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n° 17729Fiche technique13501 caractères13501
Temps de lecture estimé : 9 mn
09/01/17
Résumé:  Le fantasme d'une femme mariée se réalise en présence de son mari.
Critères:  fhh hagé fagée extracon cocus inconnu plage hmast 69 pénétratio confession -couple+h
Auteur : Arthus      Envoi mini-message
Le fantasme d'Élisabeth

Élisabeth, mon épouse, est une femme charmante, la soixantaine, cheveux courts, des yeux bleus magnifiques, un visage doux, un large sourire permanent la rendent encore plus lumineuse. Elle pratique la gym plusieurs fois par semaine, malgré les années qui passent, elle garde un corps superbe. Certes, elle a une petite poitrine, je sais qu’elle complexe un peu pour ça, mais elle a tort, ses petits seins en poire la rendent encore plus séduisante.


Moi, je suis George, comment me décrire ? Déjà, j’ai soixante-cinq ans, plutôt pas trop mal conservé, bien sûr un peu de rondeurs, mais avec mon mètre quatre-vingt, je donne l’impression d’être svelte. Certes, je triche un peu en évitant de mettre des vêtements trop cintrés, que voulez-vous, je suis assez cabotin, je soigne mon apparence.


J’ai rencontré mon épouse très jeune, le coup de foudre fut immédiat, elle m’a offert sa virginité. Suite logique, nous nous sommes mariés, nous avons eu deux beaux enfants et des petits-enfants ont suivi.

Dans l’intimité du lit, nous n’étions pas des bêtes de sexe, nous faisions régulièrement l’amour, mais franchement sans excès et sans beaucoup de fantaisie, nos carrières professionnelles nous préoccupaient plus que nos ébats amoureux.


Au fur et à mesure que les années de mariage se sont écoulées, nous n’avions pratiquement plus de rapports sexuels. Le pire, en apparence, ni l’un ni l’autre ne s’en préoccupait. Pourtant un soir, il s’est passé un évènement tout à fait inattendu, on regardait un film un peu érotique à la télé, un couple justement dans nos âges faisait l’amour, attention c’était pas du tout un porno, on devinait plus qu’on voyait, mais la scène était torride.


Je me suis approché de mon épouse, j’ai posé la main sur le haut de sa cuisse, elle était vêtue seulement d’un long tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisse, je lui ai susurré à l’oreille



Elle m’a regardé et avec une grande franchise m’avoua qu’elle aimerait être à la place de la femme. Qu’un autre homme la caresse, c’était un fantasme qui la taraudait depuis un long moment. Elle n’avait connu que moi, alors imaginer de toucher un sexe autre que le mien l’excitait au plus point. Je n’en revenais pas, j’étais à la fois abasourdi, contrarié par un mélange de deux sentiments contradictoires, la jalousie bien sûr et l’envie irrésistible de la voir avec un autre homme (quel homme marié n’a jamais eu ce fantasme). Je lui ai même demandé si elle avait pensé à prendre un amant, et là, je fus frappé une nouvelle fois par sa révélation, elle m’a raconté qu’elle avait failli succomber aux charmes d’un intervenant qui venait installer une machine sur son lieu de travail, il lui avait fait la cour assidûment, l’invitant à le rejoindre à son hôtel pendant la coupure du midi. Elle s’y était rendue, mais par remord à mon égard, elle avait rebroussé chemin au dernier moment, cette révélation fut un véritable électrochoc pour moi.


Ce soir-là, devant la télé, nous avons fait l’amour sur le canapé. C’était torride, pour une fois sans retenue, nous n’étions plus nous-mêmes. C’était assez sauvage dans les actes et les paroles, mais quel plaisir !

Après cet épisode inattendu, nous avons eu une période sexuelle assez faste, puis les aléas de la vie, le boulot, etc., la routine est revenue au sein de notre couple.


Nous sommes partis en vacances sur l’atlantique, nous avions en charge notre petit fils à quatre pattes, le caniche de notre fille, qui répond au doux nom de « Kitkat ». Je sais, c’est bizarre comme patronyme, mais c’était le choix des petits-enfants. En plus d’un nom pas commun, c’était un chien caractériel et peu sociable, mais malgré tous ses défauts nous nous étions attachés à cette bestiole et il nous le rendait bien.


Ce jour-là, nous nous baladions sur la plage, le chien en laisse. En ce début du mois de juin, le temps était agréable, il y avait personne à l’horizon, il faut dire que l’on s’était bien éloigné de la station balnéaire. Nous avions décidé de détacher Kitkat, il pouvait gambader librement sans agresser personne, mais tout à coup, il est parti ventre à terre vers les dunes, en aboyant. Nous le rappelions à l’ordre, mais rien à faire, il n’obéissait pas. Il disparut derrière une petite butte recouverte de hautes herbes comme on en trouve fréquemment sur les dunes. Élisabeth accourut vers l’endroit où avait disparu le chien et contourna la dune. Quand je suis arrivé à mon tour, je fus surpris : il y avait un homme, assis tout nu qui caressait le chien tranquillement. Kitkat semblait ravi allongé sur la serviette du monsieur, ma femme debout discutant avec ce naturiste.


Nous nous sommes présentés, il s’appelait Charles, très sympathique, et franchement plutôt très bel homme, dans une tranche d’âge entre cinquante et soixante ans. Comme il était assis, je ne pouvais pas trop voir s’il était grand, à mon avis il devait faire à peu près 1,80 m, comme moi. Légèrement bedonnant, faut dire que dans la position où il était, les plis du ventre ne le mettaient pas à son avantage. Par contre, son visage souriant et bronzé, ses yeux bleus, ses cheveux poivre et sel le rendaient irrésistible. J’ai tout de suite remarqué que ma femme était sous le charme.


Nous nous sommes assis en face de lui et avons engagé la conversation, c’était incroyable nous avions l’impression que c’était un ami de longue date. Il était veuf depuis deux ans, la solitude lui pesait. La conversation a duré un bon moment, il nous a demandé si nous pratiquions le naturisme aussi, avec hésitation nous lui avons répondu que l’occasion ne s’était jamais vraiment présentée, mais pourquoi pas. Alors, avec un grand sourire il nous a invités, si on le souhaitait, de nous mettre à l’aise. Avec ma femme nous nous sommes regardés, j’ai senti dans son regard qu’elle était consentante, d’ailleurs elle n’a pas attendu que je réponde à Charles. De sa propre initiative, elle s’est mise debout et a commencé à se dévêtir. Interloqué j’ai suivi le mouvement.


Plus personne ne parlait, le temps était suspendu, Élisabeth prenait son temps pour se dévêtir, me donnant l’impression qu’elle ménageait ses effets. Elle a d’abord retiré son polo, comme nous n’avions pas l’intention de nous baigner, nous n’étions pas en maillot de bain, mais en sous-vêtements classiques. Mon épouse a dégrafé son joli petit soutien-gorge à dentelles, ses petits seins en poire sont apparus. J’ai vu de suite que ses tétons pointaient, signe caractéristique chez ma femme que la situation l’excitait. Charles avait changé de position, il s’était allongé de profil et était très attentif à notre effeuillage. Le moment était très troublant, ma douce a retiré son short, elle portait en dessous une petite culotte blanche ordinaire, pas très sexy, mais pratique ; malgré tout, c’était le dernier rempart. Elle l’a retirée avec une sorte d’élégance.


J’ai vu que Charles était sous le charme et en même temps, il ne pouvait pas cacher son émotion, son sexe se tendait, j’avoue qu’à ce moment-là j’ai observé ses attributs discrètement (j’ai des attirances bisexuelles inavouées). Sa verge était longue et fine, son pubis coupé court. Par contre, ses bourses étaient petites, mais complètement lisses. Cette vision m’électrisa, moi non plus je ne pouvais pas cacher mon excitation, mon short léger était déformé par mon érection, j’étais à l’étroit. J’ai tout baissé d’un coup, c’était très agréable d’avoir le sexe à l’air.


Personne à ce moment-là n’osait prendre la parole, le temps était figé. Puis, à ma grande surprise, j’ai eu l’audace de rompre le silence et j’ai osé raconter le fantasme d’Élisabeth, comme ça naturellement. Je m’attendais à ce que ma femme proteste, elle était debout à côté de moi, elle ne disait rien, sans doute gênée, peut-être en colère après moi, mais aucun son n’est sorti de sa bouche. J’ai dit à Charles que le hasard nous avait mis tous les trois sur le même chemin, que ce n’était pas anodin. J’avais la gorge sèche, mais j’ai osé lui demander s’il était d’accord pour réaliser le fantasme de mon épouse. Je m’en revenais pas de ce que je venais de faire, une partie de moi espérait que mon épouse se révolte, m’insulte, me traite de dépravé, mais aussi dans toute ma contradiction, une envie folle quelle s’offre aux caresses de cet homme.


Charles s’est mis debout, son sexe tendu à l’extrême, complètement décalotté. Personne ne prononçait une parole. Il s’est approché d’Élisabeth, elle était comme figée, soumise. Il est passé dans son dos, l’a enlacée, ma femme semblait toute petite dans les bras de cet athlète. Elle a poussé une sorte de petit cri quand elle a senti le sexe de Charles toucher le bas de son dos, cette vision m’a excité au plus haut point. Les mains de Charles caressèrent d’abord les épaules de ma femme, il était d’une extrême douceur, puis avec délicatesse il est descendu sur ses seins. Par une sorte de réflexe d’autodéfense à ce moment-là, ma douce a protégé sa poitrine. Calmement, mais avec autorité, il lui a pris ses mains pour lui faire passer dans le dos. Involontairement ses doigts se sont alors posés directement sur le sexe triomphant de Charles, elle a poussé un petit cri de surprise. De là où j’étais, je voyais les doigts fins de ma femme palper le sexe, c’était la toute première fois qu’elle touchait une bite autre que la mienne. Je ne vous cache pas que j’étais mal, pas bien du tout, carrément jaloux.


J’avais enclenché cette situation, fallait que j’assume. Charles passait ses mains le long du corps d’Élisabeth, sur ses hanches, ses fesses, sur son pubis. Ma femme avait les yeux fermés, je sentais qu’elle prenait plaisir, son amant lui donnait des petits baisers dans le cou.


Il lui a demandé de s’allonger sur sa serviette. Obéissante, mon épouse s’est exécutée. Kitkat qui occupait déjà l’espace n’a même pas grogné d’être dérangé, impassible à ce qui se passait autour de lui.


Une fois Élisabeth allongée, Charles s’est mis à genoux sur le côté, il a déposé un baiser sur ses lèvres et avec douceur il est descendu sucer ses tétons. J’ai su à ce moment-là que ma femme allait s’offrir, elle est hyper sensible, elle ne résiste pas à ce genre de caresse. Il a titillé ses seins, en même temps, je me suis aperçu qu’une de ses mains était descendue sur le pubis de ma douce. Machinalement elle a écarté les jambes. Son doigt passait sur sa fente, jouait avec son clitoris, Élisabeth gémissait de plus en plus fort, Charles l’a enjambée en position tête-bêche, sa bouche dévorait littéralement la minette de ma femme. J’étais complètement figé, sans réaction devant ce spectacle, je n’osais plus bouger, pourtant j’avais ma tige tendue, décalottée.


J’entendais des gémissements étouffés de ma femme, et pour cause, Élisabeth avait dégagé le sexe de Charles, elle l’avait tiré en arrière, la position n’était pas confortable, mais elle avait la verge en bouche, et, ce qui était incroyable, en le suçant, elle tripotait ses fesses en lui écartant les deux lobs. Je n’existais plus, les deux amants se donnaient sans retenue. Charles a changé de position, subitement il est venu se mettre entre les jambes d’Élisabeth, j’ai compris de suite qu’il voulait la pénétrer.


Là, franchement, j’étais prêt à intervenir, l’expérience avait été poussée un peu trop loin à mon avis, mais quand j’ai vu ma femme lever les jambes, écarter les cuisses, indécente, offerte, je suis resté sans voix. Son amant ne s’est pas fait prier, il l’a pénétrée avec bonheur, doucement d’abord, de toute la longueur de son sexe, et le rythme a augmenté de plus en plus vite de plus en plus fort. Charles n’avait pas dû faire l’amour depuis longtemps, il y mettait de l’ardeur, il profitait. Le corps de ma coquine se tordait, ses petits seins ballottaient, à cause des coups de boutoir de son amant. Cette vision hard me rendait fou, je me masturbais à me faire mal. Ma femme était au bord de l’orgasme, elle criait de plaisir, Charles grognait. Il a joui en elle. Ma douce pleurait de plaisir, son corps faisait des soubresauts, j’avais joui aussi, c’était irréel.


Nous étions comme abasourdis, nous nous sommes rhabillés. Charles s’est excusé d’avoir été trop loin. Machinalement nous lui avons dit que ce n’était pas grave, on est parti en se saluant tout simplement. Une fois à la location, Élisabeth a voulu que je la lave comme pour effacer notre incartade, elle s’est blottie dans mes bras et m’a dit :