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n° 17716Fiche technique26382 caractères26382
Temps de lecture estimé : 17 mn
02/01/17
Résumé:  Une soirée qui s'annonçait quelconque ou comment les bonnes surprises peuvent arriver !
Critères:  hh fhh hbi hotel voir fmast intermast fellation cunnilingu anulingus préservati hdanus hsodo -couple+h
Auteur : Arobase64      Envoi mini-message
Un soir, un couple

Vendredi soir, après une semaine bien remplie et passablement intense au bureau, je suis chez moi en train de surfer sur le web, un verre de bon vin à mes côtés.


Les pages défilent, je passe en revue les infos de la journée, rien de bien palpitant. Un brin d’ennui commence à poindre et, au fil des clics, je me retrouve à me connecter sur un site de rencontre échangiste sur lequel j’ai une fiche, histoire de voir ce qui s’y passe. Je me dis qu’au pire des cas il y aura peut-être des exhibs sympas à mater ?


Pas grand-chose de nouveau sur mon profil ; sur ce genre de site, les fiches de mec seul, même bi, ne sont pas forcément les plus visitées… Même si je suis abonné sur ce site depuis quelques années (au départ en couple avec mon ex-femme et depuis mon divorce en tant qu’homme seul), je ne suis pas très assidu. Mais comme il y a eu quelques visites sur ma fiche, je vais voir qui cela a été.


Parmi les annonces qui s’affichent, il y en a une d’un couple dans ma tranche d’âge (35-45 ans), habitant dans la même région et dont l’homme est bi également. Intéressant… J’ouvre leur fiche et découvre qu’il s’agit d’un couple illégitime qui cherche d’autres couples ou… des hommes bi ! De mieux en mieux… Les photos ne sont pas rebutantes du tout, Madame à l’air d’être une petite brune avec un assez joli corps et Monsieur est mince et un peu plus jeune qu’elle. En fait, Madame a mon âge (42 ans) et Monsieur 36 ans et, cerise sur la gâteau, ils sont « online » et ont activé leur marqueur « libre ce soir » !


Tout à coup mon intérêt s’éveille sérieusement et je leur envoie un message sur le chat du site. Rapidement nous commençons à échanger et c’est « madame » qui dit être au clavier. S’ils sont passés sur ma fiche, c’est parce que justement ils ont envie de rencontrer un homme bi proche de chez eux, mais ils avaient vu que je n’étais pas connecté. Ils me demandent s’il n’est pas trop tard pour envisager quelque chose ce soir (il est 21 h 30) et je leur dis que non, pas du tout, et que je suis libre comme l’air.


Alors « madame » précise leur recherche ; elle veut qu’un homme bi les rejoigne et regarder son amant et cet homme s’occuper l’un de l’autre, mais sans qu’elle ne participe. Je lui réponds que cela ne me pose aucun problème, mais elle insiste qu’elle ne participera pas, rien, pas de contact ; elle veut simplement être voyeuse. Suis-je toujours partant ?


En fait, pour une raison que j’ignore, la perspective d’être avec un mec avec sa compagne dans un coin de la pièce en train de nous observer, peut-être nous diriger, voire en plus en train de se masturber devant le spectacle, m’excite tout à coup. Je n’avais jamais pensé à ce genre de situation, mais elle me semble d’une perversité très stimulante et je ne peux m’empêcher du fantasmer sur leur proposition.


Je réponds donc que, oui, j’ai parfaitement compris et que l’idée me plaît. C’est alors qu’elle me passe un numéro de portable et je les appelle dans la foulée.


C’est bien elle qui me répond et elle me dit qu’ils peuvent me retrouver dans un hôtel d’une ville qui est à trois quarts d’heure de chez moi. Je lui réponds que je pourrai y être d’ici une heure sans soucis et nous convenons de nous contacter par SMS lorsque je serai sur le parking pour qu’elle m’indique le numéro de chambre.


Et voilà, alors que la soirée s’annonçait sans plans particuliers, me voilà qui file sous la douche pour me préparer à aller retrouver un couple dans un hôtel ! Je fais vite, parfais le rasage de mon sexe, prends une bouteille de champagne du frigidaire (on ne sait jamais) et me mets en route sans plus tarder.


Durant tout le trajet, je me sens dans un état de semi-excitation mêlant impatience et appréhension devant l’inconnu qui m’attend. Ou plutôt les deux inconnus qui m’attendent devrais-je dire… Comme convenu, une fois arrivé je reçois le numéro de la chambre et je frappe à la porte.


C’est Madame qui m’ouvre ; elle est tout aussi mignonne que sur les photos et porte une jupe noire courte sur un chemisier blanc peu boutonné, laissant entrevoir un soutien-gorge blanc qui met bien en valeur sa poitrine.



Nous nous faisons la bise et je salue son ami qui est debout au fond de la chambre.



En guise de verres, il n’y a que deux gobelets en plastique, mais qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse ! Je débouche entre-temps la bouteille.

Alors que nous allons pour trinquer, Madame prend la parole :



Nous finissons par trinquer et buvons notre champagne dans un silence un peu pesant ; personne ne sait bien comment continuer ni ne semble vouloir prendre l’initiative. Et c’est Isabelle qui rompt rapidement ce silence.



Stéphane me sourit en me regardant droit dans les yeux. Il est plutôt pas mal, assez mince dans son jean avec la chemise par-dessus.



Elle est assise dans l’unique fauteuil de la chambre, moi je suis assis sur le bord du lit en face d’elle et Stéphane est debout, appuyé sur le montant de la porte de la salle de bain.



Alors je me lève et vais poser mon verre sur la petite table. J’enlève mes chaussures et m’approche de Stéphane qui n’a pas bougé, mais s’est également débarrassé de son verre. Il semble attendre que je fasse le premier pas et donc je m’avance vers lui.


Une fois en face de lui, mes mains hésitent un peu, mais après un bref coup d’œil sur Isa qui nous observe avec les yeux brillants et avides, je me lance et passe mes mains sur la chemise de Stéphane, au niveau de ses pectoraux tout en m’approchant encore un peu plus de lui.


Nos gestes sont un peu gauches, lui posant ses mains sur mes épaules pour m’attirer contre lui. Mais rapidement nos dernières inhibitions tombent presque simultanément et nous commençons à nous caresser de manière plus appuyée. Nous nous enlaçons afin de coller nos corps et, lorsqu’il appuie un peu avec son bassin je peux sentir son sexe bandé se frotter au mien qui l’est tout autant.


Enhardi, je glisse mes mains dans son dos, sous sa chemise, pour le caresser et sentir sa peau sous mes doigts, ce qui m’électrise. Lui fait de même et nous prenons notre temps pour faire monter la pression. Sa peau est douce et je me surprends à prendre un réel plaisir à ces attouchements.


Tout comme Stéphane du reste, car il n’est pas en reste et commence à déboutonner ma chemise en se penchant sur mon épaule gauche qu’il embrasse doucement alors que ses mains fouillent sous ma chemise pour m’agacer mes tétons.


C’est là que je jette un coup d’œil vers la droite, vers Isa, et vois qu’elle ne perd pas une miette du spectacle. Elle a le bout de sa langue qui dépasse entre ses lèvres et je peux apercevoir sa main droite qui s’est glissée sous son chemisier ; elle est en train de se masser doucement un sein tout en nous matant. Cette vue m’excite beaucoup et je retourne toute mon attention sur Stéphane même si garde présente l’image d’Isabelle nous observant.


Avec Stéphane, nos attouchements se font de plus en plus fébriles, comme si nos envies respectives étaient en train de croître au même rythme. Moi aussi je me suis mis à défaire les boutons de sa chemise pour caresser son torse plutôt musclé, je dois avouer. Mes mains glissent de son ventre vers son dos et je me colle davantage à lui tout en l’embrassant dans le cou avant de descendre avec ma langue vers son téton que je me mets à mordiller pour le faire se dresser.


Il a l’air d’apprécier ce que je fais, car je le sens appuyer son bassin contre le mien et nos queues raides se frottent à travers de nos pantalons. Dans son dos, mes mains descendent maintenant sur ses fesses pour les masser, d’abord à travers son jean et ensuite, en glissant mes mains entre sa peau et son jean. De son côté il fait de même et je sens ses mains malaxer mon cul avec vigueur.



Je me laisse faire avec délice et jette un regard vers Isabelle. Celle-ci a écarté les cuisses et je vois qu’elle se caresse langoureusement, une main sur son sexe et l’autre sur un de ses seins. Son regard est flou et elle a l’air de vraiment apprécier ce qu’elle voit. Cette situation m’excite terriblement et je me cambre un peu pour bien montrer que j’apprécie les mains de Stéphane sur mon cul, sous le regard de sa compagne.


Je sens qu’il est très excité lui aussi, car tout à coup il se met à fiévreusement défaire les boutons de ma braguette et attrape mon sexe bandé dans sa main pour me branler furieusement, ce qui ne fait que tendre encore plus mon chibre et me fait haleter d’excitation. Je sens son sexe à lui également grossir sous mes caresses appuyées et décide de le libérer également en ouvrant aussi son pantalon. Comme il porte un slip, il m’est un peu plus difficile d’extraire sa queue, mais je finis par y arriver et je l’empoigne également afin de le branler à mon tour. Nous nous astiquons en cadence comme de vraies chiennes en chaleur et je sens son sexe gonfler sous ma main.



Isabelle s’astique la moule tout en nous intimant cet ordre que nous ne mettons pas beaucoup de temps à exécuter, tellement nous sommes en rut, Stéphane et moi.


Chacun empoigne la queue de l’autre pour la branler ; je sens son sexe gonfler sous mes allées et venues et le mien fait de même. Nous bandons fort tous les deux et l’atmosphère est électrique. Tout juste si je ne dois pas faire quelques efforts pour ne pas juter dans sa main tellement je suis excité. De son côté je sens aussi quelques gouttes perler de son gland et venir ainsi lubrifier ma main et j’accentue mes mouvements.

C’est alors que tout à coup je sens une présence dans mon dos ; c’est Isabelle qui vient se coller contre moi ! Je sens sa poitrine se frotter alors que des deux mains elle vient attraper nos queues comme pour prendre le contrôle des opérations ! ?



À ces mots, elle me mordille l’oreille tout en se mettant à caresser mes fesses des deux mains, tout cela devant Stéphane qui s’est reculé un peu pour nous observer tout en continuant de se masturber doucement.


Isabelle insiste maintenant sur la raie de mon cul avec une main et enserre mes couilles de l’autre. Je sens son majeur glisser autour de ma pastille et se faire insistant. Pour lui faire comprendre que j’apprécie, je me cambre légèrement comme pour lui offrir mon cul. Elle ne se trompe pas sur le message, car je sens qu’elle pousse sur ma rondelle et commence à se frayer un chemin dans mon fondement. La garce a dû se lubrifier (avec quoi ? sa mouille je suppose), car elle entre sans forcer et commence immédiatement à me baiser l’anus. Son autre main enserre plus fort mes couilles et le mélange de plaisir/douleur me rend raide de désir, dans tous les sens du terme…



D’ailleurs son index a rejoint son majeur et elle me force maintenant à me pencher en avant pendant qu’elle me doigte.


Ceci amène mon visage à hauteur du sexe de Stéphane et je n’hésite pas à ouvrir ma bouche pour l’accueillir. Une queue raide entre mes lèvres et deux doigts qui me labourent le cul, je dois faire de gros efforts pour ne pas jouir sur-le-champ. Je me concentre donc sur le sexe qui palpite au fond de ma gorge et me contente de subir les assauts d’Isa.



La voix d’Isa est un peu rauque et trahit sa propre excitation tout autant que ces mains qui ne cessent de me martyriser les boules et le cul. À force de me triturer les couilles, je bande un peu moins et ne crains plus de jouir trop vite. Nous avons trouvé une sorte de rythme de croisière et je m’applique à sucer Stéphane au mieux ; son jus qui perle au bout de son gland est un peu amer et je suis très excité à l’idée de le faire jouir avec ma bouche, même si je me doute (et espère secrètement) que ce n’est pas ainsi qu’Isa veut le voir jouir… et en effet :



Tout en me « libérant » d’entre ses mains, Isabelle me fait aussi me relever, ce qui fait que je ne puis que laisser s’échapper le chibre maintenant vraiment impressionnant de Stéphane. Celui-ci me sourit lorsque nos regards se croisent.



Isabelle s’est assise sur le lit, le dos contre le mur et les jambes bien écartées. Elle a le sexe rasé et je peux le voir luire de sa mouille.


Je la rejoins et, à quatre pattes je plonge mon visage vers sa moule afin de faire ce qu’elle m’a demandé. Ma langue glisse sur sa fente et je peux constater qu’en effet, elle est très excitée et elle coule abondamment sur ma langue. Je pénètre le plus possible en elle pour bien la goûter, j’adore pratiquer cela. Son clitoris est bien dressé et je me plais à l’effleurer, mordiller, suçoter, ce qui la fait gémir de plaisir. Elle agrippe ma tête de ses deux mains et me demande de continuer, que c’est bon et que je vais la faire jouir. Sa peau est très douce, elle coule littéralement de son jus et de ma salive et je suis aux anges.


Alors que je suis tout à mon affaire avec Isa, je sens des mains écarter mes fesses ; ce doit être Stéphane qui nous rejoint. Je me cambre un peu et je ne tarde pas à sentir sa langue sur ma raie ! Alors que je suce une chatte, je me fais faire ma première feuille de rose par un mec ! Et c’est délicieux… Je me laisse aller en levant mon cul pour faciliter la tâche à Stéphane et il ne se prive pas. M’ayant bien lubrifié la pastille, il m’écarte bien les fesses et je sens sa langue darder dans mon trou et j’ai du mal à ne pas bouger pour l’inciter à aller au plus profond possible.


Tant et si bien que j’en délaisse même le sexe d’Isabelle qui me rappelle à l’ordre en plaquant de nouveau mon visage contre sa chatte.



Tout en me laissant bouffer le cul par Stéphane, ma bouche se referme sur le clitoris d’Isabelle et je sens qu’elle repart vers le septième ciel sous ma langue ; elle m’inonde littéralement la gueule de son jus. Tout en me concentrant, je ne puis m’empêcher de profiter pleinement du traitement de Stéphane qui m’a maintenant bien lubrifié la pastille. Je bande fort et suis au comble de l’excitation moi aussi ; je sens ma queue tendue contre le drap ; rarement j’ai autant bandé sans même m’être touché…



Isabelle est en effet proche de la jouissance, car son bassin ne cesse de bouger et je peine un peu à maintenir ma bouche en contact avec son sexe. Afin de ne pas perdre le contrôle des choses, je décide alors de temporiser un peu et lèche maintenant l’intérieur de ses cuisses et le pourtour de son pubis. Ceci me permet aussi de bien me positionner pour accueillir Stéphane que je perçois en train de se préparer pour m’enculer.


En effet, en passant une main sous moi, je peux sentir sa queue munie d’un préservatif, bien raide alors que lui se rapproche de mon cul.



Tout en continuant à la lécher, je me cambre à fond et, des deux mains, offre mon anus impudique et dégoulinant lui aussi d’excitation.


Et c’est à cet instant que je sens le gland de Stéphane pointer sur mon trou de balle. Il pousse fermement et je sens sa bite lubrifiée forcer inexorablement contre ma rondelle qui s’écarte pour l’accueillir. Mon Dieu, que c’est bon de se sentir envahi ainsi. Je pousse pour l’aider et bientôt il est tout entier en moi. Je sens sa queue palpiter dans mon rectum et je ne peux pas m’empêcher de pousser afin qu’il me possède encore plus, qu’il aille au plus loin en moi, qu’il me baise comme sa pute !



Stéphane halète dans mon dos. Puis il agrippe mon bassin et commence alors à bouger en moi, doucement il recule et avance dans mon cul et se met à me ramoner avec de grands coups de queue relativement lents. Ceci me rend fou d’excitation dans un mélange de plaisir et de frustration. Frustration qu’il ne me pourfende pas violemment et pur plaisir de me sentir envahi par son chibre bandé que me laboure inexorablement.


Je délaisse alors quelque peu la chatte d’Isabelle et m’offre tout entier aux coups de boutoir de Stéphane. Pendant de longues minutes il me baise ainsi, moi impudique la croupe en l’air pour bien le sentir et Isabelle, fascinée par le spectacle. Elle se redresse un peu et se met à me branler en rythme, ce qui me rend fou de plaisir et je commence à haleter de plus en plus fort.



À ces mots, Stéphane se met à accélérer ses mouvements et à me baiser de plus en plus fort, sa queue me pilonne à présent et je ressens chaque coup de trique au plus profond de moi. Je suis comme en transe et le fait qu’Isabelle soit de nouveau en train de nous observer tout en se branlant ne fait qu’augmenter notre excitation à tous les trois.


Un dernier mouvement de Stéphane m’empale au plus profond et je le sens s’immobiliser au fond de moi, comme pour reprendre un peu ses esprits.



Stéphane se retire de moi et me fait me mettre sur le dos en me positionnant le cul près du bord du lit. Il prend alors mes chevilles et me les fait mettre sur ses épaules. Sans douceur il replace son gland en face de mon trou et m’envahit d’un seul coup jusqu’à la garde ; je sens ses couilles buter contre mes fesses tellement il s’est enfoncé. Mon Dieu, que c’est bon ! Comme son sexe est assez long, dans cette position j’ai l’impression qu’il va encore plus loin que tout à l’heure et je suis aux anges.


Tout en agrippant mes chevilles, il reprend son manège et me baise maintenant avec de longs mouvements profonds et, lorsqu’il se retire il laisse à chaque fois ressortir son gland presque entièrement avant de rentrer de nouveau d’une traite. Je me fais labourer en profondeur et chaque passage de son gland m’électrise.


Isabelle vient s’asseoir sur mon visage et m’intime l’ordre de la faire jouir avec ma langue. D’une main elle attrape ma queue dressée est se met à la branler.


Cela agit sur Stéphane comme un coup de fouet et, sans quitter sa compagne des yeux, il se met maintenant à me baiser sans aucune retenue, chacun de ses coups m’électrise et, dans cette position, je peux même sentir sa queue buter contre ma prostate ce qui me fait perdre toute retenue ; je suis proche de la jouissance totale.


Je m’applique pour faire jouir également Isabelle qui coule littéralement sur moi et, alors qu’elle dépasse le cap dans un dernier râle de pur plaisir, Stéphane donne un grand coup de queue qui me fait voir les étoiles et je me mets à juter sur la main d’Isabelle et mon ventre. De longues saccades de sperme s’écoulent de ma bite comme rarement j’ai connu et je peux sentir en même temps la queue de Stéphane se gonfler dans un dernier spasme avant de se vider, lui aussi, dans mon cul. Je regrette presque la présence du préservatif, tellement j’aimerais sentir son jus s’épandre en moi, mais c’est vrai que c’est mieux ainsi…


Stéphane enlève celui-ci de sa queue et répand son jus sur mon pubis rasé en le mêlant à mon foutre. Encore en train de récupérer de mes émotions, j’étale le tout en me massant le sexe avec nos foutres, le temps de récupérer mes esprits.



Isabelle enlace son amant et l’embrasse longuement devant moi, puis, se désengageant, poursuit :



Un silence s’installe alors que nous reprenons doucement nos esprits, moi toujours sur le dos et Isabelle et Stéphane enlacés sur le lit.


Mes mains continuent de parcourir mon ventre couvert de sperme et je ne peux m’empêcher de me masser afin de sentir la consistance du résultat de nos plaisirs entre mes doigts. Bientôt je suis en train de passer sur un téton ce qui m’arrache un léger soupir de contentement.


Alors Isabelle s’écarte de son amant et, se mettant à quatre pattes s’approche de moi. Elle pointe sa langue pour la passer sur mon téton afin de recueillir le foutre qui me macule, puis elle se détourne afin d’aller embrasser son chéri sur la bouche. Leur baiser est profond et je ressens une pointe de jalousie devant leur passion évidente tout en étant ravi de partager ce moment de douceur post-coïtale.

Lorsqu’Isabelle se désengage, elle se tourne vers moi en souriant :



Sur ce elle vient vers moi pour de nouveau recueillir nos jus sur mon ventre et venir m’embrasser à pleine bouche à mon tour. Nos langues s’emmêlent et, si ce n’était pour le goût amer et l’excitation un peu perverse que cela me procure, notre baiser pourrait presque être tendre.


Je ne peux m’empêcher de penser que, décidément, cette soirée qui s’annonçait si quelconque a vraiment pris une tournure formidable. Après le baiser d’Isabelle, j’attrape de nouveau la bouteille de champagne et nous buvons directement au goulot à tour de rôle pour clore la soirée.


Stéphane me dit qu’ils ne vont pas tarder à rentrer, car, malgré que nous soyons vendredi, il doit travailler le lendemain matin tôt, ce que je prends comme étant le signal pour moi de m’éclipser.


Avant de nous quitter, nous convenons que nous aurons certainement l’occasion de nous revoir tous les trois, « si je le veux bien », comme dit Isabelle. Ce à quoi ma réponse a été un net « avec plaisir » sans aucune hésitation.