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Temps de lecture estimé : 27 mn
02/03/17
Résumé:  Ce soir, comme convenu, Pauline, ma femme, et moi sommes de sortie dans un club libertin proche de la frontière, nos amis les Belges sachant souvent mieux s'amuser que leurs voisins français...
Critères:  grp extraoffre boitenuit danser noculotte hmast intermast cunnilingu anulingus 69 préservati pénétratio fsodo -groupes -boitenuit
Auteur : Patrik  (Carpe Diem Diemque)            Envoi mini-message
Club des Cinq


Comme je le précise souvent, ne pas confondre auteur et narrateur.

Même s’il arrive parfois qu’il y ait, dans un récit, des parts de vérité et/ou de réalité…





Prospection



Ce soir, comme convenu, Pauline, ma femme, et moi sommes de sortie dans un club libertin proche de la frontière (pas de pub, sauf si le club nous offre une entrée à vie :)), nos amis les Belges sachant souvent mieux s’amuser que leurs voisins français… Il faut aussi dire que la mentalité locale et les taxes professionnelles diffèrent un tantinet. Ça va faire maintenant vingt ans que nous sommes mariés, et pour que notre couple ne sombre dans la routine, nous avons décidé, depuis un certain temps, d’être plus libres de mœurs, mais pas frénétiquement.


Après un détour au vestiaire, nous nous sommes accoudés au bar, sur des hauts tabourets. Pour sa part, Pauline s’est carrément installée face à l’entrée, histoire de voir qui entrait et faire sans doute son choix. La tenue de ma femme est sans équivoque, un côté Barbarella, celle des sixties, illustrée par Forest, avec ses hautes bottes blanches, sa jupette ivoire et très courte et un petit top presque transparent et tout aussi blanc. Et croyez-moi, sous la lumière noire des discothèques, ça ressort très bien ! Pour ma part, je suis plus classique avec T-shirt noir seyant et un caleçon moulant de la même couleur.


Après quelques minutes d’attente afin de se mettre petit à petit dans le bain, buvant un Perrier par petites gorgées, une lueur s’allume dans le doux regard noisette de ma femme, un homme seul vient de faire son apparition. Intrigué, je regarde mieux le nouvel arrivant, et je reconnais un quidam avec qui nous avions fricoté ici même, il y a quelques mois.



Elle lui fait signe, il nous reconnaît, il vient vers nous, main tendue :



Après m’avoir serré la main, Francis se penche sur ma femme pour lui coller deux gros bisous bruyants. Nous bavardons quelques instants, je vois bien qu’il a la tête ailleurs. Mais Pauline semble avoir dans l’idée de se le faire, en souvenir des bons moments passés.


Elle lui saisit la main, mais il décline poliment, car il a d’autres personnes à saluer dans le club. Faisant la moue, elle le regarde s’éloigner ; moi, je rigole intérieurement. Tel que j’ai cru comprendre Francis, seule la nouveauté l’intéresse, et comme il s’est déjà offert ma femme plusieurs fois, hélas pour elle, il l’a sans doute déjà zappée et rangée dans le rayon des articles périmés. Néanmoins, elle le suit des yeux partout où il va, attendant qu’il revienne vers elle. Donc, elle patiente placidement devant un nouveau verre, rempli de Coca, cette fois-ci…


Comme je suis charitable, je lui glisse :



Pour toute réponse, je tends le bras, lui désignant du doigt son ex-amant qui est en train de discuter avidement avec une blonde un peu vulgaire aux deux avantages bien rebondis. Elle est moins belle que ma femme, je suis pragmatique, mais voilà, elle est nouvelle, non encore consommée. Pauline bout intérieurement :



Son verre de Coca fini, nous nous dirigeons vers la piste de danse. Elle se trémousse sur la musique, s’approchant de Francis, mais à chaque fois qu’elle s’approche, il s’éloigne un peu plus loin avec sa nouvelle conquête. Ce petit manège m’amuse et me désole à la fois, ma femme mérite quand même mieux que ce Francis un peu trop inconstant et qui se désintéresse visiblement d’elle.


Boudeuse, Pauline revient vers moi. Mais elle continue de zieuter sur son Francis qui fait les yeux doux à sa blonde de plus en plus vulgaire, et je ne dis pas ça parce que je tiens avec ma femme. Pauline a nettement plus de classe, même si elle verse, elle aussi, parfois dans le vulgaire, mais je ne me plains pas du tout, car de temps à autre, ça m’excite plus qu’un peu !


Ne s’avouant pas vaincue, elle refait une tentative d’approche, mais à nouveau, Francis l’ignore, nettement plus intéressé par le décolleté de sa conquête du soir. Alors qu’elle s’approchait un peu plus, je lui capture le poignet et je l’attire à moi. Surprise, elle se laisse faire. Une fois plaquée contre moi, je murmure à son oreille :



Elle marque une pause, se souvenant alors de ce que je lui avais déjà expliqué sur cette « pathologie » : prenez un coq vaillant et mettez-lui une poule sous le nez, le coq va lui sauter dessus et lui faire l’amour cinq-six fois. Puis épuisé, vidé, il s’affale au sol. Maintenant, mettez-lui sous le nez une nouvelle poule, et hop, le coq reprend aussitôt vigueur et honore la poule cinq-six fois, avant de s’effondrer à nouveau. Et ainsi de suite…


Visiblement dubitative, elle se détache de moi, me regarde curieusement :



Elle jette un bref regard circulaire, puis elle se plaque contre moi :



Nous dansons, plaqués l’un contre l’autre tous les deux. Mais je sens bien que le cœur n’y est plus de son côté. Mes caresses sur son corps ne semblent pas la dérider. Soudain elle se raidit, elle vient de voir que Francis roucoule à fond auprès de sa donzelle qui ricane bêtement. Vexée, elle siffle dans ses dents :



Conciliant comme l’indique plus ou moins mon prénom (Clément, pour ceux et celles qui l’auraient déjà oublié), et assez intrigué par la suite que ma femme compte donner, je réponds laconiquement par un simple « OK ».


Elle se plaque complètement contre moi, avec un grand sourire un peu pervers. Elle ondule au rythme de la musique, sensuelle, féline. Puis elle me tourne le dos, frottant ses mignonnes fesses contre la bosse qui se forme déjà dans mon pantalon. Son petit manège ne passe pas inaperçu, la plupart des regards se tournent vers nous.


Ostensiblement, elle écarte délibérément les jambes, ondulant sur place, se frottant toujours à mon sexe tout dur. Je me demande jusqu’à quel point sa petite jupette pourra encore cacher son absence de sous-vêtements…


Je n’ai pas à me préoccuper longtemps de cette question, Pauline remonte carrément sa jupette, et tout le monde peut constater qu’elle n’a rien mis par-dessous, pas même la ficelle d’un string ! Aussitôt, un cercle d’hommes se forme autour de nous. Pauline affiche un sourire radieux, se sachant le point de mire de tout ce petit monde. Elle ondule sous la musique, jouant ostensiblement du popotin, faisant glisser ses mains sur son corps, se caressant impudiquement.


Soudain, elle avise un homme dont le caleçon moulant ne laisse rien ignorer de son attrait pour ma femme. Un sacré chapiteau, bien tendu à faire craquer le tissu !


Pauline s’approche de cet exhibitionniste, mettant ses doigts dans ses cheveux, toujours ondoyante, mettant littéralement ses seins sous le nez de l’homme qui n’en peut plus. Amusée, elle ondule, elle tangue devant lui, puis se retourne, frottant délibérément ses fesses nues contre l’évidente bosse. Tout le monde entend distinctement un hoquet malgré la musique. Remuant du cul, telle une torride allumeuse qu’elle sait être, Pauline insiste encore plus. Il est flagrant que le sexe tendu ploie en un arc sous la pression, puis soudain, nous entendons un gémissement incrédule.


Ma femme recule un peu, puis pivote pour contempler son œuvre : le caleçon est visiblement trempé, son propriétaire ayant éjaculé dedans.





Réjouissances



Sa prestation semble avoir beaucoup plu à d’autres hommes, mais certains s’éloignent un peu, la jugeant sans doute trop « dangereuse » pour eux. Néanmoins un participant, moins timoré que les autres, s’approche ostensiblement d’elle. À vue de nez, il doit frôler les quarante ans, il n’est pas très grand, mais possède une large carrure. Il semble plutôt musclé, ce qui n’est pour déplaire à Pauline. Il commence à danser près de Pauline, puis il tourne lentement autour d’elle. Puis il lui caresse le bras, elle regarde intensément. Puis, visiblement intéressée, elle se colle à lui. Aussitôt, il l’entoure de ses puissants bras.


Ils restent au moins dix minutes comme ça, puis à la fin d’un morceau de musique, elle se détache de lui pour revenir vers moi. Nous retournons au bar. Là, Pauline me confie :



La connaissant, je suis un peu étonné qu’elle l’ait abandonné sur la piste comme elle l’a fait. Un brin cynique, je lui demande carrément :



Elle fronce des sourcils :



Je passe commande. Peu après, nous sirotons nos verres. Alors que nous en sommes à la moitié, un couple s’intéresse à nous. Nous discutons un peu. Jacques, l’homme, assez banal, caresse très délicatement les bras puis les hanches de Pauline, tandis que Marianne, sa femme, moyennement jolie, me fait purement et simplement du rentre-dedans. Pour être franc, de prime abord, ce couple ne me tente pas plus que ça. Néanmoins, nous discutons quelques minutes. Physiquement, Jacques ne casse pas des briques (comme le dit si bien ma chère femme), je le vois bien dans le regard de Pauline, mais il a de conversation et une certaine culture. Quant à Marianne, sa femme, mis à part, une poitrine avantageuse, mais tombante, corporellement pour dire les choses cliniquement, ce n’est pas tout à fait ça, mais elle compense allègrement par un entrain communicatif.


Soudain, sur la piste de danse, il y a un changement de musique. Pauline s’exclame :



Aussitôt, elle me prend la main pour m’entraîner sur la piste de danse. C’est juste un prétexte pour quitter le couple. Nous dansons un peu. D’autres hommes autour de nous semblent vouloir entamer une approche. Manque de bol pour eux, sitôt la chanson finie, ma femme m’entraîne hors de la piste :



Nous partons nous isoler dans un coin, derrière une colonne, loin du bruit et des lumières. Je continue mon inventaire :



Je ne dis rien, hochant légèrement la tête pour abonder dans le sens de ma femme, même si je ne suis pas tout à fait d’accord avec elle. Je pense que ma femme est un tantinet méchante. Mais d’après ma propre expérience, la plupart des femmes le sont entre elles. Je désigne l’escalier :



Nous montons à l’étage, au coin câlin, mais plus aucune alcôve n’est disponible. Dans un coin, Jacques et Marianne, le couple dont nous parlions, sont installés sur un canapé, lui les jambes bien écartées et elle en train de lui prodiguer lentement une fellation. En nous voyant arriver, l’homme a un large sourire et désigne la place libre à ses côtés. Amusée, Pauline s’assied tandis que je reste debout.


En attendant qu’une alcôve se libère, penché sur Pauline, je caresse ses seins par-dessus le tissu. Jacques, qui est assis à côté d’elle, pose avec un naturel désarmant sa main sur son genou. Pauline ne dit rien, elle semble attendre la suite des événements, sans doute un peu intriguée. De mon côté, j’ai dégrafé son haut, révélant un vaste décolleté sans dévoiler ses seins, et je commence à jouer des doigts entre les deux masses charnelles. De son côté, son voisin remonte insensiblement vers le haut de la cuisse, tandis que sa femme continue à le sucer sans sourciller.


L’ambiance est feutrée, paisible, naturelle, comme j’aime…


Soudain, je sens comme une présence, je tourne la tête. L’homme avec qui ma femme a dansé tout à l’heure est là, tapi dans l’ombre, sexe à l’air, en train de se faire du bien. Je lui fais signe d’approcher, il obtempère. Il est à présent face à Pauline, sa longue queue à bonne hauteur. Lentement, il se masturbe devant elle, lui faisant bien admirer son engin qu’il a particulièrement épais.


Pauline se laisse tenter, elle prend cette queue élancée et offerte entre ses doigts, puis après quelques agaceries, elle la glisse entre ses lèvres. Peu après, elle avale ce gros mandrin. Son propriétaire, béat, se laisse faire. Elle le suce longuement.


Durant ce temps, Jacques vient de découvrir qu’il n’y a pas grand-chose comme tissu sous la courte jupette blanche de ma femme, et comme celle-ci ouvre carrément les jambes et le passage, il ne se fait pas prier de venir faire une petite visite.


Soudain, je sens une main caresser mon sexe à travers le tissu de mon caleçon. C’est Marianne qui tente une approche. Délaissant momentanément la bite de son homme, elle me susurre :



Devant le spectacle que nous offrons tous les cinq, d’autres hommes se sont entre-temps approchés, certains la queue en main. Et même un couple. Ils mataient les deux femmes en train de sucer les deux verges bien raides. Marianne, ayant extirpé ma bite bien raide, commence sur elle une petite branlette très efficace. Je suis surpris de sa dextérité en la matière et étonné de constater que son expérience est réelle et avancée. Quelque chose me dit que ce couple n’est pas du tout débutant ou bien, c’est parfaitement imité ! Elle pourrait donner des cours de branlettes à ma femme qui n’est pourtant pas novice. Ayant capturé mon sexe en main, elle replonge sur le sexe de son mari pour le prodiguer la suite de la fellation commencée quelques minutes auparavant.


Beau spectacle que nous faisons tous les cinq : deux femmes qui sucent deux hommes, un qui masturbe ma femme, moi qui suis masturbé et qui pelote les seins de ma femme que j’ai finalement révélés hors de son décolleté.


Soudain, je sens un souffle chaud sur mon sexe. C’est Marianne qui a décidé d’inverser, elle masturbe son homme et elle commence à me sucer. Lascive, Marianne entame de longs mouvements avec sa bouche, avalant entièrement ma queue, léchant voluptueusement ma tige quand elle sort. Oh oui, elle est douée, très douée !


L’homme, avec qui ma femme a dansé tout à l’heure et qu’elle suce actuellement, se penche tant bien que mal à son oreille et lui demande en murmurant :



Elle ôte sa queue de sa bouche pour lui répondre :



Je constate au passage qu’elle n’a pas dit non, et je parie que son demandeur a retenu la même chose que moi. La température augmente. Notre excitation à tous est visible. Soudain, ma femme délaisse la bite de l’homme seul. Mais elle continue de la masturber délicatement. Puis elle se penche vers celle de son voisin, tout en demandant :



En un rien de temps, elle avale la queue bien dressée, puis elle semble apprécier cette nouvelle sucette. Marianne arrête de branler le sexe de son mari pour venir donner un coup de main à ma femme. L’homme seul est aux anges, deux femmes s’occupent à présent de lui.


Presque allongée, ma femme prodigue une belle caresse buccale à son partenaire du moment. Celui-ci profite qu’elle a la jambe relevée pour accéder mieux encore à son petit nid douillet qu’il câline avec une dextérité évidente. Quant à sa femme, je dois reconnaître que c’est une experte. Comme quoi qu’il faut se méfier des apparences.


Soudain, je constate qu’une alcôve vient de se libérer. J’en informe mes partenaires. Ensemble, nous nous dirigeons vers la place libre afin de continuer plus à l’aise ce que nous avons commencé. Une fois tous les cinq dans l’alcôve, je place le cône devant l’entrée, signifiant par-là que nous ne souhaitions pas d’autres personnes avec nous.


Très à l’aise, Pauline a carrément ôté son haut, révélant sa poitrine bien faite, puis sans chichi, elle ôte aussi le bas, restant uniquement habillée de ses bottes blanches. L’autre femme a suivi le mouvement, restant en porte-jarretelles, bas et talons aiguilles.


Je me tourne vers l’homme seul, je fais les présentations, c’est la moindre des choses :



Ma femme intervient, égrillarde :



Nous rions tous. Puis lentement, nous nous mettons en place. Pauline s’allonge sur le dos de tout son long sur le sol rouge et souple, jambes repliées, mais écartées, les bras derrière la tête, seins arrogants, offerte à qui voulait la prendre.


Je me dévoue, je m’agenouille et je plonge ma langue dans sa fente odorante. C’est le signal de départ de notre mini-orgie à cinq !




Multiplicité



Après quelques agaceries entre nous tous, et tandis que Marianne et Jacques sont lancés dans un beau soixante-neuf, Alex manifeste une envie évidente de pénétrer ma femme. À sa grande joie, celle-ci y consent, mais elle pose une condition :



Je m’en étonne :



C’est une raison, mais je suis un peu dubitatif. Tandis qu’Alex met un préservatif, ma femme se positionne, et avant que son partenaire s’enfonce en elle, j’en profite pour présenter ma queue à l’orée des lèvres de Pauline. Elle me prodigue quelques coups de langue, sans toutefois m’enfourner. Durant ce temps, son partenaire du soir présente son sexe juste à l’entrée humide, il y pénètre doucement et graduellement. Ma femme frémit, mais le laisse continuer sa lente progression.



Une sourde inquiétude pointe dans sa voix, relative à la taille de ce mandrin, elle veut être prise, mais ne pas totalement être défoncée, comme cette queue très excitée aurait pu le faire. Puis ouvrant la bouche, Pauline accepte ma queue en elle.


Alex commence alors des va-et-vient lents et puissants. Pauline le sent passer, car son sexe est d’un gros calibre, mais elle supporte vaillamment l’assaut. Prévenant, son partenaire ralentit afin de moins l’incommoder.


Pour mieux la voir me sucer, je repousse un peu ses cheveux. La langue virevolte autour de ma queue, aspirant ma tige, le tout dans un antre chaud et accueillant. Néanmoins, je sens distinctement les secousses que son amant commence à gratifier ma femme. Rapidement, sa respiration de ma femme s’est accélérée, et sa langue autour de ma queue est devenue moins précise…


Elle commence à gémir sourdement, puis elle abandonne ma queue pour mieux se consacrer au pistonnage dont elle fait lentement l’objet. Toujours à quatre pattes, elle se concentre à présent sur cette queue qui la pénètre de plus en plus loin. Soudain, ma femme lève la tête et me regarde étrangement :



Son défonceur de chatte intervient :



Ma femme tourne la tête vers son tourmenteur :



J’entends un petit rire sur le côté. Visiblement, l’autre couple en a fini avec son soixante-neuf, la femme a d’ailleurs les lèvres très luisantes. Confortablement assis, Marianne et Jacques sont en train de regarder le spectacle qu’offrent ma femme et son amant du soir. Nous regardons cette grosse queue s’enfoncer petit à petit de toute sa longueur, avec le visage de ma femme aux yeux clos, la bouche largement ouverte comme pour mieux aspirer l’air !


Toujours enlacée par son mari, Marianne prend la parole :



Pour toute réponse, elle me fait un signe de ses doigts. Comprenant où elle veut en venir, je commence à masturber ma femme en lui câlinant le clitoris afin de compenser ce qu’elle subit en elle. Son partenaire de jeu lui demande :



Sous nos yeux attentifs, Alex force un peu l’allure. Ma femme supporte l’assaut.


Soudain Pauline se raidit sous la vague de plaisir, haletante, dégoulinante de sueur, gémissante de plaisir et de douleur sous l’effet de ce pieu incrusté en elle, au plus profond.


Alex ralentit alors la cadence, la limant lentement, mais toujours profondément, presque sadiquement. Sous l’intensité, Pauline fléchit des coudes, face contre le matelas du sol, le cul en buse. Nous regardons le spectacle sans en perdre une miette. Ce pitonnage d’enfer continue ainsi quelques minutes.


Puis son amant décide de position. Il se retire, Pauline pousse un soupir de soulagement. Mais c’est un court répit pour elle. D’agenouillé, Alex se redresse, il encadre de ses jambes celles de sa partenaire. Il fléchit un peu, puis saisissant les fesses toujours offertes, il se positionne par-dessus, dirigeant son mandrin vers la fente convoitée. D’un geste décidé, il plonge en elle, tel un chien en train de saillir sa femelle, très bestialement.


Pauline pousse divers petits cris étranges tandis qu’elle est pistonnée sans relâche par ce gros machin qui s’insinue en elle, le tout dans des bruits incongrus de succion. Ce spectacle excite le couple qui est à mes côtés, puisqu’ils se mettent à baiser en levrette, purement et simplement. Resté seul dans mon coin, avec sous les yeux ces deux couples qui s’envoient en l’air, je me masturbe.


Soudain ma femme gémit étrangement, puis elle explose sous l’effet d’un orgasme primaire et bestial qui la ravage, le corps cassé. Son orgasme est intense, profond, vaste. Son amant du soir part dans un long râle inarticulé, se vidant en elle. En même temps, sans doute stimulé, l’autre couple part dans une jouissance bruyante !




Découverte



Vidé, Alex se retire, la queue déjà molle. Ma femme pousse un énorme soupir de soulagement, puis s’effondre sur le côté. Je m’approche d’elle pour la câliner un peu. Durant ce temps, Alex retire son préservatif. Haletant encore, il me demande :



Debout, il contemple ma femme qui gît sur le côté, épuisée, anéantie, mais repue de plaisir. Il hoche la tête, puis me lance comme si elle n’entendait pas :



J’apprécie cette petite phrase, j’aime qu’on trouve ma femme bandante et excitante. Savoir que ma femme puisse être une pute qu’on baise purement et simplement m’excite énormément. Alex s’est servi d’elle comme vide-couille, telle une poupée gonflable.


Excité à mort par la performance de ma femme, je lui dis :



Sans trop d’égards, je la bascule sur le dos, puis me postant à sa tête, je m’agenouille de part et d’autre de sa tête, lui présentant ma queue bien raide. Bien qu’elle soit assez fatiguée, elle me suce délicatement sur toute la longueur, jouant suavement de la langue.



Je me laisse faire encore quelques instants, mais déjà une autre idée trotte dans ma tête…


Je me dégage de sa bouche, mon sexe est déjà bien excité comme ça, je m’en voudrais de tout lâcher maintenant. À nouveau debout, je lance à ma femme, impératif :



Sans un mot, elle s’exécute. Dans son coin, Marianne regarde la scène tandis que son homme semble complètement hors service. Une fois que ma femme s’est positionnée tel que je le demandais, je m’agenouille derrière elle, ma langue se dirige alors vers son beau cul, vers son petit trou qui m’attire irrésistiblement. Je lui procure une feuille de rose, ayant la bonne surprise de voir sa rondelle s’élargir petit à petit.


Soudain, je sens une main sur ma queue. Marianne me dit doucement :



Tandis qu’elle me branle délicatement, je continue mon petit manège entre les fesses de ma femme. Puis je décide de passer à l’étape suivante, désireux de m’offrir la concrétisation d’un fantasme. Je me tourne vers Marianne :



Elle se contente de rire doucement, puis elle vient se placer sous Pauline. Cette femme est diablement efficace : non seulement ma femme gémit déjà, mais en plus, de sa propre initiative, elle a plongé sa langue dans la fente de Marianne. Les deux femmes se lancent dans un splendide soixante-neuf, se gouinant mutuellement. Je n’aurais pas pensé ça possible de Pauline ! Il ne faudra pas que j’oublie de mettre une croix sur le calendrier !


Je gamahuche avec délectation ce petit trou sombre. Puis j’estime au bout d’un certain moment qu’il est temps de passer à la suite. Je me positionne au mieux afin de m’introduire dans son petit cul que je sais assez serré, ma queue d’airain prête à résister à tout. Je pose mon gland dans sa cuvette, je pousse un peu, elle résiste. Plus bas, sous moi, les deux femmes se donnent du plaisir, le tout sous les yeux de divers spectateurs venus voir le tableau épique qu’elles offrent. Trop occupé, je ne les avais pas vus. Alex est même à nouveau là.


Alors je décide d’offrir à la vue de tous ces voyeurs le spectacle de ma queue s’enfonçant dans ma gouine de femme. Avec délectation, sans trop forcer dans un premier temps, je m’enfonce dans son anus accueillant et chaud. Sous les yeux avides des autres hommes, toute la longueur de ma tige disparaît dans les profondeurs de ma belle salope, jusqu’à ce que mes couilles viennent frotter contre ses fesses. Puis je commence mon mouvement de va-et-vient, entrant et sortant.


Soudain, pris d’une irrésistible envie, je plonge dans le cul de ma femme d’un mouvement bref, mes valseuses s’aplatissant sur ses fesses, mon bas-ventre cognant dans un bruit sourd ses lombes. Pauline frémit sous le coup.



Un homme, que je ne connais pas du tout, vient de compter à haute voix. Je me prends au jeu. Je ressors des entrailles de ma femme, ma queue est presque entièrement sortie. Puis je replonge brutalement en elle, elle gémit sans cesser toutefois la léchouille qu’elle prodigue à Marianne.



Je recommence, je persévère, grisé par ce cul et ce plaisir trouble de m’enfoncer à fond dedans, sous l’œil d’hommes qui aimeraient être à ma place. Encore ! À l’unisson, un chiffre retentit :



Les chiffres s’égrènent les uns après les autres, puis les nombres, je vais de plus en plus vite, sadiquement, Pauline gémit, se tord. Est-ce sous mes coups de boutoir ? Est-ce sous la langue agile de sa comparse ? Sous les deux réunis ? Je ne sais pas, peu m’importe, tout ce que je veux c’est ce cul !


Alors que je viens de m’enfoncer au plus profond, toujours dans un bruit sourd et claquant, ma bite ne résiste plus, et c’est dans un long râle que je me déverse dans cette belle enculée ! Je me vide, encore et encore, comme si j’avais des litres de foutre à évacuer !


J’entends comme des bruits de jouissance sous moi ? Qui de ces deux salopes se lâche ? Ma femme le cul défoncé, la chatte léchée ? Marianne, la fente investie par la langue de ma gougnotte de femme ?


Puis, l’esprit toujours dans les brumes, je me retire de ce puits étroit, et j’attends un peu. Comme je m’y attendais, mon sperme coule de son petit trou, il glisse le long de sa chatte pour venir perler sur les lèvres de Marianne. Celle-ci ne se fait prier de lécher mon foutre. Je me dis que cette femme vaut la peine d’être mieux connue, et que plein de choses semblent possibles avec elle. Je lui dois déjà la révélation que ma femme ne déteste pas les caresses féminines et qu’elle sait les rendre.




Flux et reflux



Nous nous reposons tous les trois. Jacques dort toujours dans son coin. Le désignant, je me penche sur sa femme, lui demandant en catimini :



En moi-même, je me dis que c’est con pour lui ! Mais c’est la vie… Les voyeurs se dispersent. Ma femme récupère peu à peu. Je l’entends qui me dit :



À cette évocation, ma femme rougit :



Puis après ce cri du cœur, elle se tourne vers Marianne :



Me levant, je propose aux femmes :



Nous sommes partis à trois vers le coin douche. Nous avons croisé quelques voyeurs sur notre chemin, certains ont dévisagé ma femme avec insistance, lançant divers appréciations égrillardes :



Et j’en passe, et encore j’édulcore certains propos. Ma femme ne dit rien, mais je sens qu’elle est partagée entre deux sentiments : une sorte de honte et une forte sensation de fierté. Pour ma part, je suis fier de montrer à la face du monde que ma femme est une sacrée salope et une bonne pute. Les hommes, la plupart des hommes, adorent montrer leur bonne fortune, et comme je suis un homme, je n’échappe pas à cette généralité.


C’est à trois dans la même douche que nous nous lavons. Nous jouons sous l’eau chaude, faisons quelques caresses, les deux femmes esquissent un premier baiser, puis un second nettement plus profond. Mais ma femme est visiblement fatiguée par toutes ces émotions, sans trop d’entrain ; elle sort la première. Alors profitant de son absence, je m’offre le luxe de me coller contre le dos de Marianne, plaquant impudiquement ma bite contre ses fesses, tout en lui saisissant ses seins lourds couverts de mousse. Elle minaude :



Elle ne répond rien, se laissant faire, remuant même du popotin pour mieux capturer ma queue entre ses fesses avenantes. Soudain elle murmure :



Cette proposition m’abasourdit un tantinet, mais je serais un crétin absolu si je ne contentais pas cette femme qui a si bien su dévergonder un peu plus ma chère épouse.



Je suis plutôt étonné, mais il y a certaines expériences qu’on se doit de faire au moins une fois dans la vie. Elle se penche un peu, l’eau chaude ruisselle sur son dos, je me positionne au mieux, et c’est avec une facilité déconcertante que j’entre elle. Je m’étonne à voix haute :



Je commence mon mouvement d’entrée-sortie. J’ignorais qu’on pouvait mouiller de là. À moins qu’elle ne se soit lubrifiée auparavant. Peu importe ! Je reconnais que c’est très bon d’être niché là dans cet endroit si intime : c’est chaud, c’est étroit, c’est élastique et c’est aussi encore tabou pour beaucoup de personnes. Alors que je coulisse un peu en elle, Marianne m’ordonne d’une voix douce, mais ferme :



Peu contrariant, je fais ce qu’elle me demande. Une main glisse vers sa fente à la recherche d’un petit bouton rose, tandis que l’autre s’en vient capturer un sein un peu pendant, mais qui tient bien en main. À ma grande surprise, je sens quelque chose masser mon sexe qui est fiché en elle. Marianne remue doucement des fesses, ce qui accentue cette branlette interne autour de ma queue. C’est à la fois étrange et terriblement émoustillant.



Elle rit doucement, accentuant son étrange ballet de fesses autour de ma queue bien rivée dans ses profondeurs :



J’accentue ma caresse, elle se cabre. Lentement, le désir monte, le plaisir arrive au galop. Sous cette eau chaude qui ruisselle sur nous, moi en elle, son sein dans ma main, son clitoris entre mes doigts, rivés l’un à l’autre, soudés, fusionnés, nous jouissons tous les deux, moi qui me vide, elle qui se remplit de ma semence, dans le bruit des gouttes qui explosent sur le carrelage…




Turbulences



Après avoir dit au revoir à Marianne et Jacques, sortant sur le parking, nous montons dans notre voiture. Même si ce fut une bonne soirée grâce à l’expérience de Marianne, je ne suis pas fâché de rentrer à la maison. Alors que la voiture s’engage sur une rocade, Pauline brise soudainement le ronron du moteur en lançant acrimonieusement :



Le ton employé n’est pas guilleret. Mes mains toujours sur le volant, je réponds calmement :



Je change d’angle, car la logique formelle et la logique féminine ne sont pas toujours synchrones. Sans hausser le ton, je réponds :



Elle grommelle. Puis elle revient à l’attaque :



Je hausse un peu plus le ton :



Le ton employé est à la fois violent et presque larmoyant. Une lumière s’allume dans un coin de mon cerveau :



La réponse fuse aussitôt, assourdie :



Il y a une zone d’arrêt, là-bas plus loin. Posément, je ralentis puis j’immobilise la voiture. Pauline est stupéfaite :



Elle se tortille sur son siège :



Un sourire un peu sadique se dessine sur mes lèvres :



Je le coupe dans sa phrase :



Pauline préfère laisser tomber, voyant que je commence à en avoir assez. Je veux bien être cool avec ma femme, mais il y a des moments où je sature. Et ça, je crois qu’elle l’a compris. C’est dans un silence pesant que nous rentrons chez nous. Ma femme part directement dans la chambre, et quand j’arrive deux minutes plus tard, elle est déjà au lit. Elle me regarde me déshabiller et venir à elle pour me glisser à mon tour sous la couette. Tandis qu’elle regarde le plafond, accoudé à ses côtés, je la regarde, puis je finis par dire en soupirant :



Elle sourit quand même :



Pour toute réponse, je l’embrasse. Quelque chose me dit que nous sommes bien partis pour une réconciliation sur l’oreiller…