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Temps de lecture estimé : 10 mn
01/01/17
Résumé:  Marion vit ses débuts dans sa nouvelle vie Bordelaise. Elle prend ses repères, rencontre l'univers qui sera le sien dans les trois années d'études qui l'attendent.
Critères:  f fh couple voir fmast facial fellation -prememois
Auteur : John      

Série : Les aventures de Marion

Chapitre 01
Une nouvelle vie pour Marion


Marion est une jeune étudiante infirmière. Issue d’une bonne famille nombreuse, de tradition catholique, elle a quitté récemment sa famille pour aller mener ses études à Bordeaux. Elle est logée gracieusement chez les Dubourg, des amis de ses parents qu’elle connaît depuis longtemps.





Comme tous les jeudis depuis le début de son stage en gériatrie, Marion était de repos. Elle profitait en général de ce jour de repos pour laver son linge et aider à la maison chez les Dubourg.


Laurence et François travaillaient à l’étude et les enfants étaient à l’école.

Une fois prête, travailleuse, elle appliqua les consignes laissées par Laurence sur le tableau magnétique de la cuisine.


La première tâche consistait à étendre du linge, ce qu’elle fît dans la buanderie. C’est en triant les affaires qu’elle tomba sur des vêtements tout à fait singuliers, appartenant de toute évidence à Laurence Dubourg. C’est avec curiosité et intérêt qu’elle étendit ce qui s’apparentait à une guêpière et son ensemble porte-jarretelles ainsi que quelques strings très jolis dont l’un deux était fendu devant.


Marion n’avait certes jamais vu sa mère nue ou en sous-vêtements, mais elle n’était pas inculte en la matière pour autant. Elle savait de quoi il s’agissait, mais n’en avait jamais touché, vu d’aussi près, encore moins essayés. Elle chassa cette idée de sa tête puis acheva d’étendre le linge. L’espace d’une seconde elle trouva pratique la fente sur le string pour faire pipi. Puis elle se mit à rire toute seule, empourprée de gêne en réalisant à quoi devait servir cette fente. Heureusement que personne n’avait pu lire cette pensée aussi naïve. « Quand même… les Dubourg », se disait-elle.


La deuxième tâche, nettoyer les salles de bains. Celle de Laurence et François d’abord, la plus grande. C’est en frottant le pommeau de la douche que l’image du string fendu lui revint à l’esprit.

Gênée, presque embarrassée elle imagina le sexe de François trouver son chemin dans la fente du string puis dans le sexe de Laurence. Elle n’aurait jamais imaginé un jour avoir une telle pensée à leur égard. Les amis de ses parents étaient-ils vraiment comme ça ? Ses parents en avaient-ils connaissance ? Marion n’oserait jamais aborder un tel sujet avec eux.


Dans la deuxième salle de bain, celle des enfants, c’est en récurant les toilettes à moitié à genoux, à moitié à quatre pattes, que les images lui revenaient. Elle ne parvenait décidément pas à ne plus y penser. Cette chaleur inhabituelle pour elle qui émanait de son entrecuisse ne tarissait pas. Dans son esprit le sexe de François faisait des allées et venues dans le sexe de Laurence. L’image de son sexe souillé des sécrétions de sa femme provoquait à Marion des spasmes dans le bas-ventre.

Marion pour terminer son ménage se contraignait de serrer les cuisses, de se contorsionner.


Avant d’entamer la troisième et dernière chose à faire, Marion devait se soulager. Ce plaisir solitaire, elle le pratiquait assez peu grâce (ou à cause) à une éducation puritaine. Âgée de dix-huit ans et quelques mois, Marion pouvait compter cette pratique, sur les doigts d’une main. La première fois c’était il y a un an, dans la baignoire lorsqu’elle habitait encore chez ses parents près de Châtellerault.

Elle avait par hasard, sans le vouloir, effleuré son clitoris avec le tuyau du pommeau de douche. Ressentant un frisson et un sentiment de bien-être, elle répéta ce geste quatre ou cinq fois, ce qui eut pour but d’iriser son corps et de lui faire vivre son premier orgasme clitoridien. Consciente qu’il s’agissait là d’un plaisir de la chair, elle ne répéta pas de sitôt ce dernier.


Marion ne pouvait faire autrement que de soulager cette excitation qui salissait sa culotte. Elle alla donc dans la petite dépendance rénovée mise à disposition par les Dubourg pour la loger, située à quelques mètres à peine de la maison familiale. Allongée sur son lit, elle déboutonna le bouton de son jean, fit descendre la fermeture éclair et écarta le tissu de sa culotte comme pour reproduire la fente du string de madame Dubourg. Effleurer son clitoris lui procurait un plaisir certain, mais elle avait envie de sentir ses doigts glisser dans son sexe. Alors que son index et son majeur se frayaient très facilement un chemin jusqu’aux dernières phalanges, Marion ferma les yeux et imagina ce sexe la posséder, la remplir comme celui de François farcissait le sexe de Laurence dans ses pensées dans la salle de bain.


Instinctivement, Marion positionna son pouce en position afin que celui-ci presse son clitoris à chaque va-et-vient de ses doigts. L’effet fut immédiat et au bout de deux effleurements, Marion jouit, animée par des soubresauts, des secousses qui la firent frissonner, la crispa dans un état extatique. Extatique, mais toujours aussi coupable. Marion ne prit pas le temps de profiter de ce plaisir qu’elle estima très vite coupable. Marion venait une fois de plus de violer sa propre chasteté. Elle changea de culotte, se lava les mains, ne pouvant s’empêcher de trouver ses pensées, ce geste, blâmable.


La troisième et dernière tâche consistait à appeler des gens. Il s’agissait d’un couple d’amis de monsieur et madame Dubourg, les Baron.

Marion, logée chez Laurence et François devait quand même gagner un peu d’argent afin de participer à l’effort consenti par ses parents de la laisser partir faire ses études, et aux Dubourg, de la loger. À son âge, le baby-sitting s’imposait.

Madame Dubourg avait immédiatement pensé à Marion lorsque Myriam Baron lui avait dit qu’elle cherchait quelqu’un pour garder sa fille lors de leurs sorties. Ils en avaient notamment une la semaine suivante et Laurence avait recommandé Marion.



Madame Baron avait une voix et une manière de parler qui ne concordait pas avec le cadre des Dubourg. Rien qu’à l’entendre, Marion se demandait comment ils avaient pu se connaître. Elle était explosive de dynamisme.



Marion était au rendez-vous, à l’heure. Ne connaissant pas trop Bordeaux, elle n’avait pas particulièrement prêté attention à son apparence, jouant la carte de la ponctualité à celle de la coquetterie.


Alors qu’elle attendait devant l’entrée du parc Bordelais, Marion aperçut une femme traverser l’avenue du Général-de-Gaulle en lui souriant et en la regardant. Il devait s’agir de madame Baron, ce dont elle eut la confirmation quelques secondes plus tard.



C’est dans une échoppe typiquement bordelaise que Marion rentra. Marion avait grandi dans une famille qui n’accordait que peu d’importance aux biens matériels. La décoration d’intérieur était donc la dernière des préoccupations de cette famille de sept enfants. Lorsque la porte de cette échoppe s’ouvrit, ce fut pour laisser place à un cours de rattrapage en décoration.


Open space, métal, rouge, peaux de bêtes tendues, noir, sculptures en métal soudé, brasero central, canapé ouvragé en cuir rouge et métal façon usine. Un véritable musée moderne se dissimulait derrière cette porte. Mais pas que. Un tout petit couloir d’à peine quelques mètres qui ouvre sur cet open space et de la droite, surgit un homme juste vêtu d’une serviette blanche nouée autour de la taille.


Brun, rasé de près, sa musculature fine, sèche se dessinait au moindre de ses mouvements. La lecture visuelle de ses abdominaux amenait obligatoirement au nœud de la serviette, sous sa hanche.

Telle une planche d’anatomie, Marion pouvait voir sans difficulté les grands droits plonger sous la serviette indiquant la direction de…



Sa joue chaude et humide vint alors se coller contre celle de Marion pour lui faire la bise y laissant une odeur d’homme, d’après-rasage que Marion ne put que humer lorsque monsieur Baron s’arracha à elle.


Madame Baron embrassa alors sensuellement son mari sur la bouche en lui demandant s’il avait bien couru sans attendre de réponse de sa part, se tournant vers Marion l’invitant à la suivre jusqu’à la chambre d’Inès.


Marion resta quelques heures à découvrir une famille Baron, recomposée. D’une première union, Myriam avait eu un fils, Kevin qui allait, selon son bon vouloir, entre chez son père et chez eux.

De huit ans son aîné, elle avait eu Inès, trois ans et demi, avec Alex, trente-cinq ans sculpteur/décorateur. Myriam quant à elle tenait une galerie d’art dans le centre-ville de Bordeaux. « Près de l’Utopia », avait-elle dit, pour aider une Marion encore imprécise sur la ville.

Le courant passait bien entre Inès et Marion. Rendez-vous était pris pour jeudi prochain.



À 19 h, Marion était là, elle assista au repas d’Inès puis au coucher vers 20 h. Monsieur et madame Baron s’en furent vers 20 h 30, après que monsieur Baron ait chargé des choses dans leur Mini Countryman noire et rouge garée devant. Au programme, Marion avait prévu de réviser ses cours de biologie si Inès bien sûr, ne se réveillait pas.


Madame Baron avait très claire, au moindre problème, elle devait appeler l’un ou l’autre sur son portable.

Assurée qu’Inès dormait bien, piquée par sa curiosité Marion fît un tour de la maison regarda les sculptures, la bibliothèque, feuilleta quelques beaux ouvrages d’art et d’architecture puis se mit au travail. Au bout d’une heure et demie de révision, elle décida de regarder à nouveau cette bibliothèque. Quelques livres de poche en haut, n’allaient pas avec le reste. Perchée sur un bel escabeau en fer forgé, Marion réussit à atteindre une série d’une dizaine de livres signés Gérard de Villiers. Elle s’en saisit d’un, laissa filer du pouce quelques pages et lut quelques lignes :


« Son cerveau protestait, mais son ventre fondait autour du long sexe raide qui l’embrochait. Une brusque bouffée de chaleur lui fit tourner la tête et ses jambes devinrent en coton. Si elle n’avait pas été retenue par le membre fiché dans son ventre, elle serait tombée. Avdal l’avait prise par les hanches et bougeait lentement en elle, le regard fou, murmurant des obscénités. Progressivement, ses mouvements prirent de l’ampleur, au fur et à mesure que les muqueuses de sa partenaire s’assouplissaient. Sensation inouïe, comme tremper les doigts dans un pot de miel.

Sans s’en rendre compte, Gülizer se mit à haleter. La combinaison de cette masse dure et chaude qui l’emplissait et du frottement contre son ventre l’amenait lentement mais sûrement au plaisir. Les yeux clos, accrochée à Avdal comme une noyée, elle jetait son bassin en avant à petits coups de plus en plus rapprochés. Ce qui acheva d’exciter le jeune homme. Avec un rugissement, il se répandit en elle, la soulevant presque du sol, au moment où elle était balayée par un orgasme violent, un vrai cyclone de plaisir qui la laissa pantelante, molle comme une poupée de chiffons, le sang tapant dans son ventre. »


Marion décida de le prendre pour le lire sur le canapé rouge, réchauffée par le brasero qui trônait au milieu du salon.

Le bruit de la porte délicatement fermée extirpa Marion d’un sommeil empli d’images sulfureuses rendant son sexe humide. Elle entrouvrit les yeux et vit monsieur et madame Baron vêtus de tenues bien différentes.


Sous un manteau de fourrure blanc, madame Baron portait une robe moulante noire ajourée sans rien dessous, avec des bottines. Les jours de sa robe laissaient entrevoir une poitrine menue, ferme.

Monsieur Baron quant à lui était vêtu d’un smoking. Lorsqu’elle vit dans le petit couloir madame Baron se mettre accroupie devant son mari, Marion n’osa rien interrompre. Visiblement alcoolisés, ils ne se rendaient pas compte que Marion était réveillée. Elle put donc voir madame Baron sortir un sexe épais et surtout long, de la fermeture éclair de son mari et le mettre en bouche. Marion avait le cœur qui battait. Son éducation lui disait de fermer les yeux, son excitation, de les laisser ouverts. Madame Baron avait enlevé son lourd manteau et sa jupe remontait sur ses fesses. De temps en temps, elle ne tenait que d’une main le sexe de son homme, l’autre s’affairait entre ses cuisses. Au bout de cinq minutes environ, madame Baron exhorta monsieur de jouir dans sa bouche, elle tirait vulgairement la langue et provoquait son mari en lui demandant de cracher son jus. Sa main ne cessait d’agiter ce sexe long et tendu. Monsieur Baron finit par déposer de grosses gouttes de sperme sur la langue de son épouse qui au grand écœurement de Marion avala le tout d’une gorgée puis se redressa. Elle avança vers le salon bruyamment pour réveiller Marion qui se redressa alors que monsieur Baron achevait le parcours de sa fermeture éclair.


En voyant le roman de Gérard de Villiers, madame Baron dit à Marion :



Marion était troublée, perdue. Elle venait d’assister à une scène particulièrement vulgaire, mais excitante, puis d’être surprise ce livre en main.



Son haleine exhalait une odeur mêlée d’alcool et de salé.


Monsieur Baron raccompagna Marion qui n’était jamais montée dans une voiture aussi classieuse. Les battements de son cœur n’avaient pas ralenti depuis la fellation dans l’entrée. Marion était trempée. Le moindre mouvement frottait son jean à sa culotte, sa culotte à son clitoris.


Elle dut attendre d’être sous la douche pour, en quelques mouvements circulaires de ses doigts, s’arracher un orgasme puissant, orgasmes auxquels elle devenait de plus en plus accro et de moins en moins coupable.