Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17805Fiche technique7979 caractères7979
Temps de lecture estimé : 5 mn
28/02/17
Résumé:  Soirée au Club Med. Sous ma robe blanche et transparente, je suis nue...
Critères:  dancing cadeau vacances boitenuit voir exhib noculotte init -couple
Auteur : Chris0367      Envoi mini-message
La robe blanche



Agadir


Les faits remontent au 17 octobre 1978. Il y a bien longtemps, mais tout est gravé dans ma mémoire. Si je m’en souviens de manière aussi précise, c’est parce que l’histoire que je vais rapporter se situe au lendemain de l’élection du pape Jean-Paul II. J’ai une éducation catholique, et cet événement m’avait frappée !


Nous étions en vacances, Chris et moi, au Club Med à Agadir.


À ce moment du récit, je peux affirmer que j’étais une belle femme ; les photos que j’ai gardées précieusement le confirment. À trente ans, j’étais une femme physiquement épanouie… Ma chevelure blonde qui ondulait, mes grands yeux bleus attiraient les hommes, et le reste ne les décevait pas non plus ! Et comme j’aimais prendre du plaisir, mais aussi en donner (comme celui d’apparaître sous mon plus beau jour, par exemple), inutile de dire que je laissais rarement indifférente !


Bien dans mon corps, donc… mais pas toujours très à l’aise psychologiquement car à cette époque j’avais une liaison avec un médecin de l’hôpital où je travaillais, et j’étais déchirée entre celle-ci et l’amour que je portais pourtant à mon époux. Ces vacances venaient à point pour prendre un peu de recul.


J’ignorais si Chris savait que j’avais une relation extraconjugale. Je préférais penser qu’il n’était pas au courant. J’aurais peut-être dû lui en parler, ou pas. Pas tout de suite en tout cas. Je devais, avant, lui prouver mon amour. Et j’allais pour cela profiter de ce séjour exotique et de mes atouts. Le soleil avait l’avantage de me rendre encore plus jolie, ma peau tannée faisant ressortir ma blondeur et le bleu de mes yeux. Ça décuplait mes envies de plaire, de lui plaire encore davantage…


L’occasion ne tarda pas. Le jeudi soir était organisée une petite fête. Son thème ? Le blanc. Il fallait faire preuve d’imagination, mais d’emblée j’eus une idée simple, toute simple mais qui, pour moi, était comme une évidence.


Alors que Chris jouait au tennis, je me rendis, au sein du club, dans une petite échoppe et j’y achetai une robe blanche, bien ajustée et fendue sur le côté gauche jusqu’à hauteur du genou.


Je regagnai notre chambre, enfilai la jolie robe et me plantai devant le miroir. J’étais ravie : elle était parfaite pour moi, mettant toutes mes formes en valeur, d’autant plus qu’elle était presque transparente. Je décidai alors de ne pas porter de dessous.

J’allais faire sensation et… surprendre très certainement mon époux. Son désir allait monter, crescendo… j’allais pouvoir savourer cette soirée… J’en vibrais déjà de plaisir.


Lorsque Chris revint du terrain de sport, je lui demandai son assentiment. Il eut un moment d’hésitation ; en tout cas, je le ressentis comme tel.



Ce qu’il ne savait pas, c’est que je ne porterai pas de dessous, ce soir.


L’idée m’en était venue dans le petit magasin, et je n’avais pas changé d’avis. Cette culotte que je voyais par transparence m’était soudain "parue de trop". Un vieux fantasme serait mis à exécution : nue sous la robe, au vu de tous !


Provocante ? Probablement ! Naturelle en tout cas. Tous les regards se tourneront vers moi, certains admiratifs, d’autres dubitatifs. Seul un regard excitera ma curiosité, mon désir, notre plaisir à venir, peu importe les autres : il n’y avait que ça, que lui qui m’intéressait.


La fête débuta. Des groupes se formèrent, comme c’est habituel, autour de boissons apéritives puis on passa sur la piste de danse. Un premier cavalier vint me demander d’honorer une première danse. Il était plutôt agréable à regarder et dansait avec élégance… La danse se prolongea (je ne me souviens pas avoir dansé un aussi long rock).


J’en étais déjà fiévreuse, frémissante… Je cherchai du regard Christian et le trouvai immédiatement. Je vis dans ses yeux une interrogation… admirative. À cet instant, lui me contemplant, se demandant probablement ce qui se cachait sous ma robe, mon sexe commença à mouiller.

La chaleur et cette danse effrénée aidant, ma robe collait de plus en plus à ma peau en sueur, dévoilant encore mieux ma nudité sous la robe devenue entièrement transparente. À la fin de la danse, mon partenaire me retint :



Je ne répondis pas.



J’espérais ainsi détourner son attention et pouvoir, de ce fait, me rapprocher de Christian.

Mais d’autres cavaliers vinrent m’alpaguer. Tous firent référence à une éventuelle nudité. Mais cette fois, je les laissai à leur doute.

Et je passais ainsi de l’un à l’autre ; j’y prenais beaucoup de plaisir, surtout que je savais que celui à qui était destiné ce tourbillon n’avait d’yeux que pour moi et savourait la scène. C’est surtout ça qui me plaisait et m’excitait…


L’un d’eux, beaucoup plus âgé et ne manquant pas d’humour, me demanda s’il "pouvait voir" ou, mieux encore, s’il "pouvait toucher" !



Non sans timidité mais délicatement et discrètement, je relevai le pan fendu de la robe jusqu’au nombril un court instant. Mon cavalier fut-il le seul à me contempler ainsi ? Je ne sais pas. Mais dès lors beaucoup me demandèrent la même chose. Le "téléphone arabe", sans doute ; quelque chose du genre "Demande-lui de soulever sa robe, elle le fera !"

Et je le fis effectivement. À chaque fois, dans un coin discret où ces mâles en érection n’hésitaient pas à me suivre.


Jamais je n’aurais imaginé que cette robe blanche et ma quasi-nudité, au départ destinées à combler mon époux, susciteraient tant d’attention mais je dus me rendre à l’évidence.


J’aurais aimé que Christian vienne à son tour me demander de soulever ma robe. Le bouquet final, en quelque sorte, avant de profiter pleinement l’un de l’autre en toute intimité.

Mais il ne se manifestait qu’à peine… Je voyais pourtant, dans ses yeux, le désir fou de savoir.

Mais c’est moi qui décidai d’en finir…


Je vins le prendre par la main et nous sommes rentrés sans un mot. J’avais la clef du bungalow. Je la lui tendis. Il ouvrit la porte…


Il me laissa passer devant ; mon cœur battait comme jamais. Il aurait maintenant la preuve. J’ôtai ma robe… Je me jetai, nue, sur le lit, les jambes écartées.


Il me pénétra sans coup férir. J’étais mouillée comme jamais…

Nous avons joui comme rarement. Une fois, deux fois, trois fois.


J’eus tout juste le temps d’apercevoir, dans l’encoignure de la porte que nous n’avions pas pris le temps de fermer, un de mes acolytes – je veux dire un de mes chevaliers servants –, le sexe à la main, qui prenait un plaisir fougueux !