Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17760Fiche technique48840 caractères48840
Temps de lecture estimé : 28 mn
29/01/17
Résumé:  Lorsqu'on a des parents libertins, quoi de plus normal que suivre leur voie ? Même s'ils sont réticents de voir leur petite fille devenir une vraie femme.
Critères:  ff ffh 2couples grp fbi jeunes couplus extraoffre copains vacances piscine exhib nudisme fellation pénétratio échange partouze init
Auteur : Drulin            Envoi mini-message
Suivre la voie des parents

Myriam sait depuis longtemps que ses parents sont libertins. Elle l’a su avant de connaître la signification exacte de ce mot. Elle a bien lu dans le Larousse à l’article libertin : « Qui mène une vie dissolue, qui est de mœurs très libres. »


Elle n’arrive pas à savoir à quel point des mœurs peuvent être dissolues.


« Se trouver à poil dans la maison et y voir son père, Roland, ou sa mère, Martine, dans la tenue d’Ève et d’Adam, cela se range-t-il dans cette catégorie ? Quand je prends ma douche avec maman, est-ce qu’on peut parler de mœurs libres ? Et quand je pends ma douche et que papa entre dans la salle de bain et commence à faire sa toilette à poil devant moi, là aussi y a-t-il quelque chose de dissolu ? »


Elle est bien incapable de le dire, tout comme le terme "libre" est inconcevable avec le terme "dissolu". Pour elle, ce qui est libre est forcément naturel et donc aucunement déréglé. D’autant plus que ses parents la tiennent écartée de leurs jeux sexuels. La promiscuité nue à laquelle elle est confrontée reste toujours saine et sans équivoque. Il n’y a jamais dans cette façon de vivre ni brimade, ni lubricité.


Elle est très jeune lorsqu’ils partent en vacances avec des amis dans une maison de campagne. Myriam et les deux enfants du couple d’amis batifolent nus dans le jardin et la piscine hors sol. Cette nudité est pure sans équivoque, ni pour les enfants, ni pour les adultes. Les femmes quittent rapidement le haut de leur maillot. Elles s’interrogent sur le fait de se mettre entièrement nues devant les enfants.



Elles quittent le bas de leur maillot, suivies de leurs hommes. Tout ce petit monde se retrouve à poil sans pudeur et sans gêne. Les enfants qui ont tous l’habitude de voir leurs parents nus ne sont pas choqués de voir d’autres adultes dévêtus. Les enfants sont les êtres humains à l’adaptation la plus aisée.


**************************



Avec ces amis, ils passent d’une nudité saine à des relations plus sensuelles, tout d’abord entre les deux femmes qui ont un goût prononcé pour les jeux saphiques. Puis Martine arrive à persuader son amie qu’elles pourront trouver bien du plaisir dans le côte-à-côtisme.



Le soir même, les enfants couchés, elles entraînent leurs époux vers une chambre. Les deux couples font l’amour l’un à côté de l’autre. Une situation que les hommes apprécient particulièrement.


Mais bientôt les mains des hommes s’égarent sur le corps de l’autre femme, parcourant une croupe accueillante, caressant une touffe de poils douce et soyeuse, empaumant un sein agité, et déposant des baisers brûlants ici et là. Alors il n’a pas fallu bien longtemps pour que le côte-à-côtisme se transforme en mélangisme. Ils échangent, dès lors, des baisers et des caresses sans vergogne, s’interdisant toutefois la pénétration sexuelle. Après quelques hésitations, tous se lancent dans ces jeux avec joie, convivialité, beauté des corps, le respect d’autrui, l’harmonie… Lorsqu’un des hommes ressent l’envie irrépressible de pénétrer un sexe féminin, il lui faut rejoindre le vagin réservé pour y déverser la semence.



C’est ainsi, que d’un commun accord, le lendemain soir, lorsqu’ils s’isolent, ils choisissent de tenter l’échange temporaire des partenaires entre les deux couples en vue de rapports sexuels complets : l’échangisme.


La nuit, les adultes ont donc pris l’habitude d’échanger leurs partenaires, les deux femmes recevant les assauts des deux hommes plusieurs fois, parfois ensemble, parfois dans des chambres séparées. Ensuite, au petit matin on se réveille avec, à ses côtés, son mari ou l’autre homme. C’est l’occasion d’une nouvelle saillie pour débuter la journée.


C’est alors que ce produit un incident alors que Myriam est encore très jeune.


Un matin, Myriam vient rejoindre ses parents dans leur lit. Et justement, s’il y a bien sa mère, l’homme qui se trouve à côté d’elle n’est pas son père. La petite fille, dans la pénombre de la chambre ne s’en aperçoit pas. Elle ne voit qu’un corps masculin jaillir du lit et se précipiter dans le couloir. Elle demande à sa mère :



Et effectivement, Roland apparaît quelques instants après, prévenu de cette catastrophe évitée de justesse. Quelle explication aurait-on pu donner à cet enfant si elle avait demandé « Pourquoi maman elle était couchée toute nue avec notre ami ? »


Tout cela pour dire que ses parents la protègent de leurs amours libertines. Cependant, malgré leurs précautions, les oreilles des enfants n’écoutant rien mais entendant tout, la jeune fille ne fut pas longue à comprendre certaines choses qui ne lui étaient pas destinées.


**************************



À l’âge de 18 ans, Myriam comprend bien ce que signifie libertin. Ce n’est plus un secret et elle en parle librement avec ses parents lorsque l’occasion se présente :



Myriam trouve la philosophie de ses parents admirable. Quant à elle, devant une telle célébration de l’amour physique, elle ne chôme pas en la matière, choisissant des partenaires qu’elle n’hésite pas à jeter s’ils lui semblent trop timorés. Avec Lucas, elle n’a pas trouvé la perle rare, mais tout de même un amant endurant qui lui fait atteindre des orgasmes qu’elle qualifie de « satisfaisants » à « magnifiques ». La queue de Lucas, qui a des dimensions hors normes, à la fois longue et épaisse, digne des acteurs pornos, est pour beaucoup dans le plaisir qu’elle trouve à faire l’amour avec lui.


Et comme il se plie volontiers à toutes ses lubies, elle le trouve facile à vivre. Ainsi peut-elle en sa compagnie faire plusieurs choses dont elle ne veut surtout pas se priver. Déjà, elle veut pouvoir être nue le plus souvent possible et pas seulement dans l’intimité. Elle le mène dans des lieux nudistes, où il est plus facile de s’exhiber ou de mater que dans les structures officielles. Et ni l’un ni l’autre ne se privent de se montrer ; lui, le sexe érigé tel un mât de cocagne ; elle, les tétons triomphants et les petites lèvres sortant de sa fente lorsqu’elle écarte voluptueusement les jambes. Elle a le regard aiguisé par toutes ces queues se balançant entre les jambes des mecs, tout en ne se privant pas de détailler, comme Lucas, les nanas qui se laissent volontiers reluquer. Elle lui fait des remarques qui ne font qu’aiguiser son excitation :



Toujours entraîné par Myriam, il prend goût à faire l’amour dans des lieux incongrus au risque d’être vus ou surpris, en forêt de Fontainebleau près d’un sentier Denecourt, dans la voiture sur un parking, près d’une voie ferrée bien en vue des passagers et du cheminot qui les klaxonne ou dans un train… Faire l’amour devant des personnes ne les intimide plus. Déjà, en tant que nudistes, les caresses, attouchements comme fellation ou cunnilingus, à la vue de tous, sont légion. Un jour, chez des copains ils doivent partager une chambre avec deux autres filles. Myriam ne voit pas de raison pour se priver de faire l’amour avec son homme, et c’est devant le regard médusé, mais intéressé, de ses copines qu’elle se fait sauter sans qu’aucun drap ne voile les corps nus et emboîtés.


Elle aime faire l’amour avec des garçons, mais ce n’est pas une raison pour se limiter aux seules relations hétérosexuelles. Elle prend beaucoup de plaisir à faire exulter le corps dans de tumultueux échanges saphiques.


**************************



Pour les vacances de l’IUT où elle est inscrite, elle s’accorde quelques jours chez ses parents. Elle part de chez eux le vendredi et tombe en panne de voiture après seulement 50 km. Il est impossible de réparer le jour même, et avec le week-end elle ne pourra récupérer son véhicule que dans la journée du lundi. On lui prête une voiture de courtoisie, qui ne lui permet pas de rentrer sur le lieu de ses études, à plus de 150 km. Elle décide donc de revenir chez ses parents. Elle essaie par trois fois de les prévenir par téléphone, sans succès.


Elle arrive devant la grande maison de deux étages surmontée d’un toit avec des lucarnes pour les combles. C’est un ancien moulin dans un vallon, la nuit est tombée et malgré une légère brume, la lune l’éclaire à la façon d’un projecteur. Elle voit de nombreuses voitures dans la cour. Ce qui l’étonne, c’est qu’aucune fenêtre de la façade n’est allumée, sachant que du côté de la rivière il n’y a pas d’ouvertures.


Elle s’avance et entre par une porte dérobée qui n’est pas fermée. Elle n’allume pas la lumière, ses yeux s’habituant à l’obscurité. Elle perçoit des bruits qui proviennent des étages supérieurs. Au premier : personne. Au second, pas plus. Les sons proviennent des combles. « Je croyais qu’il n’y avait rien dans ce grenier… » se dit-elle. Elle monte, ouvre la porte et reste médusée devant le spectacle qui s’offre à elle :


Ses parents, des femmes et des hommes, à moitié ou intégralement nus qui forniquent. Martine a la figure entre les jambes d’un homme massif, elle tient sa queue en main et lui prodigue une fellation appliquée. Roland malaxe la poitrine opulente d’une fille beaucoup plus jeune que lui tandis qu’une autre, guère plus âgée, joue avec son trône et gobe ses bibelots. Certaines femmes sont déjà pénétrées par des mâles priapiques, et celles qui ne le sont pas encore ont la bouche bien occupée. Une vingtaine de personnes forment des couples et des trios. Des gémissements, des interpellations salaces sont lancées au milieu des sons de ces corps se frottant les uns contre les autres, des baisers, des succions, des léchages.



Elle s’exécute. Il lui donne une claque sonore sur des fesses charnues, lui enlève son string humide. Il pétrit la vulve ruisselante de cyprine. Il met une capote, la lubrifie de mouille et vient sodomiser sa partenaire.



Une fille échappe à l’étreinte du mâle qui la prend violemment contre le mur pour enlacer la femme enculée et communier avec elle dans son orgasme. Le sodomite quitte l’anus pour déverser son foutre sur les corps enchevêtrés des deux femmes.



C’est la voix de Roland qui a retenti. Tout le monde s’arrête. Un ange passe. Serge, qui connaît Myriam, comprend la situation. Il a le sexe tendu comme une oriflamme, et prend malgré tout les choses en main. Il prend au passage une fille qui se faisait brouter le minou par une autre nana et entraîne Myriam.



Myriam regarde la jeune femme qui doit avoir sensiblement le même âge qu’elle. Mais sa poitrine extrêmement menue et sa chatte intégralement rasée lui donnent l’apparence d’être beaucoup plus jeune. On pourrait facilement lui donner moins de 18 ans. « Elle travaille habilement son look Lolita » se dit Myriam.



Myriam comprend que cette fois-ci elle va pouvoir profiter des réjouissances sexuelles auxquelles s’adonnent ses parents. Elle se déshabille sans se faire plus prier, d’autant plus que Serge est à son goût : viril et élégant, des longs membres musclés, un ventre plat, une fine pilosité sur le torse et le pubis ne dissimulant pas les couilles et cette verge déjà si tendue.



Les corps se mêlent, s’étreignent. La vulve juteuse de Myriam est léchée par Viviane, Serge guide la fellation qui lui est prodiguée. Les choses vont rapidement plus loin. L’homme fait placer la jeune fille à genoux, et derrière elle s’emploie à lui masser la vulve et à triturer le clitoris. Myriam se tortille en poussant des feulements de plaisir. Il introduit quelques doigts dans son con en les faisant tournoyer. Viviane a placé sa chatte devant Myriam qui ne se fait pas prier pour venir lui lécher la fente. Puis elle s’empare du membre turgescent de l’homme, le revêt prestement d’un préservatif et le présente devant le sexe béant de l’impétrante. Elle est investie d’une poussée, et lorsqu’il commence des va-et-vient pleins de sensualité, elle gémit.


Malgré l’excitation, Serge maîtrise sa jouissance. Il attend que Myriam soit submergée par un orgasme qui ne se fait pas attendre. Il reste planté dans son con dégoulinant alors qu’elle jouit. Elle n’en finit pas de jouir.


Il reprend de lents va-et-vient, allant bien profondément dans les chairs de la jeune fille. Et lorsqu’enfin il accepte de quitter la place, son sexe est encore raide. Viviane lui enlève le préservatif pour le sucer. Mais Myriam la rejoint, et ce sont deux bouches, deux langues qui parcourent la verge et les bourses.


Serge caresse le corps des femmes qui s’occupent si divinement de lui, mais lorsqu’il enfonce ses doigts dans l’anus de Viviane, elle le repousse :



**************************



Le lendemain matin, Myriam le lève avec quelques courbatures. C’est vrai qu’après Viviane et Serge, le jeune et fringuant Bob lui a ramoné le con dans plusieurs positions et durant de longues minutes, au-dessus, en dessous, sur le côté, la tête en bas, etc. Myriam a potassé le kamasoutra, et pourtant, c’est une révélation. De la théorie, elle passe à la pratique et découvre qu’il y a de la douleur là où on ne vante que jouissance et plaisir Mais cette souffrance est bien peu de chose au regard des sensations enivrantes procurées par un baiseur peu attentionné, mais endurant.


Un peu plus tard, ce sont deux frères qui sont venus s’occuper d’elle. Alternativement, elle prenait l’une des queues dans la bouche tandis que l’autre venait se planter dans son con ruisselant, à moins qu’elle ne s’égare dans un anus déjà bien distendu. Enfin la fratrie en rut lui offrit une double pénétration dont elle se souviendra longtemps. Aussi la douche, qu’elle n’a pas eu la force de prendre après ces assauts successifs, est-elle la bienvenue. Puis elle descend à la cuisine.


« Ils doivent tous être à poil dans la baraque. Pourquoi se couvrir s’il faut se déshabiller l’instant d’après ? Et même s’ils ne sont pas tous nus, s’ils me voient comme à ma naissance, il y a peu de chance qu’ils crient à l’attentat à la pudeur… » se dit-elle. Aussi elle reste nue, et lorsqu’elle entre elle ne dénote pas car les quelques personnes qui sont dans la pièce sont fort peu couvertes, et ceux qui prennent leur petit déjeuner sur la terrasse attenante sont eux complètement nus.


Cependant, cela n’a rien d’une nudité saine dépourvue de sexualité comme elle avait pu le voir dans le naturisme pratiqué en famille ou entre amis, car ici tous les mâles ont la queue soit gonflée, soit en complète érection. Sans oublier que les mains aux fesses, les phallus palpés et les seins dorlotés sont légion. En passant parmi les invités, Myriam reçoit, elle aussi, des flatteries. Elle accepte et apprécie ces attouchements venant de mains inconnues s’insinuant entre ses jambes, s’égarant sur ses fesses ou soupesant ses seins, les gratifiant au besoin de quelques baisers polissons. Serge était l’une des rares personnes, avec peut-être deux ou trois autres, à ne pas lui être totalement inconnues.


Elle vient faire la bise à sa mère, qui prestement lâche la queue qu’elle branle. Myriam fait mine de n’avoir rien vu, ne voulant pas accentuer la gêne de sa mère. Quant à son père, lorsqu’elle l’embrasse, elle ne peut ignorer qu’une main féminine lui tripote les bibelots.



Un éclair grivois passe dans ses yeux et elle ajoute presque involontairement :



**************************



Le dimanche, tous les libertins se sont retirés et Myriam se retrouve avec ses parents. Ils sont presque un peu gênés de ce qui vient de se passer. Aussi c’est leur fille qui prend la parole la première :



Myriam, qui ne veut pas se lancer dans un débat de qualificatifs qui renvoient tous à l’orgie, continue :



Dans cette discussion, Myriam est beaucoup plus détendue que ses parents. Pourtant sa mère tente de reprendre la main :



Lorsqu’elle avait montré les photos à son copain, Lucas, il avait été subjugué par la sensualité qui en émanait :



À ces paroles, Lucas sembla très excité et il se jeta littéralement sur Myriam, la retourna, remonta sa jupe jusqu’à la taille et, décalant son string sur le côté, il la prit sauvagement en levrette.



Il la ramona littéralement tout en malaxant ses seins vigoureusement. Il aimait qu’elle lui soit totalement soumise dans cette joute sexuelle.


**************************



Myriam ne juge pas utile de raconter cela à ses parents. Elle n’en a pas honte, mais à quoi bon compliquer les choses ? D’autant plus qu’avec son copain, ils se sont pris en photo et filmés dans des postures et étreintes très chaudes. Elles demeurent privées et non visibles sur Internet.



Myriam réfléchit quelques instants comme si une question lui brûlait les lèvres. Puis elle se décide :



Myriam a beau être très libre avec ses parents, elle n’entre pas dans les détails. Car cet épisode ne se borne pas un simple échange de partenaires, mais également à des réjouissances sexuelles bien plus profondes.


Ainsi, les quatre jeunes gens se retrouvant ensemble, Nadine se jeta littéralement sur Lucas qui était allongé nu sur le lit, ne cherchant pas à dissimuler sa virilité triomphante. Elle avait quitté sa légère robe sous laquelle elle ne portait qu’un minuscule string. Myriam empoigna Dan, baissa son pantalon de survêtement et son boxer d’un seul mouvement, faisant jaillir une tige déjà bien dressée. Effectivement, son sexe n’avait rien à voir avec celui de son homme, il était à la fois moins volumineux et moins long. Elle put le prendre en bouche sans peine et l’y faire entrer, alors qu’avec Lucas il n’y a que le gland qu’elle pouvait sucer. Elle s’essaya même à quelques gorges profondes.


Et lorsque Dan planta son sexe dressé en elle, ce fut du confort qu’elle éprouva. Il n’y avait pas cette sensation parfois douloureuse de se sentir déchirée lorsque son conduit n’était pas parfaitement lubrifié. Il entra d’une seule poussée en elle. Bien que beaucoup moins massive que la verge de Lucas, celle ce Dan était très agile ; elle se faufilait dans tous les coins et recoins du vagin, frottant ici, agaçant là, changeant d’angle d’attaque, entrant profondément puis ressortant presque entièrement pour repartir vers les profondeurs, modifiant le rythme.



Appréciant le sexe qui déménage, voire comportant une once de violence, Nadine se complaisait d’être disloquée sous les coups de boutoir de Lucas. La douleur qu’elle put ressentir se transforma en jouissance et l’orgasme qui la secoua fut phénoménal. Quant à l’autre couple, le massage interne du vagin de Myriam fut si efficace qu’elle ne fut pas longue à jouir comme sa copine.


Cette première baise entre amis plut beaucoup aux quatre joueurs, et c’est d’un commun accord qu’ils renouvelèrent l’expérience dès que l’occasion se présenta. Dès leur seconde rencontre, Myriam présenta des exigences qui ne furent pas pour déplaire aux participants, qu’ils soient acteurs ou spectateurs :



Myriam éprouva du plaisir à sentir une queue bien raide à l’entrée de son anus. Puis, lorsque le gland s’insinua dans ses chairs, elle le reçut sans douleur, avec satisfaction. Et lorsque la verge fut plantée au fond de l’anus, lorsque les testicules de l’homme furent en contact avec les fesses de la belle, ce fut de la jouissance qu’elle ressentit. Toutes les terminaisons nerveuses de son troufignon, en sommeil depuis qu’elle avait interrompu la sodomie, se réveillèrent et se mirent en ordre de marche ; comme une armée, des picotements déferlèrent dans son ventre, se déversèrent. Cette jouissance se transforma en une cascade, une vague, une déferlante, un orgasme ravageur.


Lorsqu’elle rouvrit les yeux, elle vit Myriam sucer son Dan qui n’avait pas éjaculé tandis que son corps était couvert de caresses et de baisers par Lucas. Une nouvelle idée naquit à ce moment-là dans l’esprit de Myriam. Se disant qu’à chaque jour suffit sa peine, elle ne l’exprima que lors d’une autre rencontre :



La encore ce fut une réussite totale et Nadine voulut, elle aussi, connaître cette jouissance de la double pénétration. Ce qui fut fait peu après.


**************************





**************************



Quelques semaines plus tard, accompagnée de Lucas, elle retrouve ses parents. Ils savent que le jeune couple s’est rendu dans un des centres recommandés. Pourtant ils n’osent poser aucune question. C’est Myriam qui s’exprime la première :



Le jeune homme a du mal à comprendre comment sa copine puisse être aussi directe avec ses parents en matière de sexualité. Autant il n’a aucune peine à se mettre nu et à se présenter ouvertement comme exhibitionniste, autant il maîtrise assez difficilement la dialectique en ce qui concerne les relations intimes. Que ce soit avec la famille de Myriam ne fait que compliquer la situation. Il répond pourtant :




FIN




Vous pouvez me joindre par courriel : Drulin77@orange.fr