Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17778Fiche technique14179 caractères14179
Temps de lecture estimé : 9 mn
09/02/17
Résumé:  Une séance de voyeurisme dans les calanques et la découverte des sentiments de mon amie.
Critères:  fh ff fbi couple vacances plage voir fellation -initff
Auteur : Lafurie            Envoi mini-message
Plage


Direction plage. Voilà une semaine que Vanessa et moi sommes en farniente complet dans cette petite station balnéaire de la Côte d’Azur, et nous allons une fois encore profiter de la belle journée qui se profile pour m’exiler en bord de mer. Délaissant pour une fois la plage qui sera vite bondée de touriste luisants mais rouges, et de gosses hurlants, nous nous décidons après concertation pour une petite crique que l’on nous a indiquée hier soir, nous y promettant repos calme et fraîcheur.


Quasi inaccessible, nous manquons de nous perdre deux fois avant de trouver ce petit arbre tordu qui marque l’accès au layon qui descend vers la mer. Vanessa peste contre moi et mes idées idiotes de coin désert. L’air en cette fin de matinée est doux, sec. Une brise légère fait voleter mon paréo, mais malgré cela l’après-midi risque d’être chaude. Nous avons tout prévu pour y rester un moment, nattes et serviettes, chapeaux de paille pour moi et casquette pour Valou, lunettes de soleil, crème et livres, et ma petite glacière avec deux salades et une grande bouteille d’eau, ainsi que quelques fruits.


Je constate en descendant que la crique se compose d’une petite plage de sable et, surtout, que de gros rochers en surplomb la cachent bien du haut de la falaise, avec quelques arbres prodiguant, au vu de l’orientation, une ombre bienvenue. Parfait. Si elle est aussi discrète que difficilement accessible, elle doit être déserte, peu de chance qu’elle soit surpeuplée et qu’on nous trouble ce calme qui nous tend les bras. Malgré la vue superbe, Valou me raille encore du manque de mâle… Son bel éphèbe de la semaine dernière lui manque encore…


Manquant de chuter deux fois, finissant par ôter nos tongs et par préférer la perte d’un orteil à une chute vertigineuse, nous finissons par arriver sur la micro plage. Le sable est chaud, l’eau tentatrice également, et je décide d’en profiter tout de suite. Vanessa, exploratrice, nous installe sur un rocher plat un peu au-dessus, qui se révèle à l’abri des regards du haut de la crique comme de la petite plage. Elle y étale nos serviettes et nos affaires. L’ombre d’un petit pin parasol, curieusement nain, atténue la chaleur de la pierre de façon providentielle. Elle m’interpelle en me disant que l’absence du moindre déchet lui confirme la faible fréquentation du coin.


L’eau est un peu fraîche en cette fin de matinée, mais avec le soleil montant et l’absence totale de nuage, je sais qu’elle va se réchauffer rapidement. Je fais quelques brasses, et paresse dans l’eau. Mais il est temps pour moi d’aller me faire bronzer. Je remonte tranquillement sur mon aire de repos isolée, rejoignant Vanessa. Arrivée, j’ôte mon haut de maillot et avant de m’étendre sur ma serviette je me badigeonne d’huile solaire, les épaules, le cou, la poitrine et mes seins, le ventre et l’aine. Un échange de bons procédés nous permet de faire de même avec nos dos et nos reins. Cela me fait un corps brillant et chaud. Nous faisons fi de nos hauts de maillots et réduisons comme de coutume les marques de nos bas en les roulants au plus court.


Je m’allonge sur ma serviette sur le dos, Vanessa opte pour le ventre. Je vais enfin me laisser aller à mes pensées vagabondes alors que Vanessa a déjà sombré dans une somnolence silencieuse, ses écouteurs d’IPhone lui susurrant du mielleux… Oui, parce que je me souviens encore de ce serveur de la pizzéria hier soir qui m’a subjuguée avec ses yeux noisette. Un peu plus souvent que nécessaire à notre table pour me proposer quelque chose, il s’est vite rendu compte qu’il me plaisait, ses regards dérobés croisant souvent les miens évaluateurs. C’est d’ailleurs lui qui, sur notre insistance, nous a indiqué cette crique, mais nous décevant en nous annonçant qu’il était de service de 11 à 16 h.


Le soleil chauffe vraiment maintenant. Quelques gouttes de sueur me coulent le long des aisselles et je commence à me demander si je ne vais pas retourner me baigner. Mais pour l’instant la flemme de me lever, de descendre et surtout de me rebadigeonner d’huile solaire ensuite, m’en empêche.


Un bruit de cailloux qui roulent me fait dresser l’oreille. Effectivement, je distingue des chuchotements qui se rapprochent. Nous avons des visiteurs. Je pousse du coude Vanessa, qui ouvre un œil interrogateur. Je lui fais comprendre par geste de ne pas faire de bruit et que quelqu’un arrive. Elle se retourne et nous observons discrètement par-dessus le rebord de notre promontoire la plage en contrebas. Nous surplombons la mer d’une dizaine de mètres mais notre discret rocher et quelques arbustes judicieusement disposés nous cachent correctement des vues.


Le couple, puisqu’ils sont deux, descend tranquillement sur la plage en se taquinant. Apparemment habitués des lieux, ils semblent heureux d’être là. La fille, brune au teint hâlé, est jolie, bien faite et porte un petit haut maillot de bain combiné à un short en pascal très, très court. Le jeune homme, musclé juste ce qu’il faut, brun également, à la barbe naissante, est en short de bain tahitien aux tons bleus. Torse nu. Bel homme. Même si je ne suis pas regardante aux choix de chacun dans le genre de ses conquêtes, je dois reconnaître que celui-ci a un petit charme et des atouts physiques méritants.


Ils s’installent dans un coin de la petite plage et après voir étendu leurs serviettes, et se précipitent vers l’eau. La fille a ôté son short et présente un petit maillot string assorti à son haut et tout aussi minuscule. Elle court au-devant, et lui se rue à sa poursuite. Ils rient aux éclats. Vanessa et moi ne manquons pas de nous adresser un sourire de connivence face à leur coquinerie.


Ils s’ébattent dans l’eau, nagent, se rattrapent, jouent. Libres, pas forcément innocents, ils finissent par s’enlacer et s’embrasser. Elle, ses bras autour du cou de son homme, lui la dominant, les mains sur ses fesses. Sans cesser, il la soulève et elle lui enroule les jambes autour des hanches. Ces deux-là sont sûrs de leur intimité.


Vanessa glousse et me regarde avec un clin d’œil. Je lui fais les grands yeux. Jusqu’où vont-ils aller ? Les voilà qui reviennent sur la plage et qui s’écroulent sur leurs serviettes. Sur le flanc, face à face, ils se caressent les bras, le cou, les épaules, les cheveux. Elle a posé une jambe sur sa cuisse. Ils s’embrassent à perdre haleine.


Pour faire le moins de bruit possible, Vanessa s’est collée à moi, et nous chuchotons à qui mieux mieux pour tenter de deviner jusqu’où leur passion va les mener. Les deux amants, puisqu’ils semblent bien avoir envie de mener leur action au bout, sont fusionnels. Le garçon fait glisser sa main le long du dos de la fille et défait le nœud de son haut. Il le lance sans un regard sur le sable et sa main descend aussitôt vers son bas de maillot pour s’y glisser et apparemment suivre la raie des fesses au plus loin.


Vanessa laisse échapper un doux « hum » en me coulant un regard envieux. Elle a le menton sur son avant-bras droit et sa main gauche entre nous deux. Elle roule des yeux en passant la langue sur ses lèvres. Son manque de sexe quotidien et la vision de ce couple sur la plage doit lui donner bien des envies. Je ne suis d’ailleurs pas en reste. J’espère au plus profond de mon âme qu’ils vont faire bien plus que se caresser et s’embrasser. Ils sont beaux.


Elle a les seins petits mais bien en forme, avec de petits tétons discrets et pointus. Lui a des fesses que je tiendrais bien dans mes mains. La fille passe sa main droite dans les cheveux de l’éphèbe, elle l’embrasse encore plus fougueusement. Sa main gauche se pose sur sa hanche. Et voilà que, pris d’une même idée, la fille et le garçon se baissent simultanément le bas des maillots. Ils se retrouvent nus après quelques contorsions, et se collent l’un à l’autre.


Malgré cela, nous avons eu le temps d’apercevoir l’envie du garçon manifestement conséquente. Je commence à mouiller mon bas de maillot, et ce n’est pas de la sueur. Ébahie par la scène sous nos yeux, Valou me regarde et glousse de plus belle. J’étouffe un petit rire. La fille repousse doucement, de la paume de la main, le garçon sur le dos. Il se laisse aller et elle commence à lui embrasser le torse, elle le couvre de baisers. Il ferme les yeux et, perdu dans leur monde il place un bras sous la tête de la fille et de l’autre caresse ses cheveux. La fille descend et enveloppe de petits baisers, du bout des lèvres, le membre érigé et offert.


Je vais pour souffler une remarque à Vanessa quand je sens sa main libre se coller dans le bas de mes reins, et c’est un regard surpris que je lui adresse en secouant la tête de dénégation. « Chut » me fait-elle silencieusement. Je l’interroge, par un signe de la tête, en lui soufflant « non ! », mais elle descend maintenant ses doigts sous mon maillot et me caresse les fesses. Je ne peux, malgré moi, retenir un gémissement, heureusement discret. Et toujours involontairement, j’écarte un peu plus mes jambes en reportant mon regard vers le petit couple sur la plage.


La fille suce de façon magistrale la queue devant elle, elle le gobe à pleine bouche. Lui n’en peut plus et gémit sans retenue. La main de Vanessa me caresse toujours lentement les fesses et je me retourne de nouveau vers elle, mais elle en profite pour se rapprocher et m’embrasser à pleine bouche. Sa bouche est fraîche, douce et je me laisse faire.


J’ai la tête qui tourne et ce n’est pas le spectacle ni la chaleur de cette fin de matinée qui en sont la cause. Jamais je n’aurais pensé ou imaginé embrasser une fille un jour, et Vanessa qui plus est. Sa main est douce, et je réalise que j’ai toujours admiré ses mains, sa bouche et ses yeux, ce ne serait donc pas de la jalousie mais plus de l’envie ? Je ne veux pas encore me poser la question, je lui souris, émue, et je reporte mon attention sur nos deux amants sur la plage.


Et là, leur situation a bien évolué depuis la distraction occasionnée par notre baiser. Elle a cessé de le sucer pour le chevaucher. Elle le domine, assise sur son bas-ventre, mais voyant encore sa queue nichée le long de sa raie des fesses, il ne l’a pas encore pénétrée. Elle semble heureuse. Fièrement, elle le toise, bombant sa poitrine, que lui saisit à pleines mains. Elle se frotte contre son ventre et lui, il sourit.


Mais il lui parle également. Nous saisissons à peine les mots qu’il lui adresse mais, surprises, Vanessa et moi nous nous regardons incrédules. Il vient de lui demander si elle est sûre de vouloir faire ça ici sur cette plage… pour sa première fois. J’avoue que cette petite demoiselle n’a pas froid aux yeux pour ce qu’il semble être sa première fois, jouvencelle, et vierge pas effarouchée.


Sa réponse doit lui convenir, car il lui prend les fesses dans les mains et la soulève tendrement. Elle se saisit de sa queue et la présente entre ses jambes. Doucement, crispée, elle descend s’appuyer sur son membre dressé, en prenant appui sur les avant-bras de son amant. Lentement, nous pouvons suivre son bassin commencer à avaler la longue queue faite pour elle.


Au moment où son hymen se déchire, elle lâche un petit cri aigu, s’immobilise, halète un peu, baisse la tête, et serre fortement les bras du jeune homme. Leur souffle court semble figer le temps. Son regard à lui est anxieux, on le sent tendu pour la soutenir. Mais elle reprend plus vaillamment maintenant, et c’est bientôt toute la bite tendue qui est entrée en elle. Le garçon sourit timidement, lui pose une question, elle lui répond en hochant la tête. Le plus dur est passé.


Par pour moi, Vanessa a insinué sa main plus loin et maintenant ses doigts explore mon intimité bien mouillée. Je suis au bord du délire, jamais des doigts ne m’ont autant fait d’effet. Certes la vision du couple sur le sable doit également être pour quelque chose dans mon émoi mais son majeur dans ma chatte m’électrise au plus profond de mon ventre. Je me laisse aller, sachant que je ne tiendrai pas longtemps à ce rythme, au rythme de ses gestes en moi.


Sur le sable, la fille commence à prendre le sens de son plaisir, elle ondule du bassin, la tête en arrière, seule maintenant dans sa tête, elle profite. Curieusement, c’est elle qui mène la danse. Lui se laisse faire. Il doit l’aimer à un point tel qu’il lui accorde le bénéfice de cette première danse. Elle arrive, ses gémissements se font plus courts. Lui crispe ses mains, il se retient difficilement depuis quelques instants, espérant la symbiose de leur union. Quel salaud…


Je viens aussi. Elle jouit. Ses petits cris sont mignons et elle se cambre vers le ciel en resserrant les genoux, alors que lui se lâche en un long râle sourd et puissant. Vanessa ne s’est pas arrêtée, et moi aussi je jouis. Mais mon plaisir a toujours été un peu plus expressif et c’est avec un unique cri perçant que je dévoile mon plaisir. Je tremble violemment sous les doigts de Vanessa qui pouffe et tente de me bâillonner les lèvres de sa main libre.


Lorsqu’enfin, je réussis à ouvrir les yeux, je vois les deux jeunes terminer de ramasser leur affaires précipitamment, nus, plaquant leurs vêtements sur leur corps et s’enfuir en riant vers le chemin.


Je respire difficilement, me remettant avec peine de ma jouissance. Je pouffe aussi et, me tournant vers Vanessa, je sais que la journée est et restera belle. Que la plage est maintenant à nous, juste troublée par les empreintes de deux corps sur le sable. Elle me sourit, s’approche, m’embrasse. La journée va durer…