Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17741Fiche technique102287 caractères102287
Temps de lecture estimé : 57 mn
16/01/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  À l'époque, la boucherie-charcuterie Bonnet bordait la place de la mairie, où nous jouions tous à l'ombre des grands châtaigniers. Je ne suis resté que 3-4 ans dans ce village, mais il m'a marqué. Sa boucherie surtout.
Critères:  fh fhhh fplusag couple extracon revede exhib intermast fellation préservati pénétratio confession
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Label Bouchère


Histoire imaginée suite à une réflexion de ma chère femme concernant le fait que j’aurais pu faire partie d’une dynastie de bouchers de père en fils… Et aussi d’une certaine photo…





Souvenir artisanal



À l’époque, la boucherie-charcuterie Bonnet bordait la place de la mairie de Corbrecourt, où nous jouions tous à l’ombre des grands châtaigniers, tandis que les anciens devisaient sur leurs bancs. Je ne suis resté que trois-quatre ans dans ce village, mais il m’a marqué. Sa boucherie surtout.


Taciturne, assez grand, bien costaud, Monsieur Bonnet maniait souvent bruyamment la hachette pour découper les viandes et briser les os, et je me souviens que ça nous hérissait les cheveux de le voir manipuler son instrument de la sorte. Son atelier de découpe était parfaitement visible du comptoir. Nous avions l’impression qu’il était un ogre échappé des anciennes légendes. D’ailleurs, certains parents n’hésitaient à menacer leur marmaille récalcitrante de la venue du boucher pour transformer en chair à saucisse les enfants désobéissants.


Autant Monsieur Bonnet pouvait être terrifiant, autant madame Bonnet était avenante, singulier contraste. Brune piquante, pas encore la quarantaine, elle tenait la caisse, servant les clients, et n’était pas avare de ses charmes plutôt pulpeux. Combien de fois dans mes rêves enfiévrés, madame Bonnet a été ma princesse à délivrer de son horrible geôlier !


Je voyais bien que j’avais de la concurrence, car la plupart des hommes du village aimaient faire causette avec la belle bouchère, et lorgnaient avec avidité dans son décolleté qu’elle ne se gênait pas de dévoiler, poussant parfois la coquinerie à se pencher pour mieux qu’on plonge mieux dedans. Inutile de dire que la plupart des femmes de ces hommes du village voyaient ça d’un autre œil que celui de leur mari. Ce qui occasionnait parfois des disputes qui cessaient aussitôt que le taciturne boucher venait voir ce qui se passait. Tandis que tout le monde se dispersait, silencieusement, il hochait la tête, puis regardait longuement sa femme avant de repartir ensuite dans son antre.


Madame Bonnet méritait bien son patronyme, elle avait du répondant sous le cou et derrière la blouse, blouse qu’elle ne mettait pas tout le temps. Ni trop peu ni trop de trop, deux belles masses à faire rêver n’importe quel homme ou adolescent normalement constitué selon les critères de l’époque. Et moi, j’aimais bien me dévouer pour aller cherche la viande ou la charcuterie, rien que pour pouvoir la voir, elle et ses deux monts aux merveilles.




Souvenir profond



En ce mercredi de fin de printemps, sur injonction maternelle, je trottine allègrement vers la boucherie pour y acheter quatre tranches de jambon pour le repas du midi. J’ai largement le temps de faire l’aller-retour avant le déjeuner et avec un peu de chance madame la bouchère sera aujourd’hui dans une robe agréable à l’œil.


Je pousse la porte vitrée et je découvre que je suis le seul client. Je constate avec un immense plaisir que ma jolie bouchère est vêtue d’une petite robe légère qui la met en valeur, et même pas de blouse par-dessus, et les jeux de lumière laissent deviner certaines choses par dessous. Ça met aussitôt de l’animation dans mon ventre et dans ma culotte !



Un peu mal à l’aise, je me tortille sur place. Soudain, à travers la vitre, je la vois se pencher pour choisir un morceau de jambon. Je suis exactement dans l’axe, et j’ai droit à une splendide vue sur son décolleté, sur l’attache noire de son soutien-gorge encadré par deux seins frémissants et appétissants, et comble de la profondeur et du bonheur, je peux voir aussi la douce surface de son ventre, dont la courbe flirte avec le tissu tout proche.


Inutile de dire que cette vision me poursuivra durant des années. Pour l’instant, j’en attrape des bouffées de chaleur et des sueurs abondantes. Je me demande même si je ne vais pas me liquéfier sur place !


Le temps est suspendu, je suis en train de planer entre les monts et merveilles de la belle bouchère, je flotte, je suis ailleurs. Ces seins tout doux, tout mous, qui oscillent délicatement sous les mouvements de leur propriétaire. C’est une vision paradisiaque. Hélas, je suis obligé de redescendre sur terre.



Puis je sors assez précipitamment du magasin, car quelque chose est tendu à mort dans mon caleçon ! À peine suis-je dehors que c’est visiblement les grandes eaux. Je dois me dénicher un coin isolé pour réparer les dégâts. J’ai mis un certain temps pour reprendre une bonne contenance et surtout nettoyer l’inondation !




Souvenir éducatif



Je ne peux pas m’empêcher de penser aussi à un certain souvenir bien vivace à chaque fois que je passe près d’une meule de foin. Non pas mes propres amourettes d’ado, mais à nouveau, à Madame Bonnet.


Je ne sais plus très bien pour quelle raison j’avais traversé ce champ dans lequel il y avait diverses meules de foin, pas loin du chemin des alouettes. Est-ce d’ailleurs important ? Par amusement, j’allais en catimini de meule en meule, comme un espion ou un soldat. Sans doute suite à un film vu récemment. Retournons à cette époque…


À pas furtifs, je vais de meule en meule, je glisse, je furète ; personne aux alentour, tout se présente bien. Rien à droite, rien à gauche, ni en face, je slalome, jouant avec les petits accidents du terrain. Soudain alors que je viens juste de ma plaquer contre une nouvelle meule, j’entends des soupirs et des gémissements venant sur le côté. Intrigué, je m’approche à pas de loup. Me cachant bien, je découvre deux corps plongés dans la meule face à celle qui me sert de paravent. Je ne mets pas beaucoup de temps à constater que c’est Madame Bonnet qui semble offrir ses faveurs à un jeune ouvrier agricole, Didier, celui qui est revenu du service militaire, il y a peu de temps.


J’aurais pu m’enfuir, mais voilà, non seulement il s’agit de Madame la bouchère, les seins à l’air et n’ayant visiblement pas que son arrogante poitrine à nu ! En plus, j’ai droit à la démonstration de quelque chose qui commençait à me travailler, mais que personne ne se décidait à m’expliquer concrètement. Sauf quelques rares filles qui acceptaient de se laisser parfois peloter. Mais là, sous mes yeux, ça allait nettement plus loin que le simple pelotage. Je m’installe donc posément dans la meule, la traversant de part en part, afin que mon corps soit complétement caché, et à travers le treillis de quelques fétus de paille, j’assiste à un spectacle que, jamais, je n’aurais pu découvrir à l’époque à la télé. Sauf peut-être à des heures indues. Et encore…


La robe de Madame Bonnet est réduite à sa plus simple expression : une sorte de ceinture un peu informe mais colorée. Le haut de son corps est nu et blanc, je peux enfin admirer ses admirables seins sortis de leurs « emballages ». Je constate que la poitrine de Madame Bonnet tient largement toutes ses promesses ! De belles masses blanches, un peu lourdes mais fermes, si j’en crois les mains rapaces et avides de l’ouvrier agricole. Celui-ci est très occupé à masser ces magnifiques seins, et à les dévorer de temps à autre. Que j’aimerais être à sa place ! C’est le chambardement plus bas dans mon pantalon, une révolution comme je n’en ai jamais eue !



C’est à la faveur d’un petit changement de position que je constate que la belle bouchère infidèle est tout aussi dénudée sous le nombril. Ses jambes bien galbées sont nues, et je découvre entre ses cuisses ouvertes un petit nid plutôt fourni que je n’ai pas trop le loisir d’admirer car une large main se pose dessus pour le farfouiller.



Elle se place un peu sur le côté, ce qui me permet de voir à présent la courbe de sa fesse émergeant de la paille. Je voudrais fermer les yeux, pour mieux me contrôler, mais je ne peux détacher mon regard de tout ce beau spectacle lascif. Je regrette de ne pas être plus vieux, et de pouvoir prendre la place de ce chanceux de Didier !



Il se redresse un peu, abaissant son pantalon, puis il s’allonge sans vergogne entre les cuisses fraiches de la bouchère. Celle-ci hulule de plaisir, enserrant ses jambes autour de son envahisseur qui commence à la pistonner furieusement. Il grogne, il gronde, elle brame, elle glapit. Soudain, c’est un déferlement de gros mots qui retentit de la meule de foin où s’agitent deux corps en folie !



J’ignorais qu’on puisse trouver du plaisir en jurant de la sorte, mais je découvre que ça fait beaucoup d’effet ! Un peu trop d’effet, car je sens que j’ai de plus en plus de mal à me retenir, je serre les lèvres comme je peux pour me contenir.


Ah, je vais t’en foutre partout, partout ! Je vais te remplir à fond, ma belle pute !

Oh oui, remplis-moi, mets-moi du foutre partout !

Tu vas voir, grognasse ! Je vais te limer avec ma pine, tu ne pourras plus marcher pendant des jours !

Ah oui, vas-y ! Défonce-moi, mon gros salaud ! Vas-y !


C’est dans un brouillard que j’entends un premier cri, comme un long râle. Celui-ci est suivi peu après d’un autre plus ténu. Didier a le corps tendu comme un arc prêt à rompre, son amante est comme en convulsion, puis ils jouissent ensemble dans un long cri bestial, comme brisés en mille morceaux.


Le plus silencieusement possible, je m’enfuis, sans assister à une éventuelle suite. Alors que je rejoins la route, je suis assez chamboulé, mais finalement plutôt content d’avoir pu assister à cette démonstration in visu et in situ. Ma première leçon…



Maintenant



Maintenant que j’ai bien des années en plus, il m’arrive toujours de temps à autre de penser avec émotion à mes premiers émois, à cette belle Madame Bonnet. Parfois, il m’est arrivé de demander à ma conquête du moment de jouer les accortes bouchères. Certaines m’ont traité de malade, voire de grand malade ou de dégénéré, d’autres ont joué le jeu avec un certain amusement. Avec le recul, je reconnais avoir recherché dans mes compagnes le souvenir de cette excitante bouchère mature.


Puis un beau jour, un début de printemps, un midi précisément, dans la rue, alors que j’étais, une nouvelle fois de plus, redevenu célibataire, le choc de ma vie !


Soudain, alors que je flânais près de la librairie, arrive vers moi, une femme de mon âge qui ressemble trait ou trait au fantasme de mon jeune temps ! Même visage, mêmes cheveux, même poitrine arrogante, même allure générale, même tout ! C’est hallucinant ! Hébété, je la regarde passer devant moi. Puis, me retournant, je la contemple s’éloigner, son mignon popotin enrobé dansant sur ses jambes graciles.


Le temps de reprendre mes esprits, mon inconnue est déjà assez loin, je décide de la suivre, car c’est trop… ahurissant, prodigieux ! Je la piste durant quelques minutes, manquant par deux fois de la perdre dans la foule. Par chance, elle se dirige à présent vers le grand parc. Alors que je suis planqué derrière un arbre, je la vois qui s’assied sur un banc et qui extirpe de son sac un sandwich.



Stressé, je m’adosse à l’arbre. Il faut que je prenne contact avec cette femme. Ce serait sans doute la connerie de ma vie si je la laissais partir, sans avoir tenté au moins une rencontre. Mais mon cerveau est complètement vide d’idées, et je ne peux pas l’aborder comme ça, en lui disant qu’elle ressemble trait pour trait au fantasme de mes jeunes années ! Quoique, au pire, je peux tenter cette approche qui aura au moins le mérite de la sincérité.


N’empêche que je me tâte toujours. Pas évident ! Je m’adosse à l’arbre. Je me questionne sur cette ressemblance. Je ne me souviens pas avoir vu un enfant, une fillette, chez les Bonnet. Peut-être une nièce dans ce cas, et habiterait par ici, malgré la distance, car Corbrecourt est à au moins cent cinquante kilomètres d’ici.


Oh et puis zut (pour rester poli), je décide de me lancer. Et tant pis si je me récolte un râteau. Après avoir respiré un grand coup, je quitte mon arbre, me dirigeant droit vers le sosie de mon fantasme de jeunesse. Arrivé face à elle, je bredouille tant bien que mal :



Elle lève le nez, me scrute de haut en bas, puis elle consent à me répondre :



Calmement, elle repose son sandwich sur son emballage :



Je ne peux quand même pas lui dire qu’elle ressemble à une femme qui a été mon fantasme vivant, il y a vingt ans environ. Mais je peux quand même lui avouer qu’elle est justement mon type de femme, sans rentrer dans certains détails qu’il vaut mieux taire.



Amusée, elle s’adosse au banc :



Ah zut, je dois passer pour un abruti de dernière catégorie ! Je réponds néanmoins :



Posant son doigt sur sa bouche, elle laisse passer un peu de temps avant de répondre. Visiblement, cette situation biscornue l’amuse :



Elle semble réfléchir. Moi, toujours debout devant elle, j’attends. Puis je m’accroupis pour mettre mon visage à la hauteur du sien. Elle me scrute comme pour tenter de lire en moi. Puis elle pose ses mains sur le banc, de part et d’autre de ses jambes :



Aie, ça commence mal ! Une lueur curieuse dans les yeux, elle poursuit :



J’essaye de couper court :



Alors, je me suis assis et je suis resté avec elle pendant qu’elle finissait son repas. Ensemble, nous sommes revenus au pied de l’immeuble de son entreprise. Puis nous nous sommes revus quelques heures plus tard. J’étais sur un petit nuage.




Premiers pas



J’ai enfin mis la main sur la femme de mes rêves, la parfaite copie conforme de celle qui a bercé mes émois d’ado, et j’ai mis le paquet pour la conquérir, car c’est elle que je voulais, rien qu’elle. Les femmes aiment bien quand on les traite en princesses. Dans le cas de Joëlle, ce serait plutôt en duchesse, suite à un jeu de mots facile sur son patronyme. C’est d’ailleurs devenu un petit jeu entre nous.


Joëlle reste souvent étonnée de l’ardeur que je lui manifeste. Je lui réponds qu’elle est la femme de ma vie, et qu’il est normal que je sois aussi enthousiaste à son sujet. Elle demande alors si je ne suis pas trop déçu, car il existe une marge entre rêve et réalité.


Elle m’a assez vite avoué qu’elle avait accepté de me fréquenter, car elle trouvait un peu étrange, mais gratifiant d’être une femme idéale. Et qu’elle ne détestait pas se laisser adorer de la sorte. Puis un beau jour, elle m’a fait comprendre à sa façon qu’elle m’aimait plus que bien. Ce fut alors l’un des plus beaux jours de ma vie. L’une des plus belles nuits aussi. Je me souviens d’une de ses réflexions juste après que je lui ai témoigné ma gratitude :



Je lui ai alors proposé de varier nos jeux, afin qu’elle puisse se reposer parfois. Elle a été intriguée, puis ça lui a plu. C’est ainsi que nous jouons à la marchande maraude, à l’infirmière vicieuse, et bien sûr, à la bouchère accorte. Et pas que ça. Je ne vais pas tout vous dévoiler, je vous laisse deviner.


En parlant de bouchère accorte, assez vite, pour en avoir le cœur net, un beau jour, je lui ai demandé le métier de ses parents, comme ça, innocemment. À la va-vite, elle m’a répondu qu’ils avaient travaillé dans un supermarché et qu’ils étaient actuellement à la retraite tous les deux. Je me suis alors dit que ses parents ne pouvaient pas être ceux à qui je songeais : pas le même métier, et de plus, Madame Bonnet doit avoir actuellement moins de soixante ans, puisqu’elle en avait moins de quarante à l’époque où je l’ai connue, il y a vingt ans, et je sais encore faire une addition. J’ai alors songé à une quelconque parenté. D’après ce que j’ai pu comprendre, la mère de Joëlle est fille unique, elle-même fille de fille unique. Donc raté. J’en ai conclu que le hasard fait bien les choses, et que deux femmes peuvent se ressembler, aucun lien de parenté ne les reliant, ressemblance dont je ne vais pas me plaindre, surtout si je peux profiter de l’une d’elles éhontément !




Couple et plus



Je suis très bien tombé avec Joëlle, elle a le sang chaud et dans le bon sens du terme. Non seulement elle ressemble à ma fameuse Madame Bonnet, et depuis qu’elle est en confiance avec moi, elle semble avoir une prédilection à aimer se mettre en valeur. Sans doute nos jeux de rôle un peu particulier. Un jour, alors que je lui posai la question :



Je rigole franchement :



Elle sourit mystérieusement :



Je la capture dans mes bras :



Et nous nous embrassons. La vie est simple et facile ainsi. Joëlle est assez différente de mes précédentes conquêtes et compagnes. Elle est nature, vraiment gentille, parfois chipie, quelquefois un peu perverse à ce que je découvre d’elle petit à petit ; bref, du tout bon.


Quelques jours plus tard, alors que nous attaquons notre petit déjeuner après une nuit qui avait été plutôt mouvementée, tartine de confiture en main, elle demande :



Posant ma cuillère, je soupire :



Elle dodine de la tête, puis lâche :



Je sens que ça va être moins innocent que prévu, je repousse mon bol sur le côté. Inquiète, elle me regarde du coin de l’œil. J’approche ma tête de la sienne :



Quelque part, ça ne m’étonne pas de trop, mais en avoir confirmation me surprend quand même un peu. Restant pondéré, je continue :



Spontanément, sa réponse fuse :



Puis aussitôt, elle se reprend :



Je respire un grand coup. Elle me regarde un peu inquiète. Délicatement, je prends son menton entre mes doigts :



Joëlle me regarde avec des gros yeux ronds :



Je colle mon front au sien :



Elle me regarde fixement, avec un certain sourire, puis finit par dire :



Radieuse, elle se lève, pour venir se plaquer contre moi :



Je n’ai pas le temps de répondre, elle m’embrasse fougueusement. Je réplique illico à son baiser par un autre encore plus ardent.




Premier essai



Il ne faut pas répéter trente-six fois la même chose à Joëlle, elle comprend en général très bien du premier coup, surtout quand ça va dans son intérêt et de sa libido. À peine deux jours après ma bénédiction sur le fait d’aller éventuellement voir ailleurs, alors que nous sommes tous les deux attablés, elle souhaite m’entretenir de la chose :



Elle me regarde avec des yeux ronds :



Devant ces informations qui la contrarient, Joëlle secoue la tête :



Elle me dévisage, me scrute, puis devient songeuse. Peu après, elle dit :



Elle rigole franchement :



Amusé, je lève les yeux au ciel :



Joëlle se lève et vient se mettre à côté de moi. J’en profite pour l’enlacer. Elle devise :



Et nous nous embrassons très voluptueusement. J’ai vite compris que Joëlle a sa façon à elle de me remercier que je lui donne ma bénédiction pour des choses qui sortent de l’ordinaire. Et bien sûr, j’en profite allègrement, la nuit surtout !


Le lendemain soir, de retour du boulot, alors que nous sommes à nouveau ensemble, toute joyeuse, elle m’avoue :



Je fais ce qu’elle me dit, elle s’installe carrément sur mes genoux, je l’enlace, et ses bras autour de mon cou, mon infidèle me raconte ses frasques…


Je décide d’aller voir ce fameux Lionel durant l’heure du midi. Je sais qu’il ne devrait pas y avoir trop de monde, surtout un mercredi, le jour des enfants. En effet, quand j’arrive, le magasin est vide. Je fais semblant de m’intéresser une combinaison. Mais le vendeur ne bouge pas de son comptoir. Je reconnais qu’en général, j’apprécie beaucoup qu’on me fiche la paix, mais là, j’ai besoin de lui.


Du coup, prenant la combinaison, je viens vers lui, et je lui demande carrément :


  • — Vous en pensez quoi sur moi ?

Il bafouille, me disant que ça me va très bien. Je lui demande alors si je peux essayer cette combinaison. Rougissant de plus belle, il me désigne les cabines d’essayage. Je me dirige donc vers l’une d’elles pour essayer. Ce que je fais.


Quelques instants après, je l’appelle. Peu après, j’entends sa voix un peu tremblotante derrière le rideau qui me demande si tout va bien. J’ouvre celui-ci d’un seul coup, lui demandant :


  • — Alors, qu’en pensez-vous ? Ça me va bien ?
  • — Xgrpf !
  • — Euh… c’est-à-dire ?
  • — Kfplxmr…

Faut dire que j’ai mis la dose. J’ai enlevé tous mes habits, je ne suis vêtue que de cette fameuse combinaison, et celle-ci est plutôt transparente. J’aurais pu faire pire avec des beaux bas sombres, mais en cette fin de printemps, ce n’est pas très conseillé.


Amusé par la tournure des événements, je plains cet infortuné vendeur :



Pour m’expliquer pourquoi, elle continue son récit, ses doux seins collés sur ma poitrine :


Il bafouille peut-être, mais il mate joyeusement. De plus, je vois bien que son pantalon m’indique une certaine marque d’intérêt envers ma personne. C’est alors que je me décide à y aller franco. C’est d’ailleurs la toute première fois que j’y vais si joyeusement ! Peut-être que je savais que je n’avais pas grand-chose à craindre de ce pauvre vendeur. Et puis jouer les initiatrices voraces me plaît bien, même si je sais qu’il ne doit plus être puceau, même s’il en a quand même l’air.


Je continue mon petit manège de bon cœur, je m’approche lascivement de ma proie, mon regard ostensiblement rivé sur son entrejambe gonflé :


  • — Oh oh ! Seriez-vous intéressé ?
  • — P-pardon, Madame ? Je… je ne comprends pas bien…
  • — Pas de Madame pour toi ! Joëlle !

Je l’attrape carrément par la cravate. Il passe de rouge à écarlate, je me demande même s’il ne va pas tomber dans les pommes, tellement son teint est devenu rubicond vif ! Je ne pensais pas qu’un visage puisse être de cette couleur !


Bref, je te l’attrape par la cravate et je dirige son nez illico entre mes seins ! Le vendeur pousse une sorte de couinement étranglé, il reste immobile, comme transformé en statue de sel, puis enfin il se décide à poser ses deux mains sur mes lolos. Il les masse délicatement, en teste le moelleux, tâte du pouce mes tétons. Puis il se fend d’un timide :


  • — Je peux vraiment ?
  • — T’es dur à la comprenette ! Bien sûr que tu peux !
  • — Ah euh… merci beaucoup, Madame !

Le plus amusant est qu’il reste poli, bien qu’il ait le nez entre mes seins, ses deux mains sur ma poitrine, et que je sois à moitié nue. Afin d’éviter certains problèmes, à reculons, je retourne dans la cabine d’essayage ; il ne s’agirait pas que des clients arrivent maintenant et tombent sur ce singulier spectacle peu approprié à un honnête magasin de vêtements, fut-il de lingerie féminine.


Après quelques baisers sur la peau douce de mes seins et quelques agaceries sur mes tétons, le nez toujours plongé entre mes deux monts, il demande à nouveau :


  • — Je peux, je peux vraiment ?
  • — Oui, tu peux ; tu peux tout prendre !
  • — Je peux tout prendre ? Tout ?
  • — Bien sûr que oui, c’est fait pour ça, non ?
  • — Oh merci beaucoup !

Je m’aperçois qu’il y a des choses, des mots plutôt, qu’il convient de choisir avec précaution. Le mot « tout » semble avoir un effet d’enfer sur Lionel ! Il se déchaîne, sa bouche me couvre de baisers, ses mains se baladent partout, et en un temps record, sans que je comprenne bien comment, je me retrouve toute nue entre ses bras !


Je hoche la tête, je sais que certains timides sont capables de s’embraser. Joëlle sourit rêveusement à ce souvenir qu’elle me raconte. Je lui demande :



Et elle continue sa narration.


Je me laisse emporter par le tourbillon de ces caresses et de ces baisers brûlants sur mon corps. C’est très agréable, c’est excitant, c’est plein de choses à la fois ! Soudain, Lionel me fait asseoir sur l’espèce de pouf qu’il y a dans la cabine et vient se nicher aussitôt entre mes jambes, et là, il attaque un très bon et délicieux cunnilingus ! Ce petit salaud cache bien son jeu, son coup de langue est carrément divin. Je sais bien que l’excitation du moment joue beaucoup, mais il sait y faire, et ça, je ne m’y attendais pas ! En tout cas, c’est très bon, totalement exquis !


Je mouille comme pas possible, il me lape à grands bruits. Je plonge mes doigts dans ses cheveux pour presser ses lèvres contre les miennes. Il fourrage entre mes plis, à l’orée de mon entrée, pour mieux revenir ensuite autour de mon clitoris exacerbé. Je respire à grands coups, la bouche ouverte, les yeux mi-clos ; c’est tellement bon !


Soudain, je pars dans un grand cri, je jouis comme une petite folle, intensément, puissamment. Sa langue continue sa torture, c’est à la fois délicieux et infernal. Je le repousse, car je n’en peux plus ! Toujours assise sur le pouf, le corps agité de soubresauts, je laisse la jouissance m’envahir, me dépasser, me submerger ! C’est fou !


Je suis un peu abasourdi par ce qu’elle me raconte ! Elle en rajoute une louche ou elle rapporte simplement les faits ?



Elle continue :


Eh bien, nous avons recommencé ! Ce fut tout aussi intense ! C’est moi qui lui ai abaissé son pantalon et son caleçon pour débusquer une queue bien raide, ni trop grande, ni trop petite, normale, mais agréable au toucher, une peau de bébé ! Pendant que nous nous embrassons, ses lèvres maculées de ma cyprine, je le branle doucement, mais fermement. Parfois, il gémit.


Je continue ma caresse insidieuse, utilisant mon autre main pour caresser ses couilles toutes douces et presque sans poil. On dirait un grand ado, mais un grand ado bien formé quand même ! Je le taquine, je joue avec son service trois pièces. Il gémit de plus belle. Soudain, il murmure :


  • — Je… je ne vais pas résister longtemps !

Je le lâche précipitamment, il ne s’agirait pas qu’il balance déjà tout maintenant ! Je recule un peu, il semble déçu. Je le rassure bien vite :


  • — T’inquiète, j’ai prévu autre chose de meilleur !
  • — Ah bon ?

Sans complexe, je m’agenouille devant lui, il semble stupéfait. J’enfourne sans chichi son chibre bien garni, et je commence une belle fellation. Il gémit à nouveau, un crantage au-dessus, je parie qu’il adore ça ! Il adore tellement ça que sa verge vibre littéralement sous mes coups de langue et que déjà du sperme fuite de son méat. Alors, vicieusement, j’accentue ma torture, et le résultat ne se fait pas attendre, il s’affole :


  • — Non, je… ça… ça va sortir ! Arrêtez ! Stooop !

Mais hélas pour lui, je deviens encore plus vicieuse ! Une vraie garce ! Alors, n’y tenant plus, dans un grand râle, il éjacule entre mes lèvres voraces. Je suis un peu étonnée de l’abondance de sperme qui envahit ma bouche, on dirait qu’il ne s’est pas vidé depuis des mois, voire des années ! C’est impressionnant ! Je me demande où il a pu stocker toute cette semence !


Pendant de longs instants, il continue de se vider dans ma bouche, tandis que j’avale tant bien que mal toute cette production ! Puis le flot se tarit, Lionel s’apaise ; moi, j’en profite pour respirer un peu, car j’ai bien cru sur le moment de devoir boire plusieurs hommes en même temps !


Je me demande si ma chère et tendre n’en rajoute pas un peu ! Elle est en train de me dire que Lionel est une fontaine à foutre ! Je ne cache pas que je suis assez circonspect :



Joëlle ne m’a rien caché de ses ex et de ses diverses aventures. En effet, elle n’a pas eu qu’un seul partenaire sexuel dans sa vie, et elle a même eu une vie assez débridée lors de ses études universitaires ; elle voulait goûter à tout, ce qu’elle a fait. C’est à cette époque qu’elle a compris qu’elle ne pouvait pas vraiment se contenter d’un seul homme, et que même si elle aspirait à trouver le grand amour, il lui faudrait de temps à autre s’envoyer en l’air dans les bras d’autres mâles de passage.


Voyant que je suis satisfait de sa réponse, elle poursuit alors sa narration à l’endroit où elle l’avait laissée quand je l’ai interrompue :


Bref, nous récupérons tous les deux. C’est lui qui prend la parole en premier :


  • — Vous… vous avez tout avalé ?
  • — Oui, et sans perdre une goutte !
  • — Ah bon ! ? Tout ! ?
  • — Eh oui ! Mais dans ton cas, ça débordait ! Tu avais fait des réserves ou quoi ?

Pour toute réponse, il rougit. Je ne sais pas bien pourquoi, mais ça m’attendrit et ça m’excite en même temps ! Résultat, je lui saute dessus, et c’est reparti pour une série de bisous-câlins, agrémentée de tout-à-tout ! Ce donc je ne me prive pas et lui aussi, car il semble y prendre nettement goût, et avec parfois un naturel assez confondant. Mais ne dit-on pas que les timides sont souvent très audacieux ?


Il ne faut pas beaucoup de temps à Lionel pour retrouver une forme olympique. Voyant ses bonnes dispositions, je lui tends un préservatif emballé. Interloqué, il marque un temps d’arrêt, rougit un peu, puis se décide à l’enfiler. Je constate qu’il le met avec une certaine aisance, ce qui me fait douter de sa naïveté en la matière. Mais qu’importe !


Je lui désigne l’espèce de pouf qui est dans la cabine :


  • — Assieds-toi. Oui, là.

Il s’exécute, bite bien dressée vers le plafond et ses lumières. Sans plus de circonvolutions, je l’enjambe puis je m’accroupis posément sur son pieu, de part et d’autre de ses cuisses. Celui-ci entre en moi avec une facilité déconcertante. Il est vrai qu’il est de taille normale et que je suis complètement trempée et excitée. Je pousse un soupir de soulagement :


  • — Waaa ! Enfin !
  • — Ça… ça va ?
  • — Bien sûr que ça va ! Une bonne queue au bon endroit, c’est divin !
  • — Si… si vous le dites…
  • — Tu ne crois pas que tu pourrais me tutoyer, après ce qu’on vient de faire ?
  • — Euh… si vous voulez…

Bien calée sur sa bite bien raide, je m’esclaffe :


  • — T’es irrécupérable dans ton genre !
  • — Excusez-moi… mais je n’ai pas trop l’habitude qu’une jolie cliente me saute dessus comme ça… C’est assez inattendu !
  • — C’est justement ça qui fait les joies de la vie, non ? Allez, fais-moi bien sentir que tu as envie de moi ! Mets-la-moi bien profond !

Et là, ayant compris ce que j’attends de lui, il se met tout de suite à l’œuvre, mettant ses mains sous mes cuisses, me soulevant puis me reposant sur sa queue bien dure. En peu de temps, il me pistonne furieusement tandis que je l’aide, m’empalant fougueusement, afin de bien le sentir en moi, au plus profond, sans fioriture, bestialement, avidement. À nouveau, il cale son nez entre mes seins qui tressaillent, les léchant, les baisant, les mordant. Il ne me faut pas longtemps pour sentir venir à nouveau ma jouissance. Elle éclate peu de temps après, et dans le brouillard du plaisir dans lequel je baigne, je l’entends jouir lui aussi.


Et c’est franchement bon d’être synchrones de la sorte, ses cris, mes cris, nos plaisirs ! Aller au septième ciel est une expression qui s’applique parfaitement !


Nous faisons quelques autres agaceries, je ne vais pas tout détailler, mais Lionel se révèle être un bon coup, contrairement à ce que son aspect de prime abord laisse supposer. Quelque part, tant mieux, on ne me le piquera pas de sitôt !


Nous nous sommes rhabillés, l’heure tourne, hélas. Nous parlons d’un peu de tout quand soudain, mon amant du jour m’annonce tout de go :


  • — Je t’aime, tu veux m’épouser ?
  • — Pardon ! ? Tu veux quoi ?
  • — Je veux t’épouser, une femme comme toi, on ne la laisse pas passer !

Ah zut ! Pourtant, j’étais prévenue. C’est flatteur, d’ailleurs, ça me rappelle une certaine rencontre, il y a quelques mois. Néanmoins, je remets tout de suite les pendules à l’heure :


  • — Taratata, Lionel. Merci pour ta proposition. Tu me plais bien, mais je suis déjà avec quelqu’un avec qui tout va pour le mieux, et je ne compte pas changer de bonhomme. Et puis, on n’épouse pas comme ça une femme qu’on ne connaît que depuis à peine une heure !
  • — Ah bon ? Mais alors… pourquoi tu… ?
  • — Écoute, je veux bien venir m’amuser avec toi de temps en temps, mais rien de sérieux. Pour tout te dire, j’ai décidé que tu serais mon petit grain de folie. Et mon homme est OK.

Là, il commence à bouder :


  • — Ton jouet, en quelque sorte…
  • — Mon toyboy, comme on dit. Tu vois, je suis honnête avec toi. Toi, tu me plais, tu me donnes envie de te tripatouiller de partout, de faire des tas de choses. Maintenant, si les termes du contrat ne te conviennent pas, tant pis, j’irais voir ailleurs.

Il est tout songeur. Timidement, levant le doigt comme un écolier, il demande :


  • — Juste une question, Joëlle…
  • — Vas-y, je t’écoute…
  • — Pourquoi moi ?
  • — Et pourquoi pas toi ? Tu me plais bien, je te l’ai déjà dit, et c’est suffisant comme explication. Mais ne crois pas que je fais ça avec n’importe qui. Je dirais même que tu es en quelque sorte le premier. Voilà, tu sais tout. Bon, il va falloir que j’y aille.
  • — Déjà ?
  • — Je te signale que nous sommes restés presque une heure ensemble. Je peux revenir lundi, pas avant.
  • — Lundi, c’est fermé… Mais je peux venir rien que pour toi. Mais il faut me téléphoner avant pour que je sache quand tu viendras. Ah, voici le numéro du magasin…

Il me tend une carte de visite qu’il vient d’extirper de sa poche. Je la prends :


  • — Merci… C’est pas une mauvaise idée, ça ! On aura donc tout le magasin pour faire des cochonneries ?

Il rougit fortement, mais la réponse est oui. Je m’approche de lui, je lui colle un baiser bien mouillé sur les lèvres, puis je m’enfuis vers la sortie, en lançant un « bye-bye, à lundi, même heure ». Il reste planté, là, sur place, un sourire béat sur les lèvres.


Toute guillerette, Joëlle reprend son souffle, puis conclut :



En effet, ce fut épique. Je découvre que c’est très excitant d’entendre sa compagne relater comment elle s’est fait posséder par un autre homme et comment elle a joui avec lui. Serais-je candauliste ? Je lui demande :



Elle me dévisage, un peu inquiète ; je la rassure bien vite :



Très conciliante, Joëlle se fait un plaisir de m’exaucer aussitôt. C’est d’ailleurs un baiser très torride, très vorace ! Momentanément, nos lèvres se détachent, elle murmure :



Puis elle plaque avidement sa bouche contre la mienne, m’offrant un baiser très suave et profond, laissant ses mains s’égarer partout. En peu de temps, je me retrouve torse nu, elle aussi, ses seins lourds et chauds écrasés contre ma poitrine, nos lèvres toujours soudées. À ce tarif-là, je veux bien prêter ma dulcinée tous les jours !




Jeu de rôle



Mettre la main sur certains types de commerce, comme une boucherie-charcuterie, n’est pas aisé. De ce fait, nous nous sommes rabattus sur d’autres idées. C’est Aldo, un épicier de produits italiens, qui nous prête ce soir son petit négoce, et ça tombe bien, il vend aussi du jambon et autres charcuteries d’outre-alpes, ce qui fera un peu illusion.


Nous avons aussi contacté quatre personnes qui joueront les clients. Ce qui fera six clients, dont une cliente, en comptant l’épicier et moi-même. L’épicier vient d’expliquer à ma chérie quelques ficelles de son métier afin de paraître plus véridique. De mon côté, j’ai installé à divers endroits du petit magasin trois caméras pour immortaliser l’événement. La miniaturisation a du bon, sans perte de qualité, je le constate sur l’écran de mon ordinateur portable qui relaie sans problème les trois vidéos par wifi, les joies de la technologie numérique. De mon côté, tout me semble OK. Je demande à Joëlle :



Les « clients » attendent à l’entrée, côté intérieur, le volet métallique étant abaissé afin que nous ne soyons pas importunés. Ma chérie part se changer. Je rejoins les clients pour débuter ce jeu de rôle particulier et préciser à nouveau quelques points de détail. Alors que nous discutions de choses pratiques, je vois soudainement un sourire se dessiner sur le visage de mes interlocuteurs ; je me retourne, Joëlle vient de revenir dans sa tenue d’épicière. Moi-même, j’ignorais comment elle allait se vêtir, elle m’avait dit que c’était une surprise. En effet, c’est une belle surprise !


Ma chérie est plutôt court vêtue avec une jupette plissée. Quelque chose me dit que si elle tourne sur elle-même, on verra sans problème ce qu’il y a en dessous. Au-dessus, un chemisier à carreaux blancs et roses (genre « Belle des champs », pour ceux qui s’en souviennent), dont l’échancrure est très prometteuse ! Et plus elle s’approche de nous, plus nous pouvons constater qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge par-dessous, ce qui fait que ses deux masses laiteuses ondulent à chaque pas sous le chemisier. Sans parler de ses tétons nettement apparents sous le tissu plutôt léger…


Joëlle s’installe derrière le comptoir, prête à tenir son rôle de marchande sexy. Je constate que la plupart de mes interlocuteurs masculins ont le chapiteau déjà dressé. Il faut dire que ma compagne est totalement affriolante dans ses vêtements. Aldo se penche sur moi :



Je me mets à la place d’Aldo, il y a en effet un bon créneau avec ma femme en commerçante, tout comme l’était Madame Bonnet antan… En attendant, nous avons un jeu de rôle grandeur nature à concrétiser. Et j’espère que tout ira bien.


Le jeu commence et je constate que cette tenue va trop à ravir à ma chérie : mon caleçon est déjà trop étroit ! Les jeux de lumière laissent deviner certaines choses par dessous. Ça met visiblement en émoi les différents participants !


Joëlle joue parfaitement son rôle, commerçante et minaudante. Souvent, elle se penche pour saisir l’article demandé. Comme quand j’étais jeunot dans cette fameuse boucherie-charcuterie, je suis exactement dans l’axe, et j’ai droit à une splendide vue sur son décolleté qui laisse découvrir par deux seins frémissants et appétissants. Et ravivant des souvenirs torrides, je peux voir aussi la douce surface de son ventre, dont la courbe flirte avec le tissu tout proche. Que de souvenirs qui revivent maintenant, c’est effrayant et excitant !


Comme avant, le temps est suspendu, je suis en train de virevolter entre les monts et merveilles de cette belle épicière, je flotte, je suis ailleurs. Ah ces seins tout doux, tout mous, qui oscillent délicatement sous les mouvements de leur propriétaire. C’est une vision paradisiaque ! D’autant que ces merveilles-là, j’en use et j’en abuse tous les jours !



Pour l’instant, je ne suis pas le seul à profiter, les pseudo-clients semblent beaucoup aimer, eux aussi, et même Alice, la seule autre femme présente. Bref, ils ne se gênent pas pour zieuter abondement dans le large décolleté offert ; sans parler du fait que deux douces masses qui tremblotent au moindre mouvement, ça fait aussi son effet !



Et c’est ainsi pendant un certain temps, une atmosphère bon enfant, mais remplie de sous-entendus graveleux, égrillards, voire plus…


Tous les clients sont maintenant « servis », Joëlle minaude toujours de l’autre côté de son comptoir, je jurerai que son décolleté est plus profond, au moins deux boutons me semblent dégrafés, je vérifierai plus tard sur les vidéos. J’adore voir ces deux belles masses blanches vibrer pour un oui ou pour un non.


Soudain, l’un des clients demande :



Un autre enchérit aussitôt :



Ayant l’esprit pratique, Joëlle dirige aussitôt les opérations :



Et tout ce petit monde obéit sans discuter, heureux de l’aubaine, et je les comprends. Assise sur un petit tabouret, avec application, Joëlle s’occupe du premier homme de la file, sous l’œil ébahi des autres qui n’en reviennent pas de ce qui est en train de se passer. Comme ma chère compagne sait s’y prendre, cet homme ne résiste pas longtemps. Il éjacule dans divers gros soupirs, sous l’œil encore plus abasourdi des autres qui le voient se vider dans la bouche qui continue à le sucer suavement. Puis c’est au tour du suivant qui ne semble pas vouloir résister longtemps, lui aussi. Soudain, j’entends une voix féminine résonner :



Je lui désigne la file d’hommes :



Décidément, je ne m’y ferai jamais, à cette logique dite féminine, même si ça fait partie du charme de nos compagnes ! Je décide de pousser un peu plus loin mon argumentaire :



Elle ne répond rien, un sourire crispé aux lèvres. Elle veut, elle veut pas ? Elle aimerait bien, mais elle n’ose pas ? Ou bien, ça ne l’intéresse pas ? Un peu cynique, je continue sur ma lancée :



Elle me regarde avec des grands yeux :



Et je joins le geste à la parole en glissant ma main sous sa jupe. Et en effet, j’y découvre une culotte plutôt humide. Interloquée, Aline ne réagit pas. Mon doigt se glisse avec dextérité sous le tissu mouillé, puis câline des lèvres moites avant de remonter vers un clitoris bien niché au chaud.


Tandis que je masturbe impunément sa femme qui se laisse faire malgré ses faibles protestations initiales, son mari est en train de se faire sucer à quelques pas. Sans vergogne, je me plaque contre son dos, lui capturant un sein, mon autre main s’agitant frénétiquement dans une petite culotte détrempée. J’en profite pour coller contre ses fesses mon mandrin bien dur afin de lui faire sentir l’effet qu’elle me fait. Aline gémit sous ma caresse insidieuse.



Elle ne répond pas, mais vue la façon dont elle ondule autour de mes doigts et comment elle remue des fesses contre ma queue, aucun doute ne subsiste ! Je continue donc ma sensuelle prospection sur elle et en elle. Peu après, un tressaillement la prend tout entière, elle se tend comme un arc pour jouir de tout son saoul. Je constate avec amusement que son mari est justement en train de se vider dans la bouche de ma femme. Ce couple est en parfaite synchronisation…


Ça a été rapide, furtif même, mais excitant ! Et aussi imprévu, les joies du hasard qui fait souvent bien les choses. Après tout, comme ma femme se divertit comme une petite folle, il me semble que j’ai le droit aussi de m’amuser un peu…


Le calme revenu, j’embrasse et je pelote ma proie qui, non seulement se laisse faire, mais aussi répond à mes marivaudages ; de son côté, Joëlle est passée au suivant.


Le dernier homme vidé, Joëlle se redresse toute joyeuse, satisfaite de sa séance. Et après quelques dernières agaceries auprès des hommes, quelques caresses sensuelles et vicieuses, des branlettes pour le fun, et même des bisous furtifs, elle lance à la cantonade un triomphant :



Puis altière, seins arrogants en avant, elle passe devant tout le monde pour aller se changer dans la réserve. Arrivée à la porte, elle esquisse une rapide révérence. Une fois la porte refermée, les commentaires fusent :



Tandis qu’ils complimentent ma compagne, ce qui est très plaisant, j’en profite pour arrêter la capture vidéo et jeter un rapide coup d’œil sur les enregistrements. À prime vue, tout est bon, rien de flou, rien de saccadé. Ceci fait, je reviens me mêler aux clients. Puis après quelques parlottes, les invités partent un à un, me félicitant pour ma femme. Aline me fait un double bisou sur les joues, et en profite pour me saisir les couilles à l’insu de son mari. Elle me glisse un furtif :



Puis accompagnée de son homme, elle disparaît. Tout est devenu calme dans l’épicerie.


Tandis que ma femme se change dans la réserve, Aldo fait les cent pas, plutôt agité, ruminant visiblement quelque chose dans sa tête. Puis il s’arrête net, s’approche à grands pas de moi puis se lance, me demandant directement :



Miracle de la synchronisation, justement, Joëlle s’approche, toute guillerette. Empressé, il se jette carrément sur elle, lui posant la question. Un peu surprise par son enthousiasme, elle met son doigt sur ses lèvres, songeuse. Puis quelques secondes plus tard, elle s’adresse à moi :



Puis elle se tourne vers Aldo, qui attend, fébrile :



Avec ardeur, Aldo plaque deux gros baisers sonores sur les joues de ma femme. Et voici un nouvel homme heureux dans la vie de ma femme !




Parents



C’est le grand jour, Joëlle me fait enfin rencontrer ses parents. Nous roulons sur des petites routes de campagne pendant environ trois quarts d’heure pour arriver à un petit village situé en bord de mer. Nous descendons de voiture, je respire un grand coup. Me voyant faire, Joëlle rigole :



Joëlle sonne puis ouvre la porte sans attendre que quelqu’un vienne. Je la suis puis j’entre dans la pièce où m’attendent ses parents. Je me fige sur place, j’écarquille grands les yeux : oui, ce sont bien eux ! Je comprends mieux pourquoi Joëlle a ce physique, elle le tient indubitablement de sa mère. Par contre, je ne comprends pas la différence de patronyme.


Son père est resté le même, les traits plus marqués, plus vieillis. Sa mère n’est plus tout à fait la même, mais elle a conservé le même indéfinissable charme malgré les années. Je me dis que si Joëlle vieillit de la même façon, ce sera tout bon.


J’imagine fort bien retrouver en Joëlle ma belle bouchère d’il y a vingt ans dans vingt ans, celle de ma jeunesse. Vous suivez mon raisonnement ? Sinon, ce n’est pas grave, je me comprends et c’est l’essentiel. Je sens que ça me fera tout drôle, mais quel plaisir de pouvoir enfin abuser d’elle comme dans mes rêves les plus fous. Quoique… j’abuse déjà bien d’elle actuellement !


Entre eux et moi, debout, un peu crispée, Joëlle me présente :



La coupant dans son élan, je m’avance vers ses parents, en lançant :



L’ancien boucher hausse un sourcil interrogateur tandis que sa femme, plus loquace, demande :



C’est au tour de Joëlle d’être étonnée :



Et là, à ma grande stupéfaction, se levant d’un bond, Madame Bonnet me prend carrément dans ses bras. Je ne sais pas quoi faire. Des tas de souvenirs remontent à la surface. Joëlle râle :



Et elle m’arrache littéralement à sa mère, pour me regarder d’un air suspicieux :



Amusé, je souris. Fronçant des sourcils, Joëlle me lance :



Plein d’assurance, je lance mes bras vers elle, et avant qu’elle ne puisse réagir, je l’attire contre moi pour l’embrasser sans pudeur. Plutôt surprise, elle se débat faiblement. Après quelques instants, je décide de la relâcher. Un petit sourire aux lèvres, son père hoche la tête ; sa mère, les mains sur les hanches, déclame :



Histoire de détourner la conversation, j’en profite pour demander une chose qui me turlupine depuis tout à l’heure, je m’adresse directement à Joëlle :



Lui taquinant l’oreille, je souris :



Intriguée, sa mère intervient :



Toujours mutique, son mari hoche la tête. Elle poursuit :



J’imagine très bien la chose. Je souris :



Je me tourne vers Joëlle :



Je ne vais quand même pas avouer que, même si j’avais vu une fillette derrière le comptoir, je ne suis pas certain d’en avoir gardé le moindre souvenir, j’étais alors trop préoccupé par les appas de Madame sa mère. De plus, je m’aperçois qu’il m’est définitivement interdit d’en parler à Joëlle, car celle-ci n’apprécierait pas beaucoup d’être un substitut, surtout vis-à-vis de sa génitrice. Je reconnais que mon attirance pour elle est liée à sa forte ressemblance avec la belle bouchère de ma jeunesse, mais ce que j’éprouve pour elle actuellement dépasse le fait qu’elle soit un sosie.


Tout le reste de la journée, je fais attention à ce que je dis, et malgré ma joie d’avoir revu le fantasme de mes jeunes années, je suis content quand nous partons de chez les parents de ma chérie. Aussitôt dans la voiture et après les bye-bye de circonstance, Joëlle me questionne :



Je sens que Joëlle est dubitative, je ne voudrais surtout pas qu’elle soupçonne un commencement de vérité. Hélas pour moi, elle continue sur sa lancée :



Je soupire :



Soudain, je découvre une petite aire de stationnement. À la grande surprise de ma chérie, je m’y arrête. Elle demande :



Je fais le tour de la voiture et j’ouvre sa portière. Avec une certaine hésitation, elle sort de la voiture. Aussitôt dehors, je l’enlace et la presse contre moi. Elle pousse un petit cri de surprise. Je la rassure :



Intrigué, je lui demande :



Elle pouffe :



Joëlle lance ses bras autour de mon cou puis continue :



Elle dodine de la tête :



Je me penche sur elle pour l’embrasser, elle ne m’oppose aucune résistance. Je ne sais pas si elle a cru à mes explications, peu importe, du moment que tout aille au mieux entre nous deux. Pour vivre heureux, il faut savoir fermer les yeux et oublier de dire certaines choses. Après quelques agaceries, nous remontons en voiture. Elle me prouve néanmoins, peu de temps après, qu’elle passe l’éponge après en m’offrant une petite fellation pendant que je conduis, et croyez-moi, c’est très agréable que de sentir ses lèvres chaudes s’activer autour de mon sexe bien dressé et de pouvoir éjaculer de tout mon saoul dans sa bouche insatiable, même si je reconnais avoir dû garer en hâte sur le côté, car entre jouir et conduire, il faut savoir choisir !




Labellisation de mère en fille



Quelques mois se sont écoulés. Nous revenons assez souvent voir les parents de ma chérie, comme c’est d’ailleurs le cas aujourd’hui. Ma femme part assez souvent faire sa prestation chez Aldo, dont la clientèle augmente curieusement quand elle est présente. Joëlle a d’ailleurs diversifié ses prestations dans d’autres commerces, avec toujours le même succès. Sans parler de son Lionel qu’elle continue de voir ci et là. Quant à moi, j’explique avec application à Aline toutes les joies du marivaudage, lui faisant grimper un à un les échelons de la turpitude, et elle n’est pas du tout du genre à refuser des heures supplémentaires !


Joëlle est partie dans la cuisine avec son père, je suis resté dans le jardin avec ma probable future belle-mère dont la robe échancrée révèle partiellement des choses que je connais bien chez sa fille. Je parle de tout et de rien. Soudain, elle me demande sans préavis :



Je marque un temps d’arrêt devant cette attaque assez frontale, puis je réponds :



Redressant le buste, le corsage prêt à déborder si elle accentue un peu plus le mouvement, elle se contente de sourire. Je continue sur ma lancée :



Je souris franchement :



Quelque chose me dit qu’il n’était pas que simple voyeur, car sa femme allait parfois plus loin que la simple exhib. Mais ce sont leurs affaires et non les miennes. Après cet aveu en demi-teinte, Madame Bonnet contre-attaque, demandant suavement :



Je ne vais pas lui raconter que, parfois, nous dépassons ce simple schéma. Je ne vais pas non plus lui dire qu’encore hier soir, sa fille avait trouvé l’extase une première fois dans une rencontre de passage et qu’elle l’avait retrouvée ensuite un peu plus tard dans mes bras, car savoir qu’elle a été le jouet d’un autre homme décuple mon ardeur envers elle, comme si je voulais lui prouver par A plus B que c’est moi le principal homme de sa vie. Et Joëlle adore quand je me comporte de la sorte, à la fois détaché quand elle est avec un autre, et à la fois possessif et incandescent avec elle.


Hier soir, quand Joëlle est revenue de son escapade, elle était assez rayonnante.


Tout de suite, elle m’a avoué :


  • — Ce type était con, mais c’était un bon baiseur, enfin, si on peut le dire comme ça !
  • — C’est-à-dire ? Je ne comprends pas…
  • — En clair, il a une grosse queue, mais côté préliminaire, tu vaux cent fois, mille fois mieux que lui. Mais une grosse bonne queue de temps à autre, ça fait quand même du bien. Mais pas tous les jours, ni même pas toutes les semaines !
  • — Ah OK… Tu as prévu de le revoir ?
  • — Je ne sais pas, mon chéri. C’est quand même un abruti, mais son gros machin n’est pas à négliger…
  • — Et mon petit machin à moi ?
  • — Hou le jaloux ! Tu sais très bien que j’adore ton petit machin et aussi tout ce que tu me fais ?

Et une fois de plus, nous nous sommes retrouvés dans les bras l’un de l’autre, prélude d’une nuit qui s’annonce torride.




Je la suis, car Madame Bonnet est une femme à laquelle on résiste difficilement. Tout comme ma femme d’ailleurs. Telle mère, telle fille.


Oui, la nuit dernière fut très torride, très ! J’ai expliqué à ma chérie-salope, que, moi aussi, je pouvais avoir un gros machin entre les jambes.


Alors que nous sommes au lit, et que nous avons fait quelques préambules, impératif, je lui ordonne :


  • — Mets-toi à quatre pattes !
  • — À quatre… ah bon ?
  • — Oui, exécution !
  • — Houlala ! Mon homme aurait-il une crise d’autorité ?

N’empêche qu’elle s’exécute. Elle s’offre même le luxe de remuer du popotin pour mieux me narguer. Je me positionne juste derrière, lui agrippant les hanches, et je commence à me frotter lascivement sur ses fesses, ce qui l’amuse beaucoup. Très vite, mon sexe est en airain bien massif, et je commence à l’utiliser pour vouloir m’insinuer dans toutes les fentes que je trouve, sans toutefois y pénétrer. C’est ainsi que je taquine un petit trou bien sombre, l’orée de lèvres bien humides, voire aussi le petit nid douillet d’un bouton très sensible. Après quelques agaceries, je me décide à venir visiter un vagin bien accueillant et lubrifié comme il le faut. Je glisse dedans avec délectation. C’est alors que Joëlle m’annonce perfidement :


  • — Moui… c’est pas mal, mais j’ai vécu mieux tout à l’heure…

Je ne me démonte pas, malgré la perfidie du propos :


  • — C’est vrai que ton tunnel est plutôt large, on dirait même une autoroute…
  • — Une autoroute ? T’en rajoutes pas un peu ?
  • — Si, si, une autoroute. D’ailleurs, tout le monde l’emprunte et il y a plein de trafic !
  • — Salaud !

Je me retire d’elle afin de tendre la main pour attraper ce que j’avais caché sous mon oreiller. J’en extirpe un godemiché dont je plaque la base sur mon bas-ventre. Je dépose dessus une grosse noisette du lubrifiant qui trône sur mon chevet puis je badigeonne. Ceci fait, je pose l’engin sur ma bite bien droite. J’empoigne fermement le tout que je pointe à l’entrée de son vagin délaissé.


  • — Aaah ! ?
  • — C’est assez consistant, ma chérie ?

Je viens d’entrer ma queue et le gode en même temps en elle. Elle souffle, l’intrusion est forte et puissante. Néanmoins, tout est rentré en elle, sans trop d’effort au final. Il faut dire que la lubrification naturelle aidée par l’artificielle, ça a beaucoup facilité les choses…


Je reste immobile quelques instants puis je commence mon mouvement de va-et-vient en elle. Un splendide limage si j’en crois le diamètre du double mandrin qui officie dans l’intimité humide et chaude de Joëlle. Ma compagne accompagne même mes coups de rein, me démontrant qu’elle est décidément une fieffée cochonne ! Ce qui pour la fille d’une bouchère n’est peut-être pas si anormal que ça, surtout connaissant la mère ! Mais je ne voudrais pas en tirer des conclusions trop rapides et me mettre une profession sur le dos…


Le pistonnage s’accentue, je me laisse aller, même si au départ, j’étais quand même un peu inquiet, vu la grosseur de mon double engin de perforation, mais ça ne semble pas trop perturber cette belle salope qui se trémousse impudiquement dessus !


  • — T’es vraiment une sacrée cochonne, toi !
  • — Ah oui ? Et toi, t’es quoi ? T’es un gros salaud à grosse bite !
  • — Je vais te la faire tâter un max, ma grosse bite ! !

Je donne un fantastique coup de reins pour m’enfoncer en elle. Puis commence une cavalcade insensée, dans laquelle nos deux corps rivés se trémoussent, pistonnent, défoncent sans relâche, vicieusement, impudiquement, vulgairement, un mâle qui tronche sa femelle…. Purement et simplement…


Dans un grand cri, elle jouit avec une intensité extrême, complètement déchaînée, en convulsion, avant de s’effondrer comme une masse dans les draps défaits, tandis que je me vide en elle, expulsant ma dernière goutte dans un ultime grand râle de plaisir.


Je m’arrache à ce très bon et très récent souvenir. Arrivés derrière le petit chalet en bois, Madame Bonnet me demande :



Joëlle a, en effet, fait ses premières armes avec Lionel, puis elle est vite passée à plus consistant. Mais elle garde une certaine tendresse pour le timide vendeur qu’elle voit assez régulièrement. Celui-ci commence à s’affirmer de plus en plus, mais devient aussi de plus en plus exigeant, il n’a pas caché à ma femme qu’il rêvait de l’épouser, et parfois, Joëlle a du mal à le calmer sur ce sujet.


Retour à l’instant présent où la mère de ma chère infidèle me regarde, l’œil brillant :



Elle a sur les lèvres un petit sourire que je connais très bien sur celles de ma chérie, et je sais que ça annonce quelque chose de pas très triste. Je réponds néanmoins :



Avec une rapidité et une aisance surprenante, elle déballe carrément ses seins pour me les mettre sous le nez :



Un peu décontenancé, je me racle la gorge :



Je me recule un peu pour m’éloigner d’elle, mais aussi pour mieux admirer sa poitrine, ce qui ne lui échappe pas :



Amusé et un peu interdit, je souris :



Elle répond d’un air détaché :



Interdite, Madame Bonnet blanchit, me regardant fixement :



Prestement, elle me donne un petit coup de coude :



Elle reprend peu à peu des couleurs, me questionnant :



À ces propos, je souris franchement :



Ma presque belle-mère incline de la tête, ses beaux seins nus et voluptueux toujours bien pointés vers moi :



Puis elle se réajuste, devenant plus socialement présentable. Lentement, nous revenons vers la maison. Arrivée à mi-parcours, elle me glisse :



Je n’ai pas le temps de répondre, qu’elle me met carrément la main aux fesses ! Elle rit franchement. Je me dis que certaines réunions de famille ne vont pas être toujours de tout repos. Mais pourquoi irais-je me plaindre ? Telle mère, telle fille, et la fille, c’est mon avenir à moi.