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n° 17733Fiche technique10563 caractères10563
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Temps de lecture estimé : 8 mn
11/04/23
corrigé 11/04/23
Résumé:  Un couple en vacances décide de briser les barrières.
Critères:  fh couple vacances plage douche amour fsoumise hsoumis fdomine hdomine exhib fmast facial nopéné
Auteur : T.sky            Envoi mini-message
En vacances, on doit oublier toute bienséance

Recherche intérieure



« C’est sympa, j’aime bien, mais il manque quelque chose. » C’était tombé comme cela dans la discussion pendant le trajet. Ça a l’air de rien, mais en fait ça fait mal. Dans un couple au bout de dix ans, ça fait très mal.


Sophie, 34 ans, dit à Florian, 37 ans :



« Mais », tout est dans le « mais ». C’est une révélation à tomber par terre, c’est aussi comme une prise de conscience de quelque chose que l’on a toujours su. Que répondre à cela ? « Je vais m’améliorer, je vais lire des livres pour apprendre de nouvelles choses, je vais demander des conseils à mes copains » ? Désemparé, désorienté, perte de repères.


C’est ainsi que ce voyage Paris-Bordeaux, en route pour des vacances en amoureux, sans enfants, prend une couleur un peu grise et un goût un peu amer. Alors que Florian avait prévu tout le contraire dans sa tête : retrouvailles, couleurs, rythme, sucre, épices, sexe, sens. Mais Sophie est une femme constructive :



C’est le clin d’œil qui lui a mis la puce à l’oreille. Il a confiance en elle, jamais elle ne voudrait lui faire de mal. Cela signifie qu’elle attend quelque chose de lui, qu’elle lui fait confiance et qu’elle sait qu’il va faire ce qu’il faut.


C’est sur ces errances intérieures que Florian arriva à Bordeaux avec Sophie. Au programme, une semaine de vacances au bord de l’océan, dans une petite maison posée au milieu des dunes au bord de la plage, un de ces petits bijoux dont on ne trouve pas l’adresse sur Internet, mais uniquement par le bouche-à-oreille.


Une fois la voiture de location récupérée, les voilà sur la route vers l’océan. Sophie s’endort paisiblement. Elle et lui se sentent détendus, heureux à l’idée de ces quelques jours de sérénité. Tandis qu’il conduit et la regarde assoupie, ses mots lui reviennent, comme un nuage gris au-dessus de sa tête. « Sexuellement, elle s’ennuie avec moi. » Il sent qu’il doit faire quelque chose, mais que veut-elle ? Cela a toujours été un dilemme pour lui : c’est sa femme, il doit la respecter, c’est pourquoi il s’est toujours senti limité dans leurs jeux sexuels. Par crainte qu’elle pense qu’il lui manque de considération, par crainte de passer pour un animal, par crainte qu’elle lui dise non et se méfie de lui.


Mais est-ce ainsi que cela doit se passer dans un couple, surtout après tant d’années ? N’est-elle pas en train de lui dire justement qu’elle attend plus ? Ces limites, n’est-ce pas à lui-même qu’il les impose par manque de confiance ? Difficile de répondre à ces questions, mais peu à peu Florian arrive à la conclusion qu’il doit penser autrement. Il doit se rattacher uniquement à l’idée qu’ils s’aiment et qu’ils se font confiance. Il doit oublier toutes ses craintes et laisser libre cours à ses désirs sans se soucier des potentielles et hypothétiques conséquences.


Ragaillardi par cette résolution, il quitte la route et engage la voiture sur un petit chemin ensablé comme indiqué sur les instructions pour se rendre à la maison. Dix minutes plus tard, ils arrivent à la maison, qui dépasse largement toutes leurs attentes. Perdue au fond d’un bois de pins, posé sur une dune à la frange entre le bois et la plage, avec aucun signe de civilisation à plusieurs centaines de mètres de chaque côté. À cette heure un peu tardive, le soleil n’est pas loin de se coucher, mais irradie le sable et crée une atmosphère paisible et douce.


La maison elle-même est simple, mais unique : beaucoup de bois, des baies vitrées sur le côté face à l’océan, un jardin clôturé avec un bassin de baignade dans les teintes gris-bleu. En discutant avec un entrain nouveau, ponctué d’éclats de rire et de baisers, ils rangent leurs affaires et les courses qu’ils ont faites en chemin. Ils décident d’aller prendre un bain avant qu’il fasse nuit et se dépêchent d’enfiler leurs maillots avant de partir en courant sur la plage comme des gosses. L’eau est fraîche et fouette leur corps après ce long trajet… Quel bonheur des sens !


Puis ils rentrent à la nuit tombée pour prendre une douche. Une fois n’est pas coutume, Sophie qui aime d’habitude prendre sa douche seule invite Florian à la partager avec lui. Il faut dire que la douche, à l’italienne, est immense et très agréable. Florian admire le corps de sa femme, ses courbes généreuses, ses fesses si bien dessinées, ses petits seins fermes et croquants, son ventre plat, ses longues jambes. Il commence à caresser ses épaules, son dos, son ventre, tandis qu’elle soupire de plaisir sous la pluie tiède qui coule sur sa peau. Il embrasse son cou et goûte le sel restant de leur baignade, tandis que leurs corps se rapprochent. Son sexe est dur et se plaque sur les fesses de Sophie. Ses mains s’emparent de ses seins et les caressent avec tendresse d’abord, puis plus fermement à mesure que l’excitation monte en lui.


En un flash, leur discussion pendant le trajet lui revient. « Lâche-toi, se dit-il. Sois à son écoute bien sûr, mais fais ce que tu veux, c’est ça qu’elle attend de toi. » Sans réfléchir plus avant, il plaque Sophie contre la paroi de la douche, et toujours dos à elle laisse ses mains travailler comme un artiste. Sa main gauche remonte pour envelopper sa nuque et la maintenir doucement, mais fermement contre le mur, tandis que la droite glisse sans hésitation entre ses jambes. Sophie a un hoquet de surprise, mais ne dit rien. Au contraire, Florian la sent s’abandonner contre le mur et écarter légèrement les jambes. Florian glisse sa main entre ses cuisses et découvre son sexe trempé. Ses caresses arrachent des gémissements de plaisir sans aucune retenue, ce qui exacerbe sa propre excitation et il ne peut s’empêcher de frotter son propre sexe sur les fesses de sa partenaire.


Florian retire sa main et la glisse entre les fesses de Sophie pour atteindre le même endroit. L’effet est immédiat, Sophie se cambre et gémit encore plus fort. La scène est magnifique : sous l’eau qui coule sur leurs deux corps, cette femme maintenue d’une main puissante contre le mur, ses fesses tendues, et cet homme qui l’explore, son sexe tendu et gonflé posé sur ses fesses.


Sentant sa partenaire et lui-même, trop rapidement à son goût, monter vers le plaisir, Florian cesse toute caresse et se contente de revenir de ses épaules à son dos. « Ainsi donc, se dit-il, ainsi donc je peux aller dans cette direction. » Alors qu’il est perdu dans ses pensées, Sophie se retourne avec un air mi-coquin mi-furieux, et lui intime de continuer ce qu’il faisait. C’est tout sourire qu’il lui répond qu’ils ont toute la soirée, voire toute la semaine devant eux, et il sort de la douche en laissant une Sophie furieuse qui le menace de se venger.


Lorsqu’elle sort de la salle de bain, Sophie trouve Florian confortablement installé dans le canapé, torse nu et en short. Elle-même a revêtu une petite robe d’été en tissu léger et coloré. Une bouteille de Tariquet baigne dans un seau à glace transparent, deux verres à pied sont posés à côté d’une assiette contenant quelques petits-fours apéritifs des plus appétissants. Dans le décor à la fois simple et élégant de la pièce, la scène est d’un romantisme délicieux.


Sophie s’installe sur le canapé, Florian emplit les verres, et sans aucune mention à leur douche commune ils discutent tranquillement de leur semaine à venir. Florian veut faire du surf, il y a des planches dans le garage derrière la maison. Sophie veut également faire du vélo, pour se balader et visiter les villages côtiers environnants. Ce moment est un pur bonheur, et les verres de vin se succèdent jusqu’à leur faire tourner la tête.


Florian se lève pour aller entrouvrir la baie vitrée et profiter de l’air marin du soir, et lorsqu’il se retourne pour revenir s’asseoir il trouve Sophie assise au milieu du canapé, sa robe remontée en haut de ses cuisses de telle sorte qu’il peut voir sa culotte. C’est une culotte simple, en coton, mais à la coupe fine et légère. Ses jambes sont serrées, mais elle le regarde droit dans les yeux en les écartant doucement. Elle lui fait alors signe de s’approcher, et Florian s’exécute jusqu’à se retrouver debout entre ses jambes. Sophie entreprend alors de baisser son short, sous lequel il ne porte rien, puis elle s’adosse confortablement contre le dossier du canapé.



Sophie commence alors à caresser son ventre et ses seins par-dessus sa robe, avant de la faire remonter petit à petit jusqu’au-dessus de sa taille. Florian réagit très rapidement devant ce spectacle, et son sexe se gonfle et se tend au-dessus de Sophie qui le regarde avec gourmandise, mais ne s’en préoccupe absolument pas. Sophie glisse alors une main dans sa culotte, et sans aucune retenue commence à se caresser devant Florian. Ses yeux sont mi-clos, elle soupire profondément. Florian est dans un état d’excitation intense, son sexe est tellement gonflé que quelques gouttes de son plaisir commencent à perler à son extrémité.


Les mouvements de Sophie s’accélèrent, Florian comprend qu’elle a l’intention de jouir devant lui, de lui offrir ce magnifique spectacle. Ses cuisses remontent, elle pose ses pieds sur le canapé, elle est totalement offerte à lui. Cela ne serait jamais arrivé autrement, mais la douche l’ayant déjà tellement excité, Florian sent monter en lui un orgasme incontrôlable alors même que ni lui ni Sophie ne l’a touché. Il tente de se contrôler, mais rien n’y fait, le plaisir atteint son paroxysme et il jouit avec un gémissement qui traduit l’intensité de son orgasme et de sa propre surprise à jouir ainsi en dehors de tout contrôle.


Sophie n’a pas le temps de vraiment comprendre ce qu’il se passe, elle se retrouve mouillée du plaisir de son partenaire. Elle reste quelques instants interloquée entre surprise et amusement, puis reprend ses propres caresses. Il ne faut pas longtemps pour qu’elle aussi atteigne le plaisir. Elle se cambre et jouit une première fois en criant sans retenue. Son orgasme est d’une incroyable intensité. Elle ralentit ses caresses sans vraiment les arrêter, se redresse pour venir embrasser le sexe encore humide de Florian, puis recommence à accélérer. Au bout de quelques secondes, son corps est agité de véritables spasmes et elle jouit une seconde fois en criant avant de s’écrouler sur le canapé en entraînant Florian avec elle.


Décidément, ces vacances commencent bien.