Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17794Fiche technique24760 caractères24760
Temps de lecture estimé : 15 mn
19/02/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Comment une vie classique bascule, un clic sur une vidéo, un cauchemar nocturne si prémonitoire !
Critères:  hbi telnet hsoumis fdomine revede hsodo sm init
Auteur : Sensinterdit            Envoi mini-message
Un rêve étrange

Pour ma Maîtresse….


Comment débuter cette histoire… vaste question, quand vous n’êtes pas écrivain et que votre cursus est plutôt en lien avec les chiffres… mais il fallait bien que je partage ce qui m’est arrivé.


Génération des années 70, au tournant de la quarantaine… c’est fou comment le cerveau ne semble pas vouloir admettre les années !

Un métier, cadre, des responsabilités, mais sans excès… une vie classique, femme, enfants… pas de chien, là s’arrête la comparaison avec les familles Ricoré.


Je ne suis pas terne, ne voyez pas dans ma description de mélancolie ou de burn out à venir, je ne cherche pas à avoir une autre vie, de tout casser pour devenir pâtissier et ouvrir un truck food mais j’avoue oui en effet une certaine monotonie.

Au lit… puisque je sais que ce sujet vous intéresse… ben cela se passe bien, pas de folies acrobatiques ni de libertinage, mais du plaisir.


Ces derniers temps, j’ai repris une activité supplémentaire en solitaire… pourquoi les hommes de 40 ans et en couple ne pourraient pas eux aussi se donner du plaisir ? À longueur d’année, les magazines féminins vantent les sextoys, les caresses intimes pour ces dames… et pour les hommes peu d’articles précisant que nous aussi nous pourrions sous le pommeau de douche ou alanguis sur le canapé nous passer la main sur le bas-ventre… Ah tiens cela me semblait moins gonflé il y a quelques secondes (oui je gonfle « encore » vite !)


Je précise que la comparaison du sextoy s’arrête là, loin de moi l’idée de canard rose. Depuis quelque temps donc, après avoir découvert que la Toile permettait de rassasier mon appétit. Je passais plus de temps sur mon fauteuil à chercher des images pouvant attiser mon envie.

Il est vrai qu’au bout de quelques semaines, l’impression d’avoir vu plus ou moins la même chose rendait plus lente la montée du désir dans le corps caverneux.


Nouvelle séance, j’ouvre mes mails, je remarque parmi les messages automatiques de ces sites… une liste de vidéos à voir. Je passe sur les « Elle suce dans sa cuisine », « Bourgeoise sodomisée par jeune de cité »… puis une ligne attire mon attention « Belle trans au cul magnifique ». Intrigant. Un « homme « aux fesses magnifiques » ; je ne suis pas convaincu, les fesses des femmes ont ce je-ne-sais-quoi qui fait leur charme. Une peau douce, lisse, des lobes bombés.


Je clique.


On devine une piscine, une femme et une autre femme, je devine avec une certaine difficulté quand même que l’une d’elles doit être cette femme au sexe d’homme. Elles jouent. Elle décide de sortir de l’eau. La caméra s’attarde sur le fessier pendant qu’elle s’élève au-dessus du rebord. Et la je fixe… ! Alors ? Quelle claque ! Un fessier si… féminin. Malgré le maillot, pas de doute un très joli fessier.


J’attends quand même de voir lorsqu’elle le retirera, car je n’ai aucun doute elle va retirer ce maillot !


Je la vois se positionner en levrette. La deuxième jeune femme, derrière elle commence délicatement à lui retirer son maillot : encore quelques secondes, on voit maintenant son sillon puis carrément ses fesses nues.


Mes certitudes ont pris un coup ! Ces fesses sont terriblement belles et dans cette position aucune triche possible… je scotche sur ces deux lobes ; plus bas, une proéminence, preuve irréfutable que le titre de la vidéo était juste est fort approprié ! Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour réfléchir à cela, ma femme arrivait. Je me suis senti ailleurs pendant le dîner… ces images…

Puis petit a petit l’effet s’est estompé les jours suivants pour disparaître complètement grâce a l’effaceur universel : le quotidien !


Environ 2 semaines plus tard, je reçois un SMS d’une amie. Plus qu’une amie ; nous avons été sexfriends quelques mois il y a 2 ans. Une période très agréable sexuellement et aussi une femme sympathique pour couronner le tout. Nous avions décidé d’arrêter, nous avions le sentiment d’avoir fait le tour de nos expériences et les rencontres entre la poire et le fromage ont commencé à me lasser, et elle aussi d’ailleurs. Nous gardions le contact pour nous raconter nos aventures, elle me racontait ses aventures là où je ne racontais rien… même pas mal !


« Tu veux venir boire un verre chez moi ? »

« Ouais… tu sais qu’il ne se passera rien ? »

« Mais oui je sais, justement je veux te présenter mon ami, tu verras, sympa. »

« Mouais, je vais voir, mais bon pourquoi pas ? »


Pourquoi pas, j’avais cette petite pointe de jalousie, je voulais quand même savoir à quoi il ressemblait ce type. Rendez-vous pris pour le lendemain. Soirée télé, livre, bisou-bisou, au lit. Avant de m’endormir, j’ai repensé à elle ; elle était vraiment experte. Je m’endormais avec le sourire aux lèvres en pensant aux siennes sans doute…


3 heures du mat, réveil en sursaut, en nage, rythme cardiaque à 100 ! Quel cauchemar, cela avait l’air pourtant si réel… mais j’étais bien dans mon lit. Je venais de me réveiller en plein cauchemar érotique je crois bien : les images de ce film ont ressurgi mixées avec Elle. Le cerveau a tendance lors du sommeil à caser dans les cases les événements de la journée.

Dans mon cas, mix entre cette femme au sexe masculin et mon « amie ».


Je vous explique… Je me vois comme dans une expérience hors du corps… Je suis dans la piscine, mon « amie » à côté de moi, nous jouons elle est nue. Je ne le suis pas. Je décide de sortir de l’eau… et je revois la même scène que celle du film, exactement la même, je sors de l’eau… je suis dans cette position, genoux à terre et paume de la main sur le rebord… elle derrière moi… et elle descend mon maillot… je me vois à la 3ème personne… je me fixe mes fesses… elle baisse mon maillot… le moi spectateur ressent un soulagement… mes fesses sont bien celle d’un homme… et mon sexe est bien là aussi ! Mais la position est tout à fait la même. Troublant ! J’aperçois alors un homme arriver habillé, qui sans dire un mot vient s’asseoir devant nous, il a un verre à la main… et moi je suis encore là, mon « amie » derrière moi… sa langue au contact de mes fesses… panique… et réveil !

Un vrai cauchemar, pourtant un rapide coup d’œil à mon bas-ventre… pas de doute il est réveillé lui aussi.


J’ai été perturbé toute la journée par ces images, et je regrettais d’avoir confirmé mon rendez-vous de fin d’après-midi, je sentais que j’allais m’ennuyer ferme.


19 heures, je sonne, finalement. Un verre ou deux permettront de me détendre et elle a toujours su mettre son corps en valeur. En effet, elle a su ! Petite robe… charmante… sexy mais pas vulgaire, elle ne l’a jamais été d’ailleurs. Un haut noir… en tulle transparent… en forme de V et qui s’opacifie au niveau des seins bien sûr… Son parfum… le même… son rouge très rouge… désirable vraiment… Je suis vraiment bête d’avoir décidé de ne plus nous voir.


Échanges d’usage, salon, canapé, verre. Son homme n’est pas encore arrivé. Quelques verres nous font patienter, nous osons évoquer les bons moments ensemble, des rires. J’ai cru que nous allions basculer dans ce canapé, oubliant monsieur !


Une clef… des pas… je me lève… il entre… le choc !

Je reste fixe sans bouger : le gars de la piscine est là devant moi !

Une vraie stupeur, je suis pourtant très rationnel et scientifique, pourtant je devais constater la réalité : cet homme était dans mon cauchemar. Ils ont d’ailleurs dû ressentir que j’étais ailleurs.



Elle ne croyait pas si bien dire.

Je me suis repris, nous sommes passés à table nous avons discuté de nos vies, de leur formidable rencontre de leur bonheur.

La soirée commençait à se terminer, nous en étions au café et j’avais hâte de partir.



Elle lui avait donc dit, il était donc au courant qu’elle avait été ma maîtresse. Particulier non comme situation. Elle reprit la discussion.



Je vois que la soirée prenait une tournure particulière, où mon ex sexfriend racontait avec quelques détails nos aventures intimes. Je remarquais que sa jupe était plus haute sur ses cuisses, de telle façon que je pouvais quasiment voir sa culotte. Elle était si sexy !



Elle se mit à rire. Il prit la parole :



J’étais en train de boire mon café, j’ai failli tout recracher. Il n’attendit pas que je prenne la parole pour dire un mot d’un ton doux mais qui ne semblait autoriser le refus.



Assise, je la vis remonter légèrement découvrant sa culotte blanche… et la faire glisser le long de ses cuisses, d’un mouvement la retirer. Elle rabaissa sa jupe, voilà elle venait de le faire devant nous deux. Elle était nue et nous le savions tous les trois.

Un silence pesant s’installa. Elle reprit la parole :



Il décida qu’il fallait nous laisser, je le vis partir dans la cuisine. Elle en profita pour s’approcher de moi, son parfum enivrant venait titiller mes sens. La séquence précédente m’avait troublé… elle regarda entre mes jambes.



Elle souleva doucement sa jupe jusqu’à découvrir son sexe, naturel finement taillé, elle savait que j’appréciais. Elle était debout devant moi, jupe relevée. Elle s’approcha, je n’ai pas pu résister à lui embrasser son sexe. Un baiser doux sur sa fente, elle en émit un petit gémissement celui du non-retour possible.

Je savais que son ami allait revenir mais finalement ce sont eux qui avaient cette envie de trio, moi je ne pouvais pas résister.


Quand il revint, il s’assit sur le fauteuil, un verre de vin à la main et nous observait. Je lui léchais son sexe de plus en plus, ma langue découvrant ces lèvres que j’avais goûtées tant de fois. Son petit bouton émergea je le pris en bouche. Elle me prit la tête, elle avait toujours adoré me tenir le visage pendant un bon cunni !



Sa question ne m’a pas surpris mais le ton oui. Il l’avait dit d’un ton direct.



J’étais comme ailleurs, le vin avait dû me désinhiber. Je ne pensais qu’à lui donner du plaisir, devant son nouveau mec. Quelques va-et-vient de ma langue de bas en haut, de haut en bas, humidifiant ce sexe jusqu’à ce que ses soupirs se transforment en gémissement puis en tremblement d’extase. Elle jouit me tenant la tête collée à son sexe.



J’étais tout de même stupéfait de sa façon de lui parler, de lui demander.



Elle semblait ne pas hésiter une seconde, elle se mit à genoux, déboutonna rapidement mon pantalon pour extraire mon sexe déjà en forme et sans me regarder ni hésiter, elle l’a pris en bouche d’un coup en entier !


Eh bien, pas son habitude de faire cela, je me souviens qu’elle le faisait mais doucement. Là elle n’a pas hésité à me gober mon sexe en entier et de faire des va-et-vient en aspirant. Un délice.



Plus de doute, le ton et la façon de demander, elle était sous son emprise.

Surprenant, ce n’était pas du tout son style de jeux érotiques, mais elle redoubla de vigueur sur mon sexe en le regardant.



Il se tut.



Il vint lui tendre ce bandeau. Bizarrement je n’ai rien dit et je l’ai laissé le positionner sur mes yeux.

Et elle continua à me sucer. Le contact de ses lèvres humides et chaudes, au bout de quelques minutes de ce supplice, je ne pensais plus à lui, juste à mon sexe.



Quelques secondes plus tard, elle revint avec les instructions… elle me dit au creux de l‘oreille :



Comme un robot je la laissai faire. Je ne sais toujours pas pourquoi je ne réagissais pas. Seul mon boxer masquait mon sexe et mes fesses. Je sentis alors qu’elle posait ses mains sur l’élastique et tira dessus pour le descendre passant dévoilant d’abord mes fesses. Et là : une vision. Plusieurs images de ces derniers jours sont apparues en même temps, comme si le puzzle devenait évident : la piscine, le trans, le cauchemar, cet homme.


Le temps que ces images passent devant mes yeux, j’étais nu en levrette sur un canapé devant mon ex et un homme inconnu. Mon sexe est devenu dur, très dur. Impossible de le cacher malgré les tentatives de serrer mes jambes pour cacher mon trouble. Pourquoi je bandais ?

J’étais dans la position de ce trans, cul visible, sexe bandé et cet homme me regardant sans doute partout comme dans mon cauchemar.



Je ne fis rien.


J’entendis les bruits de pas s’approcher, le silence, puis un coup sec sur ma fesse droite, je ne pus m’empêcher de crier et avant que j’aie eu le temps de me relever pour arracher mon bandeau, une deuxième claque sèche au même endroit. De nouveau un cri.



J’écartai.



« Je vais me réveiller, je suis encore dans le cauchemar c’est certain. Je ne peux accepter cette situation, c’est impossible ! »


Tout a été si vite, je ne sais si c’est l’alcool. Comme si je ne pouvais contrôler mon corps, mon cerveau semblait agir sans mon approbation. Depuis que j’ai vu son visage, comme si un déclic m’avait fait entrer dans un monde parallèle, celui de mes songes. Et pourtant j’étais bien là, dans cette position sans équivoque, écoutant ses paroles. Je venais de lécher mon ex devant lui et maintenant j’étais comme ce personnage de la vidéo, fesses en l’air.



Sans bouger, toujours en levrette, je sentis ses doigts fins venir de suite sur mon petit trou sans tourner autour du pot. Son doigt était déjà humide, elle avait dû l’humidifier avant. Le contact était plutôt froid mais au fur et mesure de ce massage si particulier, je sentais son doigt plus chaud, comme si mon anus avait réchauffé son index. Elle immobilisa ses mouvements, et je sentis une pression continue… mon petit trou s’ouvrant doucement sans trop de résistance à son index si fin.


Pour la première fois, je sentais une chose progresser en moi à cet endroit. La première pensée était plutôt de me dire « Heureusement que je sais son index fin et assez court. » En effet, quelques centimètres, et elle le stoppa. Quelques secondes pour acclimater mon corps et de légers mouvements, de la rotation, des translations, une combinaison des deux.


Elle le retira, qu’allait-elle donc faire… je sentis mon petit trou se refermer. Elle revint à la charge, cette fois, je sentis bien deux doigts c’était évident. Cette fois-ci je sentais que cela allait être plus difficile, je ne pensais même plus à ma situation, à ce voyeur qui ne devait pas en perdre une miette. Je ne pensais qu’à la douleur potentielle sur ces deux doigts que mon anus ne pouvait accepter aisément.


Je la sentis de nouveau les positionner serrés et pousser, doucement mais sûrement sans à-coups, sans arrêter. Mon anus commença à se distendre et à accepter le passage. Cette fois-ci, je sentais une légère douleur. Elle le planta au fond sans bouger avant de reprendre ses mouvements. Si quelqu’un regardait mon visage, je pense qu’on aurait vu ma bouche légèrement ouverte et crispée.



« Prêt à quoi ? »



Je la sentis me prendre les mains, pour changer de position. Je devais m’asseoir sur le canapé face à eux lui sans doute, je le sentais proche et debout. Le silence était ponctué de légers bruits, le frottement de mains sur la peau, de mouvements. J’essayais de deviner la scène, un léger bruit attira mon attention. Un bruit de bouche. Puis focalisant mon attention dans cette direction, je distinguais plusieurs bruits identiques, répétitifs, des « slurp » distinctifs. Elle le suçait sans aucun doute, elle le préparait. Je devinais un rythme lent mais assuré.



Le bruit s’arrêta. Elle allait venir me sucer, comme il le lui demandait, j’écartais mes jambes et attendais le contact de sa bouche sur mon sexe… mais rien.

Son visage s’approcha de mon oreille.



Je ne bougeais pas. « À moi ? De quoi parle-t-elle ? » Devant ma non-réaction, elle posa sa main derrière ma tête et exerça une pression dessus pour que j’avance mon visage. Mon visage buta sur un corps chaud au niveau de ma pommette. Chaud et légèrement humide. De sa main, elle continua à exercer une pression et de l’autre elle poussa sur ma joue, ce corps chaud cette fois-ci toucha mes lèvres serrées. Plus de doute, mes neurones avaient travaillé vite pour comprendre que j’avais au bord de mes lèvres un sexe qui écrasait ma bouche.



Je pouvais résister à la pression, mais sa dernière phrase de le faire pour elle avait déclenché des images en moi de nos ébats, où nous avions joué à des séances de soumission, elle avait accepté pour moi de m’obéir. Elle me demandait en quelque sorte de faire la même chose pour elle cette fois-ci. Mes lèvres se desserrèrent et sans attendre il s’engouffra dans ma bouche sans attendre dans un râle de soulagement. Pour la première fois, j’avais un sexe masculin. Contrairement à ce que je pensais, je n’ai pas eu de dégoût particulier. Je le laissais sans bouger m’accoutumant, essayant de découvrir le goût la texture de ce contact.


Je décidai de le faire sortir pour le reprendre aussitôt. Je sentais que l’on m’observait lui debout et elle à côte de moi, son souffle sur ma joue.

Quelques râles, même elle je la sentais soupirer.



Je fermais les yeux ne voulant les ouvrir. Elle devina ma gêne, elle m’embrassa la joue et me rassurait.



Je voulais savoir, ce que je vis : un sexe droit, humide de ma salive, que je venais de faire sortir de ma bouche.



Je pris cela comme un compliment, bizarre !

Je repris son sexe dans ma bouche essayant de mon mieux pour lui faire plaisir à elle, je la regardais me regarder avec envie.



Je lâchais ce sexe, et repris la position initiale, sans réfléchir, je faisais comme elle disait.



Je les écoutais parler de moi, mais je ne bougeais pas.



Elle posa ses mains sur mes fesses et je sentis mon cul s’ouvrir dévoilant sans limite mon anus. Dernière étape avant le contact du gland, la pression était très forte, il céda dans un gémissement plus fort. Bouche ouverte tétanisé, la vache je le sentais !


Le cauchemar ne faisait que commencer !