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Temps de lecture estimé : 27 mn
07/02/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Aujourd'hui, je suis convié à un colloque traitant des toutes dernières dispositions administratives relatives à ma profession, ce qui ne m'emballe pas trop d'en être...
Critères:  fh jardin fsoumise voir fellation fsodo -initfh
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Histoire d'M

Chapitre 01 / 02
M comme Mélanie

Cette histoire, à l’origine en un seul tenant, a été découpée en deux parties que vous pouvez lire séparément.

Bonne lecture




Petit préambule



D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une tendance à la domination, à imposer mon point de vue, mais de façon non frontale, écoutant les arguments de la partie adverse pour mieux les retourner. Bref, je suis un peu manipulateur à ma façon. C’est là mon moindre défaut.


C’est en visionnant le fameux film « Histoire d’O » que j’ai eu la révélation. Le film en question n’est certainement pas la panacée, il est même bancal, voire presque nul, mais il a le mérite de donner une assez bonne idée des joies de la domination ainsi que de la soumission qui va avec. Un peu comme dans les « Cinquante nuances », trilogie risible écrite par une personne qui n’a visiblement pas expérimenté le centième de ce qu’elle raconte. Mais ces livres et films ont permis à beaucoup de femmes (et d’hommes) d’épicer leurs nuits. Ce qui est déjà ça de pris…


Ce qui assez stupide dans l’histoire est que j’ai découvert tardivement le film « Histoire d’O ». Dans la foulée, j’en ai profité pour regarder d’autres films comme « Gwendoline », mais rien de transcendantal ! Oh non ! C’est alors que je me suis penché sérieusement sur la question et que j’ai vite découvert qu’entre les films et la réalité du terrain, il y avait le même écart qu’entre un fast-food et un restaurant gastronomique. C’est dire !


Néanmoins, c’est en visionnant divers films d’amateur (au sens noble du terme) que j’ai eu une meilleure idée de la réalité des choses, même si parfois, c’est « légèrement » surjoué. D’ailleurs, c’est fou ce qu’on peut découvrir comme idées amusantes dans ce genre de vidéo…


Du coup, je me suis lancé, ce qui n’a pas été des plus faciles… Au début, j’ai eu des hauts et des bas, plutôt des bas que des hauts, je pourrais d’ailleurs remplir un livre d’anecdotes sur le sujet, ce que je ferais peut-être plus tard quand je serai à la retraite ou quand je n’aurai plus besoin de travailler. Idem pour ma vie sentimentale qui n’a pas toujours été faste, bien que dans l’ensemble, je ne sois pas à plaindre.


Et puis un jour, alors que j’étais redevenu célibataire…




M comme Mélanie



Aujourd’hui, je suis convié à un colloque traitant des toutes dernières dispositions administratives relatives à ma profession. Ça ne m’emballe pas trop d’en être, d’autant que, comme d’habitude, notre chère administration nous a pondu des textes qui démontrent une fois de plus leur totale méconnaissance du privé ! Mais comme dans mon entreprise, j’ai été désigné volontaire, je n’ai pas eu trop le choix. Ma seule consolation réside dans la bienveillance qu’auront envers moi mes collègues ces prochains jours !


Enfin, la pause ! Je me dirige vers le buffet pour aller y prendre un jus d’orange largement mérité. Ah, pour une fois, cette boisson n’est pas trop chimique ou abondamment coupée d’eau. Dans un coin, divers autres invités semblent trouver pénible, eux aussi, le colloque, c’est assez flagrant sur leurs visages. Alors que je m’apprête à aller leur dire un petit bonjour, je remarque dans un coin une femme plutôt mignonne, un peu plus jeune que moi, qui semble se morfondre. Du coup, je change mes plans initiaux pour aller lui dire ce même petit bonjour.



Elle me regarde, interdite, puis voyant mon sourire, elle comprend que je suis ironique. Elle abonde dans mon sens :



Je désigne le parc extérieur :



Elle ne répond rien, mais elle regarde à présent à travers la grande porte-fenêtre ouverte. J’en profite pour bien lire le badge qui est accroché à son sac à main. Se sentant observée, elle tourne la tête vers moi. Comprenant mon regard, elle observe à son tour mon badge. Je me présente :



Elle a un peu hésité à prononcer mon prénom. C’est vrai que pour ma part, j’aurais pu me limiter à son nom de famille. Curieusement, j’ai employé son prénom, alors que ce n’est guère dans mes habitudes d’être aussi direct avec une inconnue. Nous entamons dans un premier temps une conversation assez banale, tout en nous approchant petit à petit de cette fameuse porte-fenêtre donnant sur le parc ensoleillé.


Depuis tout à l’heure, je mémorise la tenue de mon interlocutrice : Mélanie est habillée tout en bleu, de la tête aux pieds. Robe bleue légère et seyante, laissant entrevoir plus bas de belles jambes chaussées de chaussures bleues elles aussi. Comme il fait plutôt chaud aujourd’hui, elle ne semble pas porter de bas ou de collant. Je remarque aussi que ses ongles sont assortis, idem pour un léger maquillage, surtout un bleu à paupières. J’en viens à me demander si ses dessous sont eux aussi bleus. Il aurait été amusant que son rouge à lèvres soit bleu lui aussi. Néanmoins, ses lèvres sont d’un délicat rose qui lui sied très bien.




Dehors



Peu après, nous sommes sur la terrasse. Nous ne sommes pas les seuls, alors nous allons nous balader sur l’herbe, vers l’orée d’une sorte de petit bois. Alors que nous échangeons quelques banalités, elle se fend d’un :



Elle pouffe, main sur ses lèvres :



Je ris franchement :



C’est elle qui rit franchement. Quelques instants passent. Je regarde du côté de la terrasse, personne n’a bougé, donc la coupure n’est pas finie, à moins que tout le monde boude la suite du colloque ! Je constate :



Inclinant la tête vers le bas, elle me regarde étrangement, yeux levés vers moi :



Elle rougit un peu :



Mes sens sont en éveil. Je réponds de mon air le plus dégagé :



Décidément, avec son air de ne pas y toucher…




Curiosité



Mélanie me semble bien curieuse, on dit ça de la plupart des femmes, mais ça m’arrange. Il est rare que je puisse parler d’un de mes sujets de prédilection de la sorte. Je décide de jouer franc-jeu. Ou bien elle se sauve, ou bien elle continue à discuter.



Je m’adosse à un arbre :



Mélanie semble un peu étonnée, elle répond comme perdue dans ses réflexions :



Jouant avec une branche, je souris à Mélanie :



Lâchant la branche avec laquelle je jouais, je m’approche d’elle :



Elle ne répond pas, tout ceci semble la rendre perplexe. Je sens intuitivement que Mélanie doit avoir un penchant pour la soumission, mais comme elle n’y a jamais mis les pieds, elle ignore sa capacité en la matière. Peut-être qu’elle pourrait devenir une bonne soumise, voire ma soumise, mais ne faisons pas tout de suite de plans sur la comète…

Mon interlocutrice me demande :



Songeur, je réfléchis deux secondes avant de répondre :



Elle est songeuse, elle semble évaluer mes propos. Je ne sais pas si je peux tirer profit de la situation, mais c’est déjà pas mal que je puisse évoquer ce genre de chose avec elle. Peu après, Mélanie me questionne :



Je ne réponds pas, mais ma mimique parle pour moi. Elle rit doucement, détendue. Intéressant, très intéressant. La conversation prend un tour très captivant. Elle a fait mine de ne pas y toucher, mais en réalité, elle connaît déjà un peu le milieu. Visiblement, elle m’a laissé parler pour juger si j’étais un interlocuteur valable. Je sens que j’ai une ouverture, alors je tente :



Eh bien, nous y voici…




Expérimentons



Décidément, j’ai finalement bien fait de venir à ce colloque. Tout en souriant, je propose imperturbablement à mon interlocutrice :



Elle me regarde avec des gros yeux ronds, bouche mi-ouverte. Durant ce temps, je continue à lui sourire, comme si de rien n’était :



Et je la regarde fixement, prenant lentement mais sûrement mon allure de dominant quand je suis en séance. Elle semble assez perdue, dépassée par la situation. Je vois bien qu’elle est tiraillée entre m’envoyer paître et se lancer dans l’expérience. Il va falloir que je fasse très attention à ce que je vais dire à présent :



Elle ne répond pas, ce qui est finalement un bon point pour moi. Elle jette un premier coup d’œil circulaire puis un second. Elle tergiverse encore un peu, puis elle murmure :



Je me contente de sourire puis je me retourne. J’entends qu’elle s’agite derrière moi, ça dure quelques secondes.



Elle est toute rouge, ça lui va bien, elle est même adorable ainsi, debout sur ses jambes bien serrées, ses mains derrière le dos. Puis d’un geste brusque, elle tend le bras. Au bout de celui-ci, se balance un petit morceau de tissu bleu et soyeux. Sans hâte, je m’en empare, elle rougit encore plus.



Je déploie sa petite culotte entre mes doigts :



Elle ne répond pas, toujours aussi écarlate. Soigneusement, je plie la petite culotte sous l’œil étonné de Mélanie puis je la lui rends :



Elle reprend sa culotte et la glisse dans son sac à main. Puis les joues toujours en feu, elle me demande :



Un certain silence s’installe. Je constate qu’elle serre moins les jambes, comme si elle acceptait petit à petit sa situation un peu incongrue. Je décide de casser ce silence :



Elle n’achève pas sa phrase, mais je comprends ce qu’elle souhaite exprimer.




Un peu plus loin



Dans la vie, il faut savoir forcer un peu les choses ; le politiquement correct, c’est bien, mais souvent limitatif. Et comme il vaut mieux avoir des remords d’en avoir trop fait que de regrets de n’avoir rien fait, même si je dois me griller, autant essayer, car qui ne risque rien n’a rien.


Après toutes ces maximes, il conviendrait de passer à l’action. J’entraîne Mélanie vers un coin plus tranquille, tout en restant assez près de la terrasse toujours animée afin la rassurer. Elle se laisse faire, ce qui est de bon augure.



Elle se tortille sur place, son corps semble dire « oui », mais ses lèvres risquent de prononcer « non ». Toujours cet instant de l’oscillation entre souhaiter et passer à l’acte. Avant que je ne reprenne la parole, c’est elle qui demande :



Elle se fige, semblant attendre la suite. Je me pose des questions sur comment interpréter cet état de statue. C’est alors que je réalise qu’elle attend tout simplement que je lui en donne l’ordre. Ce que je fais aussitôt :



Sans dire un mot, elle se retourne, me présentant son dos, relevant ensuite ses cheveux. Je comprends qu’elle souhaite que je descende sa fermeture Éclair. Ce que je fais délicatement, lentement, pour mieux savourer sa reddition.


Peu après, elle est seins nus, face à moi, tête un peu inclinée vers le bas, joues en feu. Un petit sourire sur les lèvres m’indique qu’elle aime finalement ce qui lui arrive. Ses seins ne sont ni trop petits, ni trop gros. Je suis un peu étonné par ses larges aréoles qui entourent des tétons bien dressés. J’avance lentement la main vers sa poitrine, elle ne recule pas, mais je vois bien qu’elle frissonne légèrement.


Je touche son téton gauche, elle frémit. Puis mon doigt suit la frontière entre son aréole et la peau blanche de son sein. Doux contact, très doux…




Moyens du bord



Tout se passe pour le mieux, je pense avoir trouvé ma future compagne de jeu. Je n’y croyais plus. Il est vrai que dénicher une soumise n’est déjà pas évident, et en plus, il faut quand même un minimum d’atomes crochus entre les deux parties.


Tandis que je continue à jouer délicatement avec son téton bien dur et frôler le contour de son aréole frémissante :



Elle ne répond rien, elle se tient immobile comme une statue, comme tout à l’heure. Ça doit être sa façon de me dire « OK ».


Dommage que nous soyons dans ce parc, ça manque d’accessoires, il va falloir que j’improvise. Il ne faut pas non plus que ça soit trop sexuel, car ça serait en porte-à-faux de ce que j’ai pu dire auparavant, et la confiance est primordiale dans ce domaine.


C’est alors que je me souviens que nous avons, elle comme moi, des badges. Sous ses yeux étonnés, je décroche le mien, puis je malaxe un peu son téton que j’étire. Mélanie comprend où je désire en venir, elle serre un peu les lèvres, attendant la suite des événements. La pince de mon badge vient ensuite mordre cruellement ce bout de chair tendre. Je la vois serrer les dents, mais ne rien dire. Puis je m’empare de son badge pour en faire de même avec son autre téton.


Stoïquement, elle reste droite, bras le long du corps, tandis que je recule pour admirer le spectacle. Je reconnais que ça fait son effet, deux badges qui se balancent au gré des moindres oscillations d’une mignonne femme quasi dévêtue.



Je lui souris, très satisfait de la réponse et du titre qu’elle vient de m’attribuer. Je m’amuse à jouer avec les deux badges, les faisant bouger, les faisant se balancer. Mélanie serre les lèvres, les pinces continuant de mordre cruellement ses tétons. Je passe à l’étape suivante ; je tire sur les deux morceaux de plastique afin étirer ses bouts-de-sein. Sous cette contrainte, elle serre encore plus les lèvres, mais elle n’a pas protesté, aucun cri, aucun pleur.



Délicatement, j’ouvre les pinces, Mélanie grimace. Je sais très bien que poser une pince fait un peu mal, mais c’est la retirer qui est le plus douloureux. C’est pour cela que je les retire le plus délicatement possible. Elle pousse un grand soupir de soulagement quand le dernier badge est ôté. Alors je me penche sur sa poitrine et je suçote ses tétons meurtris. Elle tressaille un peu, mais semble apprécier cette caresse humide. Et moi aussi, j’aime beaucoup…


Je jette un rapide coup d’œil aux alentours. Personne. Le colloque a sans doute recommencé sans nous. Et qui se soucie justement de nous ? Moi, j’ai affaire à une mignonne jeune femme qui joue les apprenties soumises, et c’est nettement plus intéressant que tous les orateurs du monde, aussi bons soient-ils !


En parlant d’orateur, je prends à nouveau la parole :



Elle s’exécute, ôtant sa robe. Elle me demande :



Elle se tient droite devant moi, les bras le long du corps. Je peux alors admirer ses formes qu’elle ne me cache pas. Je reconnais que Mélanie est très mignonne, un peu trop attirante d’ailleurs. C’est à la fois une mignonne poupée et une femme normale, accessible, je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens en la voyant. Je décide de profiter de mon avantage :



Obéissante, elle se tourne. Il n’y a pas à dire, c’est tout aussi mignon à contempler. J’imagine maintenant bien des choses ! Et pas forcément que basées sur la Domination/soumission ! Comme attiré par un aimant, je m’approche d’elle. Je pose mon doigt à la base de son cou. Elle frissonne. Puis lentement, le bout de mon index descend le long de sa colonne vertébrale frémissante. Je continue ma lente descente pour arriver au creux de ses reins, une petite cuvette sur laquelle je ne détesterai pas poser un jour ma tête. Je vais retenir cette idée dans un coin de ma mémoire.


Je continue encore plus bas, glissant mon doigt à l’orée du sillon de ses fesses. Je poursuis, mon index de plus en plus enserrer par les masses douces de ses fesses. J’arrive près d’un petit trou excitant. Je sens que ma soumise vacille, qu’elle se pose des questions. Je m’attarde un petit peu, histoire de la taquiner un peu, puis je retire mes doigts. Je vois bien qu’elle est soulagée. Ça m’intrigue un peu ; serait-elle très rétive à ce genre de chose ?


Pour changer l’atmosphère, je saisis posément ses fesses pour les caresser. Puis m’approchant plus près d’elle, je lui susurre :



Je continue ma caresse. Après une bonne minute, je passe devant elle afin de caresser son ventre. J’ai toujours aimé caresser le ventre d’une femme, c’est ainsi. Elle se laisse faire avec un certain sourire. Puis je remonte vers ses seins que je câline longuement, jouant avec leurs masses, leurs pointes. C’est alors qu’elle me dit :



Elle ne répond rien, mais n’en pense pas moins. Elle se laisse faire, et les réactions de son corps m’indiquent clairement qu’elle apprécie. Mais je pense qu’il va falloir que je passe à la suite.


M’éloignant d’elle, je désigne une souche haute de cinquante centimètres :



Ainsi penchée, elle m’offre ses belles fesses que je me fais un plaisir de fesser doucement pour commencer afin de les chauffer. Petit à petit, elles rougissent d’une bien agréable façon. Et à prime vue, Mélanie semble beaucoup apprécier. Me mettant mieux sur le côté, j’alterne petites claques et douces caresses sur ces fesses offertes. Je ne dirais pas non à une branche souple pour cingler ce cul très attractif, mais je pense qu’il est trop tôt ; restons pour l’instant dans le ludique.


Tandis que je caresse de la paume de ma main son popotin qui se laisse faire, je demande :



Mes fessées se sont de plus en plus sèches et piquantes. Parfois elle laisse échapper un petit cri. Comme avant, j’alterne douceur et cruauté. Son cul rougit sous les impacts, il est chaud au contact, un vrai plaisir. J’ordonne :



Elle s’exécute sans rien demander. Je la remercie à ma façon par une longue caresse sur ses fesses, elle frémit d’aise. Je place mon autre main sous son ventre pour corriger sa posture. Docile, elle s’adapte. Puis je recommence sa série alternée de fessées et de caresses. Lentement, mes doigts du dessous glissent vers son pubis. Peu après, ils commencent à taquiner un petit bouton de chair niché entre des lèvres bien humides. Visiblement, Mélanie aime le traitement que je lui fais subir. Je suppose qu’elle va aussi apprécier ce qui va suivre !


Mes doigts s’activent encore plus, agaçant, titillant, caressant un clitoris gonflé. Je sens distinctement sa cyprine qui dégouline, lubrifiant plus encore sa chatte et ses lèvres intimes, aidant à la masturbation que je lui fais subir. Elle halète, elle souffle, mon autre main fesse encore et toujours son cul tendu. Plaisir d’un côté, punition de l’autre !



J’attends un peu, la laissant récupérer de son orgasme. Puis approchant ma main maculée de cyprine, je lui ordonne :



Sans mot dire, elle s’exécute, les léchant, les suçant, avalant ses propres sécrétions afin de nettoyer petit à petit ma main souillée.




Mélanie aime les sucettes



Ma main nettoyée, je recommence mon petit jeu, lui donnant la fessée tout en la masturbant. Il ne lui faut pas bien longtemps pour jouir à nouveau. Elle se laisse aller encore plus, son corps secoué de délicieux frissons. Je la laisse reprendre son souffle, s’apaiser, ce qu’elle fait lentement, tandis que j’essuie mes doigts sur ses fesses écarlates, appliquant sa mouille tel un baume.


Quelques instants plus tard, les yeux mi-clos, elle murmure :



Elle vient de prononcer le mot « Maître » avec un certain sourire et une intonation que j’apprécie beaucoup ! Je décide de passer à une étape supplémentaire :



Docile, elle s’agenouille dans l’herbe. Je viens me planter face à elle, tout près, la pointe de mes chaussures toute proche de ses genoux. Elle lève la tête vers moi :



D’un geste lent, j’extirpe mon sexe déjà bien dressé pour le mettre sous son nez.



Puis du bout de ses doigts, elle s’empare délicatement de ma verge bien gonflée pour la glisser entre ses lèvres. C’est un véritable délice, elle m’applique une délicate sucette toute en retenue, sachant très bien alterner coups de langue et délicats suçotements, sans parler de ses doigts qui savent très bien agir sur la base de ma tige ou masser mes boules bien pleines.


J’en viens à me demander si ma néophyte n’en connaîtrait pas nettement plus qu’elle semble vouloir le dire. Ceci dit, certaines femmes savent très bien prodiguer de délicieuses fellations naturellement et spontanément. Peu importe, du moment que le plaisir soit là…


Et mon plaisir est bien là ! Et même dangereusement là, car Mélanie sait très bien se servir de sa bouche et de sa langue ! Quelque chose me dit que je ne vais plus résister longtemps. Alors je lui tapote sur la tête pour lui indiquer :



Elle continue de plus belle, et ma tension monte d’un cran. Je lui répète :



Pour toute réponse, elle enfourne carrément ma queue jusqu’à sa base. Le message est clair, elle souhaite manifestement que je me répande dans sa bouche. Je ne vais certainement pas la contrarier ! Elle s’active sur ma tige, la faisant sortir jusqu’à mi-course puis en l’absorbant jusqu’à ce que son menton cogne mes testicules. C’est divin et stressant en même temps ! Puis quelques instants après, dans un grand soupir de soulagement, une première salve vient noyer son palais. Malgré le sperme, sa langue agile continue son œuvre tandis que d’autres salves envahissent sa bouche puis sa gorge.


Décidément, j’ai déniché une perle rare ! C’est une découverte à savourer !




Fin de l’expérience



Elle se rhabille, tandis que je regarde ailleurs, me disant que n’importe qui des environs aurait pu nous surprendre !



Elle a un petit sourire espiègle. Je ne me laisse pas démonter :



Elle ne dit rien, se contentant de me regarder. Je poursuis :



Pris par une impulsion subite, je me penche sur elle pour l’embrasser délicatement sur les lèvres. Elle se laisse faire, mais elle s’offre le luxe de me taquiner :



Elle sourit à cette réponse, puis sans que je ne puisse faire un seul geste, elle pose furtivement ses lèvres sur les miennes :



Nous revenons vers le grand bâtiment du colloque, colloque qui est devenu nettement moins ennuyeux. Nous passons le reste du temps ensemble, sagement. J’aimerais bien l’embrasser à nouveau, mais cette fois-ci plus fermement et posément, mais le lieu ne s’y prêtait pas trop et Mélanie semble nettement plus intéressée à devenir une soumise qu’à être une conquête. Plus tard, l’heure venue, nous devons nous séparer, nous nous donnons néanmoins rendez-vous demain soir après le travail.


Je rentre chez moi, très satisfait : ce fut une expérience très concluante. Jamais je n’aurais pensé dénicher une telle femme, surtout dans un colloque administratif, mais la vie est faite de hasards divers, et il faut savoir saisir l’occasion quand elle se présente. De plus, je dois reconnaître que Mélanie est parfaitement à mon goût, peut-être encore un peu effacée, comme le sont souvent les soumises au début, mais j’ai bon espoir de faire en sorte qu’elle outrepasse sa gaucherie en la matière.




Ma petite chienne



Les jours, les semaines passent, nous nous revoyons très souvent. Ces derniers temps, nous passons nos week-ends ensemble, ce qui accélère considérablement notre connaissance mutuelle et aussi son éducation à la soumission. De mon côté, j’alterne les épreuves, cherchant à varier les expériences, mais toujours de façon progressive, avec quelques instants de repos. Et elle aime visiblement le traitement graduel, mais actif que je lui fais subir.


Nous sommes convenus qu’elle serait en quelque sorte mon petit animal domestique. À ce propos, les Britanniques ont un mot pour cela : « pet ». Après quelques hésitations et quelques tâtonnements, j’ai décidé que Mélanie serait ma petite chienne. Cette expression est un bon moyen terme et elle est assez chargée de sens divers pour nos jeux.


Aujourd’hui justement, nous jouons. Mélanie est arrivée, il y a environ dix minutes, puis elle est partie se préparer dans la salle de bain. Maintenant, je sais qu’elle est prête, car la porte est entr’ouverte et donc qu’elle attend la suite des événements.



En effet, elle est prête si j’en crois son habillement du jour, une mignonne robe que je qualifierai de très légère…



Docile, elle soulève sa robe légère, me présentant ses fesses après s’être retournée. Bien sûr, elle ne porte plus de culotte depuis nos premières expériences, ça simplifie les choses et ça nous rappelle quelque part bien des souvenirs pourtant bien proches. Beau cul, en effet, dont je ne me lasse pas ! J’adore l’embrasser, le caresser tendrement, le fouetter cruellement, faire vibrer ses masses sous ma main, le voir rougir, pour venir ensuite le câliner, y souffler le chaud et le froid, le piquant et la douceur.


Je m’empare d’une pince à linge pour maintenir sa robe relevée, puis je lui ordonne :



Elle obéit, comme elle le fait toujours. Rien à redire sur sa docilité ! Je m’empare de la cravache souple, celle que je sais manier le mieux. Je donne un premier petit coup, juste pour prendre mes repères. Puis, dans le prolongement de son corps, je commence à taquiner horizontalement ses fesses du bout de la cravache afin qu’elles rougissent un peu. Je commence la plupart du temps en mode piquant, sans donner des coups transversaux, je les réserve pour plus tard en général. Parfois je n’en applique pas.



Je cingle de plus en plus fort ce beau cul, mais en faisant attention, car mon but n’est pas de détruire mon plus beau jouet ! J’aime en abuser, le forcer, mais certainement pas le casser ! Néanmoins, je décide de donner quelques coups transversaux, le plus à plat possible pour bien répartir l’impact et voir vibrer la chair molle de ses fesses ainsi suppliciées. Mais avant, j’exige :



Je me positionne au mieux, je pose la cravache contre ses fesses pour ajuster mon premier coup. Elle frémit sous le contact de la tige. J’écarte un peu le bras pour vérifier si tout est ok. C’est par ce qu’elle sait que je suis pointilleux sur ce genre de choses qu’elle me fait confiance, et sans confiance, la D/s n’est qu’un faux-semblant !


La cravache siffle dans l’air pour venir s’abattre de façon sonore sur ses fesses.



Ses chairs ont vibré, c’est incontestable, mais je sais qu’elles peuvent plus. Le deuxième coup arrive aussitôt, plus sec.



Je recule un peu, effleurant ses fesses pour mieux ajuster le coup suivant. Celui arrive deux secondes plus tard, cinglant.



Je change de côté, pour répartir la douleur. J’ajuste à nouveau ; le quatrième qui s’abat sur ses fesses est plus faible.



J’ai décidé de me limiter à six coups, comme au western. Parfois, je vais nettement plus loin, mais jamais, elle n’a dit « rouge ». Elle aime parfois aller loin, très loin même, et moi, je veille à ne pas outrepasser ses limites !



Ce fut un admirable coup de cravache, ni trop ni trop peu, avec un beau son ! Elle dandine sur place, je suppose que ça doit cuire. J’attends un peu qu’elle se remette pour le dernier, mais elle ignore que c’est justement le dernier. Je change à nouveau de côté, j’ajuste, une fois, deux fois, puis je me décide pour ce dernier coup, juste comme il faut, piquant certes, mais pas blessant.



Elle fait mine de se redresser, je plaque ma main sur son dos :



J’ôte prestement mon pantalon et mon caleçon. Mon sexe est bien raide, juste comme il faut. Je dépose une noisette de lubrifiant sur mon gland écarlate. Je l’étale du bout du doigt, tandis qu’avec mon autre main, j’intime à ma petite chienne d’écarter un peu plus les jambes.



J’écarte ses fesses entre mes doigts, dégageant son sillon, mettant en pleine lumière une cuvette que j’aime beaucoup explorer ! Je pose mon gland contre ce petit trou qui le sera moins dans quelques instants, puis je pousse posément, férocement. Elle se cabre, résiste comme elle peut face à ce mandrin qui s’enfonce inexorablement en elle. Déjà la moitié de ma queue est en elle. Le lubrifiant aide beaucoup, sans parler que je visite souvent l’endroit, jouissant de son étonnante élasticité.



Elle ne se fait pas prier ! Perso, j’estime qu’il y a plus de plaisir à éjaculer dans le cul dandinant d’une belle cochonne qui jouit en même temps ! La savoir fichée sur sa queue tandis qu’elle décolle au septième ciel, c’est proprement divin comme sensation. Je comprends mieux pourquoi Dieu a inventé le plaisir sexuel pour nous, les êtres humains !


Néanmoins, je sais que d’autres préfèrent jouir dans un cul qui souffre. Mais ce n’est pas ma tasse de thé. Je chasse cette idée pour venir profiter à fond de ce petit cul bien coulissant dans lequel je vais m’éclater à fond, bien au fond ! Ah cette sensation paradisiaque de ma tige compressée dans sa chaude entrée des artistes ! Le plaisir de voir ma queue entrer et sortir dans son tunnel de chair, de plaquer à chaque fois mes couilles contre son adorable cul rouge ! Il faut le vivre pour comprendre, les mots sont souvent loin du compte… très loin…


De son côté, elle subit actuellement cet étrange mélange de douleur et de plaisir, son anus ramoné, moi plaqué sur son cul écarlate et la jouissance qui monte lentement. J’entends distinctement son souffle court, ses halètements, tout ce qui indique une montée certaine vers le plaisir.


Elle se raidit, je sais qu’elle est alors à la porte de sa jouissance. Alors je me plaque contre, allant au plus loin, me laissant complètement aller, je me vide en elle, je la remplis sans vergogne, inondant ses entrailles, rafraîchissant de mon torrent l’intérieur de son ventre tout chaud !


Au milieu de ses cris, je m’écoule en elle, je me déverse, et le reste n’a plus d’importance ! Ceux qui ne l’ont jamais fait ne peuvent pas comprendre ce sentiment à la fois de puissance et de fusion…




Un grand merci à Favasso pour ses conseils.