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n° 17719Fiche technique11873 caractères11873
Temps de lecture estimé : 7 mn
03/01/17
Résumé:  Un couple se livre à un fantasme dont une femme mûre est l'objet.
Critères:  ffh fplusag cadeau inconnu amour fmast intermast facial fellation nopéné -couple+f
Auteur : John      
Elle tourna les talons et s'en alla

Lui


Comme tous les hommes, j’aime que l’on s’occupe de ma queue.

Ma femme et moi aimons les orgasmes provoqués après une lente masturbation ou juste avec des frottements ou des vibrations. Dans nos jeux de masturbation, ma femme aime maîtriser. Elle s’arrête, recommence jusqu’à sentir que je ne tiens plus. Souvent, elle ajoute à sa langue et ses mains, une autre langue et d’autres mains, qu’elle extrait de nos fantasmes.




Elle


J’aimerais tant offrir cette queue. Comme on propose un mâle ou un étalon, mais à une seule condition : que je décide de tout. Reste à trouver la femme !


J’apprends sur différents forums coquins que certains sites d’annonces classiques dissimulent en fait des annonces coquines. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. Las, je poste en toute simplicité et naïveté, une annonce sur un site très connu où les annonces peuvent être coquines.


Ainsi j’annonce vouloir réaliser avec mon mari, un fantasme commun, « offrir mon mari et plus précisément sa bite dans un fantasme masturbatoire ». J’exige des critères de propreté, d’éducation, de standing, bref une armada de filtres, si bien que mon annonce tombe dans l’oubli et je finis moi-même par oublier cette annonce.


Sept mois plus tard, je reçois une réponse. La réponse est bien formulée, bien écrite, sans fautes d’orthographe. Elle est signée Mireille.


Curieuse, je réponds, puis elle à son tour et ainsi de suite. C’est finalement un véritable échange de mails qui petit à petit se met en place et ce, pendant environ deux mois entre Mireille et moi. Il est pour moi hors de question de me tromper, impensable d’avoir à gérer le jour J, une erreur de casting. Je préfère prendre le temps de bien connaître cette Mireille plutôt que de me tromper et de rendre un moment supposé être excitant, catastrophique.


Mireille a tout juste soixante ans et en paraît facilement dix de moins au vu des photos qu’elle parvient à m’envoyer, timide et hésitante au début de sa démarche. C’est une récente grand-mère, dont le mari l’a « abandonnée » depuis plusieurs années. Dynamique, toujours très souriante, cadre commerciale sur la région Bordelaise, elle bluffe quiconque fait sa connaissance, par son énergie, son côté solaire.

Mais Mireille n’est sexuellement pas comblée. Son mari, Bernard, ne la considère pas assez et l’honore seulement quelques fois dans l’année.


Elle m’explique s’être confiée sur ce problème à une amie très proche qui lui a révélé sa « double vie ». Elle vit la même situation qu’elle, mais a franchi le pas et a des « coups d’un soir » qu’elle trouve sur des annonces. Elle a ainsi plusieurs amants par semaine, certains qu’elle revoit, d’autres non.

Mireille n’ose pas franchir le pas, hésite, flirte sur ce site internet, ferme, y revient. Elle met beaucoup de temps à se décider, souffrant d’une culpabilité importante envers son mari.




Mireille


Pour une « première fois », je recherche quelque chose de rassurant. J’ai vu l’annonce quelques jours après sa publication entre des annonces de jeunes hommes aux dimensions effrayantes, aux corps sculpturaux. J’ai vu dans l’annonce que ce couple était amoureux et l’amour qu’il y avait entre eux est pour moi sécurisant. Je songe à tromper Bernard, mais je ne veux pas me mettre en danger. Lors de nos échanges par mails elle m’explique sa démarche. Elle se veut de couple, elle en sera la pilote et exigera de ma part, beaucoup de docilité. Il n’y aura pas pénétration.


Ces mots crus auxquels je ne suis pas habituée me décontenancent un peu, peut-être une histoire de génération ! Je finis par reconnaître que la proposition est intéressante. Ils sont beaux tous les deux, amoureux, je ne me sens pas en insécurité quand je me projette dans cette expérience. Celle-ci correspond à l’entrée rêvée dans le monde de l’infidélité, quelque chose de doux, de respectueux et commandé par une femme qui aime son mari.


Juste avant de conclure un rendez-vous, elle me demande une photo de mes mains. Rendez-vous est pris !




Elle


Pour que cela se fasse dans le plus strict anonymat, je loue une petite location saisonnière non loin de chez nous. Un petit gîte douillet de deux pièces.


Inutile de vous dire que j’ai caché toute cette correspondance à mon mari et qu’il ne sait absolument rien. Deux jours avant le rendez-vous qui a lieu le samedi suivant en fin d’après-midi, je vais installer deux ou trois choses dans ce gîte.


Dans la largeur du petit salon, j’y tends un épais rideau noir qui coupe ainsi la pièce en deux. À un endroit du rideau, mi-hauteur d’homme, j’y découpe un trou et plus loin, deux trous plus gros avec une chaise d’un côté du rideau et deux chaises de l’autre.


Seulement une heure avant le rendez-vous, j’explique à mon mari où nous allons, sans lui dire ce que j’ai concocté. Il nous arrive tellement souvent de nous faire des petits week-ends en amoureux, sans forcément aller très loin, il ne se doute de rien.


Je mets pour l’occasion, ma résille complète, des talons hauts et simplement un manteau.

Nous arrivons quinze minutes avant le rendez-vous. Je demande à mon mari de se mettre debout, de sortir sa bite et d’attendre derrière le rideau.


Mireille frappe, puis entre. « Souriante », c’est le mot qui me vient sur le moment. Elle a des talons noirs, des collants (ou des bas) noirs à motifs, une jupe noire, un chemisier noir légèrement transparent qui laisse deviner un soutient gorge rouge. Elle est maquillée avec soin, un rouge à lèvre très rouge dessine ses lèvres fines. Ses cheveux sont courts avec un look un peu ébouriffé, dans des tons brun-rouge.


Elle sourit. Elle souriait déjà sur les photos. Elle est légèrement tendue, comme moi, mais je prends mon rôle en positionnant une chaise devant le trou.




Mireille


Lorsqu’elle me demande de m’asseoir. Mon cœur bat la chamade. Je peux encore repartir, mais quelque chose d’excitant me retient en ces lieux. Elle m’invite à m’asseoir devant un rideau noir découpé la taille d’une canette.


Elle s’assoit sur une chaise au bout du rideau, contre le mur de manière à pouvoir voir des deux côtés de celui-ci.



Un sexe demi-mou sortit du trou découpé dans le rideau.


D’une main, je me saisis de ce sexe qui très rapidement grossit dans ma main. Mon cœur s’accélère. Je resserre légèrement la main sur le gland puis commence, très lentement à faire des va-et-vient.


Un coup d’œil rapide vers elle et je m’aperçois qu’elle lui sourit. Il vient de comprendre que ce n’est pas sa femme à la manœuvre.




Lui


Ma femme écarte les pans de son manteau pour glisser un doigt sur sa fente, un doigt qui l’électrise directement. Je me laisse aller en toute confiance. Ma chérie a organisé cela et je la connais assez bien pour savoir qu’il ne s’agit pas de n’importe qui qui astique mon membre. Mais d’ailleurs, qui est-ce ? Comment a-t-elle organisé cela ?


Mon inconnue, de son autre main, soupèse mes couilles, les fait rouler entre ses doigts, les écrase, les malaxe. Je râle de plaisir à l’épreuve de ce traitement en observant ma femme sucer ses doigts pour ensuite, exciter son clito. Elle ne m’a pas vidé les couilles depuis deux ou trois jours. Je comprends mieux. Lorsque je vais balancer, je ne ferai pas semblant.




Mireille


Je m’applique à la tâche. Comme le vélo, je n’ai pas oublié comment utiliser le sexe d’un homme. Je prends beaucoup de plaisir. La moiteur de mon entrecuisse en témoigne. Un sexe d’une telle vigueur entre mes mains et ces bourses, si pleines ! J’en soupèse le contenu. Elles gonflent et je sais que je vais les vider.




Elle



Je passe quant à moi derrière le rideau, du côté de mon mari pour le voir prendre du plaisir et le partager avec lui.





Lui


Je vois les mains d’une femme arriver sur mon manche. Elles n’ont pas vingt ans, ces mains. Ni trente, ni quarante ou cinquante. J’aime les mains soignées, distinguées, manucurées, entretenues, je suis servi.

Celle qui s’occupe de ma queue a de longs doigts fins qui se terminent par de longs ongles naturels vernis de rouge.


Elle a beaucoup de bagues, même plusieurs à certains doigts. Elle m’astique à deux mains et sa main gauche a une alliance. Ça m’excite. Son mari est-il au courant ? Est-il là ? Candauliste ? Mais que m’a réservé ma femme ? Mon inconnue a surtout des bracelets. J’adore entendre le cliquetis des bracelets quand on s’occupe de ma queue.




Elle


Je me mets à genoux à côté de lui, et avec lui, je regarde ces mains astiquer son manche. Je regarde cette belle bite comme on regarde un gâteau appétissant à travers une vitrine.



Je prends alors un tube de lubrifiant et j’en dépose une grosse noisette sur le gland.

Mireille masse, astique, branle, si bien que la queue de mon homme est souillée de gel.


N’y tenant plus, je mêle mes mains à celles de Mireille et je demande à mon mari de regarder ces quatre mains sur sa colonne.


De temps en temps, je prends la queue pour moi pour l’avaler.

Il râle de plus en plus fort, son gland était gros, rouge/bleu il palpite dans nos mains. Je tiens sa queue bien à la verticale.


Soudain le sperme jaillit et Mireille accompagne les giclées avec des onomatopées « ouhhhh » « ahhhh », « ohhhh », « ouiiiiiii ».




Mireille


Quel bonheur de voir ce sperme jaillir. Je n’ai pas compté, mais ça n’arrête pas. Des jets en saccades à n’en plus finir. Je viens de faire jouir ce beau membre vigoureux. J’en ai sur le visage, les cheveux, mon chemisier.


Quelle chance a-t-elle eu de porter ce membre turgescent à ses lèvres !

Mais chaque chose en son temps. Ça y est. C’est fait. J’ai envie de le crier au monde entier.

J’ai soixante ans et je viens de me faire asperger du sperme d’un jeune homme. Merci.




Elle


Je passe derrière le rideau. Mireille est en train de s’essuyer. Elle sourit.

Je remets mon manteau et la raccompagne dehors.

Je la remercie et alors que je la remercie, elle me coupe la parole en prenant mes mains dans les siennes et les yeux pleins de vie, me dit :



Elle tourna les talons et s’en alla.