n° 17709 | Fiche technique | 91076 caractères | 91076Temps de lecture estimé : 51 mn | 29/12/16 |
Résumé: Parfois, il faut savoir faire quelques sorties pour ajouter un peu de piment. Parfois, c'est bien sans plus. Parfois c'est surprenant. | ||||
Critères: fh grp couplus cocus inconnu voir intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio -initfh -couple+h | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Je viens de refermer mon ordinateur après avoir discuté ci et là sur divers forums déconseillés aux mineurs et aussi aux personnes prudes. Je m’étire puis je me lève avec précaution : rester trop longtemps assis n’arrange pas mon mal de dos. Une fois debout, je lance à l’attention de ma chérie qui est déjà couchée dans la chambre voisine au salon :
Après avoir bu une boisson bien fraîche, puis fait un petit tour là où il faut aller, j’arrive dans la chambre, muni d’une bouteille comme demandé.
Je dépose la bouteille à son chevet, je me déshabille. Parfois, elle me jette un petit coup d’œil, son petit côté « voyeuse ». Puis je m’allonge à ses côtés, après un bref bisou sur ses lèvres sucrées, lisant à mon tour. J’attends simplement qu’elle ait fini son chapitre afin que nous discutions tous les deux de notre journée, de la sienne surtout. C’est notre petit rituel. Ce moment ne tarde pas, elle coupe la lumière puis elle vient se blottir contre moi, tandis que, allongé sur le dos, je tends le bras vers l’interrupteur pour plonger la chambre dans l’obscurité.
À ma grande surprise, Coraline (ma femme) ne me parle pas de son boulot comme de coutume :
Et elle se blottit encore plus contre moi. J’aime la sentir nue ainsi, et elle le sait.
Le nez sur mon torse, Coraline répond avec une petite intonation de dédain dans la voix :
Je me cale mieux sur l’oreiller :
Coraline rit doucement :
Toujours bien calé sur mon oreiller, je soupire :
Elle pose sa main sur mon avant-bras :
Suite à cette remarque un peu perfide, je ne réponds rien. Je marque une pause, essayant de deviner les contours des formes dans cette chambre presque obscure. Petit à petit, j’y parviens, je commence à bien distinguer tout ce qui m’entoure malgré la faible luminosité des lieux. Durant ce temps, un peu agacée par mon silence, ma douce femme me relance :
Elle sursaute :
Comme piquée au vif, elle se redresse aussitôt :
Je me redresse un peu à mon tour :
À cette réponse, elle sursaute puis s’agenouille prestement dans le lit :
D’un ton amusé, à moitié calé sur l’oreiller, je constate :
Je tends le bras pour allumer ma lampe de chevet. La lumière jaillit, tamisée. Je m’approche de ma femme qui fait un peu la tête. Je sais qu’elle n’aime pas trop la concurrence.
Tétons pointés vers mon visage, elle me nargue :
Et je l’attire à moi, afin de gober tour à tour ces deux pointes qui me narguent. Je m’applique, je suce, je mordille, j’enrobe, je contourne. Ma femme aime bien les préliminaires, même si parfois elle est carrément saute-au-paf. C’est selon le contexte et aussi le mâle à consommer. Au début que nous nous connaissions, j’étais en concurrence frontale avec deux autres hommes. Carrément ! Bon, l’un des deux n’était pas un gros danger pour moi, il fut vite éliminé. Mais face à l’autre, ce fut moins évident. Plus tard, Coraline m’avouera que j’ai gagné, car j’étais mieux branché préliminaires que mon adversaire, et que je ne détestais pas mettre en place des mises en scène, des décors.
Depuis, je me le tiens pour dit et j’abonde dans ce sujet en devançant souvent les souhaits de ma coquine de femme, ou devrais-je dire ma belle salope de femme (car elle y va de bon cœur, ces derniers temps), mais comme j’y suis beaucoup pour quelque chose, je ne vais pas me plaindre !
En attendant, je m’occupe de ma chère femme. Bien qu’elle soit parfois un peu blasée des joies du sexe, car elle collectionne quand même les amants, histoire de découvrir d’autres horizons, elle aime être ma femme, parce qu’elle sait qu’avec moi, elle aura à la fois l’amour, la tendresse, la sécurité et la liberté.
Nous sommes arrivés au lieu indiqué, à l’heure dite. Ma femme est un peu nerveuse, elle l’est toujours quand elle ne connaît pas, puis ensuite, ça lui passe, elle est comme un poisson dans l’eau. Découvrant comme moi la grande et belle maison de notre hôte, elle hoche la tête :
Que répondre à ça ?
Je sonne deux fois puis encore deux fois, comme convenu dans le mail ; très vite, la porte s’ouvre sur un homme de petite taille. Je constate tout de suite qu’il y a une certaine nuance entre la photo du profil et l’homme qui est actuellement face à nous. Juste vingt ans à la louche. Sans rien laisser paraître, je demande de mon ton le plus neutre :
Puis, nous tournant le dos, il s’enfonce dans le couloir. Amusé, je me penche vers ma femme pour lui glisser à l’oreille :
Nous arrivons dans une vaste pièce qui fait visiblement office de salon et de salle à manger. Mais ce soir, il y a eu quelques changements, les tables ont été repoussées contre les murs et en plus des fauteuils et du canapé, au sol gisent divers matelas et d’innombrables coussins, le tout savamment réparti. Il faut dire que la soirée « Découverte » est passée au crantage suivant quand Chabada a découvert qui participerait. Il a proposé monter de niveau, et tout le monde a acquiescé, paraît-il. Mais comme toujours, il n’y a pas obligation de consommer.
Au vu de cet aménagement optimisé, je félicite notre hôte :
En attendant que les autres participants arrivent, nous discutons avec le maître de maison. Celui-ci n’arrive pas à détacher son regard des courbes de ma femme, et je le comprends parfaitement. Par contre, Coraline ne me semble pas trop disposée à se laisser tripatouiller par son interlocuteur. Du moins, pas tout de suite. Ayant fait dans le temps un peu de linguistique, je constate que Chabada bute systématiquement sur les consonnes occlusives en début de mot. Curieux tic ou curieux toc, je ne saurais dire. Soudain on sonne à la porte, notre hôte part ouvrir. J’en profite pour demander à ma chérie :
Elle fait la moue :
En parlant de genre comme l’a si bien dit ma chère femme qui refuse de se dévouer pour le bien matériel du couple, je constate que les nouveaux arrivants sont un couple d’âges moyens dont la femme, petite brune à longs cheveux, me tape immédiatement à l’œil. Je n’ai jamais détesté ce genre de femme un peu latine qui se révèle souvent fort chaude au lit, tout au moins, du temps de mes chères études. J’entame vite la conversation avec ce couple, Francine et Alain, comme je l’apprends très vite.
Puis petit à petit, la salle se remplit, d’autres personnes arrivent à qui je dis bonjour par politesse, mais mon centre d’intérêt est nettement cette petite brune, Francine. Ma femme semble avoir aussi déniché un homme qui la tente. Tant mieux pour elle. Elle a même réussi à le ramener vers moi, pour que je lui formule mon avis sur sa conquête du soir. Ce que je fais silencieusement, selon nos codes d’usage. Coraline est rayonnante, et ça décuple son sex-appeal !
Soudain les conversations s’arrêtent, Gourgandine vient de faire son entrée. La nouvelle venue a incontestablement mis le paquet, sa robe est ultra échancrée de partout, et ce qui n’est pas échancré est plutôt transparent. De plus, elle ne marche pas, elle ondule de la tête aux pieds. Ses doigts crispés autour de son verre, ma femme persifle tout bas :
Pour toute réponse, je me contente de sourire. La rivalité entre femmes n’est pas qu’une invention de misogynes en délire. Je ne dis pas non plus que ça arrive à tous les coups, mais je sens que, ce soir, il risque d’y avoir l’union sacrée des femmes contre Gourgandine. Quelque chose me dit aussi que j’ai intérêt à ne pas trop m’approcher de Gourgandine, sinon ma chère femme risque de m’arracher les yeux ou de me castrer, voire les deux en même temps ! Et je pense que ça doit être pareil pour les autres hommes en couple ici présent.
Les conversations reprennent, les affinités se dessinent petit à petit. Pour sa part, ma femme est parvenue à s’isoler un peu avec sa proie du soir, et celle-ci s’intéresse aussi visiblement à elle. Je sens qu’ils vont avoir besoin d’intimité tôt ou tard, car la température ne va pas trop être à la simple initiation !
Quelque temps après, après avoir posé son téléphone portable sur un appui de fenêtre, claquant dans ses mains, Chabada demande la parole :
Au total, nous sommes finalement à dix : trois couples, une femme seule et trois hommes seuls en comptant notre hôte. Il était prévu d’autres hommes seuls, mais comme souvent, ils se sont dégonflés. J’aimerais être une petite souris pour écouter leurs excuses auprès de Chabada. Pour ma part, j’en ai déjà entendu des vertes et des pas mûres ! Y compris celle du « je peux pas venir, mon chat est malade » ! Ou de la panne d’essence inopinée, sans parler du fabuleux « je suis venu, mais j’ai pas osé sonner ».
Visiblement, c’est le signal que certaines personnes attendaient. Ma femme et sa conquête ont visiblement fait leur choix, en s’écartant encore un peu plus. Et je constate que ça fait un gros plaisir à Coraline d’être ainsi son centre d’intérêt. Je l’entends lui demander tout de go :
Au moins, je saurais son prénom. Et vu la finale de celui-ci, c’est un prénom prédestiné ! Ça fait toujours plaisir de voir que sa femme plaît aux autres hommes. Et celui-ci ne le cache absolument pas. Dominique lui adresse un large sourire :
Se cachant derrière son verre dont elle avale une petite gorgée, ma femme minaude :
Je vois que ce Dominique sait enrober les choses, ce que ma femme aime bien. De son côté, elle appelle un chat un chat, mais quand on s’adresse à sa petite personne, elle aime beaucoup les circonvolutions, l’aspect vieille France. Étrange paradoxe des contrastes…
Pour ma part, il me semble bien avoir remarqué que Francine, la petite brune à longs cheveux semblait avoir des vues sur moi, ce qui tombe bien, car elle est à mon goût. De plus, sa robe légère met bien en valeur ses formes menues, mais agréables, et son collier agrémente son décolleté. Je ne connaissais pas ce couple avant aujourd’hui, l’homme me semble être plutôt du genre voyeur, candauliste peut-être, d’après ce que j’ai pu déduire à demi-mot de notre conversation de tout à l’heure. Je me focalise donc vers ce couple, la femme me sourit, son mari reste un peu à l’écart. Comme il faut bien dire quelque chose pour amorcer à nouveau le dialogue, je lance :
Je me retourne à moitié pour constater ses dires :
Elle rougit un peu. Son mari sourit. Elle se reprend :
En parlant d’horizon, un rapide coup d’œil à ma femme montre qu’elle laisse déjà Dominique explorer ses charmes ; celui-ci la pelote sans vergogne, s’attardant sur sa poitrine avenante. Je me demande dans combien de minutes, voire de secondes, il faudra pour que Coraline soit seins nus !
Francine regarde dans la même direction que moi, puis me confie :
Je souris franchement tout en lançant :
Elle ne répond rien, un peu de rouge aux joues, les yeux néanmoins brillants. Son mari regarde la scène avec un intérêt évident, en spectateur passif que j’avais bien cerné. Bien que ce ne soit pas des plus romantique, mais comme je préfère savoir où je mets les pieds, je demande carrément à celui-ci :
Je me tourne vers ma proie, si je puis le dire ainsi. Par acquit de conscience, je demande à ma future partenaire du soir :
Je lui réponds avec un large sourire qui semble la faire chavirer un peu plus :
Son mari s’installe confortablement dans son coin, il est indubitablement voyeur. Il y a quelques années, ça m’aurait gêné d’avoir un spectateur, surtout le mari. Depuis, je sais faire avec. Je dirais même que ça épice encore plus les choses que de faire jouir à fond une femme devant son légitime. Je suis devenu peu à peu pervers…
Délicatement, je pose mes mains sur la taille de ma proie. Je sens sa chaleur à travers le frêle tissu de sa robe. Je sens du bout de mes doigts aussi que Francine frissonne un peu. Tandis que je me penche sur elle, je l’attire à moi. Elle n’oppose pas de résistance. Je mets mon nez dans ses cheveux soyeux, son parfum, son odeur me plaît beaucoup. Je l’attire encore plus à moi, son corps vient se coller au mien. Ses seins viennent s’aplatir contre moi, et je peux apprécier leur douce consistance. De son côté, elle n’ignore rien de la bonne et dure disposition dans laquelle je suis à son égard. C’est vrai que ce petit bout de femme me fait beaucoup d’effet !
Celle-ci me murmure :
Pour toute réponse, elle se presse un peu plus contre moi. Alors pour répondre à sa demande muette, je fais glisser mes mains autour de sa taille afin de mieux la ceinturer et la plaquer contre moi, sans toutefois l’étouffer. Mes doigts câlinent délicatement le creux de son dos. Alors qu’elle lève la tête vers moi, j’en profite pour capturer ses lèvres dans un premier baiser particulièrement doux. Au début un peu passive, Francine se laisse aller, puis elle répond à son tour à la caresse langoureuse de ma langue en elle. Ce qui fait durcir encore plus mon intérêt pour elle !
En petite vicieuse qu’elle ne semblait pourtant pas être, elle se frotte impudiquement sur ma bosse. J’accentue mon baiser pour le rendre plus vorace sans être brute, juste ce qu’il faut de passion, sans tomber dans la sauvagerie. Je n’ai aucun mal à me montrer passionné, car quelque chose me dit que Francine est une bonne partenaire, de celles qu’on souhaite revoir souvent.
Après quelques embrassades poussées, nos lèvres se décollent. Francine est radieuse, son mari aussi. À la dérobée, je jette un coup d’œil vers ma femme. Elle est déjà seins à l’air sur un fauteuil, son amant du soir étant carrément le nez dedans, tandis que ses mains s’égarent plus bas.
Je reviens à Francine, car c’est d’elle que je vais m’occuper au mieux ce soir, et non de ma femme qui est à dix mille lieux de penser en ce moment à moi. Elle est visiblement trop occupée à autre chose. Par contre, Francine est dans mes bras, concrète, offerte. La regardant dans les yeux, je pose à nouveau mes lèvres sur celles de ma partenaire, caressant son dos de haut en bas, m’égarant parfois sur ses fesses. Je crois constater qu’elle semble avoir oublié de mettre une petite culotte, ou bien elle a mis un string dont la ficelle est si fine que mes doigts ne la perçoivent pas. Vu la situation et le contexte de ce soir, je parierais plutôt pour la première hypothèse : l’absence pure et dure qui facilite la consommation, sans parler de l’excitation de savoir qu’il n’y a justement pas de sous-vêtement sous la robe.
Nos baisers se font de plus en plus pressants, mon envie aussi, mais je la refrène, la soirée ne fait que commencer. Néanmoins, ça ne m’empêche pas de peloter à présent les mignonnes fesses qui sous mes mains, et on dirait bien que ça ne déplaît pas du tout à ma partenaire.
Derrière nous, Gourgandine se rappelle au bon souvenir de toutes les personnes présentes dans la grande pièce en gémissant de façon ostensible. Je ne saurais dire si elle fait son cinéma ou si c’est spontané. Néanmoins, ses cris font monter d’un cran la température générale. Dans son coin, tête renversée, béate, ma femme a les jambes largement écartées, avec entre elles la main de son partenaire qui s’active consciencieusement, tout en n’oubliant pas de téter les seins offerts. Par rapport à elle, je suis en retard, mais nous ne faisons pas un concours de vitesse.
Penché sur Francine, mon nez dans ses longs cheveux, je lui murmure :
Lançant ma main vers le bas, je plaque mes doigts sur l’extérieur de sa cuisse, puis je remonte lentement mais sûrement. À un moment, ma main passe sous sa robe ; ma partenaire ne proteste absolument pas, ce qui m’encourage à progresser encore plus haut.
Elle ne répond pas, mais je jurerai qu’elle est en train de rougir. Mais elle se laisse caresser, ce que je fais avec une certaine délectation, d’autant que je suis sous le regard du mari qui n’en perd pas une miette. Voluptueusement, je promène à présent mes deux mains sur les rondeurs appétissantes de ses fesses. Puis, afin d’avoir champs libre, je retrousse le bas de sa robe pour avoir un meilleur accès.
À ma grande surprise, Alain me tend une épingle à linge. Je l’utilise aussitôt pour mieux maintenir le vêtement relevé. Je me demande quelle autre surprise ce mari très complaisant me réservera par la suite…
Comme le bas de la robe est relevé, c’est à présent sur son pubis nu que la bosse de mon pantalon frotte à présent. Je m’offrirais bien le luxe de sortir mon bâton de chair pour venir goûter les joies du contact de nos peaux, mais je préfère temporiser encore un peu.
Mine de rien, Francine ne déteste pas qu’on la complimente. Comme je m’en voudrais de la décevoir, je continue sur ma lancée :
Pour couper court et lui démontrer mes dires, je l’embrasse à nouveau, nos langues se caressent mutuellement, nos lèvres se soudent voluptueusement, tandis que je caresse ardemment son beau petit cul potelé. C’est elle, qui la première, se détache :
Francine me confirme qu’elle n’en est pas à son premier coup d’essai, bien que, à prime vue, son allure pouvait donner à penser le contraire. L’habit ne fait pas toujours le moine… Même si beaucoup de gens pensent le contraire. Un coup d’œil au mari m’indique que, lui aussi, il est satisfait de la tournure des événements. Ce couple fonde décidément un certain espoir en moi. Je vais tâcher de ne pas les décevoir.
Désireux de tout découvrir chez Francine, je m’agenouille pour venir m’occuper du bas de son anatomie. Mes mains caressent ses jambes, ses cuisses, ses fesses, son ventre naissant. J’égare mes lèvres aux mêmes endroits, auxquels j’ajoute un délicat pubis que je couvre de baisers. Plus haut, je sens bien que sa propriétaire aime ce genre d’hommage caressant et bisoutant.
Je m’offre le luxe d’aller parfois m’attarder à l’orée d’une mignonne fente qui ne semble attendre que mes respects. Puis je remonte lentement de son pubis à son ventre puis à son décolleté dont je n’oublie aucun centimètre carré, même sous le collier. Je glisse sur son cou, je mordille délicatement son oreille pour revenir sur sa joue.
Du bout de la pointe de ma langue, je suis l’ourlet de ses lèvres. Durant tout ce temps, elle frissonne et je sais que ce n’est pas de froid. Je lui donne un nouveau baiser tout tendre, tandis que je continue de caresser ses fesses. Comme tout à l’heure, elle y répond avec un certain enthousiasme.
Alors que nos lèvres se détachent et qu’elle pose sa tête sur ma poitrine, je l’entends me dire :
Je l’embrasse à nouveau, voluptueusement, sensuellement, lascivement, tandis que je relève plus haut encore sa robe. Je m’arrête sous ses seins, puis je fixe le tissu avec l’épingle à linge donnée plus tôt par son mari. C’est à présent une bonne partie de son dos que je caresse à présent, sans oublier bien sûr d’aller voir plus bas. Durant ce temps, ma conquête se colle à moi, pressant la bosse qui enfle de plus en plus dans mon pantalon. Elle promène parfois ses doigts dans ma nuque et dans mes cheveux.
Un peu plus tard, après quelques baisers, je me penche à son oreille :
Rosissant, elle se détache de moi, puis un furtif regard vers son mari, très rapidement, elle ôte sa robe qu’elle donne à son mari. Je la dévore du regard. Elle est très appétissante, même si elle a ci et là quelques imperfections, mais ça concoure à son indéniable charme. Visiblement, à son sourire épanoui, elle est contente que je la savoure ainsi du regard avant de la déguster de la tête aux pieds. Je l’attrape et la serre contre moi :
Elle n’a pas le temps de répondre que je l’embrasse avidement, tandis que mes mains caressent fiévreusement son corps nu. Je me laisse aller, je la dévore de mes lèvres, je couvre gloutonnement son corps, son ventre, ses cuisses, son pubis de mille baisers brûlants, je déguste ses seins, ses tétons dressés, je savoure ses fesses à la douce texture, le creux de son dos. Les yeux fermés, Francine se laisse faire, se laisse adorer, laissant échapper ci et là un petit soupir de contentement.
Tout, je veux tout savourer d’elle, sur elle !
N’y tenant plus, mon nez entre ses seins, j’ouvre ma braguette pour laisser échapper aussitôt un sexe rigide, bien à l’étroit dans prison de tissu. Je continue mon exploration des monts de sa poitrine, puis je me relève petit à petit. Un moment donné, ma queue vient cogner dans son entrejambe. Alors que je suis arrivé à l’orée de ses lèvres, elle murmure :
Et nous nous embrassons tandis que ma bite bien gonflée se frotte éhontément sur son sexe et son pubis, peau contre peau. Encore heureux que j’aie un bon contrôle, sinon j’aurais déjà souillé son entrejambe de sperme, tant mon désir est fort.
Quelque chose me dit que ma partenaire ne prendra pas d’initiative, sauf si on le lui demande. Elle a un petit côté passif, voire même est-elle peut-être quelque part une soumise. Il doit y avoir de ça, car elle obéit visiblement au désir de son mari qui aime l’offrit pour qu’elle jouisse devant lui. Néanmoins, on dirait bien que ce genre de situation lui plaît, du moins, ce soir.
Je vérifie ma théorie à son sujet :
Je m’écarte un peu pour qu’elle puisse glisser sa menue main. Même si sa réponse était hésitante, elle obéit. Elle capture ma bite avec douceur et commence à me masturber délicatement. De mon côté, mes mains ne chôment pas, pas plus que mes lèvres.
Je continue à vérifier ma théorie :
Même si j’entends bien dans le son de sa voix qu’elle est étonnée, docile, elle se retourne, me présentant son dos. Je l’enlace, une main sur son ventre, l’autre capturant un sein, je me plaque contre elle, nichant ma queue le long de la fente de son sillon fessier, ma tige bien encadrée par les deux masses douces de ses fesses. Elle murmure :
Nous restons ainsi un bon moment, et j’en profite pour me frotter langoureusement sur elle, tout en pelotant ses seins et câlinant son pubis, et parfois légèrement plus bas. La façon dont elle tend son bassin vers ma bite indique qu’elle apprécie cette fantaisie. Dans tous les cas, il y en a un qui est aussi ravi : son mari. Tant mieux, ça fait trois heureux sur trois, donc cent pour cent de réussite !
Après ce délicieux frotti-frotta, je décide de passer à autre chose de très différent. Je m’écarte d’elle, je lui désigne le canapé où est déjà installé son mari :
Elle s’exécute, assise sur le rebord, cuisses largement ouvertes, m’offrant au passage une belle vue sur une fente agréablement ouverte et luisante. Je sens que je vais me régaler !
Sans complexe, je m’agenouille entre ses jambes et je plonge, tête la première, vers son petit nid odorant. Elle pousse un petit cri quand ma bouche vorace dévore ses lèvres intimes ; cri vite suivi d’un premier soupir. D’autres viennent quand je commence une exploration en bonne et due forme de ses trésors et surtout d’un clitoris que je découvre assez gros, et donc facile à débusquer puis à choyer. Mes coups de langue se révèlent très efficaces, Francine semblant être très sensible. J’accentue ma pression, je goûte sa bonne cyprine dans une débauche de bruits parfois incongrus.
Soudain, elle pose sa main sur ma tête pour mieux presser ma bouche contre sa fente dégoulinante. Elle accompagne du bassin mes coups de langue ; je virevolte, je lèche, je suce, bien décidé à faire céder le barrage qui la coupe de sa jouissance. Je n’attends pas bien longtemps : après un bref raidissement, elle jouit dans un étrange mélange de soupirs et de cris étouffés, comme si elle tentait de se réprimer. Je songe qu’il faudra que je remédie à la chose. En attendant, vicieusement, je continue ma léchouille baveuse pour attiser encore plus sa jouissance. Ses cris deviennent de plus en plus rauques. Puis après un nouveau coup de langue inquisitrice, elle repousse violemment ma tête, s’abîmant dans une jouissance que je devine très forte et puissante !
Pour parfaire les choses, je donne un premier puis un second coup de langue, mais elle me repousse à chaque fois, se mettant à gémir doucement de plaisir.
Tandis qu’elle continue de jouir, alors que je me relève, son mari me regarde d’un air particulièrement étonné. Je l’interroge du regard. Il me répond franchement :
Ma réponse est un peu moqueuse, mais Alain ne semble pas s’en apercevoir, il est fasciné par la jouissance de sa femme. Il la regarde longuement s’agiter dans de multiples soubresauts. Puis elle se calme petit à petit. Je m’accroupis à côté d’elle, la caressant doucement tandis qu’elle revient à elle.
Après un certain temps, elle finit par lâcher :
Je ne peux m’empêcher d’être surpris :
Cette franchise spontanée et candide me montre qu’il y a un certain chemin encore à parcourir, mais que ça sera un chemin plaisant, vu les bonnes dispositions de cette coquine. Je suis quand même étonné de tomber sur un tel couple. Comme quoi que les hasards de la vie sont étranges, mais je ne me plains pas du tout, car je discerne plein d’avantages et de bonnes prospectives. Néanmoins, j’en viendrai presque à plaindre le mari ! Avoir un tel violon en main et ne pas savoir en tirer une symphonie…
Je me relève, présentant ma verge bien raide à l’orée de sa bouche.
Elle regarde alternativement ma bite et son mari. Celui-ci intervient :
Pour un peu, je me gratterai la tête de perplexité, mais je décide de profiter de la situation. Je me demande même s’il n’y a pas une caméra cachée, car une telle femme si sous-exploitée, c’est quand même extraordinaire ! Délicatement, je décalotte mieux encore mon gland, puis je déclare à ma comparse :
Elle se penche vers mon sexe, donne un furtif coup de langue, puis un second. J’en profite pour lui demander :
Elle lape mon sexe d’où continuent de perler des gouttes de semence. Un peu rétive au début, on dirait qu’elle guette à présent les autres suintements pour les faire disparaître aussitôt. Et elle ne chôme pas, car mon sperme s’échappe de plus en plus. Pour ma part, je commence à avoir quelques soucis pour me retenir, j’en viens à serrer les dents. C’est à ce moment précis que Francine me dit :
Elle marque un petit temps d’arrêt, elle interroge son homme du regard, celui-ci acquiesce, ce dont je ne doutais pas. Serrant mon sexe à sa base, j’enfonce le clou :
Pour répondre oui, elle hoche légèrement la tête, ses lèvres serrées autour de ma tige palpitante. Je respire un grand coup, je relâche la pression que j’exerçais depuis tout à l’heure sur la base de mon sexe. À peine ai-je desserré qu’un premier jet fuse dans la bouche close et chaude. Francine accuse le coup, un peu surprise par l’abondance de ce premier jet. Un autre jet arrive ensuite, plus long.
Docile, elle s’exécute. Elle ne laisse passer aucune salve, les accueillant les unes après les autres dans sa bouche, et à chaque fois, je la vois déglutir, preuve que mon sperme chaud et gluant disparaît dans les profondeurs de sa gorge. C’est un plaisir divin de pouvoir se vider ainsi.
Une fois que je me suis vidé de la sorte, je lui ordonne de me sucer encore un peu, afin de me refaire une beauté. Puis j’ôte mon sexe ramolli de ses lèvres. Son regard est un peu étrange. Avec un certain sourire, je lui demande :
Je me tourne vers Alain :
Je préfère épargner le mari, il ne s’agirait pas qu’il se vexe et qu’il me coupe l’accès à sa femme. C’est déjà bien beau qu’il prête sa femme. Même si pour l’instant, ce fut très plan-plan lors des précédents partages. J’imagine très bien le pauvre scénario : une sucette, un coït et bye-bye…
Alain me fait remarquer :
Visiblement très satisfait de mon diagnostic, Alain hoche la tête ; Francine a toujours cette lueur dans les yeux. Je l’aide à se relever pour la prendre dans mes bras, mon corps collé au sien, ses douces courbes contre mes reliefs anguleux. Je lui dis simplement :
Elle pousse un petit cri quand je la soulève dans mes bras. Elle enlace néanmoins mon cou, intriguée de la tournure des événements. Je lui envoie l’un de mes plus beaux sourires :
Mon précieux fardeau dans les bras, je m’assieds dans le canapé, et son corps nu contre le mien, je commence à la peloter, à la caresser et à l’embrasser partout ; elle apprécie vivement ces diverses marques d’intérêt pour sa petite personne, au grand ravissement de son mari qui nous regarde folâtrer impudiquement sous son nez.
Puis un peu plus tard, nous décidons de nous restaurer un peu. Je constate au passage que ma chère femme se déchaîne avec son Dominique. Elle est en train d’essayer depuis tout à l’heure diverses positions, et ses cris de ravissement ne sont pas feints, j’en sais quelque chose. Tant mieux pour elle ! Puis une fois restaurés, nous revenons tous les trois dans notre coin.
Je prends une chaise, et avant de m’asseoir dessus, je pose un préservatif sur ma queue. J’aurais pu le demander à ma partenaire, mais ce sera pour une autre fois, pour un autre jeu. Ceci fait, je m’assieds sur cette chaise, bien calé dessus, mon sexe érigé vers le plafond. Le désignant, je dis :
Elle jette un coup d’œil à son mari, celui-ci lui fait signe de s’exécuter. Curieux couple quand même. Timidement, elle s’approche de moi, elle pose ses mains sur mes épaules, enjambe mes cuisses de part et d’autre de la chaise. J’en profite pour lui capturer les hanches. Mais aussitôt, je ne peux m’empêcher de la caresser et de profiter de ses courbes.
Je saisis ses fesses, les écartant pour que son mari, situé derrière elle, puisse mieux voir. Je continue mon argumentation :
Elle se tourne vers son époux, mes mains sur mes épaules :
Rougissante, elle ne répond rien. Elle ne semble pas avoir l’habitude de prendre les devants, en femme passive qu’elle semble être. Elle sait marivauder, aguicher aussi, mais elle se laisse faire ensuite. Il serait bon qu’elle devienne plus active. Je reconnais qu’une femme soumise, c’est bien de temps à autre, je dirais même que c’est valorisant pour l’orgueil du mâle. Mais tout le temps, c’est lassant.
Ses mains toujours sur mes épaules, elle se décide à fléchir des genoux. Durant sa descente, je maintiens fermement ses fesses entre mes mains, la soutenant partiellement et la guidant vers ce pieu sur lequel elle s’empalera bientôt. Mon gland vient cogner sur une lèvre, je rectifie le tir afin que celui-ci se cale dans sa fente. Ceci fait, je relâche un peu mon soutien, ce qui fait qu’elle s’embroche à présent sur le bout de ma verge qui disparaît un peu en elle. Francine frémit, elle joue du bassin pour trouver son bon angle, puis elle se laisse aller doucement. Je crois deviner qu’elle aimerait dire quelque chose, mais qu’elle n’ose pas.
Elle s’affaisse un peu plus sur ma bite qui est rentrée en elle à mi-course. Elle gémit doucement :
Les yeux fermés, elle continue de s’enfoncer sur ma verge, lentement, chaque centimètre entre petit à petit. Elle ondule du bassin comme pour mieux ressentir cet intrus qui la perfore graduellement. Ma petite oie pas tout à fait blanche semble se libérer peu à peu, ce qui m’arrange beaucoup.
Elle continue sa lente descente, elle est presque arrivée à la base de ma tige. Il va falloir dans peu de temps que j’ôte mes mains de ses fesses si elle veut s’empaler bien au fond. Les yeux toujours fermés, elle murmure :
J’enlève mes mains, elle s’effondre sur moi, ses fesses se moulant sur mes cuisses. Se trémoussant, elle s’exclame :
En petite vicieuse qu’elle devient, elle oscille autour du manche planté en elle, frôlant ses seins contre ma poitrine, les écrasant parfois contre mon torse, mes mains agrippées à mes épaules, ses ongles s’y enfonçant. Elle gémit doucement, elle geint légèrement.
Joignant l’acte à la parole, Francine commence à coulisser le long de mon mandrin. Plusieurs fois, ma queue est à deux doigts de ressortir, puis la coquine l’engloutit à nouveau dans une débauche de soupirs. Je dois la rappeler à l’ordre :
Pour ma part, je dois faire attention, sinon je sens que je pourrais vite céder. Je sens le souffle de cette coquine contre mon visage, sa peau douce contre la mienne, son vagin m’enserrant la tige de bien belle façon. Sans compter le son de sa voix…
Je lui donne quelques baisers bien appuyés dans le cou, puis de ma langue, je remonte vers son oreille que je mordille. Elle continue son mouvement de va-et-vient, tout en soupirant de plus en plus fortement. Je chuchote :
Elle s’agite de plus en plus autour de mon sexe, ses fesses claquent sur mes cuisses. Avec ses yeux mi-clos, sa bouche ouverte, ses joues rougies, son cou tendu, ses cheveux qui voltigent, ses seins qui s’agitent, elle est érotique en diable !
Brutalement, elle se renverse, ses ongles se plantent dans ma peau, elle remue son bassin de façon insensée, comme si elle voulait déraciner cette queue qui la fourrage. Bouche bée, comme abasourdi, son homme la regarde, yeux grands comme des soucoupes. Puis dans de multiples cris et convulsion, elle jouit intensément, agitée, possédée, exaltée…
Affalée dans le canapé où je l’ai déposée ensuite, Francine récupère petit à petit. On voit distinctement sur son visage que la jouissance a été puissante. Son mari est aux anges, sa femme lui offre le spectacle dont il rêve, et elle ne s’est pas ménagée. D’ailleurs, ma queue, mes cuisses et mon dos en savent quelque chose !
Moi, je fais silencieusement le point. Francine a un potentiel d’enfer, qui a été malheureusement mal exploité. Cette femme est un cadeau tombé du ciel, et je compte bien ne pas la laisser filer sous mon nez. Je me plais même à penser que si je n’avais pas Coraline dans ma vie, je me ferais un plaisir de la piquer à son mari, purement et simplement. Mais avec des si, on met Paris en bouteille.
Je constate que Gougandine n’est plus dans la pièce. Elle et son harem ont dû migrer dans une chambre, ailleurs. Quant à ma femme, popotin en l’air, elle est sa période sucette afin de revitaliser son amant du soir, amant qui semble avoir déjà bien donné de sa personne.
Quand ma partenaire semble avoir repris des forces, je l’aide à se lever pour venir la nicher entre mes bras. Je la câline, je dépose ci et là quelques baisers, avant de m’emparer de ses lèvres. Et ceci plusieurs fois. Telle une chatte, elle ronronne presque ! De plus, elle se frotte vicieusement contre ma verge toute dure. Mutine, elle finit par demander :
De la main, je désigne son mari :
La relâchant un peu, je pousse délicatement ma coquine vers le canapé où est assis son légitime. Puis sans cesser de la peloter devant son homme, j’explique ce que je souhaite :
Elle me regarde avec des grands yeux, puis finit par dire :
Alain intervient :
Eh bé, c’est encore pire que je ne le pensais dans la catégorie « potentiel gâché » ! Sa femme, que je continue à peloter sans vergogne, confirme ses dires :
Ce couple m’étonne. J’aurais pourtant cru qu’ils avaient fait au moins un trio dans leur vie, mais ça ne semble pas être le cas. Je suis même étonné qu’aucun de leur partenaire ne leur ait proposé. À moins qu’en effet, ils soient tous des branquignols ! Et je vais même finir par me demander si ces deux-là font l’amour ensemble !
Francine obéit et s’allonge sur le canapé, sa tête à portée de la braguette d’Alain. Tandis que je m’installe derrière elle, après avoir abaissé pantalon et caleçon, ma partenaire finit par dégager un sexe bien dressé et particulièrement en forme. Je caresse les fesses offertes, y donnant quelques baisers ci et là. Telle une écolière qu’elle n’est pourtant plus, Francine me demande :
Cette situation m’étonne un peu, mais ça fait partie des plaisirs curieux de la vie. Timidement, elle lèche le sexe de son homme. De mon côté, j’en profite pour laisser aller ma langue dans son sillon fessier. Elle tressaille de temps à autre. Levant le nez, je lui demande :
Eh bien, comme situation biscornue pour un couple adepte du libertinage, c’est réussi ! Je vais définitivement croire qu’ils n’ont vraiment pas eu de chance avec leurs précédents partenaires ! Je vais passer à leurs yeux pour un expert en la matière ! Bon, je ne suis pas un débutant, l’un de mes plaisirs est de faire durer les choses, et de faire jouir ma partenaire, si possible, à fond.
Je recommence ma série de lècheries, tandis qu’elle commence à suçoter le gland écarlate de son mari. Je taquine sans vergogne son petit trou du cul ; elle doit aimer, car je la sens vibrer sous ma langue. Mes doigts ont trouvé un petit bouton très sensible et ils jouent vicieusement avec celui-ci. Francine ne tarde pas à réagir de façon très positive : elle frissonne de plus belle et sa chatte odorante ruisselle de cyprine. J’en profite pour venir la boire à sa source. Je constate avec satisfaction qu’elle a bon goût, ce qui est encore plus agréable. Je m’abreuve littéralement à cette source débordante, me barbouillant les lèvres, m’en mettant partout, du nez au menton.
Puis sans lâcher son clitoris bien sensible, je m’approche la tête de Francine toujours en train de suçoter le bout du sexe de son homme. Je plonge mes doigts dans ses cheveux et délicatement, je fais tourner son visage vers moi. Étonnée, elle me regarde avec ses grands yeux profonds. Me penchant sur elle, je dis :
Timidement, elle lève ses lèvres vers moi. Quand nous nous touchons, je plaque ma bouche sur la sienne dans un baiser vorace, la barbouillant de son propre fluide intime. Quand nos lèvres se détachent dans un long filet fin de salive, ses yeux brillent étrangement.
Puis, je retourne à mon exploration, plus bas ; ma langue barbouille son sillon d’un mélange de salive et de cyprine. Parfois, je cueille ses fluides du bout de mes doigts, puis je les présente à sa bouche. À chaque fois, docile, elle délaisse le mandrin de son homme pour venir me les sucer avec application, et même avec délectation.
La masturbant toujours, lentement, vicieusement, sans aller trop loin, je me redresse. Je pense qu’il est temps de passer à l’étape suivante. Me penchant sur ma partenaire qui a en bouche la moitié du sexe qu’elle suce depuis quelques minutes, je lui ordonne paisiblement :
Mes paroles la stimulent, elle s’applique avec plus de diligence. De mon côté, je me prépare, je mets un préservatif, ce qui est la moindre de choses, puis je me positionne au mieux, présentant ma queue à l’entrée luisante de sa chatte. Une brève secousse de ma part et je suis déjà en elle, enfoncé jusqu’à mi-garde, sans effort. Je l’entends soupirer d’aise. Avant de continuer, je lui dis :
Puis, après une dernière modification de ma position, j’entre en elle lentement, mais profondément, tandis qu’elle tressaille doucement. Encore quelques secondes, et mon vit sera complètement en elle. Elle gémit de plaisir sous ma lente perforation. Puis j’arrive au bout, bien calé, mes couilles pendouillantes frottant sur sa fesse.
C’est alors que je commence mon long pistonnage, alternant lenteur et à-coups. Et visiblement, elle aime ça. Elle tend son bassin pour que je puisse mieux plonger en elle. Et elle suce avidement la bite qu’elle a en bouche, synchrone avec mes coups de queue dans ses profondeurs.
Je me penche sur elle, plongeant à nouveau mes doigts dans ses longs cheveux :
De profil, la bouche toujours occupée, elle papillote plusieurs fois des paupières. Je continue, toujours en la vouvoyant ; j’aime ce contraste du vous avec cette situation actuelle de baise pure :
Tout en clignant des paupières, elle hoche même de la tête pour me répondre. Je poursuis :
À ces propos, Francine frémit, je la sens vibrer sous mes doigts, indécise, suspendue. Puis après un court instant, après un dernier frisson, elle hoche à nouveau la tête, consentante. Son mari est aux anges devant cette réponse muette. Je finis :
Elle cligne des paupières, tout en accélérant sa sucette d’enfer. Je vois que le mari n’est plus très loin de tout envoyer. J’avais un peu peur qu’il ne puisse pas éjaculer. De mon côté, je continue ma caresse insidieuse entre ses jambes, entre ses lèvres intimes. Je sens que le triple moment n’est plus lointain, quand elle aura la bouche remplie de semence chaude, quand elle jouira à son tour sous mes doigts et sous ma queue fichée en elle, et quand moi, j’éjaculerai à mon tour.
Elle suce avec application son mari, je la baise et la masturbe avec constance. À ses divers mouvements de bassin et à ses bruits de succion appliquée, je constate avec satisfaction qu’elle prend beaucoup de plaisir à cette situation. Ce qui augure bien des choses intéressantes par la suite, et pas qu’aujourd’hui, car en général, une femme, qui trouve son content, aime renouveler l’expérience, surtout si elle peut découvrir d’autres choses à son rythme. Et comme je fais mon possible pour cela, tout en ajoutant des surprises ci et là, je pense que j’ai largement mes chances pour revoir ce couple ensuite.
J’augmente la cadence, à la fois de mon pistonnage en elle et de mes agaceries sur son clitoris. Je sens qu’elle est très réceptive à cette différence de rythme. De son côté, Alain a de plus en plus de mal à résister, ça se voir à la tête qu’il fait. Par amusement, j’agrippe fermement une hanche et je la remue comme si je baratais ma partenaire, ma queue bien enfoncée en elle tel un bâton, ce qui entraîne fatalement un mouvement de sa tête et donc de sa bouche autour du sexe de son mari.
Celui-ci part dans un long râle et éjacule de tout son saoul dans la bouche de sa femme. Celle-ci, obéissant à mon ordre de tout à l’heure, avale consciencieusement tout le foutre qui se déverse. J’attends quelques instants qu’Alain se vide. Francine continue son action de nettoyage, puis elle extirpe la bite molle de ses lèvres. Elle donne un dernier coup de langue dessus, puis se tournant vers moi, elle demande :
Puis pour récompenser Francine de sa docilité, je joue vicieusement des doigts autour de son clitoris, tout en accentuant mon pistonnage. J’en profite pour imprimer à ma queue un vaste mouvement de rotation afin de mieux farfouiller son vagin enfiévré. Elle hoquette sous cette offensive. Elle s’agrippe aux cuisses de son homme pour mieux résister à mes coups de boutoir.
Sous ce double assaut, elle jouit à son tour dans mille petits cris aigus, son menton dans les couilles vides et son nez plaqué contre la bite dégoulinante de son homme. Ce spectacle est très impudique ! Tellement que j’éjacule à mon tour sans retenue, regrettant amèrement d’avoir mis un préservatif ! J’aurais tant voulu voir sa chatte ruisseler ensuite de mon sperme ! Ce sera pour une autre fois, assurément.
Il est flagrant que mon couple a bien aimé ce qu’il vient de subir, et qu’il en redemande encore, sans toutefois le dire clairement. Bien sûr, je vais me faire un plaisir de les contenter, d’autant que je suis largement intéressé par les appas de Francine, et par sa bonne disposition envers moi. Pour l’instant, mari et femme récupèrent, assis dans le canapé, elle toujours nue et lui, pantalon et caleçon sur les mollets.
C’est Alain qui aborde le sujet :
Francine est toute rouge. S’agitant, son mari continue :
Cramoisie, se pivotant vers lui, sa femme intervient :
Puis, sans trop se soucier de l’avis de sa femme, Alain se tourne vers moi :
Là, il m’étonne, le mari. J’en ai déjà entendu des vertes et des pas mûres, et ce que je viens d’entendre dépasse ce que j’ai pu connaître. Sous les yeux effarés de sa femme, Alain argumente :
Je me racle la gorge. La situation dérape un peu, même si la perspective d’user et d’abuser de Francine n’est pas pour me déplaire. Je m’éclaircis la voix :
Francine intervient, encore toute rouge :
Je m’accroupis face au canapé, m’interposant entre le mari et la femme. Calmement, je pose ma main sur un genou de Francine, décidé à mener la conversation :
C’est avec un petit sourire qu’elle acquiesce :
Avant que je ne réponde, son mari me demande :
Alain réfléchit un moment puis se lance :
Je reprends la main, car il y a un risque d’enlisement, je me tourne vers ma partenaire dont je caresse délicatement la cuisse toute douce :
Elle baisse pudiquement les yeux. À présent, ma main caresse délicatement la courbe de sa hanche. Elle rougit, répondant faiblement :
Instinctivement, elle frissonne. Son mari a les yeux qui brillent, avec un grand sourire sur le visage. Visiblement, il approuve. Mes doigts taquinent le dessous de ses seins, j’adore jouer avec leurs masses délicatement molles. Puis je m’amuse à enfoncer le clou. Tendant l’oreille, je demande vicieusement à une Francine toute rouge :
Puis précipitamment, elle ajoute :
Je caresse son mignon sein, jouant avec la courbe pleine et taquinant le téton dressé, suivant du bout des doigts l’aréole bien dessinée. Sans trop perdre le fil malgré mon intérêt marqué pour son anatomie très féminine, je réponds :
Elle redevient cramoisie :
Elle ne répond rien, mais n’en pense pas moins. Bien qu’il soit silencieux, son mari exulte. Je continue de la caresser sans qu’elle s’y oppose. Elle doit aimer, si j’en crois le regard qu’elle me jette parfois. C’est elle qui revient à la charge :
Tandis que je caresse toujours ses seins, elle me regarde étrangement, puis finit par lâcher :
Cette phrase étant ambiguë, surtout vis-à-vis du mari, j’évite de l’approfondir. Je préfère en rester à la première partie, celle où elle dit me faire confiance :
Je lui souris, puis je me relève lentement, offrant à ses lèvres un sexe bien raide. Elle comprend aussitôt, déposant pour commencer un petit baiser tout délicat et mouillé sur mon gland. Et devant l’œil réjoui de son mari, elle entame une fellation particulièrement réussie.
Durant cette soirée, j’aurai l’immense plaisir de lui faire l’amour plusieurs fois, de faire participer son mari et de repousser toujours un peu plus loin les limites de mon élève appliquée. C’est à regret que nous devons nous quitter, après une dernière levrette plutôt animale. De son côté, ma femme est vannée, fatiguée, pleine de cernes, mais visiblement heureuse. Moi, je suis comme elle.
Quelques jours plus tard, en ce début de semaine, alors que nous devisions de tout et de rien dans le salon, comme nous le faisons souvent après le boulot, soudainement, ma femme met sur le tapis notre récente soirée chez Chabada :
À cette réponse évasive, Coraline s’agite :
Ma femme apprécie mal cette petite plaisanterie :
Coraline est songeuse, les yeux vers le plafond. Elle finit par dire :
Ravie de l’idée, elle lance ses bras autour de mon cou :
Et elle m’embrasse. Finalement, c’est facile de contenter sa femme : la décharger de l’intendance et faciliter ses rencontres son nouveau toyboy…
Il est vrai qu’avec Francine, mon élève docile et appliquée, avide de découvertes, j’y gagne largement au change…