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n° 17738Fiche technique20978 caractères20978
Temps de lecture estimé : 13 mn
14/01/17
Résumé:  Comment se termine, agréablement, une journée mal commencée.
Critères:  fh fplusag inconnu exhib lingerie fellation cunnilingu fsodo
Auteur : Highlands  (Aimant l'érotisme, la sensualité, voire plus...)      Envoi mini-message
Le calendrier

En cette période de fin d’année, par un temps froid et humide, j’ai gentiment été désigné pour aller vendre les calendriers du club de rugby de ma ville. Je ne vous cache pas que je ne le fais pas de gaîté de cœur. Mais bon, c’est pour la bonne cause, l’organisation de l’arbre de Noël pour les enfants du club et des joueurs.


J’étais là, à me les geler depuis deux heures et n’avait réussi à vendre qu’un seul calendrier, à chaque fois, soit je tombais sur des mecs ou alors quand c’était une femme, son mari arrivait dans la seconde et me fichait dehors. J’arrivais au bout de la rue, une dernière maison et j’avais fini, pour aujourd’hui. Je sonnai au portillon, je patientai un peu, n’ayant pas de réponse, je réessayai. Au bout d’une minute à attendre, je me décidai à rentrer quand j’entendis l’interphone grésiller et la porte automatique s’ouvrir. Surpris, sur le coup, je me décidai à rentrer sur la propriété.


Je remontai l’allée gravillonnée, et sonnai à la porte fermée. Je n’attendis que quelques secondes et une personne vint m’ouvrir la porte, qui resta en retrait, et me demanda ce que je voulais. Voyant mon état détrempé par la pluie, elle me pria de rentrer au chaud, ouvrit la porte afin de me laisser passer, mais toujours en restant cachée derrière. Elle m’indiqua le chemin d’une pièce ou se trouvait un grand canapé. Je pris donc la direction indiquée. « Asseyez-vous », me dit cette voix douce et sensuelle.


Elle me rejoignit alors dans la pièce et là, stupéfaction, je vis une femme, la trentaine, cheveux châtains, fine, mais avec de belles formes, simplement vêtue d’une petite nuisette en satin bleue. Je fus subjugué devant le spectacle, ma gorge se noua, je l’entendis à peine quand elle me demanda le but de ma visite sur un ton agacé. Je me surpris à avoir du mal à aligner les mots, je bafouillai, mes yeux eurent du mal à rester au niveau de son regard. Tant bien que mal je finis de lui expliquer que je vendais des calendriers pour l’arbre de Noël du club de rugby de la ville.


J’avais à peine fini de dire cela, que son visage s’éclaira, allez comprendre pourquoi.

Elle s’aperçut de mon trouble, me demanda si je voulais boire quelque chose pendant qu’elle allait passer une tenue plus adaptée. Elle me servit un verre d’eau, se penchant bien en avant, me laissant tout loisir de laisser mes yeux plonger entre ses seins, accentuant mon trouble.


M’ayant donné mon verre, elle se retourna sans un mot et prit la direction de la salle de bain, dont je pouvais voir la porte ouverte depuis le canapé. En passant à côté d’un guéridon, elle fit tomber une pile de magazines. Sans se soucier de moi, elle se pencha, les jambes bien droites pour ramasser les revues. J’eus, alors, la vision de ses fesses et son abricot qui m’apparurent quand la nuisette se releva. J’ai cru m’étouffer avec l’eau que j’avais dans la bouche, avalai tant bien que mal et me mis à tousser bruyamment. Elle se retourna et me demanda si ça allait, j’étais rouge écarlate, la rassurai tant bien que mal.


Elle posa la pile de journaux sur le guéridon, me dit qu’elle arrivait et pénétra dans la salle de bain sans refermer la porte derrière elle, disparut derrière celle-ci.

Je me rendis compte, en jetant un œil vers la salle de bain qu’un miroir me permettait de la voir sans être vu. C’était sans compter sur le fait qu’elle se retourna vers ce miroir et me regarda alors qu’elle retirait sa nuisette, comme si elle effectuait un strip-tease, faisant glisser les bretelles, couvant sa poitrine de ses bras croisés, laissant, alors, la lingerie glisser sur sa peau et tomber doucement au sol, la laissant nue devant moi. Je me sentais de plus en plus attiré par cette femme, je me régalais du spectacle qu’elle me donnait.


Elle se pencha pour ramasser la nuisette, disparut quelques instants de ma vue et réapparut. Elle s’assit sur le rebord de la baignoire, glissa son pied dans un bas noir qu’elle fit remonter jusqu’en haut de sa cuisse, recommença avec l’autre jambe, d’une manière très sensuelle. Une fois ses jambes gainées de noir, elle s’éclipsa une nouvelle fois de ma vue, j’avais très chaud, alors que quelques minutes auparavant, j’étais gelé d’être resté une éternité dans le froid et sous la pluie.


J’étais plongé dans mes pensées, à imaginer les choses les plus folles avec cette inconnue, quand le bruit d’une porte qui claque me tira de ma torpeur. Je levais les yeux et vis alors cette femme, s’approcher de moi, vêtue cette fois d’une robe noire, légèrement décolletée, arrivant au-dessus du genou et des talons hauts. Elle prit place dans un fauteuil, me faisant face, après avoir saisi le calendrier que je lui tendais, et avoir effleuré mon poignet, ce qui me procura une légère décharge électrique.

Une fois assise, elle croisa les jambes, ce qui eut pour effet de faire glisser sa robe sur le haut de ses cuisses et laissant apparaître le haut de ses bas.


Elle ouvrit le calendrier, je vis son visage s’empourprer. Voyant que je la regardai, elle leva le calendrier à hauteur de son visage. Je l’observai, plus ou moins discrètement, elle changea de position, décroisa les jambes, alors que je prenais une gorgée d’eau. La vue de son entrecuisse me fit avaler de travers et je manquai de m’étouffer.


Elle lâcha le calendrier, se leva et vint rapidement vers moi, me demandant si ça allait.

Tant bien que mal j’essayai de lui répondre, continuant de tousser. Elle prit mon verre des mains et le posa sur la table du salon avant de s’agenouiller devant moi :



J’avais de plus en plus de mal à reprendre mon souffle, pour corser le tout, elle se leva, se pencha vers moi pour dézipper mon blouson. Faisant cela, elle m’offrit la vue de sa poitrine à moins de trente centimètres de mon visage, ce qui eut pour effet d’aggraver mon état, je sentis le rouge me monter aux joues, mon sexe gonfler dans mon boxer. Elle ne pouvait pas ne pas se rendre compte que mon regard était dans son décolleté, elle posa ses mains sur mes cuisses.



Je repris mon souffle, mais mon embarras devait se voir à coup sûr, surtout ses mains sur mes cuisses, je désirais cette femme plus que tout et elle faisait tout pour me tenter, comme par jeu. Mais comment être lui faire comprendre qu’elle me plaisait sans risquer de m’en prendre une.


Elle me prit par la main et me demanda de la suivre :



Me lever, alors là, elle ne manquerait pas de voir l’érection qui déformait mon pantalon. Elle tira fort sur ma main, vaincu je m’exécutai. À peine debout, je vis son regard se poser sur la bosse de mon sexe, elle n’y prêta pas attention ou du moins n’en fit pas cas. Je la suivis, comme hypnotisé vers la salle de bain. Une fois dans la pièce, elle me fit asseoir sur le rebord de la baignoire, prit un gant de toilette, l’humidifia et le passa sur mon visage. Je sentais sa main effleurer ma joue.



Bredouillant, je lui répondis :



Elle reposa une main sur ma cuisse, mais plus près de mon entrecuisse, s’approchant doucement de mon sexe, sa main glissa doucement.



Sans plus cacher ses intentions, elle posa sa main sur le gonflement.



Elle glissa sa main sous mon jean, caressa mon sexe à travers le boxer en me regardant droit dans les yeux. Elle s’approcha de moi, déposa un baiser sur mes lèvres puis murmura à mon oreille :



Elle se leva et repartit vers le canapé du salon, je la suivis, les yeux rivés sur ses fesses. Elle se retourna, m’embrassa et fit glisser jean et boxer au sol puis me fis asseoir dans le canapé. Toujours en soutenant mon regard, elle saisit le bas de sa robe la remonta et finit par la faire passer au-dessus de sa tête. Elle m’apparut alors, seulement vêtue de ses bas noirs et ses talons. Elle s’approcha de moi, prit appui sur mes cuisses, ses mains me caressant doucement.


Elle se pencha en avant et posa ses lèvres sur mon gland, s’agenouilla. Elle fit glisser plusieurs fois sa langue le long de ma tige tendue, puis la prit en main et l’enfila dans sa bouche. Je ne pus retenir un soupir de plaisir tellement la sensation était agréable. Elle s’agenouilla, cuisses grandes ouvertes, impudique, et reprit sa fellation, elle glissa une main entre ses cuisses et, me fixant d’un regard aguicheur, commença à caresser ses lèvres avant de jouer avec son clitoris. Ses lèvres glissaient sur ma queue tendue, je sentais sa langue jouer avec mon gland, elle l’aspirait à chaque fois qu’elle l’enfonçait dans sa bouche. J’étais aux anges, je caresserais ses cheveux et imprimais la cadence de sa succion sur mon sexe. Elle s’exécuta, comme soumise à mes désirs.


Sa main quitta sa chatte pour remonter sur ses seins qu’elle caressa, jouant avec les tétons, les faisant rouler entre ses doigts. Je les vis gonfler de plaisir sous ses caresses et elle gémit. Je lui pris la tête entre les mains, elle cessa de me sucer, s’appuya sur mes cuisses, se redressa et vint m’embrasser, nos langues jouaient ensemble. Je pris sa poitrine entre mes mains, lui massant les seins, pinçant ses tétons. Elle frémit et ondula sous ces caresses. Elle prit ma main et la posa sur son pubis, je glissai un doigt entre ses lèvres humides et commençai à masser son clitoris, j’enfonçai deux doigts dans sa chatte et commençai à la masturber doucement. Je l’aidai à monter dans le canapé et me glissai sous elle pour aller lécher ce sexe qui n’attendait que ça.


Je posai mes lèvres sur cet antre bouillant de désir, glissai ma langue entre ses lèvres intimes, goûtai le fruit de son plaisir, puis entrepris de lécher et prendre son clitoris entre mes lèvres. Ce contact l’électrisa, elle posa ses mains sur ma tête et appuya pour accentuer ma succion. Je jouai avec son clitoris du bout de ma langue, le mordillai doucement. Ce faisant, je la pénétrai de deux doigts et les fis coulisser en elle, elle gémit son plaisir, ondula du bassin sous les caresses. Je sentis son plaisir couler sur mes joues, tellement elle mouillait. J’accélérai le mouvement de mes doigts dans sa chatte, la défonçant littéralement et lui mangeant le clitoris, elle se cambra, se crispa d’un coup et cria sa jouissance. Elle retomba sur moi, m’enlaça. Nous embrassâmes longuement je lui caressai doucement le dos, laissant le temps au plaisir de redescendre.


Une fois apaisée, elle quitta le canapé, me demanda de me lever. Se colla contre moi et me déshabilla complètement, elle s’allongea alors sur le tapis du salon, me tendit la main et m’invita à la rejoindre. Je l’enjambai et vins poser ma bouche sur son sexe chaud et humide. Je lui léchai de nouveau la chatte, jouant avec son clitoris de ma langue. Elle prit mon sexe en main et le guida vers sa bouche et l’engouffra profondément, laissant glisser sa langue sur ma tige au fur et à mesure qu’elle l’avalait. Elle me branlait au même rythme que ses lèvres coulissaient sur ma queue. Chaque fois qu’elle sortait de sa bouche, sa langue jouait avec mon gland, le léchait, le titillait. Pendant que je m’occupais de son clito, j’enfonçai profondément deux doigts en elle et commençai de rapides va-et-vient en elle. Son plaisir montait, elle soulevait son bassin pour venir à la rencontre de mes doigts chaque fois que je les enfonçais.


Après quelques minutes de ce traitement, je l’entendis me dire :



N’attendant que ça, je quittai la position pour aller me placer entre ses cuisses, qu’elle écarta largement. Je m’allongeai sur elle. Elle saisit ma queue bien dure, se caressa les lèvres et le clitoris avec avant de la guider en elle en me regardant droit dans les yeux. Je la pris d’un grand coup de reins, profondément, restai un moment immobile dans cet antre à la fois doux, chaud et humide. Alors que je commençai de lents va-et-vient, elle m’embrassa fougueusement, noua ses jambes derrière mon dos, appuyant et accentuant la pénétration à chaque fois.



Je m’exécutai, sentant qu’elle n’attendait que ça, un peu de fougue de ma part. Mes couilles claquaient sur son cul à chaque fois que je m’enfonçais en elle, elle gémissait de plus en plus fort. Je sentis ses ongles s’enfoncer dans mon dos et me griffer, elle se crispait à chaque coup de reins. Le plaisir montait vite, elle vint me mordiller l’oreille et me murmurer :



Je me retirai de sa chatte, la queue luisante de son plaisir. Elle s’agenouilla devant moi. Je la pris dans mes bras et l’embrassai longuement, lui caressant le dos, les fesses. Je glissai un doigt dans son sillon et le posai sur son anus, le massai doucement. Elle se mit à quatre pattes, m’offrant son cul, impudique. Je vins derrière elle, et entrepris de lui lécher son petit trou, le titiller de ma langue. Je glissai un doigt dans sa chatte détrempée, puis le posai sur ton cul et doucement l’y enfonçai. Je la sentis se tendre au fur et à mesure que mon doigt la pénétrait. Je sentis son cul s’ouvrir à mesure que mon doigt glissait en elle. Je commençai de lents aller-retour, je l’entendis geindre de plaisir.



Je m’agenouillai derrière elle, je pris ma queue en main, la passai entre ses lèvres pour lubrifier le gland, puis vins le poser sur sa rondelle. Doucement, je poussai et lentement mon gland disparut entre ses fesses. Elle respira profondément quand mon gland fut entièrement passé. Je restai sans bouger quelques secondes, le temps qu’elle s’habitue à ma queue puis repris ma poussée pour la prendre jusqu’au fond ; elle se cambra et poussa un long gémissement une fois ma queue enfoncée profondément dans son cul.


Je caressai ses fesses avant de m’accrocher à ses hanches et d’entamer de lents va-et-vient. Mon sexe coulissait doucement dans son cul, très étroit. J’y allais lentement quelques minutes, histoire que son cul s’ouvre un peu et que le passage soit plus facile et moins douloureux. Quand je la sentis s’ouvrir, j’accélérai le rythme, je l’entendis alors me dire :



Il ne fallait pas le dire deux fois :



Et sans plus attendre, je me mis à lui pistonner le cul à grands coups de reins, je sentais mes couilles claquer contre sa chatte. Elle passa une main entre les cuisses et se caressa le clitoris alors que je la défonçais. Dans un élan de fougue, je me mis à lui claquer les fesses, et fut surpris de l’entendre crier de plaisir à chaque fessée.



Elle se déchaînait à mesure que son plaisir montait, je la sentais caresser mes couilles en même temps qu’elle se masturbait, ce qui eut pour effet d’accroître mon plaisir. Je n’allais plus tenir bien longtemps. Je donnais de derniers violents coups de reins avant de ma raidir bien au fond de son cul et le lui remplir de ma semence. Nous avons crié notre jouissance ensemble.


Elle se laissa tomber sur le tapis, essoufflée, ruisselante de sueur. Je m’écroulai à ses côtés, dans le même état. Elle se retourna vers moi, je l’enlaçai et en la regardant dans les yeux, vins poser mes lèvres sur les siennes. Nous restâmes un long moment dans les bras l’un de l’autre, le temps de reprendre nos esprits et nous remettre du plaisir pris ensemble.


Une fois reposés, nous nous levâmes et elle m’invita à prendre une douche, ce que j’acceptai. Elle me conduisit à la salle de bain et nous entrâmes tous les deux sous la douche. L’eau chaude nous fit beaucoup de bien. Elle coupa l’eau et prit l’éponge de douche, y versa du gel douche et commença à me frotter le torse, le dos. S’agenouilla pour passer l’éponge sur mes fesses puis mon sexe, qui réagit à la caresse et se dressa fièrement. Elle le prit dans sa main douce, le caressa en me regardant dans les yeux et me dit :



Elle se releva, me tendit l’éponge imbibée de gel douche et je commençai à lui frotter le dos, la poitrine, je m’attardai sur ses tétons. Ce qui la fit gémir et frémir. Puis passa sur son ventre, ses fesses avant de terminer par son entrecuisse, endroit où je pris un malin plaisir à appuyer la caresse de l’éponge pour la faire réagir.


Une fois rincés, nous sortîmes de la douche, nous nous séchâmes mutuellement. Puis après un dernier baiser, nous retournâmes dans le salon afin de nous vêtir.


Une fois tout remis en place, elle me proposa de prendre un café avant de partir. Elle se dirigea vers la cuisine et revint quelques minutes plus tard avec deux cafés, m’en offrit un puis alla se poser à mes côtés, non sans avoir repris le calendrier. Elle posa une main sur mes cuisses me regarda avec un regard plein de gratitude et de désir.



Elle m’accompagna vers la porte, m’embrassa une dernière fois avant de me glisser une carte dans la main. Je m’empressai de la mettre dans ma poche et m’engageai vers le portail. Une fois un peu plus loin dans la rue, je sortis la carte de ma poche, dessus, elle y avait noté son prénom et son numéro de téléphone. Je me dis à ce moment-là qu’elle avait conservé le calendrier, mais ne m’avait pas donné d’argent. Qu’à cela ne tienne, le moment passé en sa compagnie valait bien tous les calendriers que j’avais sur moi et je repris ma route pour rentrer chez moi, la tête pleine de souvenirs agréables.