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n° 17744Fiche technique8218 caractères8218
Temps de lecture estimé : 6 mn
17/01/17
Résumé:  Début d'une liaison avec une amie, et sa fin huit mois après.
Critères:  fh hplusag extracon fépilée caférestau fellation pénétratio fdanus confession -amourcach -nature
Auteur : Loupastor
Début et fin d'une belle aventure

À la fin de l’été 2000, suite à une séparation conflictuelle, une de nos amies dut déménager rapidement. Son employeur lui proposa une mutation dans un établissement distant de 200 km, à seulement 20 km de chez nous ; dans l’urgence, nous l’avons hébergée quelque temps.


Avoir à la maison une jolie femme de quarante-cinq printemps, de douze ans ma cadette, ne me laissait pas indifférent ! J’ai vite compris que de son côté, s’il n’y avait pas eu une grande amitié avec mon épouse, elle aurait bien tenté une approche.


Elle trouva assez vite un logement près de son lieu de travail, et c’est tout naturellement que (disposant d’un grand fourgon) je lui proposai de participer à son déménagement. Celui-ci terminé, je me suis occupé, en bon copain, de remonter et installer ses meubles. En fin d’après-midi, alors que dans sa chambre je viens de remettre en place avec son aide l’armoire et le lit, Caro me dit :



Je bois mon verre, et pas trop pressé de partir, me rends à la salle d’eau. Là, surprise : je trouve Caro magnifiquement nue me présentant deux petits seins haut placés avec des mamelons de la taille de framboises un entrecuisse complètement glabre, des grandes lèvres sombres et ourlées. Devant ma surprise, elle se justifie :



Je n’ai plus qu’à m’exécuter ; et avec l’entrain que j’y mets, son minou, ses fesses et ses petits nichons doivent briller ! Il en est de même pour ma trique et mes valseuses. J’entreprends de goûter ses framboises et, bien sûr, pour continuer l’action nous devons inaugurer la chambre où je déguste de merveilleux fruits de chair. Après plusieurs jouissances de part et d’autre, je rentre chez moi fatigué et fort tard.


Quelques jours après, nous déjeunons ensemble. Elle est trop contente de ma visite précédente : en une soirée, j’ai effacé quatre mois d’abstinence. Elle a besoin de continuer cette relation, mais ne veut pas perdre son amie Béa. Nous décidons qu’elle fera appel à moi si elle en a besoin jusqu’à ce qu’elle se retrouve un ami ou amant ; bien sûr, nous nous interdisons tout sentiment amoureux.


Pendant quelques mois, nous profitons de ce pacte combinant la découverte de la région à des plaisirs sexuels renouvelés à chaque occasion.


Ce jour-là, nous avons pu exceptionnellement programmer une journée complète ensemble. Je passe prendre Caro chez elle dans la matinée. Elle est vêtue d’une robe très correcte boutonnée devant sur toute la hauteur ; avant de partir, en ouvrant deux boutons du haut je m’assure manuellement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge : elle n’en a pas besoin, sinon pour éviter ou masquer l’excitation de ses mamelons sur le tissu. Après une promenade dans un village touristique, nous choisissons une auberge. Le serveur nous place en fond de salle sur une banquette murale confortable ; la nappe de la table descend bien en dessous de nos genoux.


Le service n’est pas rapide ; ça tombe bien, car on a le temps. J’en profite pour ouvrir quelques boutons de la robe sous la ceinture et vais caresser ses douces cuisses. Je remonte lentement, écarte le tissu et me glisse entre ses lèvres pour un petit massage ; alors qu’un de mes doigts pénètre plus avant et que de l’autre je cherche son bouton magique, elle retire ma main et reboutonne sa robe.



On nous sert enfin la viande et les légumes. L’assiette terminée, elle se dirige vers les toilettes ; à son retour, elle s’approche de moi et rouvre sa robe.



C’est vrai que dans ces conditions je ne risque pas une entorse au poignet. Le garçon revient nous proposer les desserts alors que mon massage de bourgeon commence à faire effet ; en voyant la tête de Caro qui se retient à grand-peine de gémir, il n’insiste pas et déclare :



Nous avons quand même droit au dessert, et même au café ; et lorsque je vais régler l’addition, je surprends un regard d’envie chez le serveur.


L’après-midi, nous allons chercher l’air pur : direction la montagne, à environ une heure de route. Nous sommes dans une vallée au-dessus de laquelle se dressent les ruines d’un château médiéval sur un éperon rocheux.



Dans mon projet, temps clair aurait dû rimer avec chaleur ; mais nous sommes en altitude, et un petit vent du nord va nous obliger à rester sages, et même à prendre une veste. Une bonne demi-heure de montée, et nous sommes bien récompensés par des ruines et une vue magnifiques. Quelques fraîches embrassades, sans plus ; le site m’aurait inspiré mieux… Sous le château, une petite chapelle ; sa porte n’est pas fermée à clef, alors nous entrons. Des murs très épais, presque plus de mobilier, et deux fenêtres avec de larges embrasures : la visite va être rapide. Mais non : tu t’agenouilles sur un prie-Dieu et me tires vers toi.



Pris par surprise, il me faut un petit moment pour qu’elle rende ma bite présentable (suçable) ; une manipulation de ses tétons par le haut de sa robe ouverte m’aide beaucoup. J’apprécie à sa juste valeur sa prestation, mais il m’en faut plus : je pose nos deux vestes dans l’embrasure pentue d’une fenêtre et la fais s’y allonger. Ses lèvres et son clitoris décapuchonné sont juste à la hauteur de ma bouche ; cette ouverture a-t-elle été pensée pour cet usage ? Après quelques succions et léchages, je la sens devenir humide ; j’en profite pour lubrifier et titiller sa rosette. Elle proteste pour la forme et me demande :



Merveille : pendant que je m’occupais de son entaille, sa robe s’était ouverte sur toute sa hauteur ! Je m’exécute et la comble jusqu’au fond. Elle soupire d’aise en me disant :



Je commence à la pistonner ; étant sous pression depuis ce matin, j’ai peur de jouir trop tôt. Mon majeur glisse le long de ses fesses et il force (si peu) sa rosette ; sa jouissance est fulgurante : elle tremble et hulule de plaisir pendant que je me lâche.


Il nous faut bien cinq minutes pour reprendre nos esprits.

En nous rhabillant, en réalisant où nous sommes, elle s’exclame :



Dieu merci, elle ne voyait pas assez loin. Par contre, son vœu d’avoir un homme à demeure va se réaliser : deux semaines après, elle me parle de Max, puis elle me le présente (il est libre, lui) : fin de ma mission d’intérim !


Depuis, il est toujours là.