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n° 17765Fiche technique26360 caractères26360
Temps de lecture estimé : 15 mn
31/01/17
Résumé:  Pascal découvre, grâce à une caméra IP, que sa femme organise une vente à domicile.
Critères:  ff cocus cunnilingu jouet confession
Auteur : Roby      

Série : Caméra IP

Chapitre 01 / 04
Fausse manip. IPV1

Je sais que cette constatation n’a rien de nouveau pour certains d’entre vous. J’ai été cambriolé. Mais, dans mon malheur j’ai eu de la chance, ils n’ont rien endommagé, si ce n’est une porte, et rien volé car manifestement ils ne cherchaient que de l’argent ou des bijoux.


Et ce n’est pas parce qu’on est à l’aise, qu’on habite une maison dans un lotissement en bordure de forêt, qu’on est "con" au point de laisser ce genre de choses visibles. Fouiller une maison prend du temps. Bref, du coup, mon assureur m’a fortement conseillé de faire installer des alarmes, surtout pour mettre la pression sur les voleurs avec la sirène qui hurle en faisant passer le message subliminal "On sait que vous êtes là. La police arrive."


Je l’ai fait. Mais au fil des mois, j’ai été souvent dérangé par de fausses alertes. La solution : installer des caméras. Mais comme je ne voulais pas que des tiers, à la centrale de surveillance, puissent regarder chez moi, je l’ai fait moi-même.


Ce n’est pas difficile et en moins d’une heure, de mon smartphone ou de ma tablette, j’ai eu accès à mon salon et au couloir qui conduit aux chambres, les passages obligés pour circuler. Le seul regret c’est que cela ne fonctionne que sous Android. Bien entendu j’ai montré tout cela à mon épouse, mais comme tout ce qui est technique ne l’intéresse pas, elle a juste fait « Bien, bien. »


Dans ce qui suit, je voudrais plaider "non coupable". Surtout ne pensez pas que mon idée était de surveiller ma femme, mes enfants ou ma femme de ménage. Pas du tout. Mais… hier, j’ai appuyé sur l’icône par mégarde. C’était juste après le déjeuner. J’étais à mon bureau et en voulant chercher un correspondant dans mes contacts, j’ai appuyé par mégarde sur celui d’à côté, "Caméra". J’aurais aussitôt constaté mon erreur si mon fixe n’avait sonné au même moment. Et c’est arrivé. Pendant que je parlais à mon correspondant, ma tablette m’a montré mon salon, caméra par défaut.


Oh, rien d’extraordinaire. Juste ma femme avec une autre. Ce qui m’a étonné c’est que la visiteuse avait deux valises à ses pieds et tournait les talons. Quelques secondes plus tard elle revient avec deux autres. Cela m’intrigue évidemment car nous n’attendons personne et je ne connais pas cette belle blonde qui doit avoir moins de 30 ans.


Je termine ma conversation avec mon interlocuteur tout en regardant ce qui se passe dans mon salon. Aussitôt libéré, je mets le son. La femme s’active et Séverine, mon épouse, l’aide. Toutes deux installent un portant. La femme y accroche de la lingerie qu’elle sort d’une des valises.

Tout en installant, les femmes discutent.



Je comprends à leurs échanges que la femme, Lisa, est une vendeuse à domicile et que c’est chez moi qu’elle va recevoir des clientes. Je dis "des clientes" car la lingerie qu’elles installent est pour les femmes et qu’à demi-mots, avant de les voir, je sais que certaines valises contiennent des jouets sexuels.


La pratique est manifestement passée dans les mœurs si j’en juge par la presse et la télé. Je m’étonne juste que Séverine ne m’en ait pas parlé. Cela nous arrive d’utiliser un sextoy. Par contre je n’ai jamais acheté ou participé aux choix de la lingerie avec ma femme. Ce qu’elle porte est toujours très beau et met ses courbes en valeur.

Je dois dire que Séverine est une belle femme et que la cinquantaine lui va bien. Nous avons deux enfants qui étudient loin de chez nous. Mais ces derniers temps je dois bien reconnaître que la sensualité de ma femme ne me touche plus. Lassitude, manque de surprise, et une impression de déjà-vu m’ont éloigné d’elle.



Décrire dans le détail les deux heures que dure cette vente à domicile sera fastidieux.

Je vois les invitées de ma femme arriver petit à petit. J’en reconnais certaines. Je ne m’étonne pas d’y trouver ma maîtresse, Armel, qui, avec son mari, font partie de nos amis.

La séance de lingerie est bien agréable. Voir ma femme partir dans notre chambre et revenir à chaque fois avec des sous-vêtements, tous les plus sexy les uns que les autres. Ensembles, nuisettes, corsets même, porte-jarretelles. Enfin tout pour séduire les hommes.


La découverte des sextoys est un moment d’anthologie. Entendre Lisa vanter les mérites de chacun. Voir les objets circuler de mains en mains avec parfois des remarques plus que lestes. Il y en a de toutes les formes, depuis le célèbre "rabbit" aux tout derniers, de couleurs, de formes et de matières étonnantes.


Et puis c’est le moment des commandes. Chaque femme en tête-à-tête avec Lisa, pendant que les autres papotent, boivent thé, café, rafraîchissements tout en manipulant à plaisir la lingerie et les gadgets.


Vient le moment où tout le monde est parti. Ne restent que Lisa et Séverine qui finissent de ranger. Les valises sont refermées. Les deux femmes se reposent un peu, un verre de vin blanc à la main. Ma femme adore le vin blanc et manifestement la vendeuse n’a pas refusé de l’accompagner.



La femme sourit.



Elle place les deux valises, en réalité plutôt des mallettes, sur la table et les ouvre. Merde je ne vois rien. Le couvercle reste à 90° et me cache le contenu. Séverine regarde. Elle commence par celle "Pour Lui".



Lisa sourit et extrait de la mallette une sorte de brochure dont elle tourne les pages. Elle la montre à Séverine qui manifestement découvre.



Et se dirigeant vers la mallette "Pour Elle".



Un silence s’installe. Ce putain de couvercle me cache ce que Séverine découvre. Et puis elle sort un sachet de couleur rouge.



Lisa sourit à pleines dents. J’aurais préféré que ce soit elle qui essaye la lingerie. Ma femme, je la connais sur le bout des doigts même si je dois reconnaître que tout ce qu’elle a essayé lui allait très bien, la rendant sexy, mais cette blonde élancée aurait été un modèle bien attrayant.



Cela semble un défi. Je suis aussi curieux que Séverine. Du coup elle part vers la chambre. Lorsqu’elle revient, une ou deux minutes plus tard, je comprends. C’est une lingerie spéciale. Séverine est un peu gênée. D’ailleurs elle cache son intimité avec sa main.



Ma femme retire sa main. Je comprends. La culotte, enfin ce qui reste d’une culotte normale, est ouverte au niveau de sa chatte. La culotte est, comme le soutien-gorge, fendue. C’est terriblement érotique.



En parlant, Lisa s’est approchée de ma femme. Ses mains sont tendues vers sa poitrine.



La femme déplace délicatement les bords du soutien-gorge afin que chaque sein soit totalement enveloppé et avec le téton parfaitement centré sur la fente du tissu.



Elle en profite pour ajuster un ruban. Séverine se décontracte un peu. Mais la fille farfouille dans la mallette et en extrait deux pendentifs ou boucles d’oreilles. En les montrant à ma femme, elle ajoute :



Marine les prend entre ses doigts. Elle regarde la pierre qui brille de mille feux.



Ma femme essaye mais n’arrive pas à placer le bijou.



Séverine ne dit rien mais redonne les objets. Alors se passe une chose extraordinaire.

Lisa qui ouvre l’anneau au maximum puis engage cet anneau autour du téton.

Puis immobilise le téton entre deux doigts tandis que de l’autre main elle referme l’anneau.



La situation est étrange. Est-ce courant qu’une vendeuse touche une cliente ? Je ne sais pas. Peut-être que les femmes, dans une cabine d’essayage font fi de leur pudeur et peuvent se toucher sans penser à mal.



Cette remarque plombe l’ambiance. La vendeuse qui pensait faire un compliment se retrouve face à une femme en souffrance.



La fille semble embarrassée de la conversation. Elle cherche une porte de sortie.



Ma femme ! Un amant ! Je ne m’attendais pas à cela. Moi qui me sentais coupable. La garce ! La salope ! Arnaud ? Qui est cet Arnaud ? J’en connais plusieurs. À moins que ce soit un autre. Les enfoirés. Je vais éclater. Le micro marche dans les deux sens et si je parle, pas de doute qu’elles vont m’entendre dans le salon.

Mais je me calme. Non, surtout ne pas montrer que j’ai espionné. Car, c’est ce que j’ai fait sans vraiment le vouloir, et cela n’aurait pas été grave, juste un souvenir, si rien d’important n’était advenu. Surtout ne rien faire. Me calmer. Je verrai plus tard. Mais tout de même quelle salope.



C’est bien ma Séverine, la mère de mes enfants, ma femme que j’ai respectée pendant tant d’années alors que j’avais envie de briser certains tabous, mais je n’ai pas osé, qui parle ainsi ? Oui, ma femme, cette… beauté aguicheuse… parée de lingerie indécente, qui achète un cadeau à son amant. Un amant ! Mais qui ? Et que peut-il y avoir dans cette mallette pour que cet Arnaud, manifestement dominateur, puisse apprécier ?



En deux phrases ma femme me réjouit et me crucifie. Elle m’aime. Moi aussi d’ailleurs et sur ce point notre séparation sexuelle a du bon. Elle avait du plaisir avec moi. Voilà les points positifs. Mais elle me crucifie avec les pratiques de son Arnaud, pratiques dont elle ne pourrait plus se passer. Voilà ce que c’est que de chercher à rester le mari parfait. Amoureux, prévenant, bon père de famille, délicat en amour, toujours à la recherche du plaisir de l’autre, de ne jamais passer l’étape des préliminaires.



Lisa rit de bon cœur. Séverine reprend :



Les deux femmes rient de ce moment de quiproquo.



Séverine qui semble avoir oubliée sa tenue de mannequin érotique.



La question de Lisa change tout de suite l’ambiance. Est-ce que ma femme a, comme moi, senti la différence dans le ton de la femme, dans son regard, dans sa façon de se tenir. Séverine hésite et puis :



Séverine hésite encore.



Je connais cette aventure lesbienne de ma femme. De la même façon que je lui avais avoué avoir "joué" avec un copain quand j’étais ado. Confidences de début de mariage alors qu’on se jure de ne rien se cacher. La roue tourne…



Lisa fait un pas vers ma femme.



Elle souligne d’un doigt la courbe des lèvres de Séverine.



Et elle le fait. Elle avance doucement son visage vers celui de ma femme. Lentement, j’imagine pour laisser à l’autre le temps de réagir. Refuser ou bien… Séverine la regarde mais ne bouge pas. Les lèvres se touchent. Le visage de Lisa se penche sur le côté comme lorsqu’on échange un vrai baiser. Elle enveloppe la tête de ma femme avec ses mains.

Combien de temps cela dure ? Je ne sais pas. Je sais juste que je peux voir que Séverine ne recule pas, au contraire. Au contraire, elle aussi penche la tête. Et puis elle aussi enveloppe Lisa de ses mains.

Elles s’embrassent. Plus de baiser délicat, les lèvres sont ouvertes, humides, les langues doivent batailler. Les deux femmes sont enlacées. Séverine est vaincue. Défaite bien rapide.


Déjà Lisa caresse ce corps qu’elle a dû regarder avec envie alors qu’il servait de support à sa lingerie. C’est drôle de voir des mains dont le vernis des ongles en marque le genre, se promener sur la peau de Séverine. Le baiser est encore plus fougueux. Les amantes sont l’une contre l’autre et les mains de Séverine partent aussi en exploration.

Lisa se détache. Ma femme semble paralysée, incapable d’un mouvement. Pourtant, le moment de surprise passé, il lui suffirait de s’éloigner ou simplement de dire "non".

Elles sont face à face. La femme mûre, la jeunette. La brune et la blonde. La silhouette fine et le corps plantureux.


Mais ce n’est pas l’âge qui commande. La mince Lisa a trouvé une proie. Cette proie, elle la guide vers notre canapé. Séverine s’assied. Commence alors ce que tout partenaire, homme ou femme, fait dans cette situation. Lisa la femelle est bien placée pour savoir ce qu’une femme aime. La longue caresse de chaque sein à travers le fin tissu est une torture bien douce jusqu’à ce que la peau des aréoles et des mamelons en reçoivent leur part. La découverte du nombril, des hanches et plus bas, là où la culotte porno attire le regard, les mains puis le visage.


Lisa est agenouillée devant Séverine. Sa longue chevelure forme un écran soyeux mais opaque. Je ne peux que deviner ce qu’elle fait. Elle fait comme moi et bien d’autres font lorsqu’ils sont face à un tel trésor. Sauf qu’elle tire aussitôt des gémissements de la femme. Des gémissements mais aussi des cuisses qui s’ouvrent sans pudeur pour faciliter les caresses. Des lèvres qui aspirent. Une langue qui enveloppe, lèche et s’aventure dans chaque pli, avançant dans la fente qu’elle doit découvrir humide comme les réactions de ma salope de femme le laissent penser.


Et ces petits cris de femelle qui jouit. Ma femme qui guide son amante pour une jouissance plus rapide. Lisa sait y faire. Moi, il me faut bien plus de temps pour la faire grimper aux rideaux. Enfin, je veux dire, avant. Avant cette lassitude. Pas de doute que Séverine se soit sentie troublée par ces essayages devant ses amies, et que dire de ce qu’elle porte !


Elle gît, comblée, sur le canapé. Sa maîtresse se relève et j’assiste comme ma femme a son déshabillage. Sa tenue était sage, sa lingerie aussi et elle nous dévoile un corps svelte presque androgyne si ce ne sont ses petits seins bien fermes et cette intimité lisse et peu bombée. Enfin, d’après ce que j’en vois.


Dans un ballet qui parait naturel et évident, Lisa se place sur ma femme. Assise sur son visage, dans un 69 redressé. C’est à son tour de se faire lécher. Je n’en vois pas plus que tout à l’heure. Mais là aussi j’imagine à partir de la face visible de cet iceberg de plaisir.

Lisa que je vois onduler pour offrir sa chatte, son petit cul peut-être, son clitoris sûrement, à la langue agile de Séverine.


Lisa que je vois jouer avec les bijoux des mamelons en les tirant vers le haut.

Lisa que je vois apprécier que ma femme lui caresse les seins.

Lisa, dont le visage reflète le plaisir, qui ferme les yeux, qui grince des dents, qui lance des petits "oui, oui" pour encourager l’amante qu’elle chevauche.

Lisa, qu’enfin j’entends jouir dans un feulement digne d’une lionne.


Mais alors que je pensais que les sens étaient satisfaits, je vois la femme bondir, extirper de la mallette "Pour Lui" un gode bizarre avec une sorte de lanière. C’est en la regardant faire que je comprends. C’est un double. Elle en glisse une extrémité en elle, soit dit en passant qu’il entre comme une lettre à la poste, fixe les larges sangles autour de ses cuisses et de ses reins et la voici "mâle" en puissance. Excroissance étrange, saugrenue mais qui ne manque pas de piquant. Surtout qu’elle ne se place pas comme un homme sur une femme : non, elle glisse ses jambes dessus et dessous celles de Séverine, approchant la bite de la chatte en émoi et la glissant dans une lente reptation.


Quel spectacle étrange. Un enchevêtrement de jambes. Des mains qui se tendent pour en atteindre d’autres. Elles sont chatte contre chatte dans une totale impudeur, emportées par une folle envie bien partagée, l’une de posséder, l’autre de se faire prendre. Les ventres ondulent. Les cuisses se tendent. Le gode ne réapparaît que pour mieux s’enfoncer dans la grotte de ma salope de femme, femelle possédée par un autre.


C’est crû, contre nature, mais que c’est beau. Une certaine bestialité que nous hommes n’attendons pas de voir chez des amantes. Et pourquoi pas ! On les dirait reliées l’une à l’autre, chevillées par ce qui les possède, empalée sur un axe de bonheur. Les corps transpirent. Les visages exultent. Les lèvres se pincent. Les sons sont divers, obscènes, délicieux. Le plaisir est avec elles. La jouissance est partagée dans une communion grandiose. C’est beau, deux femmes…


Elles jouissent…

Les mains se quittent.

Les corps se relâchent.

Le gode réapparaît.

Les ceintures libèrent la baiseuse.

Le double gode brille de sécrétions.


Merde, on frappe. Je n’ai que le temps d’éteindre la tablette.



« Mais si, Ducon, tu me déranges. Je voulais voir la suite. Pendant que tu me saoules avec tes questions, j’imagine les deux femmes chez moi. Que font-elles ? Elles recommencent ? Elles se séparent ? »


Lorsque "Ducon" est parti, je retrouve le salon vide, bien rangé comme si rien ne s’était passé.