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Temps de lecture estimé : 14 mn
12/03/17
Résumé:  Une soirée foot chez un copain, ni moi ni sa copine n'aimons le foot.
Critères:  f fh ff ffh jeunes voisins exhib fmast fsodo
Auteur : Pacoro63      Envoi mini-message
J'aime pas le foot




Première mi-temps



Je n’aime pas le foot. Ce n’est pas un sport qui m’attire, ni sur le terrain (comme les autres sports d’ailleurs) ni à la télé. À la rigueur, je regarde les matches de l’équipe de France lors des phases finales de la Coupe du Monde ou de l’Euro, mais c’est vraiment tout. Alors pourquoi je n’ai pas su dire non à Bruno, je ne sais pas. Lui, par contre, est du genre monomaniaque dès qu’on parle de foot. Il connaît toutes les équipes et leur palmarès, tous les joueurs et leur pedigree. Il en est même impressionnant, mais surtout, vite lassant.


Nous nous connaissons de la fac. Pas les mêmes études suivies, mais depuis trois ans que nous sommes là, nous avons sympathisé. Pourtant, on a peu de points communs, mais c’est comme ça, allez savoir pourquoi. Nous avons chacun nos groupes d’amis, nos occupations (le foot pour lui, bien sûr), mais nous aimons à nous retrouver ensemble de temps en temps, pour parler de tout et de rien. Il faut reconnaître qu’à part le foot, il a aussi une sacrée culture générale.


Et donc, ce soir-là, il y avait je ne sais quel match TRÈS important à la télé et il voulait absolument le voir avec moi, chez lui :



Il me précisa aussi que sa copine serait là, mais qu’elle ne nous dérangerait pas. Je crois qu’en fait, il ne voulait pas être le seul à regarder le match et que ses copains habituels étaient pris ailleurs. Quant à sa copine, je me souvenais qu’elle avait 22 ans, soit un an de moins que nous, mais c’est tout ce que je savais d’elle.


À 19 heures, je me pointe chez Bruno. Après m’avoir ouvert la porte, il me dit que j’arrive juste, les hymnes vont commencer. Petit appart sympa, une cuisine ouverte donnant sur le salon, et un petit couloir qui doit desservir la chambre et la salle de bain. Petit, mais fonctionnel et bien arrangé.



Les présentations sont vite faites. Je sors de derrière mon dos une rose que j’avais achetée pour elle et lui tends.



Je vois qu’elle est surprise, elle rosit un peu et me fait deux bises appuyées sur les joues.



Et il s’installe sur le canapé, je prends le fauteuil un peu en face, et Véro s’installe à côté de Bruno.


Véro, c’est une petite merveille. Pas un canon de beauté comme dans les magazines, mais elle dégage un charme fou. Environ 1,60 m, des cheveux bruns, courts, un ventre plat, des seins généreux, mais pas trop gros quand même, fesses rondes et musclées, du moins c’est ce qu’il me semble. C’est un joli brin de fille. Un soutien-gorge noir qui se devine sous un tee-shirt blanc, un jean moulant et des pieds nus.


Très vite, Bruno n’est plus avec nous. Il est dans le match. Présentation des équipes : il en dit plus que les commentateurs :



S’il le dit, pourquoi pas. Véro à l’air de s’ennuyer ferme. Moi aussi. Du coup, on se penche l’un vers l’autre par-dessus la table basse et on entame une conversation, à voix basse pour ne pas gêner le maître des lieux. Je ne peux m’empêcher de regarder dans son tee-shirt qui bâille quand elle se penche. J’essaie d’être discret, mais j’aime bien ses seins et je crois qu’elle s’en rend compte. D’ailleurs, plus ça va, plus elle se penche pour me parler. J’ai chaud d’un seul coup. Je sens comme un mouvement dans mon caleçon.


Au bout d’un quart d’heure de match, le score piétine, les joueurs aussi, apparemment, Bruno n’est pas vraiment content de son équipe.



Bon, c’est demandé poliment, il n’est pas trop blaireau même devant un match. Mais c’est sûr que quand l’action n’est pas sur le terrain, elle est plus du côté des coudes qui se lèvent.


Véro va chercher les bières puis part vers le fond de l’appart. Quand elle revient, je ne vois plus la marque noire de son soutien-gorge, mais il me semble distinguer l’ombre de ses aréoles et les pointes de ses seins qui tendent le tissu. Elle se rassoit et reprend la conversation. Comme elle se penche, je vois maintenant parfaitement ses seins, libres de tout carcan. Je remonte (avec du mal) mon regard vers ses yeux, et je la vois toute rouge, mais souriante, comme si elle était fière de son audace. Comme elle reste souvent penchée pour me parler, j’ai tout loisir d’admirer le spectacle. Ses yeux brillent, elle se tortille un peu sur son siège, et mon caleçon est de plus en plus rempli.


Durant cette fin de première mi-temps, nous continuons à parler, à écouter Bruno commenter les actions de jeu (il y en a enfin) et pour moi, à regarder les seins de Véro. De temps en temps, sa main, d’un geste qui semble naturel et machinal, va caresser la pointe d’un sein par-dessus le tee-shirt. Parfois même, elle la prend entre deux doigts et la tord un peu. Comme situation érotique, je n’ai jamais vécu mieux.


Et puis coup de sifflet, elle se redresse, Bruno revient avec nous et commente un peu :



De qui veut-il parler : de l’équipe ou de Véro ? Bon, il parle toujours foot, il ne s’est rendu compte de rien. Quant à Véro, après avoir bu sa bière avec nous, elle dit qu’elle a chaud et qu’elle va prendre une douche.



Il est quand même un peu lourd, parfois.




Deuxième mi-temps



Et le match reprend. Au bout de deux minutes, Véro revient, les cheveux encore humides, dans une robe de chambre dont la ceinture ne semble pas bien serrée. Elle se rassoit à sa place, une jambe tombant, l’autre repliée sous elle. Ainsi mise, Bruno ne peut pas la voir, mais moi si. Sa robe de chambre s’est un peu ouverte pendant qu’elle s’asseyait, et je vois qu’elle à une grande veste de pyjama en guise de chemise de nuit. Bien boutonnée de haut en bas, mais laissant voir ses jambes jusqu’à mi-cuisse. Et comme elle est belle, ainsi !


Elle se penche pour prendre une autre bière, mais je ne peux plus voir ses seins. Je pense qu’elle remarque mon air déçu. Action de match, Bruno monte la voix, je regarde le poste, à peine trois secondes, et quand je reviens vers Véro, les trois boutons du haut ont sauté. Du coup, l’arrondi de ses seins est bien visible, à la limite de l’aréole. Nous ne nous parlons plus, chacun est bien adossé à son dossier. Dans mon pantalon, c’est à la limite de l’asphyxie, tant il manque de la place.


Puis, en me regardant droit dans les yeux, Véro glisse une main dans son pyjama et commence à se caresser un sein, toujours caché, alors que son autre main, plus bas, caresse l’intérieur de sa cuisse. Elle écarte encore les jambes, sa main remonte, entraînant le pyjama, et je découvre une fente toute nue, juste surmonté d’une petite touffe de poils noirs, taillée en triangle. Tandis qu’une main caresse puis tord la pointe de son sein qu’elle a maintenant sorti de son pyjama, l’autre entame une caresse le long de ses lèvres. Un doigt, puis deux, entrent dans sa grotte, en ressortent, luisant de cyprine, puis un troisième les rejoint, alors que le pouce se concentre à peine plus haut, sur un petit bouton rose qui pointe. C’est à peine croyable, elle se masturbe devant moi, juste à côté de son copain. Si elle continue comme ça, je ne vais pas tenir longtemps.


Pendant qu’elle se branle de plus en plus vite, à la télé l’action s’accélère aussi. Tandis que les yeux de Véro commencent à se révulser, Bruno crie de plus en plus fort :



Et lorsqu’il hurle « Buuuuuuuuuuut », Véro ne peut retenir un cri qui trahit l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je me lève aussi et en profite pour refermer un peu, d’un mouvement rapide, la robe de chambre de Véro.



Bon, on ne parlait peut-être pas de la même chose, mais nous étions tous les deux totalement sincères. Bon, le match reprend, pour le dernier quart d’heure. Mais moi, il faut que je me soulage, j’ai mal à force d’avoir envie.



Et me voilà à suivre la belle. Arrivée dans la salle de bain, elle se retourne et m’embrasse avec furie.



Et aussitôt elle se met à genoux devant moi, sort mon sexe qu’elle se met à lécher, masturber, puis qu’elle avale. Je dois avouer qu’après le spectacle qu’elle m’a offert, je ne tiens pas longtemps. Je veux la prévenir, mais je n’en ai même pas le temps et elle ne fait pas mine de vouloir se retirer. Elle avale tout avec gourmandise, puis après m’avoir bien nettoyé le sexe, elle remonte et m’embrasse encore, mélangeant nos salives et mon sperme. J’égare mes mains sur son corps, mais elle les repousse vite.



Pas ce soir ? Donc peut-être à un autre moment ? Pas de problème, je prends note.


Retour dans le salon où Bruno, tout à son match, a à peine remarqué que nous avons été un peu longs. Une petite tache sur le canapé trahit l’action de la belle, qui se rassoit dans la même position, me donnant une vue imprenable sur son sexe nu et encore luisant. Je bande encore, bien que venant juste de jouir, et j’ai vraiment envie de m’enfoncer en elle. Pas ce soir, a-t-elle dit. Enfin, coup de sifflet final. Enfin, parce que ça devenait une torture d’être là à la regarder sans pouvoir rien faire.



Cette dernière phrase avec un clin d’œil pour moi. En fait, il préfère vraiment le foot aux femmes.



Le tout dit avec un grand sourire et, là aussi, un clin d’œil, mais pas pour la même raison, je crois. Message bien reçu. D’ailleurs, lorsqu’elle me fait la bise, les trois premières très près des lèvres et la quatrième près de l’oreille, elle me glisse un tout petit :



En rentrant dans ma chambre, je dois avouer que je n’ai pas dormi tout de suite. Même si je voulais garder des forces pour le lendemain, j’ai bien été obligé de me soulager une nouvelle fois.




Troisième mi-temps



À sept heures vingt, j’étais garé tout près de chez eux, de manière à voir la sortie de son immeuble. 7 h 30 tapantes, Bruno sort, monte dans sa voiture et part. Aussitôt, je monte et sonne à la porte. Véro m’ouvre dans la même veste de pyjama qu’hier soir. À peine rentré, je la prends dans mes bras, l’enserre, l’enlace, la soulève et l’embrasse voracement. Sa langue et la mienne se cherchent, se trouvent, jouent ensemble, alors que je sens ses seins contre ma poitrine, puis ses jambes autour de ma taille. Nous nous dirigeons comme ça vers la chambre, quand on entend le bruit d’une clé dans la serrure puis la voix de Bruno qui dit :



Nous sommes tétanisés, puis la porte se referme et on entend les pas s’éloigner dans le couloir (Eh oui, l’isolation n’est pas au top dans ces HLM). Véro se précipite vers la porte, redonne un tour de clé, puis va vers la fenêtre pour regarder s’il part bien.



La voir ainsi penchée, le pyjama découvrant presque ses fesses, me donne des envies. Je me mets à genoux derrière elle, puis commence à lui embrasser les fesses, à lui écarter, et à lécher la raie, en insistant bien sur son petit trou.



Pour toute réponse, elle écarte un peu les jambes. Ma langue toujours en action, force un peu le passage, tandis qu’une main remonte vers son sexe tout lisse et doux. Je caresse sa fente, sens l’humidité qui en coule, et petit à petit, un doigt puis deux écartent ses lèvres. Je sens son odeur, son goût, sa douceur, et j’ai envie de plus. D’autant que ma position n’est pas très confortable. Je me déshabille vite, toujours en la léchant, puis me relève et la plaque contre la fenêtre et la pénètre ainsi, par-derrière, sentant enfin autour de ma pine la tiédeur de son con. Je vais et je viens doucement en elle, et ayant envie de sentir ses seins, je lui ouvre (ou plutôt j’arrache à moitié) la veste qui la recouvrait toujours.



De toute façon, on était trop bien partis. Ses seins écrasés contre la vitre, les mains appuyées dessus, seules ses fesses semblaient bouger, allant à ma rencontre pour que je la pénètre plus profondément. Puis je la retourne, et c’est elle qui me pousse jusqu’au canapé, où je m’écroule. Elle vint alors s’empaler sur moi.


C’est à ce moment que, dans l’immeuble d’en face, je vois une femme, nue, qui nous observe. Apparemment, elle aime ce qu’elle voit, puisqu’elle se triture un sein tandis que son autre main est glissée entre ses jambes. De me savoir observé ainsi augmente mon plaisir, et pour qu’elle ne rate rien, j’écarte les fesses de ma chérie, lubrifie bien son cul avec sa mouille que je recueille à la source, puis y enfonce mon pouce. Son cri et son déchaînement me prouvent que Véro aime bien cette manière de faire.

Je lui murmure à l’oreille :



À cet instant, Véro se lève, se retourne, et revient sur moi, s’empale, mais, volontairement ou non, je me retrouve (avec le plus grand plaisir) dans son cul, tandis qu’elle se branle le clitoris en regardant la voisine. Une de mes mains s’occupe de ses seins tandis que l’autre a trouvé le chemin de sa chatte et y rentre au chaud (pas entière, quand même). Ne pouvant plus supporter en même temps la vue de ma voisine, le déchaînement de Véro sur moi et mes sensations, je jouis dans le cul qui m’est offert, alors que les deux femmes se tétanisent en même temps. Je ne pouvais voir le visage de Véro, mais j’ai l’impression qu’elles étaient yeux dans les yeux en jouissant. Elles étaient belles à voir.


Vidés, nous avons un instant d’absence. Puis je regarde en face et vois la voisine, dans le même état que nous, qui nous regarde aussi. Je lui fais un grand signe lui demandant de venir. Elle me répond en levant le pouce, puis disparaît de ma vue. Véro est alanguie sur le canapé, à moitié endormie.



J’entends alors des pas hésitants dans le couloir (toujours l’isolation). J’entrouvre la porte, et c’est bien la voisine qui nous cherchait. Elle porte un grand manteau, a un très joli visage et doit avoir notre âge. Je la fais rentrer, elle m’embrasse sur la bouche en me disant merci. Puis va vers Véro, toujours allongée sur le canapé, nue, totalement impudique. Elle laisse tomber son manteau. Elle est nue en dessous. Devant mon air surpris, elle me dit :



Là-dessus, elle se penche vers Véro et l’embrasse longuement sur la bouche. Plus grande que Véro, les cheveux plus longs, elle a des petits seins tout ronds avec de toutes petites aréoles et de grands bouts tout pointus, des hanches toutes fines, une chatte poilue et entretenue. Après ce long baiser, sa bouche descend le long du cou, puis embrasse les seins de ma maîtresse, les lèche, les mordille. Véro commence à gémir sous ces caresses, et une de ses mains remonte le long du corps près d’elle. Enfin, elle ouvre les yeux, me regarde et me sourit.



Je m’approche et elle attire mon sexe, qui a repris de la vigueur devant ce spectacle, le prend en bouche. Édith, qui avait atteint la chatte de Véro, se tourne et lui présente la sienne. Du coup, je suis seul et abandonné.



Heureux qu’on me demande mon avis. Évidemment que je voulais bien. Et du coup, pendant que Véro lui léchait la chatte, je me suis mis à lui lécher le cul. Pas le même goût, pas la même texture de peau, mais tout aussi agréable. Et l’odeur qui montait d’en dessous était plus épicée, j’avais envie d’y enfouir mon nez. Puis je pressais un doigt, doucement, et il est rentré. Véro n’en perdait pas une miette.



J’ai fini par y rentrer deux doigts, et aux gémissements que poussait Édith, à ses mouvements du bassin, je dirais que ça avait l’air de lui plaire. Les deux filles se léchaient, se caressaient, on avait une grande impression d’amour entre les deux. Puis Édith m’a dit :



Je me suis enfoncé dans son con comme dans du beurre, tellement elle mouillait. Et de sentir la langue de Véro sur mes couilles a failli me faire partir. Puis c’est elle qui m’a guidé. Le cul bien écarté, bien mouillé, j’ai à peine poussé que je me retrouvais en elle.



Je me suis vite retrouvé les couilles contre ses fesses, puis j’ai commencé à aller et venir. Aussitôt, elle s’est mise à gémir.



Je me suis alors déchaîné. J’y allais à fond, mon ventre claquait sur ses fesses, je sentais Véro sous moi qui léchait tout ce qui passait à sa portée : la chatte, les couilles, ma queue.



À ce rythme-là, je n’ai pas tenu longtemps, elle non plus, et nous avons joui presque ensemble, lâchant un jet de foutre dans son cul, puis me retirant pour arroser Véro, qui a joui à ce moment, autant de son plaisir que du nôtre.


Les instants suivants furent remplis de tendresse et de calme, presque d’amour. Les deux filles se sont lovées dans les bras l’une de l’autre, et se sont presque endormies. Assis sur le fauteuil, je les regardais, heureux de les voir ainsi. Quand je pense que j’avais fait la connaissance de l’une hier soir et de l’autre ce matin (et dans quelles circonstances !). J’ai cependant été obligé de les forcer à bouger un peu, l’heure tournant. Après un passage sous la douche (qui a pris du temps, je ne vais pas m’en plaindre, mais à trois sous la douche, c’est étroit), je me suis rhabillé et suis rentré chez moi, non sans prendre rendez-vous avec les filles pour la semaine suivante, mais chez Édith, qui vivait seule.


Eh oui, on a été amenés à se revoir, et cela a grandement changé nos vies. D’ailleurs, depuis, j’aime le foot.