n° 17789 | Fiche technique | 8942 caractères | 8942Temps de lecture estimé : 6 mn | 16/02/17 |
Résumé: Avec une collègue de travail, nous surprenons ma femme dans une posture libidineuse. Elle en sera punie. | ||||
Critères: ffh fsoumise collègues attache fsodo | ||||
Auteur : Hydrargirum Envoi mini-message |
Je travaille dans une grande entreprise depuis plus de 20 ans maintenant. J’ai commencé sur le terrain et j’ai gravi doucement les échelons. Cela m’a apporté beaucoup d’expérience dans mon métier. Je fais maintenant beaucoup de visites d’installations afin d’en améliorer le fonctionnement.
Ce matin, je dois auditer le fonctionnement d’une de nos usines qui a quelques soucis de traitement. Je ne suis pas seul : ma jeune collègue Nathalie doit m’accompagner afin d’apprendre le métier. Comme nous sommes sur mes terres, je jouerai le chauffeur. Je suis donc stationné devant son hôtel et je m’apprête à lui envoyer un SMS pour lui indiquer que je suis arrivé. Mais j’ai beau chercher partout, je ne trouve pas mon téléphone. Je l’ai oublié à la maison.
J’entre donc dans l’hôtel chercher ma collègue. Elle est là, à l’accueil, en train de régler sa note. Nathalie est une jeune femme brune d’une trentaine d’années avec un joli minois. Mais ce qui se remarque le plus, c’est un corps magnifique. Du moins à mon goût, avec ce qu’il faut de seins et de fesses et une taille marquée.
J’ai déjà travaillé avec elle et l’on s’apprécie beaucoup. Son seul vrai défaut, c’est un caractère très trempé. Un rien suffit parfois à créer un conflit, mais jusqu’à présent nous avons toujours réussi à recoller les morceaux.
Je la rejoins à l’accueil et, après les salutations d’usage, je lui annonce que l’on doit repasser à la maison prendre le téléphone que j’y ai oublié. Je lui propose d’y prendre un café par la même occasion.
Quelques minutes plus tard, nous voilà devant chez moi. Je l’invite à entrer et l’installe dans le salon. Je mets en marche deux expressos et vais jusqu’à ma chambre chercher mon téléphone. Ma femme, Hélène, n’est pas dans la maison ; c’est surprenant car la porte d’entrée est ouverte. Elle est sans doute dans le jardin.
Hélène est un petit bout de femme toute ronde aux yeux verts et aux cheveux châtain. Elle était très jolie quand je l’ai rencontrée, mais le passage des années et trois grossesses ont quelque peu défraîchi ses charmes.
J’entre donc dans ma chambre et je m’arrête, muet de stupeur devant le spectacle qui m’est offert. Ma femme est nue sur le lit, les jambes écartées, un sextoy de belle taille enfoncé dans la chatte. Ses yeux sont fermés et ses narines pincées. Elle tremble encore du puissant orgasme qu’elle vient de s’infliger, raison pour laquelle elle ne nous a pas entendus entrer.
Depuis quelque temps, nos ébats amoureux sont décevants. Je n’arrive plus à jouir ni à la faire jouir. Mais au vu de la taille du gode qu’elle s’enfile, je comprends mieux pourquoi ! Je lui ai proposé la sodomie pour tenter de pimenter nos relations, mais elle s’y est toujours refusée.
Je lui donne une claque sèche sur la cuisse pour lui faire ouvrir les yeux et me mets à lui expliquer à voix haute ce que je pense de la situation. Surprise et un peu honteuse, elle bafouille quelques excuses. Soudain, ses yeux s’écarquillent et elle se réfugie sous la couette.
Je me retourne : Nathalie est là, dans l’embrasure de la porte. Elle s’approche du lit et tire la couette d’un coup sec. Je l’entends dire d’une voix rauque que je ne lui connais pas :
Je pense que je pouvais tout arrêter à ce moment-là, mais un fond de perversité et une certaine envie de donner une bonne leçon à ma femme m’ont poussé à poursuivre cette expérience.
Je file donc au garage chercher une cordelette assez épaisse pour ne pas trop meurtrir les chairs d’Hélène. J’en profite pour passer un coup de fil à l’usine en prétextant une crevaison pour expliquer que j’aurai une bonne heure de retard.
Je reviens dans la chambre et découvre Nathalie donnant des coups de règle sur le corps de ma femme. C’est une règle plate en plastique. Les coups ne sont pas très douloureux, mais ils claquent fort. Hélène est roulée en boule sur le lit. Elle sursaute à chaque coup. Ses yeux sont embués de larmes ; elle a déjà renoncé à se rebeller.
J’entends Nathalie dire :
Me faire traiter ainsi de quelqu’un de peu aimable me surprend un peu. Mais entendre une personne qui pourrait être sa fille se comporter comme si elle était la mère d’une gamine de 10 ans qui a fait une bêtise me surprend plus encore ! Cela met immédiatement en scène la situation.
Nathalie me demande d’installer ma femme à plat-ventre sur le lit et d’attacher chevilles et poignets aux montants du lit, ce que je fais sans rencontrer grande résistance de cette dernière. Elle glisse un oreiller sous le bassin d’Hélène afin d’avoir un meilleur accès à son intimité. Ma femme est écartée sur le lit, son postérieur rebondi bien exposé découvrant son œillet plissé et sa chatte poilue.
Les coups de règle recommencent sur les fesses de ma compagne qui ne dit plus rien, sauf quand un coup un peu plus vicieux que les autres s’égare entre ses cuisses. Ses yeux sont fermés et un filet de bave coule aux commissures de ses lèvres, mais plus surprenant encore, une mousse blanchâtre suinte de son sexe.
C’est un choc pour moi de découvrir ce côté pervers de ma femme que je n’ai su déceler durant nos vingt ans de mariage. Ce n’est pas étonnant qu’elle utilise des substituts pour exacerber sa libido : je n’ai pas été un assez bon amant.
Maintenant, les fesses d’Hélène sont rouges mais le temps passe vite ; il faut accélérer. Nathalie pince le clitoris de ma femme, la faisant gémir. Elle glisse deux doigts dans son vagin pour recueillir sa cyprine et lui en badigeonne l’anus. Elle recommence plusieurs fois puis en force l’entrée avec un doigt, et ce sont bientôt deux doigts qui investissent son fondement et qui la pistonnent doucement.
Ma femme geint doucement à chaque intromission et je vois son cul palpiter. Nathalie stoppe ce traitement et me commande de prendre la suite. J’approche un doigt, mais ma collègue s’exclame :
Ces mots crus m’électrisent et me font rougir. Ma queue est tendue comme jamais. Je l’enfonce dans la chatte gluante et brûlante de ma femme afin de la lubrifier et je la présente à l’entrée de son anus. Je force doucement pour ne pas lui faire trop mal. Hélène gémit un peu plus fort. J’avance millimètre par millimètre ; ma femme a le souffle court. Pour moi, la sensation de son cul serré est extraordinaire. À ce petit jeu-là, je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps.
De son côté, Nathalie a présenté son sexe rasé à Hélène et lui intime l’ordre de le lécher. Ma femme tord le nez devant ce tableau, mais une claque sur la joue lui donne à réfléchir. C’est sûr, elle en gardera la marque toute la journée. Elle approche sa langue du sexe de ma collègue. Timidement d’abord, puis avec de plus en plus d’avidité. Cette fois-ci, c’est Nathalie qui gémit doucement.
Un silence ponctué de lapements, de clapotis et d’ahanements s’installe. Je commence à pousser des grognements rauques. C’est le signal. Un trait de feu part de mon bas-ventre. Je me retire de ma femme, et de puissants jets de sperme zèbrent son dos. Je me vide, j’ai l’impression que cela ne va jamais s’arrêter. Nathalie jouit aussi, mais de façon plus mesurée. On dirait que cette situation lui est habituelle. Ma femme a joui également. L’oreiller sur lequel elle est installée est taché de mouille.
Ma collègue est la première à reprendre ses esprits. Elle détache ma femme et va dans la salle de bain se rafraîchir. Je la suis pour me nettoyer également. De retour dans la chambre où ma femme est toujours avachie sur le lit, Nathalie annonce :
Ces quelques mots en suspens sont pleins de menaces, voire de promesses !
J’ai bien peur d’avoir fait entrer le loup dans la bergerie…