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n° 17721Fiche technique19658 caractères19658
Temps de lecture estimé : 12 mn
03/01/17
Résumé:  Adeline et Arthur découvrent l'adultère ensemble.
Critères:  fh extracon collègues hotel intermast fellation cunnilingu 69 -occasion
Auteur : Leon            Envoi mini-message
Notre premiere fois

Adeline est une jolie femme d’un mètre soixante-huit, l’allure sculptée par quelques années de sport, elle a les cheveux châtain clair ou parfois blonds et de grands yeux noisette. Lorsque je l’ai connue, elle était mariée, elle avait l’air heureuse.

Moi, c’est Arthur, sportif également, je mesure un mètre soixante-quinze. Pour le coup, j’étais en pleine turbulence amoureuse.


Nous nous connaissons depuis quelques années, nous nous sommes rencontrés au sein d’une nouvelle entreprise, nous étions les pionniers, l’ambiance y était très décontractée et il n’était pas rare que nos discussions partent en live sur des sujets grivois. Adeline n’était jamais la dernière à relancer le débat et à utiliser un vocabulaire qui pouvait choquer, ce qui ne manquait pas de la faire rire aux éclats, constatant les têtes dépitées de certains de nos jeunes collègues.

Une ou deux fois, au détour de délires verbaux, j’ai bien essayé de lui tendre une perche, sans succès.


Après quelques mois de collaboration, elle a demandé à me voir. J’occupais le poste de responsable de la plate-forme où nous travaillions :



Elle avait la voix tremblante, les yeux brillants, et moi le cœur serré.




~000000~




Ça faisait trois ans qu’elle était partie et malheureusement je n’avais plus trop de nouvelles, juste un échange sur FB où elle m’annonçait la présence d’un amant dans sa vie devenue très compliquée avec son mari. Bref, son couple vivait des heures difficiles. Je lui avouai que moi également j’avais une maîtresse, la faute à la rencontre fortuite avec une de mes ex en mal de sensations.


Il y a dix jours, alors que j’étais dans le train pour rentrer chez moi, une vibration de mon portable me sort de ma lecture, c’est un message d’Adeline.



Une conversation s’engage



Après quelques minutes, notre conversation prend un tournant inattendu.



J’allai répondre lorsqu’elle a enchaîné :



Cette phrase résonne en moi, un peu sonné par cet aveu, je reprends mes esprits et tente de saisir ma chance ; je me lance :



Le jeu est lancé, la complicité d’autre fois retrouvée, elle s’amuse à me pousser dans mes retranchements, alors je continue :



Nous reparlons du passé, des occasions manquées qu’elle n’avait pas remarquées. Le contrôleur du train annonce l’arrivée en gare, elle est aussi sur le point d’arriver chez elle, nous convenons d’en reparler le lendemain.


Les jours qui suivent, nous continuons à nous chercher, à nous titiller. La pression monte et l’envie de nous voir aussi, nous avons passé un cap dans nos discussions.

Les coups de fil ont remplacé la messagerie instantanée, à chaque appel, la tension monte d’un cran, on tente de s’exciter mutuellement.


Un compte Gmail créé, des photos échangées, toujours plus osées.

L’excitation est à son comble. Il faut que nous passions à l’étape du dessus, il faut que nous nous voyions. D’abord trouver une date. La chance est avec nous, elle est convoquée à une formation sur Lille, le mois prochain. Nickel, le plan se précise, la chambre d’hôtel est réservée. De mon côté, je me suis libéré également. Bref, plus qu’une chose à faire, attendre.


Le jour « J », nous nous sommes donné rendez-vous à midi. Nous avions convenu de nous rejoindre dans sa chambre d‘hôtel vers 12 h 30, le temps de passer prendre sushi et maki chez le Japonais du coin et me voici devant sa porte.


Mon cœur bat la chamade, je me pose une multitude de questions, comment est-ce que ça va se passer ? Comment allons-nous réagir quand nous serons face à face ? Qui va prendre la responsabilité d’ouvrir les hostilités ? Autant de questions qui se bousculent dans ma tête et qui dans quelques minutes trouveront des réponses.


Je toque et j’entends que ça s’active derrière la porte, elle doit être dans le même état que moi, du stress, de l’adrénaline, le plaisir de nous revoir, la porte s’ouvre et c’est avec un grand sourire qu’elle m’accueille.



Nous allons nous faire la bise, mais une force irrésistible fait pivoter nos têtes, nos regards se croisent et c’est là que nous comprenons, le doux contact de ses lèvres contre les miennes plusieurs petits bisous furtifs puis de plus en plus appuyés.

Sa langue force délicatement l’entrée de ma bouche et c’est ainsi que le premier contact électrisant intervient, un frisson me parcourt le corps, je suis comme un adolescent lors de son premier rendez-vous, toutes mes interrogations se sont envolées.


Je profite de l’instant présent, je me libère de l’étreinte pour me débarrasser de mon encombrant paquet, j’enlève mon blouson et m’approche à nouveau d’elle, nos lèvres se joignent, nos langues se trouvent c’est un véritable ballet qui se joue, elles se caressent, elles se résistent, elles se câlinent, le temps paraît comme suspendu.


Des gargouillis se font entendre, l’heure pour nous de nous sustenter. À regret, nos corps se séparent et nous entamons avec gourmandise les mets déposés sur une petite table dans le coin de la chambre, nos sushis, makis et autres sashimis, sont engloutis. Le silence marque la trêve, nos mains se frôlent de temps à autre, nos jambes se caressent, la tension est extrême, le dernier morceau de poisson est avalé. Elle brise le silence avec son air mutin :



Elle approche ses lèvres des miennes et nos langues recommencent leur danse. Assis sur le lit, nos mains partent à la découverte de nos corps. Je stoppe le baiser et la fais se lever, je veux la regarder, la détailler.

Elle est habillée d’une petite jupe, des collants noirs (du moins c’est ce que je crois à cet instant), un petit top aux couleurs multiples assez flashy qui met en valeur sa poitrine. Mes mains caressent ses fesses à travers la jupe, elle se cambre doucement, elle picore mes lèvres, nos bouches se dévorent, nos langues comprennent le message, elles se battent, nos corps se tendent, mes mains continuent leurs caresses, passent sous sa jupe et découvrent que ce ne sont pas des collants, mais des Dim-up.



Le disant, mes mains continuent leur exploration. Elles remontent le long de ses fesses, un morceau de tissu, de la dentelle ou quelque chose qui y ressemble, mes mains découvrent ce que je devine être un boxer, dernier rempart de son intimité. Nos yeux ne se quittent plus, ils explorent, scrutent les moindres réactions de l’autre.


Ses mains caressent mes cheveux, elles s’attaquent aux premiers boutons de ma chemise, celle-ci ne résiste pas bien longtemps et se retrouve sur le sol. Je ne reste pas inactif, je retrousse sa jupe et découvre ses jambes gainées de nylon opaque et un magnifique boxer quasiment transparent, laissant deviner un sexe glabre comme j’avais déjà pu le voir lors d’échanges de photos. Quelques bisous sur l’objet de mes convoitises lui arrachent les premiers soupirs, elle me pousse et me voici couché sur le dos.



Un large sourire lui barre le visage. Je ne suis pas pressé, mais il faut avouer qu’avoir un tel cadeau juste sous mon nez, c’est plutôt tentant !


Elle se pose sur moi à califourchon, ses fesses en appui sur mon sexe toujours emprisonné dans mon jean. Elle ne peut ignorer à présent l’état d’excitation dans lequel je suis. Elle me regarde dans les yeux, elle ondule du bassin et me lance la voix chantante :



Mon jean la gêne, elle recule légèrement le bassin et entreprend d’enlever ce dernier, comme la chemise, ils jonchent le sol. Quelques secondes plus tard, elle se repositionne, visiblement satisfaite des sensations que lui procurent nos sexes qui se caressent, seulement séparés par nos boxers.


Je la déshabille à mon tour, son top et son soutien assorti à son boxer rejoignent le tas de vêtements au pied du lit, le spectacle est splendide, sa poitrine fière, ses tétons dressés comme deux petites framboises me narguent.

Je ne peux réprimer un « mmmmhh » d’admiration, ce qui la fait sourire. La fermeture éclair de sa jupe trouvée, je la fais passer par-dessus sa tête, pas forcement prévu pour, mais diablement efficace. Elle s’allonge sur moi, sa poitrine s’écrase sur mon torse, nos lèvres se caressent à nouveau et nos langues en profitent.


Nos mains reprennent leur chemin pour découvrir nos corps respectifs. Souhaitant reprendre le contrôle, je la fais basculer sur le dos et c’est moi qui suis au-dessus à présent, prenant garde de ne pas l’écraser, en appui sur les coudes, mes lèvres quittent la douceur des siennes, pour qu’elles aussi puissent découvrir ses merveilles.


Petit passage sur le lobe de son oreille droite, son souffle s’accélère, ses ongles se plantent une première fois dans mon dos, l’exploration continue, le cou, quelques coups de langue pour caresser cette partie sensible. Sa peau frémit, ce qui me pousse à continuer, ses tétons érigés sont ma prochaine cible, je les mordille, les lape, les suce, toute la palette pour obtenir les premiers gémissements est de sortie.



Ses doigts fichés dans mes cheveux, elle gère le rythme. Après quelques minutes, il est temps pour moi de continuer cette divine découverte, mélange de bisous, de caresses tantôt avec les lèvres, tantôt avec la langue lui arrachent de temps à autre de nouveaux frissons.



À travers la dentelle, j’aperçois une petite fée tatouée sur sa hanche, j’y dépose de petits bisous, mes lèvres continuent leur chemin, elle frémit à nouveau, mes mains viennent apporter leur aide, elles glissent le dernier rempart vers le bas découvrant son intimité.


Je dépose de petits bisous sur son pubis, sur son abricot, ma langue tente une percée sur ses lèvres intimes, d’un mouvement du bassin elle accentue la pression, je déguste son fruit ouvert et juteux à souhait laissant transparaître son état d’excitation. Ma langue parcourt sa fente légèrement luisante, déguste son nectar ; elle pénètre cette grotte chaude et soyeuse, elle remonte pour débusquer son petit bouton, celui-ci ne tarde pas à s’ériger sous mon nez, je parcours son entrejambe pendant de longues minutes, ma langue tantôt douce tantôt dure cherche à la faire défaillir.


Un premier « uhhmmmmm » très rapidement suivi par un « ouiiiiiiiii » s’échappe de sa bouche.


Ses mains et son bassin gérant la pression comme elle le désire, je me dégage de son emprise pour faire passer ses jambes de part et d’autre de ma tête, ses pieds au niveau de mon dos, j’ai accès maintenant à l’ensemble de son intimité. Mes doigts viennent prêter main-forte à ma bouche et ma langue, je joue, j’accélère le rythme, puis le ralentis. Je joue avec ma langue qui effleure sa petite porte, une ondulation du bassin m’indique qu’elle apprécie la caresse.

Je ne sais pas combien de temps ça m’a pris, mais je ressens du pur bonheur lorsque d’un coup son corps se tend comme un arc, un jet de cyprine m’inonde le visage, elle couine.



Ce cri strident déchire le silence de la chambre.



Ce sont les derniers sons qui sortent de sa bouche. Les yeux clos, elle s’écroule anéantie par un premier orgasme foudroyant. C’est avec un grand sourire, la bouche luisante que je me love sur son corps, je l’embrasse, dans un bouche-à-bouche tendre, nous échangeons son nectar. Il lui faudra quelques minutes pour reprendre ses esprits, elle ouvre les yeux :



Elle joue à « frotti-frotta » avec mon sexe. Mon état d’excitation est à son comble et je risque de ne pas tenir longtemps si elle continue ce traitement diabolique. Un nouveau baiser langoureux échangé, ses mains me caressent le dos, elles descendent lentement sur mes flans, je frissonne, elle me pousse pour s’extraire de dessous moi, elle prend le contrôle. Elle me fait mettre sur le dos et m’enjambe à nouveau, à califourchon, elle me domine, elle bouge son bassin, massant mon sexe toujours prisonnier de mon boxer.


Elle se laisse glisser vers le bas du lit, sa bouche est à hauteur de mon sexe, elle enlève ce dernier rempart, laissant apparaître ma queue fièrement dressée. Elle la caresse du revers de la main, puis elle l’empoigne délicatement, mais fermement, quelques va-et-vient.



Je sens un premier petit bisou puis le contact chaud de sa langue, c’est ensuite la chaleur de sa bouche qui enserre mon sexe, la douceur de ses lèvres, sa langue qui me titille, je risque d’atteindre très vite le stade de non-retour.



Sans même répondre, nous nous retrouvons dans la position soixante-neuf. Je suis sur le dos et elle me chevauche et se caresse la chatte sur mon visage, elle avale goulûment ma queue pendant que je lui aspire le clito, l’un et l’autre essayant de faire lâcher son partenaire en premier et, à ce petit jeu-là, elle s’avère beaucoup plus efficace que moi. Je dois me dégager de son emprise sous peine de jouir dans sa bouche. D’un coup de reins, je la désarçonne et me retrouve au-dessus d’elle, son sourire ne l’a toujours pas quittée, elle rayonne.



Sans lui laisser le temps de répondre, mon sexe est déjà à l’entrée du sien, un dernier regard pour m’assurer que nous étions en phase, je la dévore des yeux et la pénètre doucement.


J’entre en elle sans aucune difficulté, en position du missionnaire, je fais quelques va-et-vient. Elle bouge son bassin en fonction des sensations que je lui procure. L’excitation monte, je lui propose de changer de position, et c’est ainsi qu’elle se retrouve à quatre pattes devant moi, en levrette. Je coulisse à nouveau en elle, le changement de position a fait baisser la pression, je recommence mes va-et-vient, elle gémit à nouveau.


Mes allers-retours se font de plus en plus rapides, de plus en plus violents, mon pubis claque sur ses fesses. J’insinue mon pouce entre ses fesses pour titiller son petit œillet, elle a l’air d’apprécier, elle tourne la tête, me sourit, malheureusement ce ne sera pas pour cette fois-ci. Je gémis, j’ahane, et ne pouvant plus me retenir, je me déverse en elle, ma jouissance provoque la sienne, nous nous affalons.


Je suis couché sur elle, ma queue, sortie de son fourreau soyeux, s’est posée sur sa raie culière, gluante de nos secrétions intimes. Nous reprenons nos esprits après ce moment intense, puis je me glisse à ses côtés, les yeux dans les yeux, un grand sourire sur les lèvres.


Nos bouches se retrouvent à nouveau, le moment d’accalmie sera de courte durée… Mais c’est une autre histoire.