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Temps de lecture estimé : 10 mn
19/02/17
Résumé:  En ce début juillet, j'ai décidé d'aller avec Claudine, ma femme, sur une plage naturiste, mais sans lui dire la nature de la plage en question...
Critères:  fh hagé fagée couple complexe plage cérébral voir exhib nudisme nopéné -prudes
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Plagismes

Chapitre 01 / 03
Plagisme

Ce petit récit est très soft. Ne pas en attendre des prouesses surhumainement sexuelles ou de la perversité dépravée à faire rougir tous les Marquis de Sade… :)




En ce début juillet, j’ai décidé d’aller avec Claudine, ma femme, sur une plage naturiste (ou nudiste, je ne me souviens jamais de la distinction), mais sans lui dire la nature de la plage en question. Ça va faire un certain temps que je lui en parle, que j’aimerais la voir se mélanger à d’autres femmes tout aussi nues qu’elle. Mais la plupart du temps, elle me répond qu’elle ne se sent pas prête ou qu’elle n’est pas assez belle pour ça. Néanmoins, ces derniers temps elle fléchissait un peu, admettant quand même qu’elle n’était pas aussi moche qu’elle le prétendait.


Aujourd’hui il fait beau, et à défaut de voir ma femme nue parmi d’autres, un petit séjour à la plage nous fera du bien, y compris faire trempette dans une mer relativement chaude en ce mois d’été…


Un peu avant de partir, je me dirige vers notre chambre afin d’aller chercher dans ses affaires un maillot de bain limité à un simple string. Je lui ai acheté cette riquiqui chose blanche zébrée de noir il y a quelques années, mais jamais Claudine n’a daigné le mettre, ni même l’essayer. Je dissimule ce vêtement dans ma sacoche, puis nous partons vers la plage qui est à environ soixante kilomètres.


Claudine à la plage, on se croirait dans un roman de Colette !


Comme la majorité du trajet se passe sur autoroute, nous arrivons assez vite à destination. Après quelques minutes sur des petites routes, je gare la voiture sur un parking assez sableux et pas très bien entretenu puis, après avoir déchargé le parasol et le gros sac, nous nous dirigeons vers le bord de mer en traversant un mince cordon de dunes grâce à un chemin composé de dalles de béton. Nous sommes à peine arrivés aux abords de la plage que deux femmes totalement nues (sauf une paire de lunettes de soleil sur le bout du nez) et ayant à prime vue la quarantaine déambulent nonchalamment sous notre nez. Elles ont toutes les deux le pubis intégralement lisse.


Ma femme ne dit rien, mais son regard noir parle pour elle. Puis elle regarde vers la plage et constate que d’autres personnes en tenue d’Ève et d’Adam sont présentes. Claudine attend que les deux nudistes se soient éloignées pour me demander à voix basse :



Néanmoins, un peu boudeuse, elle me suit quand même. Arrivé au bon endroit, je plante le parasol dans le sable, puis je dispose sur le sable nos deux grandes serviettes, la rouge et la bleue. Sans un mot, elle s’installe sur sa serviette après s’être mise en maillot une pièce, ses genoux sous son menton. Pour ma part, j’ôte mon T-shirt et mon caleçon long afin d’être en tenue de plage avec mon maillot bleu. Puis agenouillé à ses côtés, après l’avoir extirpé de ma sacoche, je lui montre le string blanc et noir :



Elle marque un temps d’arrêt devant ce string qui l’étonne, avant de répondre :



Claudine jette un rapide coup d’œil aux alentours, puis lâche :



Je pose le string dans ses mains, puis je m’assieds sur ma serviette, attendant la suite. Elle me lance à nouveau un regard noir :



Mais elle ôte quand même son maillot de bain pour enfiler le string blanc à motifs noirs. Peu après, elle est assise presque nue à mes côtés, ses beaux seins à l’air libre. J’admire ses courbes de femme mûre. Il n’y a pas à dire, ça lui va très bien ; je regrette qu’elle ait mis tant de temps pour accepter de le mettre. Me tournant vers elle, admiratif, je lui dis :



Elle me regarde d’un drôle d’air puis finit par murmurer un bref merci. Ce qui est déjà une grande victoire pour moi. Pour éviter que nous nous enlisions, je propose :



Elle jette un coup d’œil vers la mer :



Elle ne peut s’empêcher de rire :



Mais cette boutade idiote la décide. Sans nous presser, nous nous dirigeons vers la mer, elle, ses beaux seins à l’air ; ils oscillent à chacun de ses pas, c’est très sexy, vraiment très sexy ! Du coin de l’œil, je peux aussi contempler d’autres femmes qui marchent ou qui courent, la poitrine ballotante. Il n’y a pas à dire, je devrais venir plus souvent sur une plage naturiste. Mais par précaution, je regarde plutôt devant moi afin d’éviter d’éveiller les soupçons de ma femme. Elle est dans de bonnes dispositions ; il ne s’agirait pas que ça s’arrête. Néanmoins, les lunettes de soleil, c’est pratique pour regarder en biais !


Soudain, face à nous, un homme sort de la mer. Il est plutôt bien membré, c’est indéniable, et je vois bien que ma femme ne regarde pas que sa figure, mais nettement plus bas. Elle s’offre même le luxe de se retourner sur lui quand il nous dépasse. Elle murmure même quelque chose que je n’arrive pas à comprendre. Amusé, je la questionne :



S’arrêtant aussitôt, Claudine hésite un peu. Puis se tournant vers moi, les mains sur les hanches, ses mignons seins dardés vers mon torse, elle demande :



Elle reprend sa marche vers la mer. Nous déambulons le long du rivage sur une bonne centaine de mètres. Puis sans que je ne dise quoi que ce soit, elle avoue :



Ce vocabulaire m’étonne quelque peu. Je passe outre :



Elle ne répond pas, mais elle sourit. Nous continuons notre marche, pataugeant dans l’eau du bord de mer. C’est moi qui prends la parole :



Un couple tout nu est visiblement en train de s’amuser, sans trop se soucier du voisinage. La femme dépose divers bisous plus ou moins appuyés sur la verge à moitié dure de son homme qui caresse nonchalamment le cul qu’elle offre à sa disposition. À ma grande surprise, ma femme rougit, puis s’enfonce dans la mer.


D’un pas décidé, Claudine se jette dans l’eau, puis entame quelques brasses. Je l’accompagne, et nous restons dans l’eau un bon bout de temps. À un moment, elle m’avoue :



Oui, une bonne idée, surtout quand elle se met debout, ses seins ruisselants et luisants au soleil. Avec amusement, je constate que certains hommes regardent souvent dans notre direction. Est-ce que Claudine s’en rend compte ? Puis nous sortons définitivement de l’eau.


En retournant à notre place, Claudine se fait allègrement mater par la plupart des hommes présents sur la plage, ainsi que par quelques femmes. C’est assez étrange que de voir sa femme être ainsi le point de mire. Néanmoins, ç’aurait été mieux si elle avait été toute nue, mais il ne faut pas tout demander tout de suite, et c’est déjà très bien que Claudine ait accepté de mettre ce string blanc.


« String blanc ? Blanc ? »


Soudain, j’ai un déclic ; je dépasse ma femme pour la devancer de quelques pas, puis je me retourne. C’est alors que je comprends tout : le blanc du string est devenu transparent, et c’est comme si ma femme était plus que nue ! Et les quelques lignes noires du motif épousent encore plus les reliefs de ses lèvres bien apparentes. Un camel toe d’enfer, c’est même carrément indécent…


Intriguée, Claudine m’interroge du regard. Je lui réponds en souriant :



Elle sourit à son tour. Puis main dans la main, nous regagnons notre parasol. Plusieurs fois, nous retournons nous baigner ; plusieurs fois, Claudine sera matée ; plusieurs fois, je me poserai la question si elle se doute de quelque chose.


Alors que le soleil commence sa plongée dans la mer, nous retournons lentement à la voiture. Je range le parasol, puis le sac dans le coffre. Un peu fatigué, je m’installe au volant ; oui, ce fut une très bonne journée. Claudine semble très contente, elle aussi. Alors que nous venons de parcourir quelques kilomètres, tout à coup, elle dit :



Elle bâille un peu puis elle étend ses jambes, puis reprend :



Elle pouffe :



Elle laisse en suspens sa phrase, puis elle reprend :



Je suis assez embêté, mais je tente de me justifier, même si j’ai l’avantage d’avoir le volant en main, ce qui me garantit une certaine impunité néanmoins relative :



Elle se tapote le menton avant de répondre :



Hé bé ! Ma femme avance à grands pas ! Ça laisse entrevoir des ouvertures intéressantes ! Déjà ma libido se met en route pour imaginer divers scénarios. Mais il ne faut pas que j’aille trop vite, sinon je vais tout flanquer par terre ! D’un ton faussement détaché, je réponds :



Claudine ne répond rien, mettant la radio. Nous nous enfermons dans une absence pesante de dialogue, agrémentée par la musique en sourdine tandis que la voiture s’approche de plus en plus de notre chez-nous. Je n’arrive pas à trouver un sujet de conversation, mon cerveau semble être devenu de la bouillie pour bébé. Durant ce temps, ma femme croise et décroise ses jambes. C’est elle qui finit par lâcher :



Ah zut, je me disais bien. C’était trop beau ! Tant pis, on fera sans. Essayant de cacher ma déception, je réponds d’un ton qui se veut léger :



Cette réponse me surprend tellement que j’en oublie que c’est moi qui tiens le volant. La voiture zigzague un tantinet. Le hurlement de Claudine me rappelle à la réalité :



Elle passe instantanément de la frayeur colérique au franc rire :



Je préfère ne rien répondre. Tout ce que je retiens est que, dans peu de temps, ma femme déambulera toute nue sur la plage, qu’elle ira aussi se baigner toute nue, et qu’elle recherchera le regard des autres sur elle. Elle me sort de mes réflexions :



C’est vrai que ça serait logique, équitable. Je n’avais pas songé à ça. Perso, être nu, ça ne me gêne pas trop. Mais je ne suis pas très chaud pour cette histoire de comparaison ! C’est alors que quelque chose me vient à l’esprit :



Elle part dans un énorme fou-rire qui ne s’arrêtera que quelques kilomètres plus loin.