe l’aspirateur. Elle me voit un peu bizarre, s’approche puis, en m’embrassant, s’aperçoit de mon sexe dur.




Je l’emmène dans notre chambre et lui raconte la scène. Je sens que ma femme s’excite aussi, elle me touche et commence à me masser. J’enlève le pantalon et je lui montre un sexe bien dressé.



Elle se déshabille et commence à fermer la porte.



On entend l’aspirateur s’approcher. Ma femme ouvre les cuisses et me dit :



Elle le sait j’aime la lécher. Je la prends par le cul et je la suce très activement et avec bruit. J’aime parce qu’elle m’encourage par des :



Je finis par l’enfiler et elle se met à crier. J’entends alors un léger bruit près de la porte. Dans le miroir qui donne sur la porte, je vois Maria qui nous regarde baiser. Je ne sais pas si elle a vu que je la regardais, mais ça a l’air de lui plaire. Ça m’excite encore plus et j’accélère le rythme. J’entends ma femme qui jouit et je finis par décharger.



Je m’habille rapidement, Maria est dans le salon, elle me tourne le dos et ne m’entends pas. Elle se caresse. Je m’approche, elle se tourne et montre son sexe très poilu qu’elle est en train d’astiquer. Je la regarde, complètement obsédé par cette main qui bouge et je sens que je bande à nouveau, je m’éloigne et reviens dans la chambre. Ma femme s’est endormie, que faire ?


Maria passe maintenant l’aspirateur. Je m’aperçois que je bande vraiment dur. Sa chatte m’obsède et je ne peux m’empêcher de la déshabiller du regard. Elle se baisse pour nettoyer un objet et me laisse entrevoir son slip, duquel dépasse une belle touffe de poils. Je m’approche. Elle se retourne et me dis qu’elle a chaud. Je sens son odeur un peu forte et je crois qu’elle sent la mienne. Puis, elle s’approche et me touche le pantalon à l’endroit où mon sexe est dur. Je lui prends la main et la pousse à me caresser. Je la regarde bien dans les yeux, elle est vraiment allumée.



J’en rêvais !


Je l’allonge sur la moquette, enlève le slip et vite mets ma langue dans sa chatte. Elle est vraiment très mouillée. J’adore la lèche, ça me plaît. Je fourre ma langue partout bien profondément. Tous ces poils m’excitent ! Je la prends par les fesses avec les mains pour être plus à l’aise. Je l’entends qui m’encourage. Plus ça va, plus elle mouille, j’aspire son liquide, humm que c’est bon ! Je lui mets ma main dans sa raie, je sens qu’elle se tend quand je mets un doigt dans son cul. Elle me dit :



Alors je la renverse et lui suce aussi la rondelle du cul. Je bande dur, elle en veut encore, mais veut aussi ma bite. Elle me défroque et commence à me sucer le gland.


J’entends un bruit derrière, c’est ma femme qui s’est réveillée et qui rit. Maria est confuse, elle ne sait plus où se mettre. Je me sens un peu gêné, mais ma femme ne se démonte pas, elle prend mon gland et dit à Maria :



Effectivement, elle sait y faire, je commence à ahaner. Maria est venue derrière moi et je sens sa chatte velue se frotter sur moi. Je dis à ma femme de se tourner pour que je la fourre. Elle se met à quatre pattes et Maria m’encourage par tous les moyens :



J’entends ma femme couiner de plaisir sous mes coups de boutoir



Excité par ces phrases, je finis par faire jouir ma femme qui se couche sur la moquette, éreintée. Maria me prend alors le gland tout humide puis commence à se masturber avec.



Elle est trempée de mouille.



Je m’exécute et consciencieusement, je la suce avec application.



Elle me dirige vers sa grotte. Je m’éclate à lui fourrer la langue partout, à lui sucer le clito, je sens qu’elle décharge de sa mouille. Puis elle se tourne et me tend sa rondelle :



Je la ramone et finis par la faire jouir au moment où je décharge.


Ma femme nous regarde en se caressant, elle en veut encore, cette cochonne. Elle s’est approchée de Maria et s’est collée à elle en lui suçant la bouche et l’oreille. Maria la branle déjà, elles se caressent les seins et se baisent à pleine bouche. J’en profite pour enculer Maria avec ma langue, jusqu’au moment de la décharge.


Nous sommes tous les trois épuisés.



Nous l’embrassons encore puis la laissons partir.



Toutes ces idées nous menaient doucement vers une autre partie de jambes en l’air.