n° 17747 | Fiche technique | 17499 caractères | 17499Temps de lecture estimé : 11 mn | 23/01/17 |
Résumé: Ma compagne se laisse séduire... avec ma bénédiction. Quand la jalousie devient un puissant vecteur érotique. | ||||
Critères: fh cocus inconnu hotel jalousie exhib | ||||
Auteur : Novice03 |
Cela faisait déjà une bonne vingtaine de minutes que Charlène avait quitté l’espace détente de l’hôtel pour regagner notre chambre. Son petit regard coquin, alors qu’elle ajustait son peignoir et rassemblait ses affaires me laissait présager d’une fin d’après-midi plutôt érotique…
Nous séjournions dans cet ensemble hôtelier haut de gamme pour fêter mon anniversaire. Il est indispensable de savoir s’extraire, par moments, du quotidien et s’accorder les plus voluptueux plaisirs. C’est elle qui avait découvert ce petit coin de paradis, retenant essentiellement l’espace spa dont nous avions profité tout l’après-midi. Quoi de plus reposant que le jacuzzi ? Que le sauna ou le hammam ? Qu’une petite sieste au bord de la piscine ?…
Je quittai à mon tour ma chaise longue et je me demandai comment j’allais retrouver ma belle… J’adorai cette petite incertitude polissonne… Allait-elle m’attendre au lit, nue et soumise ? M’avait-elle réservé une surprise ? Peut-être de nouveaux sous-vêtements ?… Pourvu qu’elle soit bien là !
Mon excitation était à son comble lorsque je poussai la porte de notre chambre après avoir fantasmé tout le long du chemin. Mon peignoir avait un peu de mal à dissimuler mon érection naissante. Le bruit de l’eau coulant sous la douche me déçut au premier abord. Aucun de mes scénarios espérés ne semblait être d’actualité. Il faut bien avouer que notre esprit marche toujours très vite lorsqu’il s’agit de sexe… bien plus vite que le cerveau féminin.
En entendant la porte de la chambre se refermer, Charlène m’informa qu’elle en avait pour quelques minutes encore. Elle me suggéra de m’allonger en l’attendant… Je profitai de ces quelques instants pour quitter mon maillot de bain encore humide et me glisser sous les draps. Le contact du tissu sur ma peau, cumulé à mes précédentes pensées, me redonna une envie irrésistible de sexe.
J’entendis ma belle sortir de sa douche. Elle se sécha et se glissa dans le lit alors que je lui tournais le dos, les yeux mi-clos… Son odeur était divine, sa chaleur me réconforta et la douceur de sa peau me transporta. Je sentis sa main encore humide effleurer mes fesses. Elle fit glisser ses ongles sur mon dos et passa son bras par-dessus mon épaule pour caresser mon torse. Le bout de ses doigts effleura mes tétons. Je ne pus taire un léger gémissement. Elle sait parfaitement comment me faire fondre entre ses mains !
Après avoir vérifié mon érection en passant sa main sur mon sexe déjà tendu, elle me griffa les testicules avec une infinie douceur. La pointe de ses ongles effleurant la peau tendue de mes bourses, mon sexe était déjà au garde-à-vous et sur le chemin irréversible d’une chaude et puissante éjaculation. Pendant cette caresse délicieuse, je sentis sa bouche se rapprocher de mon oreille. Le souffle court, la voix hésitante, elle me glissa un énigmatique :
Ma surprise devait être à la taille de mon érection, mais elle continua :
Sans la caresse de ses ongles sur la membrane de mes couilles, mon érection aurait sûrement disparu du fait de cette discussion énigmatique.
J’étais un peu abasourdi :
Mon ton ironique ne laissait pas entrevoir la pointe de jalousie que traversait mon esprit…
Plus ma jalousie montait, plus je sentais mon sexe durcir. Ce sentiment étrange ne m’était pas inconnu et me sembla même être le plus excitant que je connaisse. Je me taisais pour la laisser continuer. Elle reprit son récit après quelques dizaines de secondes d’hésitation.
Mon sexe était prêt à exploser, la griffure des ongles sur la peau sensible combinée à son récit me rendait déjà dingue… Je m’aventurai à lui demander :
Si mon excitation n’avait pas été aussi forte à ce moment-là, j’aurais certainement cherché à la ramener à la raison, mais je me surpris moi-même à lui demander :
Ma réponse sembla lui couper le souffle, elle ralentit ses caresses sur mes boules. Je me sentis obligé de préciser :
Mes mots étaient le gage de notre parfaite complicité.
Elle se pencha alors au-dessus de moi, m’embrassa avec ferveur, nos langues se mêlant, puis quitta le lit pour aller se préparer dans la salle de bain.
Mon esprit se torturait de la perversité de la situation… Étais-je devenu fou ? Le risque de ce rendez-vous était-il trop dangereux ? Comment je pouvais laisser ma jolie femme répondre à cette demande d’un inconnu ?
Après un bon quart d’heure, elle sortit de la salle de bain, déjà prête pour sa soirée. Elle était divine dans sa robe mi-cuisses bleu nuit, assez décolletée sur sa poitrine généreuse elle-même magnifiquement mise en valeur par un soutien-gorge légèrement pigeonnant. Elle portait une paire d’escarpins noirs qui lui donnaient une classe absolue. Un maquillage léger parachevait sa beauté fatale…
Je la regardai s’admirer une dernière fois dans la glace de notre chambre. Je ne pouvais plus la retenir et elle quitta notre cocon en m’envoyant un baiser avec sa main, prétextant qu’elle ne voulait pas réajuster son rouge à lèvres… Mon érection était terrible, et l’envie de me masturber incroyablement difficile à contenir… Il me fallut lutter pour ne pas la suivre… mais cela faisait tacitement partie du jeu. Elle était libre, j’étais son soumis et je me pliais à vivre ma jalousie comme une excitation ultime…
19 h – Elle devait être arrivée au bar. Il me fallait m’occuper l’esprit (et les mains…) pour ne pas devenir fou. J’allumai machinalement la télévision et écoutai distraitement les programmes. Une chose étant bien certaine… je ne risquais pas de m’endormir…
19 h 20 – Un SMS… Je réagis seulement à cet instant qu’elle est partie depuis déjà plus d’un quart d’heure… Le temps passe interminablement vite : paradoxe ? « tt va bien. Biz » C’est un peu court… mais une partie de moi est rassurée. Tout se passe bien et elle n’a pas l’air de mal vivre la situation.
19 h 55 – SMS… « Il est parti commander 2 autres coupes de champagne… Je vais être pompette. Biz » Je réponds : « Doucement quand même ! Sinon, ça va ? »
19 h 57 – SMS : « Oui ça va, et toi ? » Je bande… SMS : « Ça va mais j’ai super envie de savoir ce qui se passe… et j’ai super envie de toi ! »
19 h 59 – SMS : « Il est très gentil et on discute. » Je bande un peu moins devant ses réponses… SMS : « Il est chiant ? Tu lui plais peut-être pas… »
20 h 02 – SMS : « Ça m’étonnerait, vu comment il mate mon décolleté. J’te laisse, champagne arrive. » Mon érection reprend… C’est dingue comme 4 mots « il mate mon décolleté » suffisent à m’exciter ! Je reprends ma soirée télé « …célibataire dont la femme super sexy prend un verre avec un inconnu… » sans quitter mon portable des yeux.
21 h – Toujours pas eu d’autres nouvelles…
21 h 15 – SMS : « 3 coupes, je suis cuite. Je vais pas tarder… biz » SMS : « ok ».
21 h 20 – SMS : « Il paie et on s’en va… » SMS : « N’oublie pas de dire merci ! »
21 h 21 – SMS : « Merci mon chéri ! » SMS : « Pas à moi ! À lui ! » Mais qu’elle est sotte par moments…
21 h 23 – SMS : « Je comptais bien le remercier… » Elle ne devrait maintenant pas tarder. Cette soirée a finalement été plutôt sage et j’attends avec impatience le retour de ma beauté.
21 h 35 – Elle n’est toujours pas remontée. Elle doit certainement discuter et doit se défaire de son hôte peut-être « collant » par les effets de l’alcool…
21 h 50 – Je me hasarde à lui envoyer un message. SMS : « Tu fais quoi ? Je t’attends. »
21 h 58 – SMS : « Je me rhabille, j’arrive. » Mon souffle reste court, je viens bien de lire « Je me rhabille » !
À peine quelques minutes après son dernier message, la porte de notre chambre s’ouvrit. Mon épouse entra et se dirigea vers moi en me lançant des regards de braise.
Je ne la reconnaissais pas, elle me semblait incandescente. Elle s’assit sur la petite table en face de moi, croisa ses jambes et commença à me raconter :
J’étais au comble de l’excitation, elle était en train de me chauffer comme jamais… et sans fantasmer, tout ce qu’elle me racontait était bien réel !
Mon érection me faisait mal tellement elle devenait encombrante.
Je n’en pouvais plus et mon attention était partagée entre son récit et la vision de son décolleté face à moi (… et à imaginer les yeux qui en avaient également largement profité il y a peu…).
À ces paroles, mon cœur venait de s’arrêter et mon sexe entamait un décompte avant explosion…
Je voyais bien qu’elle revivait la scène avec beaucoup de passion, ses cuisses se frottant l’une à l’autre, ses épaules roulant comme lors d’un câlin…
Je sentais une excitation inconnue à découvrir mon épouse en parfaite allumeuse infidèle…
Je découvris alors son string totalement taché sur l’entrecuisse…
Je n’aurais jamais imaginé que le fait de volontairement accepter que son épouse parte allumer un homme puis couche avec me procurerait une telle excitation ! Et cette petite perverse revenait avec le string souillé de sperme et me le présentait comme un trophée… J’étais cocu mais comblé.