Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17710Fiche technique13237 caractères13237
Temps de lecture estimé : 8 mn
30/12/16
Résumé:  Marc découvre une collègue de travail totalement hors norme.
Critères:  f fh collègues fépilée ffontaine hmast cunnilingu fgode fdanus fsodo confession -totalsexe
Auteur : John      
Du très haut niveau

À moitié fiction, à moitié inspirée de faits réels et de personnages réels, saurez-vous distinguer le vrai du faux dans ce récit ?


Je m’appelle Marc. J’ai 36 ans. Je fais partie des gens pour qui l’épanouissement sexuel est primordial. Je suis un satyre, mais un satyre fidèle, marié à une nymphomane que j’aime du fond du cœur.

J’occupe depuis une dizaine d’années un poste transverse dans une société de taille conséquente. Celle-ci dispose de plusieurs sites que je visite régulièrement, répartis sur le Grand Sud-Ouest. Comme dans toute société, la force commerciale y est importante et il y a sur ce métier, pas mal de mouvement de personnel.


Les présentations faites, passons à l’histoire. Elle remonte à quelques années en arrière, époque où j’étais célibataire, je devais avoir… 26-28 ans. À cette époque-là, j’avais la fièvre. Je me branlais tous les jours, plusieurs par jours. Parfois même j’allais me vider dans les toilettes au bureau.


Souvent en déplacement, je vais et je viens d’un site à un autre jusqu’au jour où Rodez est sur ma feuille de route.

J’arrive un matin à la machine à café, j’y trouve deux collègues masculins, Nathalie, une responsable commerciale que je connais bien et une nouvelle, que je ne connaissais pas. Je serre la main aux hommes, fais la bise à Nathalie et m’approche pour en faire de même à la nouvelle qui se rétracte et sans aucune gêne, avec beaucoup d’aplomb me dit :



Je sens tout de même un peu d’angoisse en elle dans le rapport à l’autre. Puis elle reprend :



Je réponds d’un « Marc » hésitant en regardant mes collègues dont le regard complice témoigne qu’ils sont eux aussi, passés par là.


C’est alors pour moi l’occasion de l’observer. Elle doit bien approcher la quarantaine. Elle est très mince, sèche, limite maigre. Peu ou pas de poitrine. Elle est blonde avec une abondante chevelure, frisée contenue dans un chignon. Ses yeux en amande sont couleur vert d’eau, chose assez rare. Elle a une grande bouche dont les lèvres sont bien dessinées et qui, paradoxalement au reste de son corps, sont charnues. Son visage égaye un peu le côté sec de son apparence générale.


Surtout, elle est distinguée. Mais attention, pas n’importe quel « distingué ». Elle n’a pas tellement de grâce, encore moins d’élégance. Je pourrais la qualifier de BCBG stricte. Stricte oui ! C’est le genre à porter des jupes en kilt avec des collants opaques vert bouteille et un chemisier très près du corps dont le col est très serré au cou.

Elle est posée, elle choisit chaque mot qu’elle prononce avec une diction soignée. Tout est maîtrisé, retenu.

Elle ne porte pas d’alliance.


Je suis très attaché aux mains chez les femmes. Elle n’a pas les mains soignées et j’aime ce paradoxe. En fait, j’arrive rapidement à la cerner et j’en arrive à la conclusion que cette femme est sociopathe. Ses ongles sont coupés court sans vernis. Ses doigts sont noueux, les mains sèches, rouges aux articulations. Cette femme est une grande nerveuse, une angoissée. Sa maigreur est à mon sens le reflet de quelqu’un de torturé.


Je revois Margot plusieurs fois à l’occasion de mes déplacements à Rodez. Pas de contacts humains. Le discours s’est rodé, elle met souvent ça sous le compte d’un rhume pas encore terminé ou justement terminé sous-entendant qu’elle ne veut pas en avoir un autre. Elle passe son temps à se laver les mains avec une solution hydroalcoolique. Maniaque ou TOC… un mystère. Cette femme est hors normes. Elle est loin d’être moche, elle a un look bizarre, d’étranges pratiques. Elle ne ressemble en rien à ce que j’ai déjà connu et c’est ça qui me plaît, qui m’excite.


C’est un soir de juin que tout a basculé. J’étais à Rodez pour deux jours et comme à mon habitude je descendais à l’hôtel Mercure, non loin de la Cathédrale. Un collègue nous avait invités chez lui à une grillade apéritive. Mal à l’aise en société, Margot restait toujours non loin de moi. Je dois avoir à ses yeux un côté rassurant. Avant de rentrer à mon hôtel, je propose à Margot de la déposer chez elle.

À ma grande surprise, elle accepte.

À ma grande surprise, devant chez elle, elle me propose un verre chez elle.

À ma grande surprise, une fois assis, elle nous serre un whisky sec et me dit avec une froideur déconcertant :



Je suis désarmé. Tellement, que j’en reste bouche bée. C’est à ce moment-là que j’aurais dû faire ou dire quelque chose, mais son austérité est déconcertante. Puis elle continue, posément, articulant parfaitement chaque mot :



C’est à ce moment-là que j’ai compris que son côté « hors normes » me dépassait. Elle maîtrise tout. Le langage, la tenue toujours impeccable, les maladies, les rapports humains. J’ai affaire à une dominatrice.

C’est à ce moment-là que la curiosité l’a emporté. Où veut-elle m’amener ? Je ne vous cacherai pas que j’ai eu peur. Mais l’excitation été là. Comme un gamin, j’ai murmuré un « oui ».



C’est à ce moment-là que j’aurais dû partir, mais je répondis timidement :



Sa domination était extrêmement excitante. J’avais vraiment envie de me la faire et j’allais me la faire ! Je devais juste me laisser faire et obéir.



Le mot « laver » résonnait en elle comme « désinfecter ». Dans ses mots, j’avais l’impression d’être le sale qui allait la souiller.


Après elle, je passai sous la douche. Je retournai dans le salon, une simple serviette nouée autour de la taille. Le temps de ma douche, elle avait disposé un fauteuil face au canapé. Sur la table basse, quelque chose était dissimulé sous une serviette.


Elle était nue sur le canapé. Son corps été sec, mais harmonieux et sa peau, bronzée et luisante renvoyaient la lumière des bougies qu’elle avait allumée. À mon arrivée, elle se leva et m’invita à m’allonger sur le canapé.


Rassuré, je baissais petit à petit ma garde en m’exécutant, mais je restais vigilant face à cette femme non « conventionnelle ».


Sans dire un mot, elle positionna un pied à côté de ma tête et l’autre sur le bord de la table basse ouvrant sa fente qu’elle appuya sur ma bouche. Alors que ma langue allait et venait autour de son clito, de ses lèvres et parfois à l’entrée de son vagin, elle commença à remuer son bassin d’avant en arrière tout en émettant quelques gémissements. Elle accéléra ses mouvements de bassin, m’offrant son fruit dans son entier. Elle se mit à mouiller rapidement et bientôt, abondamment, souillant ma bouche, mon menton. Je recevais même par moments quelques gouttes sur mes lèvres. Je n’avais jamais connu ça. Je me suis demandé si c’était de l’urine, mais ça n’en avait pas l’odeur. Margot était-elle femme fontaine ? Rapidement elle écarta ses fesses et m’offrit sa rondelle.


Après avoir joui plusieurs fois, elle se releva puis retira dessous la serviette un gel lubrifiant. La serviette autour de ma taille s’était dénouée et ma queue était fièrement dressée. Elle vint se mettre à quatre pattes, le visage au-dessus ma queue la goba littéralement jusqu’à la base. Alors qu’elle la sortait doucement de sa bouche, elle se mit à saliver abondamment. Une fois libérée, elle cracha plusieurs fois dessus. Margot la BCBG stricte avait tout le talent d’une hardeuse.


Elle fit couler du gel dans sa main et entreprit de m’enduire la queue, déjà trempée de sa salive. Margot, tout en astiquant lentement ma queue pour bien la lubrifier, la regardait avec admiration. À moins que toutes les femmes avec qui j’ai eu des rapports soient des menteuses, on a souvent complimenté mes proportions avantageuses. Margot ne disait rien, je voyais ses compliments dans son regard.


Elle me demanda de m’asseoir. Puis elle vint à califourchon au-dessus de moi, me tournant le dos. D’une main, elle saisit ma queue et de l’autre, écarta une fesse. J’eus à peine le temps de m’en rendre compte que son œillet se resserrait autour de mon gland. Elle se recula, posant ses deux mains de part et d’autre de ma tête sur le dossier du canapé, puis, tenant sur ses pieds, entreprit de lents va-et-vient, sur ma hampe. J’étais estomaqué.


En quelques minutes, je sentis les os de ses fesses dans le creux de mes cuisses. À chaque va-et-vient elle s’empalait jusqu’à la garde. Elle gémissait. Haletait.


Au bout d’un moment de ce délicieux traitement tant pour elle que pour moi, elle se redressa tout en restant empalée et souleva la serviette sur la table basse, dévoilant une batterie de jouets dont certains avaient une taille, un diamètre, dont j’ignorais l’existence.


Elle s’empara d’un gode translucide constitué de plusieurs boules les unes à la suite des autres et l’enfonça dans sa chatte. Je ne faisais rien et je compris que je n’étais pour Margot, qu’une source de plaisir « naturelle ». Elle n’avait pas d’échanges avec moi. En résumé, elle se servait de moi. Ça m’excitait de n’être qu’une bite.


Au bout d’un certain temps elle se retira et me demanda d’aller me laver. Lorsque je revins, elle était en train de se caresser sur le canapé. Elle me laissa la place et se saisit d’un gode aux proportions jusque-là inconnues pour moi. Je savais que cela existait pour avoir vu des vidéos sur internet, mais là, cela se déroulait sous mes yeux. Elle fixa le gode sur la table basse, grâce à sa ventouse. Il avait la taille d’une grande bite et avait à peu près le diamètre d’une canette de coca. Elle le lubrifia à l’aide du gel et se positionna debout face à moi qui étais assis sur le canapé. Elle se courba et sans me lâcher du regard, s’enfonça délicatement le gode à l’endroit même où j’étais quelques minutes auparavant. Son visage, rouge, congestionné, exprimait à la fois douleur et plaisir et laissait apercevoir quelques veines palpitantes sur les tempes.


Une fois à l’aise, elle entreprit de très lents va-et-vient qui lui arrachèrent des cris mêlés de douleur et de plaisirs. À ce plaisir, elle ajouta une main sur son clito alors que je me masturbais face à elle en la regardant. Elle se branlait vite avec beaucoup de vulgarité dans le geste. Je vis rapidement du liquide s’écouler de sa chatte et bientôt, je reçus sur mes cuisses ses petites éjaculations. De mon côté, excité par le spectacle, je m’envoyais sur le ventre de grandes plâtrées de sperme.




¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤




Notre liaison dura quelques mois, quatre ou cinq, à peine. Margot était aussi bizarre au pieu que dans la vie et je compris bien vite pourquoi elle était célibataire, sa sexualité telle qu’elle venait de la pratiquer avec moi faisait fuir beaucoup d’hommes. Elle était égoïste, et ne donnait du plaisir qu’aux hommes suffisamment ouverts pour se satisfaire de la voir en prendre.


Je n’ai jamais pris son vagin. À chaque fois que nous nous voyions, elle avait une « lubie » et il fallait s’y soumettre. Je me souviens d’un week-end passé à Rodez où elle n’a fait que me sucer et réclamer que je lui arrose le visage. Une autre fois, je devais lui insérer des objets ou la fouetter. Je ne lui ai jamais fait l’amour et de là dire que je la baisais, c’est beaucoup dire. Elle prenait du plaisir devant moi, un plaisir décalé et je prenais du plaisir à ce décalage.


J’ai pris mes distances, car passé la surprise, cette Margot avait un fond assez glauque et même si je cherchais une femme à la sexualité libérée, c’était trop pour moi. Du très haut niveau.

Nous avons peu à peu cessé de nous voir.

Elle a quitté l’entreprise quelques mois après.



John