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n° 17745Fiche technique43313 caractères43313
Temps de lecture estimé : 25 mn
19/01/17
Résumé:  Une soirée en amoureux dans un resto qui ne se termine pas comme prévu...
Critères:  fhh inconnu handicap sauna caférestau voir odeurs massage fellation préservati sandwich
Auteur : Yves & Béa  (Yves ET Béa)      
Dans le noir

Cette nouvelle histoire s’est passée il y a quelques années. Ma femme et moi avions réservé dans un restaurant parisien dans lequel nous avions déjà mangé et avions apprécié le concept "Dans le noir". Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit d’un restaurant où l’on mange dans le noir total ; les serveurs sont non-voyants et gèrent parfaitement le service.


Cet endroit m’avait donné une fois encore des idées et, sous prétexte d’un jeu débile dont je ne me souviens plus les règles, Béa avait (encore) perdu. Elle avait donc reçu pour gage de venir nue sous son manteau dans ce fameux restaurant ! Évidemment, Béa qui est très pudique avait protesté dans un premier temps avant de céder devant mes arguments : personne ne saura ce qu’elle porte sous son manteau, ce sera notre secret…


Pour l’occasion, je dois l’avouer, Béa s’était prêtée au jeu. Elle avait dans la journée offert un beau soin à sa chatte : après un long bain, elle avait rasé avec application le pourtour jusqu’aux lèvres, laissant seulement un léger duvet en forme de triangle bien égalisé au-dessus de sa vulve. Sous son manteau, elle avait choisi aussi une jolie parure : un porte-jarretelles sans culotte et un redresse-seins assorti qui soutenait sa magnifique poitrine tout en laissant apparaître ses larges mamelons ! Ça y est, elle était prête pour la sortie. Se regardant dans le miroir avec son long manteau, elle eut un moment d’hésitation.



Après de longues tractations, nous trouvâmes un terrain d’entente. Béa resterait ainsi, mais avait l’autorisation de porter une longue jupe tenue à la taille par un élastique et un gilet laissant apparaître un joli décolleté. Cette nouvelle tenue était bien plus soft mais restait sexy… Cette fois-ci, c’était la bonne ; direction le resto !


Nous y voilà, l’accueil est bien chaleureux, comme à l’habitude. Le serveur se propose de prendre nos vestes avant d’aller nous installer. Je donne la mienne et prends celle de Béa. Le serveur lui propose de prendre son gilet… Béa passe par toutes les couleurs et marmonne un truc en s’engouffrant dans la salle pour ne pas avoir à donner davantage d’explications sur le fait que dans l’entrée éclairée elle préfère garder son gilet. Nous nous installons face à face ; le serveur arrive pour nous servir l’entrée. À la recherche d’informations sur la situation, je lance à Béa :



Béa m’indique par sa réponse qu’elle est entrée dans mon jeu.



À cette réponse, je sentis un frisson me monter des testicules jusqu’en haut de la nuque. Ma femme était face à moi à côté d’une centaine d’autres personnes, les seins à l’air !



Après un court silence, le voisin en question prit justement la parole…



Oups… Aurais-je plombé l’ambiance avec mon humour lourdingue ? Notre voisin finit par rire.



Ouf, ce dernier avait aussi de l’humour ; nous pouvions continuer notre repas. Finalement, la conversation s’est installée à trois ; moi qui avais imaginé un repas en amoureux… L’homme était très sympa ; il s’appelait Étienne et habitait à proximité car il travaillait en tant que masseur dans un spa non loin de là dont le concept était le même que le restaurant, puisqu’ils proposaient des séances de hammam et massage dans le noir. Il venait donc souvent dans ce restaurant ; il racontait que c’était amusant d’entendre les couples discuter en pensant que comme on ne les voyait pas, on ne les entendait pas non plus ! D’autant qu’il avait bien évidemment l’oreille affûtée.



Je me mis à rire.



Le tutoiement était venu naturellement car nous nous sentions bien avec cet homme ; même Béa, d’habitude si réservée, se sentait à l’aise…



L’homme commanda une seconde bouteille de vin au serveur qu’il connaissait bien. Nous appréciions la compagnie d’Étienne comme si nous étions sortis entre amis.


L’apéro et les deux bières que j’avais bus avant la bouteille m’obligèrent à aller aux toilettes. Heureusement, il faisait jour là-bas ! J’eus l’idée de faire passer un mot à ma belle sur un petit papier où j’inscrivis ces quelques mots : « M’autorises-tu à te caresser les seins ? » Une fois de retour face à Béa, je lui fis parvenir discrètement le papier dans la main. Elle le prit et finit par aller à son tour se soulager la vessie. Elle se leva, puis revint en disant :



Je riais intérieurement, imaginant Béa se rendre compte, une fois en pleine lumière, qu’elle avait la poitrine à l’air !

Lorsqu’elle revint au bout d’une dizaine de minutes, elle s’installa et dit juste :



J’entendis alors sa chaise bouger lorsqu’elle se redressa pour avancer et galber le torse. Béa devait apprécier de sentir les deux mains face à elle sur sa généreuse poitrine car elle ne parlait plus… Je n’en pouvais plus. Je finis par lui glisser à l’oreille droite :



Béa recula d’un coup sur sa chaise ! Elle était furieuse ! Etienne était embarrassé et s’excusa :



Béa se replaça sur sa chaise.



Béa se mit à rire… la fin du repas était sauvée !



Béa coupa court à mes idées :



Le dessert arriva ; nous continuions à discuter tous les trois. Béa demanda qui voulait un café. Étienne nous proposa d’aller le prendre chez lui… Je demandai l’avis de Béa. Était-ce à cause des nombreux verres de vin que nous avions descendus ? Elle accepta volontiers. Nous payâmes donc et sortîmes du restaurant accompagnés d’Étienne que nous découvrions à la lumière du jour pour la première fois. C’était un bel homme, café au lait ; il était assez grand et portait un jean et un tee-shirt blanc surmonté d’une veste de cuir. Il nous guida vers son appartement en tendant le bras à Béa. Et nous voilà tous les trois partis bras dessus, bras dessous. Béa semblait heureuse, entourée de deux gars !


Après avoir marché une dizaine de minutes, nous arrivâmes enfin face à un immeuble, puis dans l’appartement. Je ne sais pas si Étienne était frileux ou si c’était le système de chauffage qui était mal réglé, mais il faisait très chaud dans l’appartement. Étienne nous invita à accrocher nos vestes à l’entrée ; il fit de même.



Béa me regarda comme si elle attendait mon autorisation. Je lui fis un clin d’œil qu’elle prit pour une approbation. Elle déboutonna devant nous son gilet, laissant apparaître sa lourde et belle poitrine. Le spectacle était splendide et une érection commençait à naître dans mon pantalon. Voir la femme que j’aimais se mettre à nu ainsi devant un inconnu m’excitait particulièrement. Étienne nous indiqua le salon. L’appartement était beau et bien entretenu ; nous nous installâmes dans deux grands fauteuils en tissu. Étienne s’était mis sur un pouf en face et finit par se lever pour aller préparer le café. Béa se leva pour lui proposer de l’aide.



Il disparut en cuisine. Au moment de se rasseoir, une perle d’une bague de Béa se décrocha et tomba. Nous avons commencé à la chercher ensemble sur le tapis du salon ; Béa finit par la trouver, mais au moment où je me relevais, ma tête rencontra les fesses de Béa qui était penchée en avant. Je ne pus résister à lui attraper la jupe et la lui amener en bas des jambes. J’étais content de mon coup car elle n’avait pas eu le temps de m’en empêcher et je me trouvai avec ce trophée en main ! Sans dire un mot, j’installai la jupe sur le fauteuil et invitai Béa à s’y installer de nouveau. Ce qu’elle fit avec un petit sourire… Décidément, elle était d’humeur très joueuse ce soir-là !


Étienne réapparut avec un plateau contenant des tasses à café et des Fingers au chocolat blanc. Nous continuâmes notre conversation que nous avions commencée au restaurant. Étienne nous raconta quelques histoires insolites qu’il avait vécues en tant que masseur. Entre les femmes qui lui demandaient avec plus ou moins d’insistance de concentrer ses massages sur des zones de plaisir, et même des hommes qui au cours des massages laissaient échapper quelques soupirs.


Béa semblait envoûtée par les histoires d’Étienne ; elle avait remonté ses jambes. Installée en tailleur, elle me laissait voir sa chatte ouverte et humide. Elle finit par voir que je n’étais plus très concentré et que je la matais avec désir, alors elle continua de plus belle en jouant avec un Finger qu’elle venait de saisir et qu’elle utilisa comme un petit gode. Elle faisait aller et venir le bâtonnet de chocolat entre ses lèvres, le frottait contre son clitoris et ouvrait sa vulve qui était à présent inondée de cyprine.

Étienne nous proposa un second café.



Je pris un cognac, Béa et Étienne choisirent un Get 31. Étienne nous servit à chacun une très grosse dose. Il demanda à Béa d’aller chercher des glaçons dans son frigo américain. Béa avala son Finger et se dirigea vers la cuisine. Elle revint avec un bol de glaçons. Elle en proposa à Étienne. Elle se tenait debout face à lui, la chatte à hauteur et à vingt centimètres de son visage ! J’avais envie de sortir ma queue pour la caresser tant la scène était excitante. Étienne prit de la glace et Béa retourna à sa place pour en prendre aussi. Étienne reprit la parole :



Trop tard : ma belle était déjà rouge comme une pivoine !



Béa se ressaisit :



Il y eut un moment de silence. Béa me regarda d’un air inquiet. J’attendais de voir ce qui allait se passer. Étienne sentit le malaise ; il ajouta :



Cette fois encore, Béa se tourna vers moi pour demander mon avis ; je lui fis signe que c’était à elle de décider. J’avais bien à l’esprit qu’elle devait avoir autant envie de recevoir des caresses que j’avais envie de la voir se faire caresser. Pour autant, allait-elle franchir le pas ? L’hésitation fut de courte durée et Béa accepta :



J’étais carrément surpris (et ravi) de cette réponse franche mais aussi culottée ; je ne connaissais pas cette face effrontée de Béa ! Étienne se mit à rire :



Il commença :



Je m’étais rapproché de Béa et, saisissant entre mes doigts ses mamelons toujours raides, je tirai dessus en disant :



Béa était vexée : non seulement, elle n’avait pas pensé à cet épisode au restaurant, mais surtout, son partenaire avait une longueur d’avance… Dommage, elle se demandait ce qui pouvait se cacher sous le tee-shirt et le caleçon de notre hôte…

Étienne continua :



Béa rougit.



Étienne était vexé à son tour. Il retira son haut avec classe. Je dois reconnaître qu’il avait un torse très athlétique… bien plus que moi avec mes quelques bourrelets ! Béa admirait ce ventre de sportif laissant apparaître de beaux pectoraux et une petite tablette de chocolat qu’elle rêvait sûrement de croquer.



Étienne retira donc son jean pour nous dévoiler un boxer noir bien moulant avec poutre apparente ! Béa se rinçait bien l’œil ; peut-être avait-elle oublié que j’étais là ?

Étienne se reprit et proposa :



Étienne se mit à rire, resservit un autre verre de digestif à chacun et disparut. Il revint quelques instants plus tard avec un petit plateau de bois contenant trois fioles d’huile.



Il nous dirigea vers une pièce de l’appartement qui avait été aménagée pour l’occasion. Peut-être était-il un spécialiste de ce genre de plans ? Étienne m’invita à m’installer sur un pouf non loin de la table de massage et proposa à Béa de s’installer sur le ventre pour commencer.

Béa s’exécuta ; elle retira ses talons et s’installa sur le ventre. Elle ne me regardait plus et semblait à la fois excitée et assez anxieuse de la suite des événements. Elle savait pourtant qu’un simple regard de sa part et on arrêtait tout.


Étienne mit dans sa main un peu d’huile qu’il avait fait chauffer et, se mettant à sa tête, commença à lui masser les épaules et la nuque. Les gestes étaient doux et parfaits. J’observais le corps de Béa se détendre à nouveau pour profiter au maximum des caresses.


Les gestes se faisaient de plus en plus amples pour arriver au dos. Étienne finit par dégrafer le redresse-seins de Béa, qui ne protesta pas tant elle appréciait ce moment de douceur. Étienne en profita pour finir le travail : avec délicatesse, il lui prit le poignet et fit glisser la bretelle pour dégager la pièce de lingerie tout en continuant le massage le long de ses bras. Ses gestes était précis et d’une extrême fluidité. Je n’en perdais pas une miette, et me mis à penser que j’aurais apprécié également un massage par une jolie masseuse en même temps… chacun son tour !


Ce fut au tour du second bras de Béa de se faire masser, ce qui permit à Étienne d’en finir avec la seconde bretelle de soutien-gorge de ma belle. À présent, Étienne s’attaquait au bas ; il fit le tour est commença un langoureux massage des fesses de Béa qui était à présent totalement détendue : elle avait relâché tous ses muscles et fermait les yeux pour s’abandonner aux mains de son masseur d’un soir. Étienne ne se contentait pas de lui malaxer les fesses mais prenait soin de régulièrement remonter du bas des jambes au haut du dos. Il finit par retirer aussi les bas qui étaient fixés à son porte-jarretelles en les faisant glisser un à un le long de ses jambes.


Béa se laissait faire ; elle replaça même ses jambes pour les écarter légèrement davantage et ainsi dégager une nouvelle zone hautement érogène à satisfaire. Elle savait que je contemplais le spectacle ; j’étais heureux de la sentir prendre du plaisir ainsi. Étant de côté, je finis par me décaler derrière Béa sur un autre sofa pour mieux admirer la scène ; je ne fus pas déçu de cette nouvelle place en découvrant le sexe de Béa totalement ouvert et détrempé qui laissait apparaître ses grandes et petites lèvres.


Étienne continuait imperturbablement ses allées et venues avec ses larges mains d’expert, se frottant de plus en plus à elle. Béa ne pouvait pas ignorer le sexe de ce dernier frotter contre elle durant ses mouvements. Je voyais leurs corps se toucher, seulement séparés par le tissu des dessous d’Étienne. Ne résistant plus au spectacle, je finis par descendre mon jean et mon caleçon pour pouvoir me caresser en toute liberté.


Il caressait à présent les pieds de Béa qui laissait parfois échapper un petit soupir de satisfaction, surtout quand il remontait sur les cuisses en direction de son sexe. De ma place, je pouvais voir qu’il touchait les lèvres de ma chérie sans pour autant entrer dans la grotte humide. Il attendait sûrement un geste d’autorisation que seule Béa pouvait donner. En tout cas, le professionnel ne restait pas de marbre devant les caresses qu’il prodiguait vu la bosse qu’il ne pouvait à présent cacher sous son boxer. D’ailleurs cette bosse le gênait de plus en plus car il ne cessait de tirer sur le tissu pour la dégager.


Sans dire un mot, il fit comprendre à Béa qu’il était temps de se retourner. Elle se redressa et ouvrit les yeux en me regardant avec un grand sourire ; elle vit que j’étais en train de me masturber avec la bite gonflée à bloc et conclut que j’étais aussi satisfait qu’elle. Elle se tourna vers Étienne et son regard fut immédiatement attiré par la poutre qui risquait à tout moment d’arracher le boxer ! Elle me regarda à nouveau et s’installa sur le dos en prenant soin d’écarter les jambes pour me faire profiter de la vue.


Étienne se décida à faire tomber le boxer à son tour. Comme j’avais pu le présager, il avait un sexe de très belle taille qui me faisait penser à un gode-ceinture que nous avions à la maison, mais en un peu plus large et plus long. Il s’approcha de Béa pour lui masser à nouveau les pieds car il avait remarqué que cette zone lui plaisait particulièrement. Son sexe frotta à plusieurs reprises contre la jambe de Béa, qui à cet instant comprit qu’il n’y avait plus de tissu pour séparer sa peau de la peau d’Étienne ! Il continuait ses mouvements de mains et ajoutait de l’huile régulièrement en remontant vers son sexe qu’il continuait d’effleurer sans le pénétrer.


Il finit par faire le tour pour se placer à la tête de Béa qu’il remonta jusqu’au bord du matelas pour lui masser la nuque et le cuir chevelu. Il passait les mains dans ses cheveux et descendait dans son cou jusqu’à la naissance de sa poitrine. Régulièrement, son gros sexe venait frapper contre le crâne de Béa qui faisait semblant de ne pas s’en apercevoir.


Il restait une large zone qui n’avait pas encore été hydratée : ses seins. Étienne commença méthodiquement par masser depuis l’extérieur en remontant plutôt timidement, puis en passant ses deux mains entre les beaux globes. Comme cela semblait plaire à Béa dont le souffle s’était soudainement accéléré, il continua le massage bien plus directement. À présent, il les pelotait carrément, les malaxait et jouait à faire rouler les tétons entre ses doigts pour le plus grand plaisir de Béa.


De mon côté, mon sexe me faisait mal tant il était gonflé ; cette situation était simplement irréelle : voir la femme que j’aimais et désirais prendre du plaisir devant moi me comblait de bonheur. J’hésitais à me lever pour venir lui bouffer la chatte, mais pris finalement la décision de rester en tant que spectateur, ce qui m’excitait encore plus.


En quelques minutes, le corps de Béa s’était profondément transformé : elle qui était si détendue quelques instants plus tôt était à présent dans un état d’excitation indescriptible. Ses seins avaient doublé de volume et semblaient durs comme de la pierre, ses aréoles s’étaient resserrées et étaient passées au marron foncé, ses tétons pointaient comme un appel au viol et son corps tout entier avait le chair de poule. Je n’avais jamais vu ma chérie dans un tel état !


Étienne continuait le massage de ses seins avec de plus en plus de mouvements, son sexe faisant des allers-retours tantôt contre le front, tantôt contre la joue de Béa. Alors qu’il se penchait pour masser son ventre, le sexe d’Étienne passa sur le visage de Béa qui ouvrit la bouche et l’engloutit !


Ouaaaaah ! Un frisson me traversa tout le corps, comme une décharge électrique et je perdis mon érection. Cette vision de ma femme avec une énorme queue dans la bouche qu’elle suçait avec vigueur, quel choc ! C’était une première pour nous ; j’étais partagé entre la jalousie et le plaisir de ce beau spectacle… Bien entendu, je savais que ma femme avait sucé pas mal d’autres bites avant de me connaître, et cela m’excitait, d’ailleurs. Bien entendu, nous en avions déjà parlé et nous nous étions donné l’autorisation de le faire ensemble à condition d’être là tous les deux et de se contenter d’échanges buccaux ; mais là, ce n’était plus des paroles mais des actes !


Je restai quelques minutes à les contempler. Étienne continuait à balader ses mains sur tout le corps de Béa et elle continuait d’encercler son concombre avec ses lèvres. Mon érection était revenue plus forte qu’avant et j’étais moi aussi dans un état d’excitation comme rarement j’avais été. Mon corps tout entier tremblait comme celui de Béa. Sans nous toucher, nous étions finalement à l’unisson, bien plus que parfois lorsqu’on faisait l’amour en fait.


Étienne avait à présent beaucoup moins de scrupules à toucher le sexe de Béa ; ses doigts entraient et sortaient régulièrement. Béa voulut m’offrir un dernier spectacle avant de jouir. Elle se mit à quatre pattes en écartant bien grand les cuisses pour me permettre de contempler son trou béant et sa rondelle tout aussi dilatée. Étienne continuait ses allers-retours avec sa bite dans la bouche de ma femme comme s’il était chez lui et introduisait ses doigts luisants tour à tour dans les deux trous qui s’offraient à lui avec impudeur. La chatte de Béa était si dilatée que l’on aurait pu y mettre nos deux bites ; son clitoris était gorgé de sang et suppliait qu’on s’occupe de lui !


Je continuais à me caresser. Béa ne poussait plus de petits cris à présent mais était bel et bien en train de jouir. Elle se retourna à nouveau pour se remettre sur le dos et reprit la pipe divine. Je n’en pouvais plus ; je me levai et finis de me branler près de Béa pour lui éjaculer sur le ventre. Elle avait pris les choses en main de son côté : d’une main elle s’astiquait le bouton, de l’autre elle branlait Étienne pour qu’il crache à son tour son jus, ce qui arriva assez rapidement : il déchargea quatre grandes saccades sur les seins de Béa qui finit toute seule et jouit à son tour après quelques secondes.


Le calme était revenu. Tout le monde reprenait ses esprits ; le silence était un peu gênant. Étienne reprit la parole :



Béa, dégoulinante de sperme et d’huile, me tendit la main pour que je l’aide à descendre du lit. Sans dire un mot, nous nous dirigeâmes sous la douche. Je pris Béa dans mes bras. Nous ne parlions pas mais étions heureux. Ce câlin sembla durer une heure tant nous étions sur un nuage. Étienne nous avait préparé des peignoirs de son boulot ; nous le rejoignîmes dans le salon. Étienne dit :



Nous avons accepté l’invitation à dormir car il était tard et nous avions bien bu. Béa ajouta :



Nous étions exténués et ne nous fîmes pas prier pour aller nous coucher. Ah, le plaisir de se retrouver nus collés l’un contre l’autre dans des draps bien frais ! J’éteignis la lumière pour aller rejoindre Béa. Il n’y avait plus de bruit dans l’appartement, et le silence commençait à être pesant… Béa était-elle en train de regretter ce qui s’était passé ? Avait-elle honte ? Je préférai de mon côté ne rien dire non plus, je ne savais pas comment commencer la conversation… C’est Béa qui brisa le silence :



"Notre pacte", comme Béa disait, consistait à se fixer des règles que nous ne voulions pas que l’autre franchise. Pour Béa, je l’avais autorisée à recevoir des caresses d’un ou d’une autre, même très intimes, et même à pratiquer des fellations ou des cunnilingus… en ma présence, bien évidemment ! De son côté, Béa m’avait juste autorisé à recevoir des caresses, et encore pas trop proches de mes parties intimes.

Tout en grimpant sur Béa qui était installée sur le dos, je lui glissai à l’oreille :



Mon sexe était dur à nouveau et pénétra sans difficulté entre les lèvres de ma belle. Béa ne répondit pas mais me serra dans ses bras. Sa poitrine était à nouveau gonflée et nous fîmes l’amour avec de longues allées et venues d’une extrême intensité et d’une extrême douceur. Nous avons fini par un câlin en chien de fusil. Béa me dit :



Je ne sais pas qui s’endormit le premier, mais je pense que trois minutes après ces mots tout le monde était dans les bras de Morphée…


Le réveil du dimanche matin fut ce que l’on peut appeler un réveil en fanfare puisque, alors que je dormais encore, Béa qui avait été réveillée par l’odeur de café et de pain grillé avait saisi mon sexe et jouait de la trompette : quel réveil agréable ! Je ne bougeai pas trop pour ne pas lui faire sentir que j’étais réveillé et ainsi profiter au maximum de cette fellation ô combien agréable ! M’étant installé sur le dos, je m’abandonnais complètement à la bouche experte de Béa qui savait s’occuper de ma bite comme personne. Je finis par lâcher trois grandes saccades au fond de sa gorge. Elle vint alors m’embrasser en vidant le trop-plein dans la mienne.



Béa était venue se blottir contre moi.



Béa m’embrassa.



Béa me sourit pour me dire qu’elle était partante. Elle se leva et mit son petit gilet et une serviette de bain autour de la taille pour aller rejoindre Étienne. Passant mon caleçon, je les rejoignis.

Étienne était levé depuis un bout de temps et avait préparé un petit déj bien sympa, café, pain frais et croissants. Il nous salua.



Nous prîmes notre petit déjeuner tous les trois en discutant de tout et de rien, mais jamais de la soirée de la veille, ce qui arrangeait Béa. Elle aimait agir parfois, certes, mais ne voulait jamais discuter de sexe, ce qui était d’ailleurs parfois source de tensions dans notre couple.


À 10 heures nous étions prêts, même si nous ne nous sentions pas très propres avec nos vêtements de la veille. De son côté, Béa n’avait toujours pas de culotte ; elle n’avait d’ailleurs pas remis son redresse-seins non plus pour faire les quelques mètres qui nous séparaient du spa. Elle sortit donc en jupe et gilet dans la rue. Il faisait froid ; heureusement que la route n’était pas longue. Nous arrivâmes finalement à l’office. Étienne déverrouilla le rideau de la devanture et ouvrit la porte pour nous laisser entrer.



Étienne nous fit visiter l’intégralité des installations : les vestiaires, les trois salles avec les jacuzzis, le sauna, le hammam, et finit par les salles de massage.



Elle se mit totalement nue et voulut s’allonger sur le lit de massage, mais celui-ci était en cuir, donc très frais. Elle se redressa brusquement. Je saisis un drap de bain sur une pile de linge propre pour le placer sur la table. Ma belle se plaça sur le ventre et j’entamai un massage tel que celui auquel le maître m’avait initié la veille. Je n’oubliai aucune des zones, et comme j’avais déjà en tête de pénétrer la rondelle de Béa, je n’hésitai pas à remplir d’huile les différents orifices.


Béa s’était retournée ; j’en profitai pour finir de me déshabiller car la chaleur de la pièce était vite montée. Me plaçant à la tête de ma chérie comme Étienne la veille, j’aspergeai sa poitrine imposante d’huile pour continuer mon jeu de mains. La moitié du flacon y passa. Comme la veille, mon sexe faisait des allées et venues sur sa tête et termina au fond de sa gorge comme celui de notre compagnon du week-end.


Nous fûmes coupés dans notre entrain par la porte derrière nous qui claqua ; Étienne était là. Béa sortit ma bite de sa bouche en faisant un petit bruit de bave qu’Étienne comprit tout de suite.



Commença alors un massage à quatre mains qui tourna rapidement à une partouze de doigts car l’excitation était déjà très forte pour tout le monde. Régulièrement, Béa attrapait une bite qui passait et l’embrassait ou la gobait selon ses envies. Alors que nous étions tous les deux au niveau de sa bouche, Béa entreprit de nous sucer ensemble. Elle fit entrer la grosse bite d’Étienne et, m’attrapant par les couilles, ouvrit bien grand la bouche pour me laisser entrer à mon tour. Nos glands étaient tous deux décalottés et nous les sentions frotter l’un contre l’autre dans cet espace étroit ; c’était totalement irréaliste quand j’y repense à présent, mais sur le coup je ne posai aucune question et ne ressentis aucune gêne. Je voulus mettre mes doigts dans la fente de Béa, mais la place était déjà prise par Étienne.


Attrapant de l’huile, j’en remis une dose sur mes mains pour entrer dans son anus. Béa continuait de jouer avec nos sexes qu’elle tenait dans chaque main, passant de l’un à l’autre pendant que de notre côté nous fouillions avec vigueur son intimité.

Elle jouit une première fois et se tourna vers moi en me disant :



À cet ordre, je m’installai sur le dos et elle vint s’empaler sur mon membre turgescent. Je donnais le rythme en admirant ses seins s’agiter sous mes yeux. Étienne était resté derrière et continuait le massage en cours. Il avait saisi les deux globes qui étaient d’une sensibilité inimaginable, provoquant des spasmes et des frémissements chez Béa. Il continua ses caresses dans le dos et finit par arriver à sa rondelle qu’il malaxa tendrement mais fermement.


Dans son élan il continua de descendre et commença à me caresser les couilles ; un frisson me traversa le corps. C’était une sensation que je ne connaissais pas jusqu’à présent. Je fis une pause dans les allers-retours pour ne pas balancer toute la purée dans ma chérie qui n’aurait pas apprécié que le jeu se termine si tôt. Comprenant qu’il fallait ralentir, Béa vint s’allonger de tout son long sur moi tout en restant empalée, laissant ainsi à la merci de notre ami son anus dilaté et sa chatte farcie par mon pieu.


Étienne, avec sa langue, continua son petit jeu ; il entrait et sortait de la rondelle de Béa, descendait sur sa chatte et ma bite au passage. Il finit par sortir ma queue de sa grotte et l’engloutit dans sa bouche tout en jouant de ses doigts avec le clito de ma chérie. Cette sensation restera pour moi inoubliable, moi qui a priori n’avais pas de fantasme homosexuel. Je ne sais même pas comment je n’ai pas tout lâché sur Étienne. Il finit par remettre ma bite où il l’avait prise.


Etienne se retira, nous laissant dans cette position. La pause fut de courte durée ; je l’entendis pousser un petit marchepied pour être à hauteur et nous tirer tous les deux vers lui. Ce mouvement fut suivit d’un bruit de plastique qui claqua sur sa queue : il allait passer à l’action ! Écartant les fesses de Béa toutes huilées, je sentis une forte pression s’exercer sur sa rondelle qui finit par céder sous l’assaut : Étienne venait de pénétrer le petit orifice de ma belle ; Béa se cambra sous l’effet du plaisir. Ses mamelons étaient si durs qu’ils devaient être douloureux. Il continua son avancée au fond de son cul ; je sentais ma bite écrasée sous la puissance de sa grosse verge. Il commença des allers-retours plus soutenus. J’essayai de faire de même en trouvant le rythme. Je laissai échapper quelques râles qui n’étaient rien à côté de ceux de Béa qui criait sa jouissance comme jamais je ne l’avais entendue !


Les couilles d’Étienne venaient frapper les miennes à chaque coup de boutoir. Ne pouvant plus maîtriser ma bite, je vins remplir la chatte de Béa de litres de sperme. Béa sentit des jets puissants venir claquer en elle et poussa un cri de libération. Pour moi, la partie était finie. Je sentais mon sexe reprendre peu à peu sa taille normale ; j’entrepris des caresses sur mon ange qui continuait de se faire malmener avec plaisir par Étienne qui semblait encore plein d’entrain.


Même si ma bite ne pouvait plus combattre, je continuais de sentir celle de notre compagnon aller et venir ; elle semblait même continuer de grossir, remplissant le vide laissé par la mienne. Le clitoris de Béa était si gonflé qu’il frottait contre mon sexe, provoquant des spasmes. Elle jouit une troisième fois bruyamment et je sentis sa chatte s’inonder de plaisir. J’étais trempé, comme si Béa venait de me faire pipi dessus ! Étienne fit encore quelques va-et-vient et finit par sortir. Enlevant rapidement sa capote, il termina son œuvre par une dizaine de jets sur les fesses écartées de ma chérie.


Tout était redevenu calme. Étienne se retira en embrassant une dernière fois les fesses de Béa et sortit de la pièce, nous laissant en amoureux enlacés.


J’étais trempé de sueur, d’huile, de mouille et du sperme qui coulait des fesses et des cuisses de mon amour. Nous étions épuisés comme si nous avions couru un marathon. Il était temps d’aller prendre une douche et de repartir retrouver notre vie de famille, refermant cette parenthèse inoubliable de notre vie.