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Temps de lecture estimé : 10 mn
06/01/17
Résumé:  Sonia souhaite profiter de l'Armada du siècle de Rouen pour satisfaire un fantasme. En réalité, elle va pouvoir en satisfaire deux.
Critères:  fh inconnu uniforme grossexe bateau fellation pénétratio fdanus -totalsexe
Auteur : Leon            Envoi mini-message
Sonia réalise son fantasme à l'Armada du siècle

Je me présente : je m’appelle Sonia. Je suis le fruit du métissage des genres : mon père étant Kabyle, j’ai hérité de lui son teint hâlé et son regard aux multiples reflets, alors que de ma mère j’ai obtenu sa longue crinière blonde avec de jolis reflets roux.

De silhouette sportive grâce aux bienfaits cumulés de la course à pied et du fitness que je pratique à haute dose depuis de nombreuses années, on dit de moi que je suis une jolie jeune femme, le 90C de ma poitrine ne devant pas y être étranger.


Dans la vie, je suis épicurienne ; je ne rate jamais une occasion de me faire plaisir : voyages et découverte du monde sont des leitmotivs.


J’avais 23 ans lorsque l’histoire que je vais vous raconter est arrivée.


Nous sommes en 1999 ; Rouen est en ébullition. En effet, du 9 au 18 juillet aura lieu l’Armada du siècle ; de magnifiques navires venant des quatre coins de la planète seront amarrés au port, la musique envahira les rues, les beaux matelots étrenneront leur beaux habits pour déambuler dans les rues jusqu’au jour du grand départ.


Comme bon nombre de femmes, je fantasme sur les hommes en uniforme, et plus précisément sur les marins ; à l’idée de faire l’amour avec un beau jeune homme dans un endroit aussi exigu que sa cabine-couchette, je fonds.


Le 14 juillet, il fait beau. Il est 18 heures. Je déambule dans les rues de notre charmante cité et, comme prévu, badauds et marins se croisent sur le port. J’entre dans un pub plein à craquer, me faufile jusqu’au zinc et commande un vin blanc. De dos à la salle, j’observe ce qui s’y passe dans le grand miroir décorant l’arrière du bar. Mon regard balaie la foule, croise des coups d’œil furtifs qui me détaillent avec intérêt.


Alors que je finis mon verre, je me sens observée. Une sensation bizarre, mais pourtant le reflet du miroir ne me donne aucun indice sur ce qui pourrait en être à l’origine. Tournant la tête au-dessus de mon épaule gauche, j’aperçois un groupe de jeunes marins attablés à quelques mètres de moi ; ils me regardent avec insistance. Ils sont hilares. Je crois reconnaître des mots en italien ; je leurs souris. Prenant cela comme un signal positif, ils poussent un de leurs camarades vers moi.



Je le suis. Ses acolytes me font une petite place ; ils commandent une nouvelle tournée de boissons et m’expliquent qu’ils font partie du Palinuro, un très beau trois-mâts qui sert de navire école où ils sont en apprentissage. Ils sont une centaine à bord, avec une vingtaine de femmes parmi eux. Ils m’apprennent qu’ils ont passé les trois derniers mois en mer et qu’ils profitent à plein de cette escale bienvenue.


Sergio – celui qui a été désigné par les autres pour venir me chercher – me dévore littéralement des yeux, un grand sourire aux lèvres. Même si je ne comprends pas tout, il me semble que les autres le charrient gentiment. Une musique retentit dans le fond de la salle ; la foule s’écarte, laissant place à deux couples qui se lancent dans une samba endiablée. Les tatouages sur les corps des deux marins ne laissent planer aucun doute sur leur lieu de naissance : ce sont deux Brésiliens qui font virevolter leur partenaire. Les applaudissements et les cris accompagnent chacune des prouesses techniques réalisées par l’un ou l’autre des couples ; la chaleur est à son comble.


Profitant du moment où ses compagnons sont concentrés sur la piste de danse, Sergio me tend la main, attrape son couvre-chef et m’emmène à l’extérieur, où le son est moins fort. Il me susurre à l’oreille :



Son accent est à tomber…



Son visage s’empourpre un petit peu. Nous commençons à flâner au gré de la foule. Son regard plongé dans le mien, il commence sa cour d’un ton mal assuré, butant sur les mots, mais ceux qui sortent de sa bouche résonnent comme une chanson.



Je m’amuse avec lui :



Notre discussion se poursuit. Je sens sa main dans la mienne ; il joue avec mes doigts, les caresse. Nous longeons les quais lorsque je m’étale de tout mon long, la faute à un bout d’amarrage dans lequel je me suis pris les pieds. Penaud de n’avoir pu éviter ma chute, Sergio m’examine : genoux, mains, il inspecte toutes les parties de mon corps qui ont pu entrer en contact brutal avec le sol. Devant mon sourire, il comprend bien vite que je ne me suis pas fait mal. Il me tend ses mains et me relève. Je me retrouve nichée au creux de ses bras, la tête posée sur son torse que je devine puissant. Je redresse les yeux ; nos bouches sont attirées comme des aimants.


Premier contact de nos lèvres ; un frisson me parcourt l’échine. Collée contre lui, je sens que notre corps-à-corps lui plaît. Sa main droite glisse sous mon chemisier et me caresse le dos. Il joue avec l’attache de mon soutien-gorge ; je la sens céder.



Son regard se trouble ; je lui lance :



Sans le laisser répondre, je colle mon pubis contre la bosse de son pantalon et me frotte doucement. Il bredouille :



J’accentue les mouvements de mon bassin. Il met un doigt sur ma bouche et me tire par la main et fend la foule. Nous voici au bas d’une passerelle ; je lève les yeux, émerveillée : un magnifique trois-mâts se dresse devant nous. Il me regarde et me fait signe de le suivre sans bruit. Nous nous faufilons au travers des méandres du bateau ; il toque à une porte : pas de réponse. Nous nous coulons à l’intérieur d’une petite pièce exiguë ; trois couchages et un bureau pour seul mobilier. Il coince la chaise sous la clenche de la porte.


Je n’en reviens pas : je vais réaliser mon fantasme ! Il se tourne vers moi, m’attrape par les hanches et me colle à nouveau contre lui. Nos bouches se soudent, nos langues se cherchent, se trouvent ; je tremble. Mon chemisier et mon soutien-gorge ne tiennent pas longtemps : ils jonchent le sol ; sa chemise ornée de différentes décorations prend la même direction. Comme pressenti, son torse est musclé, son ventre plat, et ses abdominaux parfaitement dessinés. Je quitte ses lèvres, ayant trop envie de découvrir le reste de ma convoitise, et notamment ce bâton dur que je sens depuis tout à l’heure.


À peine quelques secondes et je suis à genoux, les yeux rivés sur cette bosse qui déforme le pantalon parfaitement ajusté. Le bouton saute, la fermeture est dézippée ; le tissus glisse. Face à moi, le boxer ne peut contenir l’ensemble de ses attributs masculins. Je me mords les lèvres : c’est la première fois que je vois un braquemart aussi gros, aussi long ! Je coule littéralement… Moi qui fantasmais de me faire prendre par un mec très très bien monté, ce n’est pas un, mais deux fantasmes que je vais réaliser.



Un petit bisou, puis quelques coups de langue savamment distillés ; j’essaie de le prendre en bouche mais ne parviens à n’en prendre qu’un petit morceau. Je ne me démonte pas. Ma langue le parcourt, mes mains coulissent à la base de ce membre dressé. Il grommelle :



Ça m’encourage ; je m’applique. Son gland turgescent en bouche, je le câline, je le chois, je l’entoure de ma langue ; un petit goût sucré-salé sur ma langue, annonciateur du plaisir qui monte ; les « Si, ohhhhhhhhh… Si, bellllla ! » s’accélèrent ; ses mains me caressent les cheveux, guident ma tête pour son plaisir. Je veux qu’il jouisse dans ma bouche, je veux me délecter de son jus. Ses jambes tremblent, son bassin ondule ; il me baise la bouche, et dans un grand râle le premier jet s’écrase sur mon palais. Je déglutis tant bien que mal. Un filet de sperme s’échappe de la commissure de mes lèvres ; j’avale le maximum de ce qu’il m’est possible, le reste me souillant le menton et les seins.


Il me redresse ; mes lèvres rejoignent les siennes. Il a un petit rictus lorsque nos langues se touchent, signe que ce n’est pas une pratique qu’il a eu pour habitude de faire. Il se dégage de mon emprise, me transperce du regard et, le sourire aux lèvres, me lance :



Je fronce les yeux, marquant mon incompréhension. Il ajoute :



Nous éclatons de rire. Il m’invite à m’asseoir sur le lit et enlève ses chaussettes, les seuls vêtements ayant résisté à mon premier assaut. Devant mon air désolé, il éclate de rire et ajoute :



Il me détaille du regard et entreprend de me mettre dans la même tenue que lui ; jupe, escarpins et mon petit string ne lui résistent pas bien longtemps. Il se place au-dessus de moi. Ses lèvres me picorent ; sa langue n’est pas en reste : mon cou, mes seins, mes tétons, tout y passe, tout est câliné, dégusté, titillé. Je sens que sa virilité apprécie le spectacle ; elle retrouve sa vigueur. Un sentiment bizarre se mélange tout à coup ; j’ai hâte qu’il me prenne, mais la taille de son mandrin me pose des questions : rentrera-t-il ? Et s’il veut posséder ma petite porte secrète, vais-je le laisser faire ? Un coup de langue appuyé sur mon bouton me sort de ma torpeur : il me lèche, me lape. Je défaille ; mon corps se tend comme un arc, accentuant le contact avec la bouche de mon assaillant. Un premier orgasme me submerge ; je me mords les lèvres pour ne pas crier, n’ayant pas oublié où nous sommes. Je me relâche et tente de reprendre mes esprits ; Sergio, le visage luisant de mouille, vient se lover contre moi.

Mélangeant l’italien et le français, il sonde mon état d’esprit :



J’essaie de me souvenir de mes cours du collège.



Ses mains se promènent toujours sur mon corps, agaçant mes tétons toujours dressés d’excitation. Je me redresse et me saisis de son sexe en pleine forme. Quelques va-et-vient : il grogne, les yeux brillants. Je me positionne à califourchon au-dessus de lui, puis lentement j’engloutis son bâton de chair. La sensation est divine ; j’ai l’impression d’être totalement remplie, et pourtant mes fesses ne sont pas encore en butée sur ses cuisses. Je commence à onduler du bassin, puis les premiers mouvements de haut en bas. Sergio se saisit de mes seins ; il les pétrit, les malaxe, grommelant des mots en italien que je ne comprends pas.

À mon tour, je m’exprime :



J’accélère le rythme ; mon souffle est court, je me sens défaillir. Il a posé ses mains sur mes fesses et fouille mon sillon pour découvrir mon petit trou. Accompagnant mes mouvements, un doigt pénètre l’œillet ; l’excitation est à son comble, et dans un cri rauque je jouis pour la deuxième fois de la soirée. Je m’écroule sur son torse, sa queue toujours fichée en moi.


Je n’ai pas vraiment le temps de récupérer que Sergio se dégage de dessous moi et me fait comprendre que je dois me mettre à quatre pattes ; je m’exécute.



Il reprend possession de ma chatte et me pilonne, agrippé à mes hanches ; il s’empale de plus en plus fort tandis que je suis secouée comme une poupée de chiffon. Des « Ummpffff ! », des « Ouchhhhh… » se succèdent. Les sensations sont indescriptibles : du plaisir – parfois un peu de douleur – mais énormément de plaisir. Il ralentit le rythme. Il n’a toujours pas joui ; je me demande combien de temps mon amant du soir est capable de tenir… À nouveau, un doigt inquisiteur s’immisce dans mon fondement ; je grogne. L’intrus se met au rythme lent des coups de reins. C’est un second, puis un troisième doigt qui s’attaquent à mon anus qu’ils dilatent ; de la salive coule et me fait sortir un « Oh ! » de surprise.


La queue quitte son fourreau soyeux, me laissant comme vide. Je sais ce que mon amant a l’intention de faire ; je tourne la tête, les yeux implorants : Sergio me sourit.



Il positionne son mandrin sur ma petite corolle et pousse doucement ; les sphincters cèdent. Le gland est passé. Les va-et-vient sont lents, mais de plus en plus profonds. Une légère douleur, puis après quelques minutes je sens son pubis au contact de mes fesses ; je suis étonnée qu’un tel engin puisse être en moi. Il marque un temps d’arrêt pour me laisser le temps de m’y faire, puis recommence ses mouvements, lents dans un premier temps, puis il accélère le rythme, ahanant à chaque coup de reins. Mes « Ouchhhh ! » répondent à ses « Annhh… ». Son pubis claque sur mes fesses ; je suis au bord de l’explosion, c’est le feu d’artifice final ! Nous nous affalons sur la couche au moment même où les premiers pétards du 14 juillet se font entendre. Il est tard ; il vaut profiter de ce moment pour nous éclipser. Je me rhabille, le cul souillé de son sperme laiteux…


Je lui laisse en cadeau mon string dans une poche de son uniforme, un moyen comme un autre pour qu’il se souvienne de notre rencontre torride lorsqu’il sera en pleine mer.