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n° 17818Fiche technique25747 caractères25747
Temps de lecture estimé : 15 mn
09/03/17
Résumé:  Débutant dans un salon de beauté un jeune homme découvre le métier... et un peu plus.
Critères:  hff h ff ffh collègues fépilée travail voir fmast massage rasage cunnilingu pénétratio -inithf
Auteur : Last Cars      Envoi mini-message
Carlos



Quand elle a poussé la porte du salon, cette femme a tout de suite attiré mon regard. Je ne saurais dire exactement maintenant encore ce qui s’est passé alors en moi. Était-ce son visage et l’expression de son regard, était-ce son physique bien mis en valeur par un petit ensemble très classe, ou bien plutôt cette aura quasiment sexuelle qui se dégage de certaines femmes et qui déclenche chez moi des processus chimiques étranges, mais pas désagréables.


J’étais alors occupé à déballer des cartons de produit de beauté juste livrés, tâche normale du stagiaire, alors qu’Angélique, ma patronne, l’esthéticienne propriétaire du salon, attendait sa cliente au comptoir.

Il était un peu plus de midi et les deux autres employées venaient de partir pour leur pause-déjeuner. Il était entendu que je resterai encore un moment pour prendre d’éventuels rendez-vous et répondre au téléphone avant de partir à mon tour.


Curieuse histoire que la mienne.

Quand il y a six mois, mon beau-père (le mari de ma mère) m’a convoqué au domicile familial, j’ai senti que j’allais passer un mauvais moment. À presque vingt-cinq ans, j’avais réussi à fréquenter divers établissements universitaires de plus ou moins bonne renommée (en fait, de moins en moins bonne !) sans obtenir la précieuse licence qui m’aurait conduit à me présenter à l’ESPE pour devenir enseignant… Le rêve de ma mère et par ricochet, celui de mon beau-père.

Comme je m’y attendais, on me rappela d’abord les sacrifices financiers de la famille, ce qui, je le reconnais me met toujours mal à l’aise.

À un moment, excédé, j’ai crié :



J’ai dit ça vraiment au hasard, espérant choquer mes parents et m’attendant à une négociation ultime me permettant de tirer encore un an ou deux en fac. Raté… En tout cas, il n’y eut pas la réaction espérée et je me retrouvais au pied du mur.

J‘ai ma fierté. J’ai donc recueilli les informations nécessaires, puis, nanti de ma bonne volonté et d’une certaine curiosité, je me suis mis à la recherche d’un salon qui veuille bien de moi en contrat de professionnalisation. Ce ne fut pas simple et je me suis d’abord heurté à de nombreux refus, voire de franche rigolade de la part des employeurs démarchés. Et c’est comme cela que je suis arrivé ici. Angélique avait envie de diversifier sa clientèle et elle pensait qu’un homme dans son personnel pouvait être un atout pour attirer de nouvelles clientes ou de nouveaux clients (ça, je ne m’en suis aperçu qu’ensuite !).


J’aime bien travailler avec Angélique. Elle est très fine et nous plaisantons souvent ensemble, alors que les deux autres employées sont beaucoup plus réservées à mon égard. En outre, ce qui ne gâte rien, Angélique est une belle femme dans la plénitude de la quarantaine. En tout cas, elle a surpris mon regard sur la cliente qui vient d’arriver et je vois un sourire se dessiner sur ses lèvres, quand elle lève ses yeux dans ma direction.

Elle s’éloigne avec sa cliente vers les cabines et me laisse seul avec mes emballages et mes pensées. Je ne résiste pas à l’envie d’aller jeter un coup d’œil à l’agenda sur lequel sont notés les rendez-vous : SALOMÉ.

Quel prénom magnifique ! Ma mémoire démarre au quart de tour.


- La culture est ce qui nous reste quand on a tout oublié a dit quelqu’un (justement, j’ai oublié son nom). La danse des sept voiles avait alimenté quelques fantasmes chez moi à l’époque où j’avais découvert cette légende, illustrée par je ne sais quel maître de la gravure qui avait su en donner une image encore très vivante dans ma mémoire.


Je soupire. Dommage qu’Angélique ne m’ait pas emmené avec elle. Mais j’ai vu qu’il s’agissait d’une épilation aisselles et maillot et je n’imagine pas bien encore qu’une femme accepte la présence d’un homme aux côtés de l’esthéticienne en titre opérant sur cette partie du corps ! Il ne me reste que l’imagination.


Et elle fonctionne à plein rendement, l’imagination, d’autant que maintenant j’ai fini de déballer les cartons et que je n’ai plus rien à faire. Je vais m’asseoir et je ne peux m’empêcher de fermer les yeux.


Rêve éveillé.


Je suis dans la cabine, et j’attends. Pendant qu’Angélique prépare la cire, Salomé se déshabille sans faire attention à moi. Elle quitte la veste de son petit ensemble et apparaît en soutien-gorge, voyons, disons, dentelle noire suffisamment transparente pour qu’apparaissent les pointes des seins déjà dressées. 90 B ou C. Je n’ai pas pu évaluer correctement tout à l’heure. La jupe tombe ensuite à ses pieds.

Oh ! De très belles jambes gainées de bas noirs… Les rails de l’amour ai-je lu quelque part. Un porte-jarretelles ? Non, n’exagérons pas ! Mais néanmoins, j’aurais bien aimé

Disons, des Dim-up et un shorty de dentelle noire assorti au soutien-gorge qui complète le charmant tableau…



Je sursaute à l’appel de mon nom, mécontent d’être dérangé au moment où…



Je bondis de ma chaise. JE LE CROIS PAS ! Mon rêve va se réaliser !

Je me précipite sur la porte d’entrée que, dans ma fébrilité, je bloque avec difficulté.

Alors que j’entre dans la cabine, Angélique me considère avec toujours ce drôle de petit sourire. Elle me glisse à l’oreille :



Je souris à mon tour et lui rétorque hypocritement à voix basse :



Puis j’ajoute :



Nous échangeons un dernier sourire de connivence. Je me glisse le côté, et là, je LA vois.

Je reçois un choc : la réalité dépasse le rêve. Elle est devant moi, étendue sur la table de soin. Mes yeux hagards découvrent l’incroyable spectacle de ce sexe comme offert entre les jambes largement écartées.

Certes, j’ai déjà vu des sexes de femmes, mais jamais au grand jamais je n’ai ressenti une telle émotion, résultat de l’addition de la charge érotique de la situation et de la beauté de cette cliente. Heureusement que je porte une blouse un peu ample, sinon on pourrait remarquer une sacrée bosse au niveau de mon bas-ventre. Je sens justement le regard de la femme qui se pose sur moi. Je fais un effort considérable pour paraître n’apporter qu’un intérêt purement professionnel à la scène qui se déroule sous mes yeux probablement un peu trop exorbités.


Tant que je n’ai rien à dire, ça peut encore aller. Mon teint naturel dû à des ascendances andalouses me permet d’éviter de rougir comme un coquelicot… Je dois faire de gros efforts (enfin, n’exagérons pas) pour fixer les mains habiles d’Angélique qui arrachent les dernières bandes de cire. La vision de cette peau imberbe à l’intérieur des cuisses me fait frissonner : comme j’aimerais y promener mes doigts, ou mieux encore, mes lèvres pour en apprécier la douceur !


Angélique entame un travail de finition à la pince à épiler, se concentrant surtout au plus près de la fente plus brune du sexe d’où sortent deux fines excroissances ourlées. Je tente de maîtriser ma respiration pour éviter tout signe extérieur trop visible des sentiments (?) qui m’agitent. Si je ne me retenais pas, je bousculerais Angélique pour appliquer mes lèvres sur cette autre bouche qui m’attire comme un aimant.

Le téléphone sonne dans le magasin. Angélique regarde sa montre. Elle sait que c’est l’heure à laquelle sa fille l’appelle. Elle me propose de passer l’huile apaisante sur… les zones qui viennent d’être épilées et elle sort sans attendre ma réponse.


La panique me gagne. J’attrape tant bien que mal le flacon placé sur une étagère.

La cliente doit être tout aussi surprise que moi, mais je n’ose pas croiser son regard. Elle a, dans un réflexe de pudeur compréhensible, rapproché ses jambes et posé une main sur son sexe. Trop tard ! Je ne peux pas reculer : les ordres de ma patronne sont clairs, je DOIS le faire !


Je prends avec autorité, mais sans brutalité, la main que je ramène le long du corps. Toujours avec autorité et en essayant de ne pas montrer mon trouble, j’écarte doucement les genoux.

Me voilà à l’œuvre. Je répands le liquide apaisant puis je masse doucement les endroits où une rougeur indique le passage d’Angélique. Mon regard, lui, dévie sans arrêt sur ce sexe magnifique : je ne me lasse pas de ce spectacle. Je crois même le voir vivre, et il me semble le sentir s’humidifier. Mais c’est peut-être un effet de mon imagination. Ma main droite ne m’obéit pas plus que mon regard et, insensiblement, elle se rapproche de l’endroit « stratégique ».


En déplaçant ma main, mon poignet effleure le haut de la fente. J’ai peur d’être allé trop loin. Je m’attends à une réaction de recul, peut-être même une protestation. Rien. Mais il me semble que la respiration se fait plus saccadée dans le silence absolu de la cabine…


J’ose alors seulement relever la tête, et là, je reçois un nouveau choc : des yeux verts se vrillent dans les miens. Salomé a relevé le buste et se tient sur ses coudes sans doute pour mieux voir ce que je fais. Je me sens dans la position du gibier pris dans les phares d’une voiture, de la souris en face du serpent python. Je suis littéralement fasciné par la sensualité qui se dégage de ce regard.


L’atmosphère s’alourdit encore pour moi dans la cabine. Ma main est encore descendue et effleure régulièrement les grandes lèvres avant de repartir sur la zone fraîchement épilée afin de faire pénétrer l’huile apaisante. Je crois sentir sous la fine peau blanche des ondes à peine perceptibles qui semblent irradier l’abdomen. Mon sexe est maintenant douloureux à force de se tendre dans son étroite prison de tissus.


Je ne sais pas quoi faire. Jamais je ne me suis trouvé dans une telle situation. Mon expérience des femmes est finalement très limitée : mes « Zamoureuses » ont toujours été des filles jeunes et finalement assez peu expérimentées, sans doute plus attirées par le garçon que par l’homme et jamais, je n’ai ressenti en face d’elles ce que je ressens maintenant !


Ouf, Angélique arrive et me tire de cette situation franchement embarrassante.

Mais… Que fait-elle ?

Elle prend ma place d’autorité, écarte encore plus les jambes de la cliente et entreprend de masser directement les zones latérales du sexe qui s’est immédiatement ouvert. C’est l’éclosion d’une rose en un matin de printemps (salut respectueux en passant à ce cher Ronsard).


Ma patronne me parle, mais je n’entends rien. Je dois avoir l’air hagard, le regard aimanté par ces pétales sur lesquels je suis sûr de distinguer maintenant des traces de rosée. Ce n’est plus possible. Je ne vais pas pouvoir rester comme ça ! Je me tords un peu pour essayer de soulager la gêne que je ressens en dessous de ma ceinture. Et je me rends compte que SON regard est toujours fixé sur moi. Angélique s’est déplacée.


Elle est venue à hauteur de la tête de sa cliente, elle se penche lentement et les bouches des deux femmes se rejoignent. Je baisse les yeux et je vois distinctement les cuisses de Salomé saisies de tremblements.


Angélique se relève et m’ordonne d’aller fermer la porte intérieure à clé. Les employées vont bientôt reprendre après leur pause. Quand je me retourne, elle a entrepris de déboutonner sa blouse et m’invite silencieusement à faire de même. Sans réfléchir, j’ôte ma blouse puis mon pantalon. Angélique n’est plus vêtue que d’un superbe ensemble string et soutien-gorge pigeonnant coordonnés rouge et noir. J’adore les jolis sous-vêtements, et que dire de la vue que m’offre Angélique !


Les deux femmes ont maintenant les yeux fixés sur moi, ou, pour être plus exact sur la bosse qui déforme mon boxer. J’ai un court instant d’hésitation puis je quitte le dernier rempart me retrouvant nu devant elles avec mon sexe tendu à l’extrême. Il est par instant saisi de petits spasmes qui le pointent quasiment à la verticale. Le temps est suspendu pendant quelques secondes où je sens presque physiquement le poids de leur regard détaillant chaque parcelle de ce que je viens de dévoiler, la forme et la taille de ce membre, la texture de sa peau, la consistance des testicules, le diamètre du gland.

Salomé a entrouvert sa bouche et je vois sa langue venir humidifier ses lèvres, ajoutant encore un peu plus d’érotisme à une scène qui n’en manque pas vraiment.


Angélique rompt un lourd silence :



Jamais auparavant je ne me suis caressé devant quelqu’un. Adolescent, c’était pour moi une pratique fréquente, mais je ne pouvais bien entendu l’exercer qu’en cachette. Ensuite, même longtemps après avoir commencé à coucher avec mes petites « zamoureuses », j’ai continué à me masturber en secret plus ou moins régulièrement, n’ayant jamais trouvé celle qui aurait réussi à satisfaire complètement une sexualité… exigeante.


Ainsi, sans être forcément d’une pudeur maladive, je n’ai jamais pensé pouvoir un jour être amené à me donner ainsi en spectacle. Et pourtant, là, je suis prêt à m’exécuter. Et c’est même pire : J’EN AI UNE IRRÉPRESSIBLE ENVIE !

Il faut dire que j’ai été chauffé à blanc par ce qui a précédé et que depuis mon entrée dans la cabine, mon cerveau s’est progressivement mis en sommeil et a délégué les commandes à ce sexe que ma main gauche empoigne avant d’entamer un lent va-et-vient. L’index de ma main droite vient cueillir la goutte transparente qui perle sur le méat et répartit le liquide translucide sur toute la surface du gland qui se met à briller sous la lumière crue des lampes de la cabine.


Une seconde goutte est apparue. Mon doigt revient l’étaler en insistant sur le frein, petit lien de chair si sensible, pendant que je retire ma main gauche pour essuyer la sueur qui commence à couler sur mon front. Le doigt est descendu et suit le contour inférieur du gland, libérant complètement ce dernier. Le phallus érigé ressemble maintenant à une cheminée des fées avec sa colonne, campée sur une large base et au sommet, ce gland-rocher qui la coiffe largement.


Les yeux de Salomé à cette vue se sont assombris comme un ciel marin qui se couvre au passage d’un grain et sa respiration devient haletante.

Sa main commence à glisser tout au long de la divine vallée, étalant les gouttelettes de rosée qui perlaient tout à l’heure, puis remonte effleurer le petit bourgeon que je devine pointant sous sa cachette, si fragile, si délicat…


Mes deux mains se sont saisies de mon sexe, entamant un ample mouvement de va-et-vient. Mes fesses, mon ventre se contractent de manière spasmodique comme pour envoyer encore plus de sang dans cet appendice qui a déjà atteint une taille plus que respectable. Il faut absolument que je maîtrise la montée de mon plaisir. Je desserre un peu l’étreinte et le mouvement brutal se mue en une très virile caresse.

Angélique se penche à nouveau entre les jambes de Salomé. Elle repousse le doigt qui caressait le clito maintenant presque découvert et écarte encore les lèvres sous mes yeux écarquillés. Elle murmure à mon intention :



Je réussis (difficilement) à bredouiller :



Je vois qu’Angélique elle aussi a commencé à se caresser, une main enfouie dans son string. Du regard, elle m’invite à me pencher sur le sexe de Salomé pour lui rendre l’hommage de ma bouche. Je ne me fais pas prier ! Je parcours de ma langue rapidement les deux bords de la vallée avant de saisir entre mes lèvres le petit bourgeon qu’Angélique m’a désigné… Quel délice ! Ma langue tourne et retourne, effleurant sa proie, puis la saisissant, la martyrisant presque. Je sens les tressaillements de Salomé qui se transforment peu à peu en spasmes. Angélique m’ordonne de m’arrêter. Trop tôt pour le final !


Angélique, la maîtresse de stage,

Angélique, maîtresse du jeu érotique,

Maîtresse Angélique,

Et ses deux esclaves.


Salomé, offerte, ouverte, sans défense.

Les sens exacerbés par la cérémonie sacrificielle.


Et Carlos, étalon, Minotaure,

Branlant ce sexe bandé à en être douloureux.



Angélique me repousse brutalement. Elle se penche sur la poitrine de Salomé et commence à la caresser. Elle repousse le soutien-gorge qui ne tient pas longtemps et les seins apparaissent hors de leurs petits nids. Ils me paraissent magnifiques de régularité : deux petites collines dorées comme le reste du corps avec de petits tétons qui pointent vers le plafond.


Comme ma virilité sur laquelle mes mains ont repris leur activité. J’ai le souffle court, d’autant qu’à nouveau je sens sur moi le regard de la cliente et que mon excitation est à son comble. Angélique m’ordonne de prendre sa place. Rarement un ordre ne m’a fait tant plaisir !


J’approche et me penche pour saisir de mes lèvres la pointe d’un des seins.

Impression extraordinaire : je le sens vivre dans ma bouche. La pointe durcit encore pendant que je la suce avec ferveur. Sans attendre la permission d’Angélique, ma main part au contact de cette chatte bien humide maintenant. J’y plonge sans peine un puis deux doigts, appréciant la moite douceur de ces chairs intimes. J’explore lentement à la recherche maintenant les zones qui déclencheront le plaisir le plus torride.


Ma queue vient par moment toucher le flanc de Salomé et ce contact de mon sexe avec cette peau enflamme encore un peu plus mes sens. Angélique échange un baiser passionné avec sa cliente. Tel un ogre, je me gorge de cette chair fraîche qui m’est offerte. Ma bouche va-et-vient sur cette merveilleuse poitrine qui me faisait fantasmer tout à l’heure.


Les deux globes frémissent à l’unisson de ce corps qui vibre sous les caresses de ses deux tortionnaires. Mais est-ce vraiment le mot qu’il convient d’employer quand la « victime » vogue ainsi vers les rives d’un plaisir qu’on imagine exceptionnel ?


Mes doigts continuent leur œuvre au plus profond d’une intimité dont on ne peut même plus dire qu’elle est simplement humide. C’est un véritable ruisseau d’amour qui coule maintenant entre ces chairs que je fouille sans relâche à la recherche de nouveaux replis secrets.


Mon pouce effleure à nouveau la petite excroissance si sensible et je sens le petit sursaut de Salomé qui se transmet à mon sexe appuyé contre son flanc. Je sens que mon désir atteint son paroxysme du désir. Je ne vais plus pouvoir attendre. Je me redresse en même temps qu’Angélique. Elle a compris.


Scène muette : elle vient s’accroupir devant moi, un préservatif déjà déballé dans sa main. Avant de me l’enfiler elle ne peut se retenir de prendre rapidement en bouche le gland violacé que je lui présente à la bonne hauteur. Un gémissement vient troubler le silence de la pièce. Salomé qui est à nouveau sur ses coudes nous regarde et semble protester de se trouver momentanément abandonnée. Ça y est. Je suis prêt. Angélique s’est reculée pour me laisser le champ libre.


J’ai un peu descendu la table de soins et toujours sans un mot Salomé s’est assise les fesses au bord du plateau, les jambes pendantes et écartées. Je m’avance lentement jusqu’à elle. Je suis le prêtre d’une cérémonie païenne, l’officiant qui va porter le glaive sacrificiel dans le corps de cette femme posée en offrande sur l’autel…


Pris subitement de fièvre à l’évocation de cette image, je saisis sans précaution, les deux jambes que j’écarte encore en les soulevant et, sans attendre, d’un seul coup de reins accompagné d’un han de bûcheron je m’enfonce au plus profond de ce sexe béant.

Elle a juste poussé un petit cri d’oiseau, puis s’est renversée en arrière faisant saillir devant moi ses seins que je m’empresse d’emprisonner de mes mains tout en commençant à la pistonner sauvagement encouragé par Angélique qui s’est jointe à nous immisçant sa main entre les bas-ventres pour atteindre le clitoris de sa cliente.

Celle-ci, les yeux fermés se mord les lèvres pour ne pas crier se contentant d’émettre une sorte de grognement sourd en accompagnement à chacun de mes coups de boutoir.


Je veux la remplir, je veux combler cette divine cavité, je veux explorer les derniers replis que mes doigts n’ont pu atteindre tout à l’heure, alors que mon mandrin bute sur une ultime barrière. Je me remets en mouvement, ressortant ce phallus luisant de toutes ces secrétions mêlées puis je m’enfonce à nouveau comme pour creuser encore, ouvrir encore, élargir encore…


Je sens la sueur qui coule sur ma poitrine collant mes poils sombres sur ma peau.

J’ai bloqué ma respiration, alors que je creuse instinctivement mon bassin. Je le contracte comme pour envoyer toute l’énergie possible dans ce phallus, le gorger de sang, poussant encore et toujours ce pieu qui semble vivre sa propre vie. Je veux qu’il s’enfonce toujours plus loin, cognant avec force le fond de ce con qu’il fouaille, qu’il dilate encore et encore.


Le regard des deux femmes est posé sur moi dans un encouragement muet à continuer.

J’ai peur d’aller trop vite, d’amener maintenant une conclusion à ce moment d’exception que je souhaiterais voir durer infiniment. Arrêter le temps… Je me retire et mes lèvres viennent se poser sur ces lèvres divines que mon sexe martyrisait.


Je me relève. Angélique vient à mes côtés et plante ses doigts dans le vagin pour apprécier le travail de ce pieu qui continue à frémir à l’air libre, comme d’impatience. Je n’ai pas lâché les jambes et le spectacle est toujours aussi excitant. Je regarde le visage de Salomé. Son regard n’est plus qu’une muette supplique à mon égard. Elle veut à nouveau en elle cette chose toujours dressée à l’orée de son sexe. Elle n’est plus qu’un être tendu dans l’attente d’un seul objet.


Je reçois ce regard comme un coup de fouet et sans attendre je m’enfonce à nouveau brutalement en elle avant de la pistonner vigoureusement et sans répit. Je sens autour de ma queue les muscles du vagin se contracter et je commence à voir les ondes du plaisir qui parcourent ce corps abandonné à ma merci.


Angélique à pris entre ses dents la pointe d’un sein qu’elle martyrise tout en fixant d’un regard un peu fou mon bassin qui va et qui vient.

Envie-t-elle le sort que je fais subir à sa cliente ? Pas sûr.


J’ai fermé les yeux et j’essaie malgré tout de contrôler la montée de ma jouissance.

Quand je les ouvre, je vois la main de Salomé qui vient effleurer son bourgeon, mais presque immédiatement, Angélique la repousse. Je comprends que ma patronne veut continuer à imposer sa loi. Salomé reste sa soumise, et moi, aux ordres.


À chaque fois que je me retire, les gémissements de Salomé réclament son retour.l’employé

À chaque fois que je bute au fond de ce con prodigieux, je suis salué par un cri d’oiseau effarouché. Angélique, craignant peut être que je ne faiblisse est venue derrière moi et a saisi fermement dans sa petite main mes couilles, accompagnant les mouvements de mon corps, comme pour donner encore plus de volume au déferlement de sperme qu’elle s’attend à voir partir incessamment. Salomé a fermé les yeux en poussant un long cri pendant que son ventre se contracte en spasmes successifs.


Angélique, lâchant mes testicules, sort mon sexe d’autorité, enlève le préservatif et me branle vigoureusement jusqu’à ce que de longs jets de mon foutre viennent s’étaler sur le ventre de sa cliente.