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Temps de lecture estimé : 40 mn
21/02/17
Résumé:  Le week-end s'annonce prometteur, après cette folle journée de samedi, Sophie va rencontrer des amis de Thierry plus excitants les uns que les autres. Sera-t-elle à la hauteur de ses envies ? Vivra-t-elle des moments défendus, passionnants ?
Critères:  ff fhhh grp fbi couleurs inconnu sexshop fsoumise hmast intermast fellation cunnilingu anulingus 69 fgode double fdanus fsodo jouet yeuxbandés -fhhh -fbi
Auteur : Bagatelle  (Sophie femme infidèle)      

Série : Anniversaire

Chapitre 02 / 03
Des amis formidables

Dans le premier épisode : « Un bel anniversaire »

Pour son anniversaire, Sophie reçoit en cadeau de son mari un week-end avec un homme. Arrivée à Paris, elle passe son après-midi à la découverte de son amant ; mais elle n’est qu’au début de son aventure, car celui-ci lui réservé une jolie surprise.



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Thierry monta dans notre voiture, sur le chemin il nous parla de sa femme partie à l’étranger pour une semaine, nous confiant qu’elle serait bien restée avec nous participer à nos ébats.



La voiture filait direction la banlieue. Il nous fit stopper devant une petite maison de deux étages. J’avais le cœur qui palpitait de plus en plus vite. Mon amoureux me prit par le bras et nous suivîmes Thierry.



Un nœud se formait au creux de mon l’estomac, au fur et à mesure que je marchais en direction du perron. La porte s’ouvrit et Angéla apparut. Me saluant, elle me demanda si j’avais retrouvé ma petite culotte, je piquais un fard.


Dans le salon, son mari était affairé à préparer petits fours et champagne. Thierry me présenta Xavier, prof de sport et strip-teaseur par vocation. Encore un beau mec.


Assise dans le canapé, je me demandais ce que je faisais ici, tétanisé par la peur, parlant peu ; regardant Angéla, encore plus belle que l’après-midi dans cette belle petite robe vichy. Je voyais ses longues jambes sexy gainées de résille blanche, je devinais son porte-jarretelles. Aucune présence de soutien-gorge, pourtant ils se tenaient si droit. Une chose est sûre, c’était elle la femme de la soirée.


Thierry lança la conversation, racontant que nous nous étions connus sur le net, sur un site de photo et de rencontre ; que je posais accessoirement pour mon mari ! Gentiment, nos hôtes me sourirent et proposèrent un toast à ma santé, en espérant un jour voir les photos. Angéla précisant qu’avec ce qu’elle avait vu de moi, ce ne pouvait être que formidable. Je bus ma flûte d’un trait. L’apéritif fut animé et jovial, devant tant de gentillesses et un peu d’alcool, je me décontractais.


Le repas se passa à merveille, quelques allusions au sexe, mais rien de plus, pas de graveleux ni de trop scènes trop obscènes, mes peurs se dissipaient… Quand arriva le dessert ! Thierry sortit de la cuisine, un plateau de fruits dans les mains, une bougie plantée dans une banane en chantant à tue-tête :



Et tous les convives de reprendre en cœur le refrain, il m’offrit alors un paquet, mon mari aussi. J’étais sous le coup de la surprise, il m’avait déjà offert toute la lingerie que je portais ce soir, et mon chéri avait été plus que généreux chez nous. Par politesse, j’ouvrais le cadeau de mon amant, la boîte renfermait une jolie petite robe noire, très courte, trop courte… Il semblerait que cela fût plus son cadeau !


Tous les hommes sourirent, et insistèrent pour que je l’essaie de suite. Angéla me prit alors par la main et m’emmena au premier, dans sa chambre. Une très grande pièce avec dressing. Elle s’assit au bord du lit et attendit. Ne sachant quoi dire, je défis ma robe et la posais sur le lit, je me découvrais une seconde fois à sa vue. Elle me tendit la petite robe, et me fis remarquer que j’étais habillée très sexy. Souriante, elle se leva et vint vers moi pour me donner un petit baisé sur la joue.



Et elle quitta la pièce. Je mis la petite robe qui s’arrêtait à la limite de mes fesses, laissant découvertes les lanières de mon porte-jarretelles, c’était plus qu’explicite, avec mon string fendu et mes tétons qui pointaient au-dessus du soutien-gorge, c’était un appel au viol.


Je retrouvai tout le monde dans la grande salle, n’osant à peine entrer ; applaudissements et champagne m’attendaient. Mon mari me proposa alors de continuer, et d’ouvrir son cadeau, c’était un énorme gode, là je devins blême et cherchai mes mots. Je fus sauvée par Xavier.



Il m’assit alors sur le canapé, mit de la musique et me fit un strip-tease, finissant nu devant moi. Beau, musclé, même si son sexe n’avait encore rien d’exceptionnel. Puis, venant vers moi, il approcha son visage du mien, me murmura « joyeux anniversaire » en me déposant un baiser sur les lèvres qui dura une éternité. Le vin aidant, nos langues se mêlèrent, puis il s’assit promptement près de moi, nos lèvres toujours unies continuant de s’explorer. Je ne sais pas comment, mais quand j‘ouvris les yeux, j’étais à cheval au-dessus de lui, nos langues toujours mêlées, ma robe si courte que son sexe frottait contre mon string. Nos bouches gourmandes se mordillaient, se happaient. Son dard était si dur qu’il entra seul, traversant mon string fendu, trouvant le chemin de ma grotte. Il me prit par les hanches et commença un lent va-et-vient. Je levai la tête, et fermai les yeux, gémissant de plaisir. Mes deux autres amants soulevèrent ma petite robe pour me caresser les fesses en même temps. Je pris beaucoup de plaisir, mais Xavier se retira bien avant de partir, pour en laisser le privilège à Thierry.


Je ne voyais plus Angéla dans la pièce, tout allait très vite, Xavier m’ôtait ma robe avec excitation, tandis que les autres se mettaient nus. Ils désiraient que je conserve mon string fendu. Debout au milieu de la salle, j’embrassai mon mari, Thierry vint se coller derrière moi et Xavier, sur le côté, chacun me caressant une partie du corps. Pour être honnête, là, je ne sais plus qui fit quoi, mais ils me retirèrent finalement rapidement mon string, ne me laissant que mon porte-jarretelles, mes bas et mes talons hauts. On m’assit sur le canapé. Xavier et Thierry de chaque côté de moi m’embrassaient à tour de rôle, mêlant nos langues dans un plaisir partagé. Leurs mains sur mes seins, ils me caressaient, faisant rouler mes tétons entre leurs doigts. Avec mes mains, je les branlais, leurs sexes gonflés, perlant déjà. Je restais en bouche-à-bouche avec Thierry, pendant que Xavier jouait avec mon petit bouton, passant et repassant autour de mes lèvres pour remonter jusqu’à lui en entrant légèrement dans mon sexe déjà trempé. Il m’écarta les jambes, mon mari s’y engouffra pour me lécher, Xavier venant butiner mes seins. C’était insolite et étourdissant, amplifiant mon désir…


Mon mari se recula au milieu de la pièce, pour leur faire de la place et nous regarder. Thierry me fit me mettre à quatre pattes, sur un côté du canapé, les genoux sur l’accoudoir, les bras sur la banquette, je suçais Xavier toujours assis. Il m’écarta les jambes et me doigta, me titillant l’anus avec sa langue. Il se mit une capote et me pénétra doucement, en longs va-et-vient pendant que je suçais mon nouvel amant au même rythme. Puis il accéléra, me prenant par les hanches pour me pistonner à fond. Je continuai tant bien que mal à sucer Xavier qui me tint la tête, lui aussi allant et venant dans ma gorge. Thierry ralentit, me prenant par le porte-jarretelles d’une main, me claquant les fesses de l’autre, comme s’il me montait, et accéléra à grand coup de reins. Je tendais mon bassin, pour la sentir bien en moi, relevais la tête pour pouvoir respirer et faire entendre ma jouissance. Quand il eut éjaculé, il ôta sa capote, s’assit sur le canapé et me fit mettre à genoux devant lui. Je le suçais pour le nettoyer. Xavier vint prendre sa place, derrière moi, me relevant le bassin, se plaqua contre mes fesses, écartant mes cuisses et pénétra ma chatte encore humide de mon amant précédent. Il était endurant, et le sol dur, aussi au bout d’un moment, il s’assit donc sur le canapé et je le chevauchais à l’envers, faisant face à la pièce, à mon mari. Il me voyait comblée, les yeux fermés et la bouche haletante. La queue de Thierry avait repris vie avant que Xavier ne fût parti. Une fois le plaisir de Xavier assouvi, je demandai un break, j’avais la chatte en feu et le plaisir consumé.


Mais où était Angéla ?

Son mari me dit qu’elle s’était mise à l’écart, Thierry leur ayant bien stipulé que je me recherchais que des hommes pour ce week-end (tiens donc, ils ne sont au courant de rien….). Je remis mon string, ma petite robe, et demandai à Xavier de m’emmener auprès de sa femme.


Je pris ma flûte de champagne que les hommes venaient de me servir et en demandais une autre pour Angéla. Je le suivis et il me fit descendre au sous-sol.



M’ouvrant la porte, car les mains encombrées par les deux flûtes de champagne, il lui dit quelques mots et disparut.

Je la trouvais assise sur un convertible, le sous-sol transformé en salle home-cinéma. Elle regardait un film projeté sur le mur du fond. Je m’approchai, et lui tendis une flûte…



Elle se leva, prit la flûte de champagne et la but d’un trait, puis la reposant au sol, elle s’approcha de moi. Me prenant par la taille, elle m’embrassa, me mordant les lèvres. J’ouvrais à peine la bouche que sa langue s’immisçait à l’intérieur.

Pourquoi ! Je lui rendis son baiser… Aussitôt, ses mains glissèrent sur mes fesses, me plaquant contre elle.


J’étais empruntée avec mon verre, mais elle ne me lâchait pas, soulevant ma robe de ses deux mains pour toucher ma peau, aspirant ma langue. C’était nouveau et divin, mon corps tendu, en état de stress, mes seins durcissant, mon bas-ventre brûlant de désir. Elle écarta mon string pour explorer plus avant et instinctivement j’ondulais du bassin, ses doigts flirtant sur mon anus si sensible, puis mettant sa main devant, elle me caressa. Descendant sa bouche sur mes seins, elle me mordit un téton à travers ma robe, sous la douleur j’en échappais mon verre qui tomba au sol.

Par chance, l’épaisse moquette évita qu’il ne se brise. Je ramassai le verre.


Elle ! Elle dépliait le convertible, puis m’allongeait sur ce lit improvisé. Se mettant sur moi, à califourchon sur mon ventre, tenant ma tête entre ses mains, elle me demanda si je voulais être sa chose. Je n’eus pas le temps de répondre que ses doigts étaient déjà à l’œuvre dans ma chatte, facilité par mon string fendu. Nous nous embrassâmes longuement, dans une étreinte salvatrice, en fait je n’attendais qu’elle. J’osais lever une main pour la poser sur son sein. Je sentais une folle excitation me gagner. Elle leva les bras pour dégager sa si jolie robe, deux magnifiques seins me surplombaient, elle n’avait pas de culotte, épilée tout comme moi, ses longues jambes gainées de blanc, tenues en laisse par un porte-jarretelles bleu, magnifique….Elle descendit ses seins au niveau de mon visage pour que je les goûte. Puis elle me releva, m’ôta ma robe et mon string.


Là, je ne peux décrire tout ce qui s’est passé, mais c’était bon d’être offerte dans les mains d’une femme experte, elle me lécha de façon inouïe. J’essayais de lui rendre la pareille, mais je n’étais que sa chose. Je ne sus m’y prendre, quand elle se mit à califourchon sur moi, en 69, je regardai son sexe luisant ouvert, je tendis mes lèvres et la goûtai, l’odeur était douce, la saveur suave et parfumée. Les yeux mi-clos, mon corps jouissant, haletant, sous l’action de sa bouche contre mon clitoris, de ses mains écartant ma chatte, s’engouffrant en moi… J’écartai les cuisses au maximum et les relevai sur les talons, offerte impunément. Elle glissa ses doigts dans ma fente, puis dans mon anus, me contractant sous l’effet saisissant de cette double pénétration, et de ses seins gonflés qui massaient mon ventre.

Je m’ouvrais au plaisir féminin, en la tenant par les jambes. Elle baissa son bassin, m’écrasant son sexe sur le visage, et là… Et là, je la léchais comme je pus.


Apaisée, elle se mit sur le dos, et j’essayais de lui procurer le même plaisir, lui écartant les lèvres, décapuchonnant son clitoris, le happant avec ma bouche, le titillant avec ma langue, tout en dessinant autour de ses grandes lèvres de délicates volutes, la pénétrant de mes doigts comme je le fais quand je suis seule.


À ce moment les hommes entrèrent dans la pièce. S’impatientant de ne pas me voir revenir, ils venaient aux nouvelles, et ce ne fut pas pour leurs déplaire que la vue que nous leurs donnions. Les hommes qui étaient à moitié habillés, mirent deux minutes à se retrouver nus, le sexe à la main. Mon mari s’approchant de moi me fit mille compliments sur mon attitude et courut au rez-de-chaussée. Quand il revint près de moi, les autres mâles en étaient déjà à me caresser. Lui avait en main mon incroyable cadeau, cet énorme gode.



Prenant en mains l’objet de tous les vices et sous l’ovation des hommes, je le présentai à Angéla, elle le prit dans sa main, le porta à sa bouche, et le goba difficilement, puis le présentant à ma bouche, je fis de même. Le tenant toujours dans ses mains, nous étions maintenant toutes les deux à le lécher, nos visages tournés vers ces messieurs qui commençaient à s’astiquer avec frénésie.


La plus spontanée fut Angéla. Saisissant le godemichet, elle se l’introduit dans le sexe, pas entièrement toutefois, puis, posant son dos sur le lit, les mains derrière la tête, écartant les jambes, elle me dit :



J’éclatai de rire en regardant le gode sortir de son sexe comme une torpille. Je le saisis, le remis en place et jouai avec ses sens, son corps gémissait, les hommes n’en pouvaient plus. Mon mari vint près de moi pour la butiner, et étrangement, c’est en écrivant que je prends conscience que nos deux langues s’unirent sur le même sexe. Mes deux amants inactifs me firent me mettre sur les genoux, m’écartèrent les cuisses et s’occupèrent plus avant de mon anatomie. Chose qui fut faite fort doucement, avec beaucoup de doigté et d’agilité. Mais je dus renoncer au minou d’Angéla sous les coups de boutoir de Xavier, mon corps ne m’appartenant plus, mon corps exultant trop pour à la fois donner et prendre du plaisir. Ce corps choisissant de prendre, même si mon esprit eut tout autant l’envie de donner.


N’ayant pas assez de place, Xavier et Thierry me déposèrent sur la moquette. Xavier s’allongea sur le sol et je vins à califourchon au-dessus de lui. Il remit son sexe en place, et me prenant par les hanches, il imprima le rythme. Thierry vint en face de moi pour que je le suce. Je mouillais si abondamment que Xavier m’écarta les fesses, ses doigts s’immiscent dans mon anus, lubrifié par mes sécrétions. Venant bien à fond, en moi, à grand coup de reins comme seuls savent donner les sportifs, me claquant les fesses de temps à autre pour faire retentir ma voix si jouissive, selon eux. Pour mieux m’entendre, Xavier proposa à Thierry qu’il vienne derrière moi. Thierry ne pouvant résister devant ce spectacle mit un peu de gel sur ma rosette et posa son nœud contre mon anus. Il poussa tandis qu’il m’écartait les fesses et il entra en moi doucement. Tous les deux firent très doucement pour bien trouver le tempo afin que leurs sexes restent bien en place. C’était ma première double pénétration et je leur demandai d’être très doux, quand tout fut bien lubrifié et la mécanique bien rodée, ils montèrent en régime, mon corps tout entier exprima son contentement. Me redressant sur mes bras pour qu’aucun sexe ne sorte, Xavier en profita pour me dévorer les mamelons, pour ne pas être en reste Thierry me claquait les fesses.

Ils m’insultèrent, me traitant de chienne et de salope. L’orgasme fut si puissant que j’eus l’impression de perdre la tête un très bref instant ne sachant plus où j’étais.


Je n’étais plus qu’une salope et je voulais qu’ils me baisent à fond et une chose est sûre, j’ai été baisée bien à fond, mon mari me regardant étonné, jamais je n’avais autant hurlé. La double, c’est wouah ! c’est démentiel.


Nous étions tous les cinq dans ce sous-sol, sur le lit, sur le sol, allongés ou assis, mais aucun ne bougeait ni même ne parlait. Tous suspendus à ce qui venait de se passer, absorbés par l’émotion d’une telle étreinte, se reposant, le corps vidé, l’esprit virevoltant au-dessus de nous, cherchant dans le regard des autres se sentiments d’abandon, du don de soi.




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Je fus la première à me ressaisir, je demandai à me laver, voire à prendre un bain pour raffermir mes chairs qui n’ont pas l’habitude de telles épreuves. J’avais mal au « cul ».


Angéla me guida jusqu’à la salle de bain, me fit couler un bain. Je glissai sur l’émail, coulant comme une pierre, l’eau chaude m’enveloppant de son manteau de mousse me fit l’effet de mille caresses, je me détendais, fermant les yeux, laissant mon esprit exulter de ces instants passés.


Un bisou sur ma joue ! J’ouvris les yeux, Angéla se tenait à genoux près de moi, nue. Elle me prit une main, la porta à son visage, se calant dans ma paume.



Je lui souris, et elle grimpa dans la baignoire, le niveau de l’eau monta d’un coup, berçant mes seins de son écume. Allongées toutes deux, les corps enchevêtrés, nous nous regardions tendrement, je posai ma tête en arrière, les yeux mi-clos, ma peau au contact de ses jambes, de sa peau si douce, me relaxant.


Le temps s’était arrêté, et ce ne sont que les coups portés à la porte qui nous sortirent de notre léthargie. Une tête apparut, la silhouette de Xavier se dessinait dans l’encadrement. Angéla lui annonça que nous ne descendrions qu’une fois belles et reposées, qu’ils n’avaient qu’à faire la vaisselle et tout ranger pendant ce temps. Xavier disparut avec la promesse de nous voir revenir très vite.


Angéla sortit du bain ; je regardai son corps si beau. Elle tourna la tête, me sourit et me tendit un peignoir. Séchées, maquillées, nous sortîmes de la salle de bain, elle ouvrit la porte de sa chambre et nous fîmes entrer dans son dressing.


Par jeu, elle me proposa de lui choisir sa lingerie pour la soirée. Elles étaient si nombreuses, accrochées à des cintres ou bien rangées dans des tiroirs. Il y avait aussi quelques costumes sexy, une petite caverne d’Ali Baba ou de Barbie. Elle me tendit l’ensemble de la parfaite petite écolière.



Je lui souris, heureuse de lui avoir plu à ce point. Dans le dressing, je touchais à tout. Elle possédait de la belle lingerie, je l’imaginais dedans. Ce sont de petits cache-seins qui m’attirèrent, m’imaginant moi dedans, et voulant voir l’effet produit, je les mis devant mes seins. Elle me trouva splendide et me les offrit comme cadeau d’anniversaire. Je lui laissai pour la soirée, désirant la voir avec.


Elle m’ouvrit un tiroir pour que je lui choisisse un string, et là, quelle ne fut pas ma surprise en découvrant un double gode-ceinture. Un petit gode pour l’intérieur et un plus grand à l’extérieur en vis-à-vis. Je la regardai les yeux étonnés, elle éclata de rire.



Se collant tout contre moi, miaulant comme une petite chatte, je rigolai tant elle me rappelait le chat de Shrek.



Elle s’assit à l’angle du lit, une jambe de chaque côté et commença par se caresser les seins. Séduisante à souhait, envoûtante, tenant des propos de plus en plus libidineux, elle me raconta combien ma venue lui procurait du plaisir. Elle descendit le long de son ventre, écartant ses cuisses, avançant son bassin. Ses mains maintenant en contact avec sa vulve, écartant grandes et petites lèvres. Elle mit un doigt dans son petit abricot, le faisant aller et venir, décapuchonnant son clitoris. Elle se masturbait, m’expliquant que son puits d’amour se devait d’être tout humide pour recevoir le gode. Mais le plus excitant n’était pas de la voir, mais de l’écouter entre ses gémissements, me parler du plaisir qu’elle prenait dans mes bras, de me retracer avec force ce qu’elle éprouvait et avait envie de me faire ; que je lui fasse. Je mouillais d’envie, de désir aussi…


Une main jouait avec sa chatte quand l’autre attrapa le gode, elle le suça, tournant sa langue autour, bavant dessus et des deux mains l’inséra dans sa vulve. Le faisant coulisser au plus profond d’elle, me regardant droit dans les yeux, elle se redressa et attacha la ceinture qui lui nouait maintenant la taille. Elle était là, nue, debout devant moi, avec cet appendice disgracieux qui montait devant elle, se caressant les seins, elle me dit :



Je posai mes affaires, m’approchai de côté pour lui caresser les seins.



Prenant ses seins dans ma bouche, j’enveloppai ses tétons de ma langue, les pinçant pour les faire réagir. Me prenant par la tête, elle me dirigea alors vers sa queue.



Et me voici à genoux, maintenue bouche ouverte, suçant cette verge de « silicone » dure. Elle, ondulant du bassin, ses mains entourant mon visage, les miennes sur ses cuisses. J’entendais ses soupirs de plaisir… Je n’éprouvais rien. Je me redressais pour mettre fin à cette scène toute droite sortie d’un film X.


Elle s’agenouilla alors devant moi, plaquant sa bouche contre ma vulve, et me lécha, me caressant les cuisses, les fesses. Que c’était bon ! J’écartais les cuisses, à en perdre l’équilibre tellement je me sentais partir dans cette lointaine cité de Lesbos, je mouillais abondamment… et maintenant, je me caressais les seins d’une main, de l’autre sa tête. Elle me poussa sur le lit, releva mes jambes, droites au-dessus de ma poitrine, et continua de me lécher. Mes jambes ainsi serrées faisant gonfler ma vulve et ressortir l’ourlet de mes lèvres, je sentais son nez tout contre mon clitoris, sa bouche enfouie dans mes chairs. Elle avait gagné, j’étais coulante de désir. Je tenais mes jambes à pleins bras, luttant contre mon corps qui oscillait de droite à gauche.


Elle écarta mon sexe pour y glisser son pieu, s’immisçant doucement, puis resta un instant en moi, sans bouger, se tenant à mes jambes, pour enfin les écarter, pliant sous la pression, elle descendit à mon contact, son ventre contre le mien, ses seins opulents aux pointes turgescentes, exacerbant ma libido.


Nous étions enfin les yeux dans les yeux. Mouvement de bassin, elle m’observait, yeux mi-clos, je répondais. Elle ondulait, faisant sortir l’objet à la limite de mon intimité, pour le remettre plus avant dans mon vagin. Ses bras le long de mes jambes, en appuis sur ses mains de chaque côté de mes fesses, elle prenait le contrôle de mon être, de mon corps. Je ne pus tenir et reposai mes jambes sur son dos, l’une après l’autre, l’emprisonnant, l’enserrant pour qu’elle continue de me posséder, accompagnant ses va-et-vient pour lui révéler ma jouissance. Je sentais la chaleur de son corps, de ses seins au-dessus de moi, je relevai la tête, la butinai, la caressai. Elle relâcha ses bras, ses seins posés contre les miens, mes mains lui enveloppant la tête, je l’embrassais fougueusement. Nos bouches se mordaient, se découvraient l’une et l’autre, ses lèvres charnues de gloss, fondant dans ma bouche. Angéla activa la cadence, elle aussi entrait en transe maintenant, sous mes caresses, mes mains se promenant sur son corps, malgré tout son attirail, les sangles me gênant pour m’immiscer en elle, accroché à ses fesses. Elle entra plus à fond, à grands coups de bassin, j’eus mal. Je lui demandais d’arrêter, trop fragile pour ce traitement, pour ce pieu si dur.



Le godemichet entra en moi, coulissant dans mon conduit, faisant son territoire de mon sexe. Tout chaud comme un petit pain ayant emmagasiné la chaleur d’Angéla, je le ressentais comme un acte d’amour, et me dépêchai de le fixer autour de ma taille.


Angéla sauta sur le lit, agenouillée, bras fléchis vers l’avant. Son petit cul rebondi, le dos cambré, offerte. Je découvrais la beauté de cette position, la splendeur de cette femme. J’entrai en elle, la tenant par les hanches. Ses gémissements m’excitaient au plus haut point, malgré tout j’avais un manque, je ne la voyais pas, ne la sentais pas, alors elle se mit sur le dos. Blottie dans ses bras, mes jambes entre les siennes j’ondulais du bassin, chaque coup porté à son encontre remontait dans mon vagin, c’était bon. Mes jambes autour de sa taille, bras tendus maintenant ; elle me mordait les seins, le plaisir montant plus encore, j’accélérais mon mouvement de hanches comme quand je chevauche mon mari. Le corps en apnée, elle me claquait les fesses. Toutes ces vibrations m’emplissaient de jouissance et j’atteignis l’orgasme rapidement, gémissant, heureuse… Elle aussi.


C’était bon, délicieux, envoûtant, malgré ce petit manque, qui est de ressentir la chaleur et la douceur d’une bite au plus profond de soi. Quel bonheur tout de même que de ressentir le sperme tout chaud vous inonder les entrailles…


Nous en étions revenues au même point, nous devions nous laver. Vingt minutes plus tard, nous descendions les retrouver, Angéla dans un superbe petit string noir en strass, deux petits cache-seins ronds à pompons, déshabillé transparent noir soulignant le galbe de ses seins, et moi en tenue d’écolière plus très sage.


Notre arrivée fut triomphale, ce qui était normal vu les circonstances. Tout avait été nettoyé et rangé, ils étaient même devant la télé à mâter un film X. Ils s’approchèrent de nous, nous caressant du regard. Au risque de paraître alcoolique, je demandai une petite flûte de champagne. Autant pour faire passer le temps, ma libido s’étant assagie, et mon petit minou en souffrance de sa journée de labeur. Tout compte fait, je serais bien restée à l’étage dans les bras d’Angéla.


Mes amants, torses nus ; mon homme en tee-shirt, il ne souffrait certes pas la comparaison, mais c’est dans ses bras que le désir revint. Me sentant fatiguée, il était tout de suite venu me cajoler, je m’assis entre ses jambes et il me couvrit de baisers. Angéla, au courant de mes petits soucis passagers dus à un excès de sexe, voulut attirer l’attention de ces hommes avides de plaisir. Ainsi, elle nous gratifia d’un petit show autour d’une chaise. Mon mari aux anges de voir un tel spectacle gonflait à vue d’œil. Je pouvais sentir son sexe me monter dans le bas du dos. La voir ainsi bouger le remplissait d’un désir nouveau, qu’il me faisait partager par ses caresses. Mon corps reprenait vie.


Le show fini, elle vint me chercher pour exécuter le mien. Pour être honnête, ce fut laborieux, je n’étais pas très naturelle, mais ils m’applaudirent quand même, sauf Angéla. Déçue de ma prestation, elle vint me gronder et me fesser en rigolant, les hommes applaudissaient tout émoustillés. Je recommençai, me libérant la tête d’être seule en scène, et je dois dire que cette seconde fois je fis sensation.


J’avais mis à profit ce que j’avais appris, leur lançant mon petit top blanc, après l’avoir dénoué langoureusement, dévoilant ainsi mes seins bien fermes, mes larges mamelons aux pointes durcies et gonflées de désir. Mes cuisses de chaque côté de la chaise, je bougeais le bassin comme si un homme invisible me prenait, j’avais pris soin de ne pas ôter ma culotte blanche. Angéla m’avait tant excitée dedans l’après-midi, que je voulais faire de même. Ainsi passant un doigt dessus, appuyant légèrement de façon à l’insérer dans ma chatte, imprimant mes chairs humides sur le tissu délicat, leurs esprits vagabonderaient, chacun s’imaginant son fantasme de mon corps abandonné.


Pendant mon spectacle, Angéla prit possession des genoux de mon mari, ses yeux dans les miens, se lovant contre lui, écrasant ses fesses sur son sexe, l’air de dire « il est à moi, fais-en autant » et bougeant tant et plus qu’il ne put s’empêcher de la prendre par les seins, de lui enserrer la taille. Avant la fin du spectacle, il se levait pour la plaquer à quatre pattes sur le sol, puis sortit son sexe de son boxer pour l’introduire dans l’intimité d’Angéla. Dans le même temps, mes amants d’un soir s’étaient mis derrière moi, prêts à se jeter sur mon corps.


Je rendais coup pour coup, souriant à Angéla, je devenais de plus en plus salope, donnant de petits coups de bassin pour faire remonter ma courte jupe. Une main autour du cou des deux hommes, je les incitais à me baiser. Je les incitais par des mots crus qui eurent le don de les exciter au plus haut point.


Ils me mirent à quatre pattes devant Angéla, ôtèrent ma culotte. Xavier entra au plus profond de moi, Thierry voulut que je le suce, mais je préférais regarder Angéla. Nos visages l’un contre l’autre, nous nous embrassâmes, Thierry força et mit sa queue entre nous, et nous l’avons léchée toutes les deux en même temps.


Mon mari partit rapidement devant le spectacle et cassa ce tableau si parfait, Xavier vint alors sous moi. Étant petite et lui assez grand, il avait pratiquement sa tête sous les seins de sa femme qu’il dévora, tout en me tenant par le dos. Thierry vint derrière moi, me caressant les fesses, écartant mes cuisses pour que son ami entre bien à fond. Il me lubrifia généreusement l’anus et entra en moi. Ils partirent aussi rapidement…


Ce fut merveilleux, une soirée mémorable. Avec tout le champagne bu, notre hôte nous proposa de rester dormir. Nous étions tellement fatigués que nous acceptâmes, et cela, même si je n’avais pas ma valise, restée à l’hôtel. J’avais hâte de me retrouver avec mon mari pour discuter de tout cela.


Thierry voulait dormir près de moi, pour sentir encore mon corps, avant que je ne disparaisse, mais mon mari n’accepta pas, il aurait le droit de venir nous réveiller au petit matin par un gros câlin.

Seule avec mon mari, au sous-sol, dans cette salle transformée en chambre d’hôtes, je me blottis contre lui, nous discutâmes un peu de la soirée, et nous endormîmes enlacés, repus, nus.




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Dimanche matin.


Il était bien 10 h quand je vis la porte s’entrouvrir ; la silhouette de Thierry se dessinait dans l’entrebâillement… Timide, je me retournai dans le lit, faisant face à mon mari qui dormait toujours. Thierry entra dans la chambre, puis dans le lit, se blottissant derrière moi. Je fis semblant de dormir. Il ne bougeait pas, nu comme un vers. Je sentais sa peau fraîche contre la mienne si chaude, son sexe mou contre mes fesses. Il posa un bras le long de mon corps et attendit…

Je le laissais faire, curieuse et troublée. Les minutes passaient silencieuses, je ressentais bien qu’il n’osait me réveiller.


Mon corps s’éveillait, mon esprit aussi, j’étais à l’écoute de mes sensations, de mes envies, de ma culpabilité, que faire ? Ne rien faire et attendre… la pièce plongée dans l’obscurité ; juste éclairée par ce trait de lumière d’une porte mal fermée. Sa main bougea finalement, doucement, se posant sur ma taille, sa tête tout contre ma nuque, lui aussi à l’écoute. Son corps se réchauffait, ses mains aussi, son sexe se fit plus présent maintenant que ses doigts se posaient sur mes fesses. Mon cœur battait plus fort. Par de légers va-et-vient, il frottait sa verge contre moi, elle ne tarda pas à grossir et déjà tout humide. De même, mes chairs se réveillaient, je commençais à mouiller, semblant toujours dormir. Sa main remonta sur mon ventre, se faisant caressante. Il attendit encore, son sexe souillant mon entrecuisse. Sans un mot, avec délicatesse, il remontait doucement mes jambes avec ses cuisses. Je tressaillis, il se stoppa. Il n’arrivait pas à entrer, son sexe trop petit ; ma position trop fermée.


Par instinct, je me mis dans la position adéquate, feignant un étirement, et fis semblant de m’assoupir à nouveau. Il attendit encore, ne bougeant plus. Sa main redescendit sur mes fesses, les écartant suffisamment pour guider son sexe vers mon puits d’amour. Il entra doucement, lentement, et resta figé au bord, ressortant puis entrant de nouveau, s’immobilisant juste à l’entrée de mon vagin. C’était doux et agréable, une sensation grisante qui revenait lancinante, une envie de faire l’amour, de sentir l’extase envahir mon corps, d’être prise plus à fond. Ma petite chatte imberbe commençait à mouiller de plus en plus. Lui, je le sentais déjà dans un état second, dur, épais, ou était-ce ma petite rose du matin pas encore éclose qui enserrait si bien son joli dard. Thierry ne pouvait que la sentir lui comprimer son appendice, et il continua ses caresses jusqu’à faire naître mon désir. Il coulissait sans effort maintenant, ses doigts taquinant mon clitoris décapuchonné par l’excitation. Je ne pus feindre plus longtemps mon plaisir, je poussai alors mon bassin pour l’aider à aller plus loin, bien à fond, je lâchai un « Humm » de plaisir.


Mon mari ouvrit les yeux, sans bouger il me regardait. Il comprit très vite ce qu’il se passait. Il l’avait promis à Thierry qu’il me posséderait au réveil. Il était l’heure de se réveiller…


Pendant cinq minutes, mon amant me fit l’amour doucement, avec légèreté, agréable attente à l’entrée de ma grotte puis bien à fond, jusqu’à la garde, en prenant la peine de ne pas trop bouger. Je sentais qu’il ne voulait pas réveiller mon conjoint, qui lui me regardait toujours, attentiste aux moindres signes de plaisir sur mon visage. J’agrippais Thierry de ma main gauche, l’autre coincé sous ma tête. Je restais encore un moment ainsi, le laissant me pénétrer doucement, délicatement, regardant mon mari dans les yeux.


Thierry me parla doucement dans le creux de l’oreille ; il désirait que je sois seule avec lui, qu’il puisse me faire jouir, me faire l’amour, rien que nous deux. Je caressai alors le visage de mon mari, lui fermant les yeux, je lui déposai un baiser sur la bouche, puis me tournant vers Thierry, je passai par-dessus et lui dis :



Une fois sortie de la chambre du sous-sol, je refermai la porte derrière moi. Je montai la première marche menant au rez-de-chaussée et me retournai, j’étais ainsi à sa hauteur. Il me prit dans ses bras et nous nous embrassâmes langoureusement. C’était enivrant ; la lumière violente à présent, révélait, la tension, la virilité, la bestialité de cet homme. Son désir se lisait sur chaque trait de son visage, il voulait en découdre, me faire l’amour avec rage. Ses mains sur ma nuque, mes épaules, descendant doucement sur mes hanches jusqu’à mes fesses, plaquant mon corps contre le sien. Son corps électrique, dont le fier étendard tendu battait la mesure contre ma peau, cherchant à me faire signe de sa bannière maculée. La prenant dans ma main, je le caressai doucement pour bien lui faire comprendre que je m’offrais à lui.


Assise sur une marche, la bouche prompte et humide, je m’appliquais à le remercier de ses largesses de la veille, le butinant, le happant, l’amenant si proche de son point de rupture, qu’il dut filer d’entre mes doigts pour ne pas pleurer à chaudes larmes. Défaillant, il dut s’asseoir sur une marche pour reprendre un peu de vie.


Sans capote, à califourchon sur lui, me servant des marches comme appui, je voulais qu’il hurle sa détresse de devoir exploser si vite en moi. J’imprimais un rythme soutenu, étant déjà toute dégoulinante de désir. Il devint rouge rapidement, mangeant littéralement mes seins si sensibles que j’eus un premier orgasme. Il me soulevait les fesses au même rythme, faisant claquer son sexe au plus profond de moi, m’arrachant des râles de plaisir. Il me retourna sur lui et voulut me sodomiser, mais je n’acceptais pas et il reprit sa place dans mon antre. Assise sur lui, ses mains agrippées à mes seins, il soufflait son plaisir, mais ne partait pas, ne voulant abdiquer qu’à son dernier souffle de vie.


L’escalier lui faisant mal au dos, il me prit debout, moi dans ses bras, une jambe relevée sur ses hanches, mes fesses à moitié sur la rampe et me pilonna comme un forcené. Je lui chuchotais à l’oreille tout le plaisir qu’il me donnait en des termes un peu crus, mais il ne partait toujours pas, il voulait fêter son grand retour de flammes après avoir presque capitulé.


Alors je me retournai, prenant place dans la montée d’escalier ; jambe écartée, genoux fléchis, cambrée, une main sur chaque rampe. Thierry, debout derrière moi, bien en appui sur ses jambes entra en moi, les mains sur mes hanches, et commença de nouveau à me prendre doucement puis à me limer comme un fou, se servant du poids de mon corps pour m’empaler, faisant claquer ses bourses contre mes fesses. Il haletait fortement, bruyamment ; en me traitant de salope… j’affirmai ses dires et lui demandai d’aller encore plus fort, plus vite, plus loin. Ma respiration en apnée, mon corps comme un boomerang revenant toujours s’embrocher sur son pieu, mon esprit ayant perdu totalement la raison, je criais plus fort que souhaité ma jouissance dans un concert de mot que je n’ose écrire.


Le « vacarme bestial » eut tôt fait de réveiller la maisonnée, car quand mes pieds reprirent contact avec le sol, nos hôtes nous regardaient du haut de l’escalier. Thierry continua de me transpercer quelque instant et lâcha tout son foutre dans mes entrailles. J’étais soudée à lui, allongée dans les escaliers… ils nous souhaitèrent une bonne journée et repartirent en rigolant. Il resta un petit moment en moi, trop épuisé pour se relever et voulant encore quelques instants, rester en contact avec la chaleur de mon corps.


Je retournai me coucher, le laissant seul affronter le regard malicieux de ses amis et retournai voir mon chéri. De retour dans la chambre, mon mari m’attendait, il me prit dans ses bras me souhaitant une très belle journée. Je ne voulus pas de petit câlin, me sentant un peu « sale » pour le câlin de mon amoureux, mais je lui fis un gros bisou et lui déclarai tout mon amour.


Une fois lavés, nous retrouvâmes nos hôtes dans la cuisine. Ils étaient tous autour d’un café, parlant des scènes, des sourires, et des éclats de rire de la veille et du nouveau radio réveil du matin. Il n’était pas midi quand Thierry et mon mari partirent à notre hôtel chercher le reste de nos bagages, afin de libérer la chambre. Nous étions généreusement invités ce midi pour un barbecue. Comme ils en avaient pour un bon moment, Xavier se proposa de tout préparer, et Angéla me suggéra un bain de soleil dans leur patio.




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Toutes les deux côte à côte, yeux mi-clos face au soleil qui réchauffe.

Angéla me taquina sur mon maillot de bain, qui n’était autre que mon string et mon soutien-gorge. C’est vrai que j’avais l’air ridicule, mais l’air était trop chaud pour mettre une chemise.


Nous reparlions de notre soirée, de notre rencontre, de son futur, et de nos fantasmes pas encore assouvis, elle avait beaucoup d’expérience, moi bien loin de tout cela, je débutais, mais ce fut déjà un énorme pas dans l’inconnu, très riche en expérience, me découvrant totalement libéré dans des conditions idéales comme ce week-end. Un huis clos, avec peu de personnes, mais tout libertin, où passion et compassion étaient les maîtres mots. Tout était réuni, sauf peut-être pour la longueur de leurs sexes… Nous avons éclaté de rire et je lui racontai un de mes fantasmes, mon préféré lorsque je veux m’évader…

Elle me dévisagea, se redressa et me proposa à boire… puis balbutia…



Me relevant, j’éclatais de rire.



Ma main sur sa bouche je lui coupai la parole.



Elle revint quinze minutes plus tard, mon verre à la main. Je lui demandai malicieusement si elle ne s’était pas perdue en route. Elle m’assura que non avec un grand sourire, et m’annonça qu’elle m’avait préparé une jolie surprise si je voulais la suivre. Mon fantasme servi sur un plateau… en voilà une idée ! Et de me décrire la façon dont elle m’attacherait, me banderait les yeux et s’occuperait bien de moi comme dans mon imaginaire. C’était tentant, mais j’étais bien à ne rien faire. Elle parut déçue et quelque peu « stressée ». Je lui demandai si tout allait bien, elle me rassura que oui, tout en m’avouant qu’elle avait très envie de jouer avec moi, une dernière fois avant que je ne parte. Mais les choses ne se commandent pas et j’étais bien ici ; j’étais repue de sexe féminin. Elle s’allongea près de moi, minaudant, faisant tout pour m’attirer dans son repaire, mais je tins bon, la chaleur par trop apaisante.


Un bon moment plus tard, Xavier vint nous voir, nu sous son tablier, le téléphone à la main, il avait bien bossé pour préparer son fameux barbecue et tout était fini. Il ne manquait que les gars pour mettre à cuire la viande. Il tendit le téléphone à Angéla qui disparut précipitamment, lui resta près de moi, me complimentant sur mon corps, ma sensualité et mon implication lors de notre soirée. Rien qu’à m’en parler, je voyais son tablier bouger. Notre conversation devint de plus en plus chaude, je distinguais maintenant nettement la forme de son sexe en érection, et moi j’avais mon « petit bouton » qui sonnait l’alarme, même mes tétons commençaient à doubler de volume devant ses yeux exaltés. Rien que par la parole, sans nous toucher, nous faisions naître entre nous un désir pressant, et quand Angéla revint, elle ne pouvait que se rendre compte de notre état d’excitation, son tablier était presque d’équerre. Elle le souleva et le tableau perdit de son charme, j’aimais l’imaginer très grande et très grosse, alors que le visuel ramenait à la réalité.



Angéla défit le tablier et le jeta au sol. Puis me prenant par une main elle m’extirpa du bain de soleil, et me poussa dans les bras de Xavier.



Ramassant le tablier elle partit promptement. Il m’enlaça, son sexe frottant contre mon ventre. Ne voulant pas rester dehors il me demanda de le suivre.

Je n’eus pas d’autre choix que de le suivre dans la cuisine tellement il me tirait pour entrer dans la maison. Malgré mon envie et mon attirance, j’émis quelques réserves.



Il m’embrassa me faisant taire dans l’instant, puis m’invita à le suivre dans son antre, au sous-sol. Je connaissais bien la pièce maintenant pour y avoir passé la plus grande partie du week-end. Les surprises d’Angéla y étaient bien en évidence, préparée sur la table basse, des menottes, un masque, une corde, des godes petits et gros, un tube de lubrifiant, des boules de geisha…et bien d’autres choses dont je ne me souviens plus.



Et il me poussa en rigolant sur le lit, essayant de mettre un doigt dans ma chatte pour confirmer ses dires.



Il m’insultait copieusement, mais d’un ton joliment ironique et sympathique ; me claquant amoureusement les fesses, avec délicatesse. De voir mes lobes fessiers bouger l’électrisait au plus haut point, et il ne pouvait plus s’empêcher de me remettre de petites claques sur mon divin postérieur.


Il fut rapide à me mettre nue, n’ayant pour effet que mes sous-vêtements, Xavier commença par me tirer mon string jusqu’aux chevilles, pour enfin m’en libérer avec ses dents ; puis me caressa le corps en remontant jusqu’à mon soutien-gorge qu’il décapsula d’une main, se jetant alors avec avidité sur mes seins qu’il suça et mordilla avec douceur et maestria. Il me faisait tressaillir au plus profond de moi, la nature m’ayant octroyé une sensibilité mammaire si « particulière » que je peux jouir deux fois plus vite et plus fort, par simple succion de mes tétons.


Je me cabrai, ne tenant plus, je descendis alors une main vers mon intimité. Il remplaça ma main par sa bouche, léchant mon sexe, me titillant le clitoris, m’effleurant l’anus, puis remonta vers ma poitrine toute gonflée et enfin ma bouche. Nos langues se mêlèrent avec avidité. Je ne savais plus quoi faire, attendre mon mari ou écouter mon corps qui devenait fou ce week-end. Il se recula quand je voulus le sucer.



Et il me mit un masque de sommeil, malgré mes réticences.



J’obtempérais et nos langues reprirent leurs jeux érotiques. Il est vrai que ses mains sur mon corps me procurèrent une tout autre sensation, décuplant mon plaisir, celui-ci venant plus rapidement. Je ne l’avais jamais fait avec mon mari, c’est pourtant si simple. Nos caresses se firent plus pressantes, mes doigts cherchant maintenant son sexe, je le masturbai puis le suçai avec avidité, tout ceci était palpitant. Au bout d’un moment il se leva, puis me prenant par un poignet, il m’attacha au lit avec les menottes.


Je feins la surprise, mais j’avais bien senti ce qu’il voulait faire depuis le début, j’entrai dans son jeu, il voulait réaliser mon fantasme, mais ce n’était pas possible. Peu importe, le fait d’être attachée, d’être son jouet, enfin de lui faire croire, avait pour effet de me faire mouiller encore plus, de m’exciter au plus haut point. Je lui tendis l’autre bras et il m’attacha à l’anneau du lit.



Et il me tira par les jambes pour m’allonger sur le lit. Je l’entendis sortir de la pièce…


Le silence…



J’avais les bras tendus au-dessus de ma tête, mais sans douleur aux poignets. Quelques instants je restais ainsi, seule dans la pièce, appelant à demi-mot. Enfin, la porte s’ouvrit…



Je voulus parler, mais il me dit une nouvelle fois de me taire, le mystère et la sensualité devaient persister.

Entièrement, des pieds jusqu’à la tête il couvrait mon corps de baisers, s’attardant sur mon abricot. Écartant mes jambes, il me faisait du bien. Le silence était total. Nous n’entendions que les bruits de succions de sa bouche et ceux de mon plaisir. Doucement j’entrai dans son monde. Un monde libéré de tout.


Il prenait le contrôle de mon corps. Maintenant ses doigts fouillaient mon intimité, puis un gode les remplaça. J’écartais au maximum mes jambes, c’était si bon, il dosait mon plaisir, à la limite de l’orgasme, me laissant toujours en manque, afin que je lui en demande plus, me pervertissant davantage. Il devait se servir de godes de plus en plus gros, car je sentais ma chatte emplie de plus en plus au fur et à mesure de ses entrées en moi. Et sa bouche sur mes seins finissait le travail, je n’en pouvais plus et l’implorais de me prendre avec sa queue.


Il m’écarta les jambes et descendit du lit. Quand il revint sur moi, son pénis entra en moi, me remplissant complètement, chaque mouvement de son sexe s’irradiait dans mon ventre, mettant ma vulve en feu. Son corps même faisait masse, je sentais la puissance de ses jambes à chaque coup de reins. La chaleur de sa peau sur la mienne en était différente. Le fait de ne rien voir, certainement, mon corps en attente, toujours est-il que je jouis très rapidement, tandis que lui continuait à me pistonner. Sans s’occuper de mes seins, sans m’embrasser ni même me caresser, il arrivait à me combler. J’avais l’impression qu’un énorme sexe me pourfendait, je jouis une deuxième fois dans un déluge vocal… Promis, je ne ferai plus jamais l’amour sans masque.


Lui n’avait toujours pas joui quand je lui demandai de me retourner. Étant ma position préférée, je souhaitais le chevaucher, je désirais qu’il me mange les seins et qu’en même temps il me caresse les fesses. Je voulais ma chatte empalée sur son membre viril, je voulais de nouveau atteindre l’orgasme et sentir ses boules claquer contre mon cul, je voulais jouir encore plus, même si je sentais que j’avais atteint ma limite…


Alors, il sortit de moi, me détacha du lit, me laissant les menottes. Je me retrouvai à genoux maintenant sur le lit, en levrette, offrant forcément un spectacle inoubliable. Sachant qu’il me matait, je me trémoussais comme je pouvais avec mes mains liées, l’invitant de mes mots à libérer sa puissance et son désir. Il ne tarda pas à venir au contact de ma vulve, tripotant ma chatte, faisant coulisser ses doigts dedans puis les ressortaient pour humidifier mon p’tit trou. M’écartant les fesses, glissant un doigt dedans, massant mes chairs, prenant un soin tout particulier à me préparer pour une sodomie. J’avais certes du plaisir, mais bien moindre que tout à l’heure. J’implorais sa queue, lui demandant de me prendre comme dans les minutes passées, allant même jusqu’à en devenir très crue tellement je voulais ressentir à nouveau cette extrême jouissance.



Mais il n’en fit rien, m’introduisant gode après gode de dimensions différentes, il me dilatait consciencieusement.



Ayant perdu toute conscience, je hurlai :



Je me découvrais être très crue, plus qu’à l’accoutumée, mais j’étais dans un tel état de manque et d’excitation que tout discernement en était banni.


Enfin, il se glissa sous moi, s’agrippant à mon corps pour trouver sa place. Ne pouvant le voir, je le laissais s’installer, et attendais un geste de sa part, une parole. Je tendais la tête, attendant qu’il me prenne à pleine bouche, je lui rendais son baiser. Un baiser sauvage, animal, dû à l’attente d’une jouissance trop souvent arrêtée à mon goût. Ses mains caressaient mes fesses, m’écartant doucement les cuisses, il entrait en moi. Déception, son sexe pourtant dur ne me remplissait plus, j’avais dû perdre le fil de mon imaginaire, la magie évanouie, trop de temps passé, de pauses, d’instants perdus. Quand il me suça les seins, je crus le plaisir revenir, mais il avait toujours été là, juste différent, moins intense que précédemment. Sans l’aide de mes bras, j’avais du mal à m’empaler bien à fond, à le sentir au plus profond de moi. Je bougeais mon bassin de gauche à droite, montant et descendant sur cette verge tendue, ainsi elle occupait plus de place.


Le lit s’enfonça. Une deuxième personne venait de nous rejoindre. J’imaginais Angéla derrière moi, avec son gode-ceinture, toute cette préparation sur mon anus en disait long sur leurs intentions. Je me penchai plus en avant, mes seins posés sur le torse de Xavier, offerte, le laissant me besogner tout en invitant Angéla à s’introduire en moi.



Je crus un instant qu’elle venait de poser ses mains sur moi, caressant mes fesses, mais elles étaient trop épaisses, trop massives, chaudes et moites, elles ne lui appartenaient pas. Les hommes étaient-ils revenus ? Je n’avais pas souvenir de ce toucher-là. Xavier me tint par les menottes. Ne pouvant plus bouger les bras, plaquée contre lui, les seins contre son buste, ne pouvant osciller que la tête pour parler et demander… Mais le seul son émis fut un gémissement de plaisir, Xavier redoublant de vigueur. Maintenant, ces mains inconnues et charnues m’écartaient les fesses, je sentis un liquide froid sur ma rosette et demandais enfin à Xavier.



Et lui de me répondre :



Impossible… et pourtant, un sexe brûlant et humide se collait déjà sur mon anus, me pénétrant lentement. Une douleur monta rapidement, puis s’estompa quand le sexe ressortit. De nouveau il entrait pour ressortir immédiatement dès qu’un spasme se produisait. Ainsi, il s’acheminait doucement dans mon conduit, entre douleur et brûlure, mettant du lubrifiant que je sentais couler le long de mon sillon. Xavier redoublait de vigueur pour me défoncer avec fougue, labourant ma chatte à grand coup de bite. Sa bouche si reconnaissable me mordillant les lèvres, aspirant ma langue pour m’empêcher de parler. Mon esprit en ébullition ne se posait qu’une question, mais qui me sodomisait ainsi ? Était-ce vraiment mon fantasme : un beau black super bien monté ? Toujours est-il que je n’avais jamais eu si mal, j’étais défoncée et surtout je sentais bien que ça ne rentrerait pas. Bien trop petite pour ce pieu qui déjà m’explosait le cul. Un cri de douleur sortit de ma bouche, le sexe se stoppa et fit marche arrière. Restant à l’entrée de ma rosette, essayant de faire sa place, de creuser mon sillon par de petits va-et-vient. Je commençais à m’y habituer, prenant du plaisir par intermittence, mais quand il reprit sa course plus en avant, les larmes me montèrent aux yeux. J’essayai d’arracher mon masque, tandis que ce pieu sortait hors de moi.


Mes cris l’ayant fait éjaculer, je regardai Xavier qui sous moi ne bougeait plus, repu. Je tournai la tête pour l’apercevoir. C’était un grand black, chauve, le nez très large et aplati comme un boxeur. Pas le genre Will Smith, plutôt son contraire. Des lèvres épaisses, un visage très marqué, affreux, le regard dur, mais empreint d’une certaine bienveillance. Avec compassion il se mit sur le côté, moi j’enjambai Xavier. Ne sachant où me mettre je me réfugiai derrière lui. J’éprouvais une certaine appréhension devant ce visage non avenant, cet homme me faisant un peu peur. Xavier me libéra et me caressa le bras, il me réconfortait, s’excusant d’avoir joui de ma douleur. Il croyait vraiment que j’aurais adoré. Mais c’était sans savoir que je suis fragile, sans penser que je pouvais me sentir fragile sans mon mari à mes côtés, et que je ne suis qu’une petite femme, car ce gars-là, sa bite, elle était énorme…


Xavier me présenta alors, Baako, un ami récemment séparé qui habitait près de chez eux. Angéla l’avait appelée dès que je lui eus confié mon fantasme, et tout s’était mis en route. Un peu dans la précipitation, me confiait Xavier dépité que je n’eusse pas apprécié. Je l’apaisai, lui assurant que j’avais aimé une grande partie, même si a priori c’était plus exaltant d’avoir un fantasme que de le réaliser, et que de doute façon je garderai un souvenir impérissable de ce week-end. Baako me sourit, s’approchant de moi, il me complimenta sur mon physique, regrettant de n’avoir pu me donner plus de plaisir, car ils avaient dû me partager à tour de rôle pour ne pas éveiller mes soupçons et jouer un rôle. Je dois dire que j’avais encore le souvenir de ses passages.


Thierry s’éclipsa pour aller aux toilettes et ce n’est pas évident de vous décrire la perception étrange que j’eus de rester seule avec cet homme nu, assis près de moi. De voir ce corps si sculpté, si beau et ce visage si ingrat me donnait comme une envie de fuir, et dans le même temps, cette proéminence tombant sur sa jambe m’obsédait. Contre ma volonté, je sentais bien que je gardais toujours un œil dessus lorsque nous parlions tous les deux assis sur ce lit improvisé. Lui aussi me dévisageait, c’était un homme des plus charmant une fois fait abstraction de son image. Sa gentillesse, ses propos eurent le don de briser les barrières de mon esprit maladroit et je me surpris à lui sourire. Il le remarqua, car de notre discussion somme toute primaire, il la fit dériver sur ma sexualité. Il voulait tout savoir de mon week-end et de ce fantasme qui nous avait fait nous rencontrer. Je ne désirais pas aller plus loin dans la discussion, mais je lui livrai tout de même, avec appréhension, timidité, même si nous venions de faire l’amour, la raison qui avait poussé Angéla à lui demander de venir. Mon fantasme : Être prise par deux hommes en même temps, dont un black qui me sodomiserait avec sa grosse queue.



Je répondis tête baissée que sa queue était bien trop grosse. Au fur et à mesure de notre dialogue, il m’amusait par la façon qu’il avait de parler de lui et je m’aperçus qu’il commençait à être très excité par mon fantasme, ou peut-être aussi par la vision qu’il avait de moi : nue et offerte sur ce canapé-lit. Quoi qu’il en soit, sa queue commençait à durcir, à se lever et je dois dire que j’étais très impressionnée.



N’osant bouger, Baako la prit dans sa main et m’en donna un coup sur la cuisse, je souris, au deuxième coup et à son sens de l’à-propos, j’éclatai d’un fou rire.



Par réflexe, j’imprimai un mouvement de recul, son visage, ne m’attirant pas du tout. Lui, garda son sourire, se leva et fit le tour du lit, venant à ma rencontre, son sexe maintenant devant mon visage ; énorme. J’étais hypnotisée par ce phallus, je n’avais jamais rien vu de tel. Un bref instant je ne sus que faire, contemplant cette chose si gigantesque et pour ma première fois de couleur. De larges veines saillantes teintées de café parcouraient ce cylindre monstrueux jusqu’à son chapeau, gros champignon aux formes saillantes si bien découpées, nuance de noir et de rose. Je restais perdue dans mon imaginaire, découvrant que lui aussi était totalement lisse, quand il mit ses mains de chaque côté de ma tête, il guida, ma bouche vers son membre et força mes lèvres. Son sexe dans la bouche me semblait encore plus gigantesque, je tirais pratiquement au cœur. J’avalais ce gros chapeau, ce nœud géant. Il bougea son sexe dans ma cavité buccale, et je finis par m’activer et jouer de ma langue. Il desserra son étreinte autour de moi, je mis mes mains autour de son membre. Je n’arrivais pas à le cacher avec mes deux mains bout à bout, mais le suçais du mieux que je pouvais. Baako semblait comblé, m’incitant à le sucer toujours plus loin.


Il aurait bien voulu me prendre dans ses bras, malheureusement mon esprit restait encore réticent. Lui ne perdit pas de son humour, il me tira par les pieds, m’écarta les cuisses et me lécha. Sa large langue et ses doigts me firent jouir rapidement. Puis il s’allongea sur le dos, me soulevant pour me mettre sur lui. J’écartai les jambes, d’une main il guida son sexe en moi et me pénétra. Je sentis son sexe m’emplir d’un seul coup et au bout de très peu de temps un orgasme violent me traversa le corps. Je tremblais, la chatte inondée de mouille, il en profita pour ramener mon visage contre le sien et glissa sa langue dans ma bouche. Elle aussi me remplissait, épaisse et charnue, il m’enivrait et j’en oubliais son image. Il avait gagné, j’étais désormais totalement offerte, de corps et d’âme. Il profitait de l’instant, sa langue faisant nid de ma bouche et dans un même temps il me tirait la pointe des seins, les faisant rouler entre ses doigts. Il était partout à la fois et j’en avais arrêté de compter mes orgasmes lorsqu’il me souleva les cuisses de façon à ce que je sois assise sur lui, mes jambes en avant, les pieds sous ses coudes. Là, en me tirant par les bras, j’avais tout le poids de mon corps sur son sexe. Il me tirait le bras, je montais le long de sa colonne, il relâchait, je redescendais sur son mât. Lui donnait un violent coup de reins à chaque descente. J’étais complètement défoncée, soumise et heureuse.


Je ne m’étais pas aperçue que Xavier était revenu dans la pièce, l’esprit totalement ailleurs et lui n’osait plus bouger, écoutant cette puissante « musique de chambre », ne voulant pas l’interrompre. J’étais tellement mouillée que Baako pouvait entrer en moi jusqu’à son terme, je criais à chaque fois que son nœud me pénétrait, mes chairs l’enserrant sur toute sa longueur. Il profita d’un énième orgasme pour insister à refaire un essai de sodomie, Xavier alors se rapprocha pour me caresser et demanda à entrer dans ma chatte.


Je n’avais plus la force de refuser, juste l’envie de le contenter. Xavier se mit sur le dos, il m’accompagna de la main afin que je le chevauche et entra rapidement en moi. Je sentais à peine son sexe tellement j’étais dégoulinante et ouverte, c’était bon quand même, mais rien à voir avec son ami. Baako, lui s’occupait de mon interdit. Il me remplit la rosette de gel, me lubrifiant généreusement, puis il porta son sexe à l’entrée de cette porte si convoitée. Sa queue encore toute chaude et humide de notre relation, elle entra beaucoup mieux en moi. J’eus mal, mais cette fois la douleur se transforma en plaisir. Xavier déclencha un orgasme en me mordillant les seins et Baako transforma cette jouissance en déluge en me fessant, mes deux amants bougeant au même rythme. Je pourrais encore écrire des lignes et des lignes sur cet orgasme, parce c’est le plus beau et plus intense que j’aie eu. Une vraie fusion dans mon corps, fiévreux et offert sans aucune limite où toute décence fut abolie. Ils m’ont traitée de chienne, de salope, et j’ai fait tout ce qu’ils m’ont demandé. Juste avant de partir, mon étalon Baako est entré entièrement dans mon cul, ses couilles claquant mon fessier.


Mon mari est arrivé juste pour assister à la fin de notre ébat, il fut un peu tétanisé, car j’y ai beaucoup joui et crié. Le voyant circonspect, Angéla essaya tant bien que mal de le détendre et de l’exciter, mais rien n’y fit, et il resta avec Thierry près de la porte à nous regarder. À aucun moment je ne les vis dans la pièce, tout mon être entièrement tourné vers la source de mon plaisir, en total abandon.


J’eus des difficultés à marcher et m’asseoir pendant quelques jours et conserve des stigmates de cette relation si intense pour une petite souris comme moi.