n° 17824 | Fiche technique | 61846 caractères | 61846Temps de lecture estimé : 36 mn | 13/03/17 |
Résumé: À la montagne, Franck rencontre une femme que son mari torture par sa jalousie maladive. | ||||
Critères: fh fhh cocus vacances jalousie fellation 69 préservati pénétratio sandwich fsodo confession | ||||
Auteur : ViolaFleur |
J’aime février à la montagne. Petite station sans prétention. Appartement dans une résidence aux pieds des pistes avec tout le confort, en particulier une piscine intérieure. Chaque année j’y emmène mes petits-enfants, dix et onze ans. C’est moi qui les ai initiés au ski et même si, suite à un accident, je ne dois plus skier, les leçons collectives ont pris la suite.
Mais cette année 2017 est à marquer d’une pierre blanche. Que dis-je, pas une pierre, mais un mur de pierres sèches amoureusement empilées par un destin favorable.
Cela a commencé par des chaînes récalcitrantes. Une femme qui n’arrive pas à installer ces accessoires indispensables sur les routes enneigées.
La même femme que je retrouve devant moi au guichet de l’accueil à la résidence. La femme avec sa fille à qui on attribue l’appartement juste à côté du mien, mais aussi la place de parking à côté de la mienne. Les rencontres dans l’ascenseur. Les saluts de la tête, même si le sourire paraît forcé.
Je n’aurais attaché pas plus d’importance à ce hasard si, un matin, je ne la retrouve à la piscine. Sans arrière-pensées je la salue et lui fais remarquer que décidément nos chemins se croisent.
Il ne faut pas me le dire deux fois. Elle est malade ! Quand je pense que je lui avais monté ses chaînes et que je l’ai aidée pour ses valises ! Mais je suis mal à l’aise devant le regard des autres et quelques minutes plus tard, je quitte le lieu.
Je rumine dans ma chambre de cet esclandre dont je ne me sens pas coupable, qu’on frappe à ma porte.
J’ouvre. C’est elle. C’est dingue elle vient me faire ch… jusque chez moi.
Pendant ces quelques mots, elle regarde dans le couloir et semble inquiète conne si elle avait peur de quelqu’un.
Devant cette demande et surtout devant l’étrangeté de la situation, je fais un pas de côté et elle en profite pour entrer. Une fois la porte close, nous nous retrouvons dans le petit salon/cuisine de ce trois-pièces qui doit d’ailleurs être la copie conforme du sien. D’un geste de la main je l’invite à s’asseoir.
Elle me montre son Samsung et continue.
Que dire devant ce comportement si possessif ? À moins que le mari n’ait des raisons…
Un silence s’installe.
Elle accepte. Je nous sers deux verres. Le bruit des chips remplit la pièce.
Elle a raison, je me remémore une situation qui doit se lire sur mon visage.
----------------------------------
Il faut dire que, justement pendant un mariage, nous avions baisé comme des malades dans notre chambre, quittant la cérémonie, puis le repas. J’avais été excité par cette couleur. Un besoin irrépressible.
Un ange passe ! Et puis une porte s’ouvre juste à notre niveau. Une femme de ménage en sort. Elle nous salue d’un sourire. J’ai le temps de voir qu’elle sort d’une sorte de débarras rempli d’étagères avec du linge empilé. La femme continue son chemin et disparaît. Je regarde mon ex. Elle me regarde. A-t-elle la même idée que moi ? Je ne sais pas, mais qu’est-ce que je risque ? Je lui prends la main et de l’autre pousse la porte.
----------------------------------
----------------------------------
Je revois la scène. Anne que je pousse contre une étagère et dont la seule remarque est que je fasse attention à sa robe. Anne en appui, la robe remontée jusqu’aux épaules. La découverte de ses jambes gainées de soie avec un porte-jarretelles du plus bel effet. D’une culotte symbolique qu’il me suffit de tirer vers le bas pour la rendre disponible. Cette croupe que je connais pourtant, mais qui semble différente. Provocatrice, salope, offerte cachant ses turpitudes sous une blancheur immaculée.
Ma verge que j’extirpe dure comme un gourdin comme si elle était impatiente de goûter aux délices de baiser une femme mariée, à peine mariée.
Le « Ahhhhhhhhh » de la jeune mariée alors que ma queue entre sans délicatesse, faisant trembler l’étagère. La vision de cette croupe qui se tortille de façon obscène, parfaitement chevillée par ma verge.
Des « ahhhh »… des « oui »… des « encore »… des « c’est bon »… que j’avais rarement entendus sortir de la bouche de mon ex-femme, mais dont ma maîtresse m’abreuvait.
De mon pouce que j’ai glissé dans son cul. De mon pouce que je faisais tourner tout en la bourrant avec violence. De ma bite, grasse, humide de la liqueur de la femelle qui remplace mon pouce et qui encule la pute, baisée entre deux portes.
Quel pied de savoir que son mari l’attend, déjà cocu à peine marié. Que ce soit par l’ex est d’autant plus jouissif.
Lorsque je me libère dans son cul, je suis au paradis. Voir ma semence couler hors de son trou encore ouvert est un délice. Me servir de sa petite culotte pour l’essuyer et la glisser dans ma poche en disant « petit souvenir ». Savoir qu’Anne retourne à la noce, cul nu, souillée par ma semence me fait bander à chaque fois.
Mais recevoir un appel d’elle quelques semaines après pour, sous un prétexte bidon, me rencontrer donne un goût particulier à nos baises. Il est vrai que de passer du statut de mari à amant apporte un plaisir extraordinaire.
----------------------------------
J’ai dû rester silencieux, perdu dans mes pensées, mais ma voisine a gardé le silence.
Tiens, tiens, pensé-je. Malgré son attitude, elle a pris le temps de me regarder.
Un long silence s’installe. Un silence ou, nous évitons de croiser le regard. Pourtant je la regarde. Je sais qu’elle aussi, surtout lorsque je me lève et dis, pour briser ce silence pesant.
Elle se lève. Je l’accompagne à la porte. Elle me tend la main. Je m’en saisis.
Je garde sa main dans la mienne.
Je mets dans « heureux » toute la charge émotionnelle dont je suis capable. Et j’ajoute :
Elle hésite à peine. J’ai toujours sa main dans la mienne, mais elle ne fait pas mine de vouloir la retirer.
Je lui laisse sa main avec regret. Alors sans prévenir, elle me fait une bise sur la joue.
Elle part. Je la regarde marcher vers l’ascenseur. J’adore ce petit geste de la main qu’elle me fait au moment de disparaître dans la cabine. Elle aussi a été troublée par ces quelques moments où nous avons parlé si librement. Comme si nous étions amis depuis longtemps. Moi, j’ai aussi senti monter un désir d’aller plus loin. Et elle ?
Quel paradoxe. Avoir un mari si jaloux que de ne pas pouvoir se promener avec quelqu’un et être obligée de venir dans l’appartement de son voisin pour ne pas être soupçonnée. Soupçonnée de quoi ? A-t-elle conscience que ce rendez-vous pourrait être plus qu’un bavardage ? N’importe quelle femme sait que ce type de rencontre est à haut risque. Surtout avec les confidences que nous nous sommes faites. Surtout avec les compliments plus ou moins voilés que nous avons échangés. Surtout avec ce début de complicité, cette main que j’avais dans la mienne, cette bise chaste, mais déjà prometteuse. Moi, déjà, j’échafaude un scénario…
J’ai fait le ménage. Mes deux petits-fils sont partis plus tôt pour acheter des « coupe-faim » avant les cours. Moi j’ai faim d’autre chose…
On sonne. J’ouvre. C’est elle, bien entendu. Mais je sais en la voyant que tout espoir n’est pas perdu. Elle a quitté la tenue traditionnelle, pull et pantalon, pour chemisier et jupe. Moi-même j’ai fait un effort avec une chemise ouverte sur mon torse velu et un pantalon de toile.
Nous nous saluons par deux bises. Un premier pas. Elle m’a quitté par une bise. Elle me revient avec deux. Elle repartira… Nous sommes un peu « empruntés ». Je lui propose de s’asseoir. Tout est prêt, café, petits gâteaux. Mais elle se dirige vers la fenêtre.
Le soleil la découpe et trace sa silhouette. Sa jupe est devenue transparente, je devine ses cuisses et ce « V » inversé si prometteur. Je m’approche d’elle. Elle regarde dehors. Je suis tout contre elle. Je n’ose me coller de peur de l’effrayer. C’est peut-être trop vite. Mais je ne résiste pas à l’envie de déposer des baisers dans le cou, progressant vers l’épaule, montant vers l’oreille.
Si elle me questionne, elle ne bouge pas. J’ai même l’impression que cela lui plaît.
Elle ne termine pas sa phrase. Déjà je l’embrasse et mes lèvres font un bâillon sur les siennes. Elle sent bon. Comme moi, elle s’est lavé les dents. Tout un programme ! Notre baiser devient fougueux, intrusif. Je découvre une langue audacieuse et non pas soumise. Elle se bataille avec la mienne. C’est délicieux. Un vrai baiser de femme qui a envie.
Déjà je commence à détacher son corsage. De son côté, elle passe la main sous ma chemise pour caresser ma peau et jouer avec mon duvet qui plaît tant aux femmes et me donne une virilité particulière à leurs yeux.
Quelques minutes de ce jeu de la première découverte et son chemisier est à terre, bientôt rejoint par ma chemise. Je la pensais « passive », je la découvre « active ». Sa jupe tombe, mon pantalon ne tarde pas. Vient le moment du soutien-gorge, une merveille de simplicité, tissu transparent qui laisse deviner des aréoles sombres et des tétons que je me dépêche de libérer de toute contrainte. Quelle belle poitrine ! Généreuse, mais ferme. Qui a dit que la pomme de Newton lui a montré l’existence de la gravité ? S’il avait connu la poitrine de Maryse, la lettre G n’existerait que pour le point G, endroit mystérieux caché dans l’intimité de la femme et non pas pour G, coefficient d’accélération de la pesanteur sur Terre.
Mais je ne suis plus sur Terre, le Paradis est à portée. Saint-Pierre me laisse en ouvrir la porte, dentelle sage également, mais qui me laisse voir cette oasis de verdure :
Qu’importe la toison pourvu qu’on ait l’ivresse. Je hume son parfum intime. Les poils sont fins, écrans d’une fente protégée. Ma main en flatte la surface. C’est doux, bombé, soyeux, un peu humide.
Elle gémit de ce simple contact. Je reviens pour l’embrasser. Mes mains caressent ses seins. Les lobes massifs. La texture légèrement granuleuse des aréoles. La dureté des pointes, que l’envie magnifie.
Elle aussi baisse mon slip. Ma verge est à l’air, demi-érection, tige déjà en lévitation, bourses libres de tout poil, déjà gonflées.
Sa main en fait le tour. Je bande d’une poussée. Elle me caresse. Je recule. Le canapé nous attend. Je m’assois. Elle me suit, mais aussi m’invite à m’allonger. Quelle gourmande, elle veut déjà se posséder avec ma queue qui se dresse maintenant.
Non, elle aussi s’allonge et, après un baiser, se tourne pour me recouvrir et se placer en 69.
Mon horizon s’assombrit. Bientôt je n’ai que son intimité comme paysage. Mais c’est beau comme du Renoir, du Pissarro, du Buffet et même comme du Picasso dans sa bonne période. La toison est si fine que ma langue la traverse d’un trait. Je retrouve cette odeur délicate et cette humidité qui est le signe de l’envie. Moi, mon envie est plus évidente, longue tige dure, à peine veinée, mais si sensible que les lèvres qui l’embouchent font frémir.
La Belle me couvre. La Belle me suce, bouche gourmande et audacieuse que je sens progresser tout au long de mon vit. La langue est un serpent. Adieu serpent du jardin d’Éden, tentateur maléfique. Bonjour serpent agile qui ondoie et me recouvre de salive.
Mais je ne suis pas en reste. Je sais renvoyer l’ascenseur. Moi je lèche, j’aspire, j’extirpe jusqu’à ce que le bouton caché, mais tendu soit hors de sa gangue et se laisse aspirer.
La Belle gémit. Qu’importe que, bouche pleine de ma queue, les paroles soient incompréhensibles. La musique suffit. Elle suit mes caresses et les crispations du vagin annoncent déjà la jouissance.
Que c’est bon cette rosée qui s’écoule. Ce jus de femelle parfois odorant, parfois insipide, mais toujours signe de la jouissance.
Une femelle que je m’attendais à trouver plus passive, mais qui se révèle entreprenante. Une femelle qui se lève. Qui se tourne. Qui me chevauche. Une femelle que j’arrête d’un geste en lui tendant une capote. Une capote qu’elle regarde comme si c’était un ovni.
Merde, pensé-je, c’est foutu. Au moins pour cette fois-ci. Quel dommage ! Le temps d’aller acheter d’autres capotes, la pression sera tombée, le plaisir éloigné et même que peut-être, Maryse aura retrouvé toute se retenue.
Putain, ce regard. Maryse guide déjà mon mandrin pour s’asseoir sur lui. Je glisse dans une grotte étroite, mais douce, humide, chaude. Déjà ses fesses sont sur mes cuisses. Je suis en elle. Mon bâton libre retrouve le plaisir du contact charnel oublié depuis un moment avec mes maîtresses de passage. C’est bon. Maryse ondule sur moi prenant possession de la colonne de chair qui la possède.
« Musique »…
Merde, on sonne. Mais non, c’est un téléphone. Le téléphone de Maryse. Elle regarde. D’un geste elle me fait signe de silence.
Je comprends que je peux intervenir. Aider de mon mieux cette femme qu’un mari harcèle. Un mari jaloux et qui a besoin d’être rassuré. S’il savait ce que sa femme fait en ce moment. Elle ondule sur moi. Elle n’a cessé de bouger pendant ces quelques échanges. Si je veux qu’elle me revienne, je dois…
Je démarre la télé avec la commande.
« L’étalon monte sur la jument. Son sexe… » C’est une émission animalière, mais la vision de l’étalon sur une jument, le sexe énorme prêt à plonger semble d’une actualité incongrue.
Maryse sourit de cette coïncidence.
Elle raccroche. Que peut bien penser un mari jaloux ?
On s’en fout. Maryse m’est revenue. D’ailleurs, elle ne m’a pas quitté. Ma bite me semble énorme. La Belle se baise sur moi. C’est bon. Je lui caresse les seins. Elle se caresse le clito. Elle me regarde. Je la regarde. Notre complicité est totale, parfaite, synchrone.
Elle jouit à nouveau. Je me mords les lèvres pour ne pas venir et durer encore un peu. Mais c’est dur. Je n’ai qu’une envie la baiser, couler en elle, l’engrosser pour qu’elle garde un souvenir de moi.
Je me redresse. C’est un mâle conquérant qui revient. La femelle est docile et se met instinctivement à quatre pattes. L’étalon c’est moi. Ma queue entre en territoire conquis. Le chemin m’est ouvert. La grotte glousse de mes possessions. Les fesses résonnent de mes assauts. La saillie est brutale, magnifique, grandiose.
Enfin, je viens. Ma semence jaillit au plus profond de la matrice. Si la femelle avait été féconde et surtout sans contraception, je suis certain que l’enfant aurait été magnifique, fille ou garçon, mais une personnalité de conquérant, meneur d’homme, séducteur ou séductrice.
C’est Maryse à demi allongée, à demi recroquevillée qui me remercie avec un sourire magnifique.
À ses paroles, elle bouge, attirée par ce qui repose entre mes cuisses. Tige pas encore au repos, plus tout à fait en érection. Elle rampe et sa bouche vient vers moi.
Aucune pudeur ! Pas une once de répulsion ! Maryse m’embouche. Ma verge, grasse, humide, encore tachetée de ma semence et de celle de la femme se déploie aussitôt.
Je ne comprends pas son mari. Sa femme est une perle, une amoureuse volontaire, même experte si j’en juge par la façon qu’elle a de me sucer. Qu’il soit jaloux, je peux comprendre. Mais pourquoi se priver de ce bonheur. À moins qu’avec lui, elle joue la vierge effarouchée. Mais non, elle a avoué avoir des sextoys. À moins qu’il ait une maîtresse. Et encore, merde lorsqu’on a un diamant pareil chez soi on le fait briller et on le monte.
Elle se lève. Quelques pas et elle m’entraîne vers la table. La table où elle s’allonge en repoussant d’une main impatiente les tasses qui nous attendaient.
L’invitation ne nécessite pas une explication de texte. Les fesses au bord du plateau en pin massif, les jambes pendantes et déjà écartées, le minou me provoquent.
J’entre dans la fente avec délice. Aussitôt ses jambes m’enveloppent pour m’attirer en elle. Le soupir qu’elle pousse est le plus beau des aphrodisiaques. Déjà je la baise profond. Ma bite brasse notre jus d’amour. Je vais si fort, je vais si profond que pour un peu, je m’attends à voir sortir de la grotte une écume de foutre, la chantilly des amants heureux.
Maryse ne me talonne plus les fesses avec ses pieds. L’étalon que je suis n’a pas besoin d’encouragements. Ses jambes sont maintenant encore plus écartées. Je me saisis des chevilles, les pousse vers le plafond, les éloigne pour former un « V » ouvert qui me laisse encore un peu de marge pour gagner, un, deux, trois millimètres de plus. Mais des millimètres que la cochonne apprécie. Elle gémit. Elle parle. C’est bon, une amante qui encourage. Beaucoup, même les plus audacieuses, gardent une dernière pudeur alors qu’on les défonce. Ce n’est pas le cas de Maryse qui ne cesse de m’encourager par des « Oui, oui, encore », des « C’est bon ». Mais lorsque je l’entends me dire « prends-moi le cul », je doute de l’avoir entendu.
Un homme galant ne refuse pas ce plaisir surtout lorsque la demande émane d’une jeune femme BCBG. Je me retire. La salope cambre les reins pour mieux me montrer l’objet de son envie. C’est si beau que je m’agenouille pour le lécher. J’y découvre notre jus qui a coulé. Le lieu est parfait. La corolle, plis sévères, se déride pourtant lorsque ma langue y pointe. Ma salive et le foutre que je récupère aux portes de la fente bâillante forment le meilleur des lubrifiants.
Elle est prête ! Je suis prêt ! Ses jambes sont en appui sur mon torse et mes épaules. Mes mains soulèvent les fesses. Mon gland semble pointer vers le petit trou. Il joue un instant entre fente et trou pour exciter la belle et bien s’enduire. Je le regarde se placer. Il semble indépendant de moi.
C’est toujours un instant magique. Voir cette pyramide de chair qui paraît si fragile, mais dont la puissance force l’anneau à s’ouvrir pour avancer doucement. Le sphincter s’entrouvre, mais c’est pour mieux se refermer, épousant parfaitement la forme du sillon. Je sais que si je reste ainsi, par juste de minuscules mouvements, la corolle va me caresser et je vais jouir sans plus de formalités, tellement cette région est sensible.
Alors, pour elle comme moi, je pousse. La hampe avance, avance. C’est étroit, mais loin d’un cul vierge. On dirait qu’il reconnaît ce qui le force, ce qui avance, se frotte aux parois.
Je ne vois plus rien. Mon ventre et le sien cachent ce que nous savons elle et moi. Je suis à fond. Mon pubis est contre sa fente, mes couilles découvrent la douceur de la peau des fesses.
Alors, je commence. D’abord doucement. Les jambes que j’ai saisies à nouveau reforment ce « V » qui attire tous les regards. Elles me servent d’appuis pour avancer et ressortir sans jamais perdre le contact ou alors juste le temps que je puisse voir son petit trou bailler de façon obscène comme s’il hurlait « Au secours ! Au secours ! Ne me laissez pas seul. Redonnez-moi cette tige si chaude qu’elle me brûle ».
Que c’est beau. Que c’est bon d’entendre le bruit des chairs qui se heurtent. De sentir mes couilles se balancer et effleurer les fesses. La table en pin massif bouge sous ma puissance.
Voir la main de la femme venir se caresser le clito et par moment toucher le mandrin qui l’encule ! Voir cette lueur dans son regard qui brûle du feu du plaisir !
Elle jouit. De son cul ? De sa chatte ? Peu importe. C’est beau. Grandiose. Le cul me branle délicieusement et dans un dernier mouvement, mon jus jaillit. Il l’inonde en plusieurs jets généreux et puissants.
Je m’effondre sur elle. Je la recouvre et nos peaux échangent leur transpiration.
Un baiser. Un dernier baiser et je me relève. Ma queue commence à fléchir et lorsqu’elle quitte le lieu elle laisse voir une coulure qui rejoint la fente. Échange magique. La fente a aidé à lubrifier le cul. Le cul restitue, avec intérêts, le prêt.
Je l’aide à se relever. J’aime cette expression sur son visage, mélange de fatigue, de plaisir et de reconnaissance. Je lui propose, non pas un café qui ne serait pas de circonstance pour célébrer ce moment magique, mais un whisky. Elle accepte et nous trinquons.
Un silence s’installe.
Je la regarde s’habiller rapidement et garder ses sous-vêtements à la main pour gagner du temps.
Elle est déjà à la porte.
Elle hésite à peine :
Voilà, ce qui a favorisé notre rencontre devient un obstacle. Les bises échangées sont de pâles compensations… Je reste sur ma faim. J’ai encore envie de cette femelle si ardente. Je comprends maintenant cette liberté. Sa profession d’avant lui a donné l’expérience.
Et si…
----------------------------------
J’appelle l’appartement voisin avec le téléphone fixe. Il est à peine 18 h. En deux heures, j’ai pensé et organisé de quoi me satisfaire.
J’entends en même temps « C’est qui maman ? Papa ? »
Un long silence et puis :
C’est con qu’à mon âge je me sente encore fébrile de recevoir une femme au point que cela perturbe mon sommeil. Il est vrai que mes pensées sont plus qu’érotiques et me font bander. Un seul moyen pour dormir. Évacuer le stress. Couché dans mon lit, les yeux fermés, Maryse en cinémascope avec tous ses appas, je me branle. À plus de soixante ans, se branler comme un ado ! La serviette recueille mon foutre. Le sommeil vient. Merci mon dieu.
----------------------------------
Les enfants sont partis. J’ai croisé Maryse, mais on a fait semblant de ne pas se connaître.
Enfin on frappe. J’ouvre. C’est bien elle. Belle dans cette robe noire, simple, mais incongrue dans l’environnement de la neige. Une robe qui la moule délicieusement, les épaules nues avec juste un foulard autour du cou, une bouteille à la main.
En me tendant la bouteille, elle me dit :
Elle me précède et débouche dans le salon.
Elle fait demi-tour. Je croise son regard chargé d’incompréhension. Évidemment, elle n’attendait pas à la présence d’un autre que moi !
Maryse tend la main, mais l’homme lui fait la bise. Lui, c’est Éric, moniteur de ski, la trentaine, beau mec, tout habillé de rouge, le visage marqué par le soleil. Elle reste un peu figée, se demandant certainement ce que cet homme fait là.
Maryse suit notre échange, mais se demande certainement pourquoi j’ai invité cet ami. Je m’adresse à elle :
Je ne sais pas si Maryse avait eu cette pensée en voyant cet homme dans mon salon, mais aux aveux d’Éric elle ne peut pas chasser cette idée d’un geste. D’ailleurs son attitude change. Elle nous regarde l’un après l’autre sans rien dire.
L’idée m’est venue lorsqu’elle m’a parlé de son expérience d’escort. Ce genre de femme a certainement connu des séances très fortes et un plan à trois ne doit pas lui faire peur.
Pourtant, c’est elle qui rompt le silence.
Je m’approche d’elle. Éric est à quelques pas, face à elle. Moi je passe derrière elle et lui susurre :
Elle répète alors que je l’embrasse dans le cou, recommençant comme hier cette douce approche de baisers délicats, mais qui la troublent.
Elle ne dit plus rien, mais sa tête cherche un appui sur la mienne.
Ma main trouve la fermeture éclair de la robe. Mon visage contre son cou, je ressens comme elle, chaque dent qui se détache de l’autre alors que la navette les libère. Le dos apparaît, bientôt je touche la butée au niveau des reins.
Éric a fait quelques pas. Il est si près maintenant qu’il pourrait la toucher, mais il ne bouge pas. Je lui ai bien conseillé de ne pas brusquer les choses. Nous avons tout notre temps, des heures devant nous alors qu’un téléphone et son GPS fournissent un alibi en béton à cette femme que je sens frémir. Dans le miroir, je vois qu’elle regarde l’homme qui lui fait face.
J’adore repousser doucement les fines bretelles de la robe afin qu’elle passe la douceur de l’épaule et chute le long de bras complices, tendus le long du corps.
La coquine, elle ne porte rien dessous. J’en retrouve la nudité, le dos parfait, la chute de reins, les fesses arrondies et fermes. Éric lui est aux premières loges. Je vois son regard explorer. Explorer cette poitrine imposante, lobes arrondis, aréoles sombres, tétons ardents. Découvrir ce ventre plat qui laisse deviner la fente des cuisses et le jardin secret. Il est trop prêt pour qu’il puisse voir ce buisson aérien qui cache la grotte.
Je la caresse. Je ne peux empêcher mes mains de retrouver la douceur de la peau, mais aussi afficher cette possession qui fait de moi un amant candauliste, un pervers qui partage, un mac qui propose sa michetonneuse.
Ses seins sont des melons que j’enveloppe. Ses tétons des pointes que je martyrise. Ses hanches des reposoirs. Son « V » secret un lieu que j’explore et qui lui fait fléchir les jambes pour mieux s’offrir.
Et quoi de plus excitant pour cet homme qui de voir une main passer entre les cuisses pour venir se plaquer sur la vulve et provoquer cette flexion avec un souffle qui en dit long.
Éric réagit. Il se déshabille devant la femelle offerte. C’est étonnant de voir ce sportif descendre les bretelles de son pantalon, un peu comme ces hommes qui se dénudent devant des spectatrices. Le torse est vite à nu. Le pantalon au sol.
Ils sont face à face. Maryse semble subjuguée. Sa peau est humide et pourtant elle n’a devant elle pas plus qu’un homme en maillot de bain comme ils sont des milliers sur une plage. C’est vrai, mais ici celui qui est derrière elle ne cesse de la caresser. Et puis Éric baisse son slip. Je sens bien que la tête de Maryse aide le regard. Je sais ce qu’elle va voir. Moi j’ai déjà eu l’occasion l’année dernière, mais dans la pénombre d’une chambre, alors qu’ici le soleil inonde le salon.
Elle est là. Encore au repos, déjà blasée malgré sa jeunesse et d’avoir été si souvent proposée. Longue tige bien en équilibre sur les deux bourses. Combien de femmes, adolescentes, femmes mûres, femmes adultères, épouses en goguette ont déjà eu ce reflet de surprise dans le regard. Certaines n’ont découvert la puissance de l’engin que déjà possédées. D’autres, plus attentives au plaisir de l’homme l’ont vu grandir par leurs caresses, leurs baisers, leurs léchages.
Éric a juste à reculer d’un pas pour trouver le repos du canapé. Un pas, suivi d’un second amène la femme que je n’ai même pas la peine de guider tellement l’appel est évident. Il est assis. Elle est debout face à lui. Leurs mains cherchent l’autre. Moi, je reste un peu en retrait, attentif et curieux. Voyeur pour la première fois d’une réalité que j’espère dépasser la froideur des vidéos pornos.
Elle commence par ses épaules, Lui, par les hanches. Le contact est établi. C’est d’abord un ballet de gestes furtifs, caressants dont je vois bien que chacun apprécie. Et puis, passant le torse et le ventre plat de l’homme elle commence par se baisser pour atteindre plus bas.
Est-ce elle ou lui qui la guident avec les mains, toujours est-il que voici Maryse à genoux devant lui. Maintenant les mains sont à portée. Elles se posent sur les deux cuisses qui prennent le geste pour une invitation à s’ouvrir. Il est bien là, peut-être un peu moins flasque, peut-être un peu plus gros.
C’est dingue, mais j’aimerais presque être à la place de la femme devant cette verge qu’on soupçonne pleine de ressource. Ce n’est pas être gay que de la trouver belle. Poser la main comme le fait Maryse, flatter la tige de la paume, envelopper les bourses. Et puis se saisir par deux doigts précautionneux de la verge que ces simples attouchements ont fait durcir. La maintenir verticale. Se pencher. Déposer un baiser sur le gland rose. Baiser par des lèvres qui s’ouvrent et glissent pour s’arrêter au sillon.
C’est con, ce réflexe que nous avons d’ouvrir la bouche lorsqu’on donne la cuillère à un enfant. En ce moment je me surprends à faire de même. Je dois avoir l’ai abruti la bouche ouverte, la langue prête à lécher.
Mais c’est Maryse qui le fait. Nul ne doute qu’elle lèche le gland, mais déjà elle descend. De profil je peux bien voir le mandrin perdre de sa grandeur et imaginer ce que la bouche accepte. Mais à l’impossible, nul n’est tenu. Aucune des femmes que j’ai connues n’aurait été capable de faire mieux. Il est trop long et seules certaines « artistes » du web en seraient capables.
Mais ici, même si elle a de l’expérience, la femme ne peut plus. Mais c’est ce qui est beau. Cet aller-retour vertical, la bouche pleine. Ces léchages et baisers tout le long de la hampe pour aller sucer les couilles. Putain que c’est beau. Je bande. Oui, je bande et je m’aperçois que je suis toujours habillé. En deux, trois mouvements, je suis à poil. Éric me sourit. Elle est plongée dans son exploration.
Elle est belle ainsi, agenouillée, suçant telle une pute, la croupe bougeant à peine. Une croupe dont j’ai envie. Moi aussi je m’agenouille, mais c’est derrière elle. Par mes mains je l’invite à se soulever. Ainsi l’objet de mon désir est à mon niveau. Je la caresse. Je détecte une humidité encourageante. En me penchant, je porte mon visage à la rencontre de ce lieu secret. J’y retrouve la mince toison. J’y retrouve cette odeur de femelle. J’en recueille les sucs et joue de mes lèvres et de ma langue pour caresser sa fente, et son anus. Son clito m’est inaccessible à moins de me briser le cou.
Combien d’hommes, voire de femmes, ont entendu des gémissements, ou des cris provenant de la femme qu’ils lutinent. Des milliers, des millions, des milliards depuis que l’humanité existe.
Mais combien ont entendu ce cri sourd, grondement de la gorge alors qu’ils lutinent une femme, mais une femme dont la gorge est pleine d’une queue d’homme ?
Vous ? Non. Et nous ? Oui.
Alors si vous l’avez vécu vous savez le plaisir de ces caresses. Quant aux autres je ne peux que leur conseiller d’essayer.
Et à tous, lorsque vous léchez une femme, qu’elle gémit ou gronde, et qu’elle se tortille, vous pensez à quoi ? Mais comme moi bien sûr ! Que la cochonne ne veut pas se contenter d’une langue, fut-elle d’une grande agilité !
Elle frétille du cul, mais dès qu’elle sent la pointe de ma bite, la paralysie la saisit. Elle cesse même de pomper mon complice. Le temps s’est arrêté. Je sens sur moi, sur ma queue et ce cul tous les regards libidineux de ceux qui sont déjà partis pour d’autres cieux et s’emmerdent au paradis, à moins que chacun puisse trouver ce qu’il cherche. Mais j’en doute !
Je pousse. Ma queue est tout de suite humide. La fente s’ouvre sous le « Sésame, ouvre-toi » du langage universel d’une bite pour une chatte. C’est bon. C’est chaud. Déjà mon ventre bloque ma progression. La femelle est si ouverte que la possession n’a été qu’une longue glissade.
Déjà Éric la rappelle à l’ordre en appuyant sur sa tête. Moi je commence la baise de la salope qui ne peut ignorer que nous…
Je la laboure. Chacun de mes mouvements rythme la fellation. Éric s’est joint au concert de ses grondements. Moi, je suis acteur et spectateur. Je ne me lasse pas de suivre ma bite, brillante alors qu’elle avance, alors qu’elle recule dans cette fente béante. Et ces fesses auxquelles je m’agrippe ! Et ce trou, ce petit trou sombre que la belle m’a demandé d’envahir hier ! Ce cul, que dans la nuit j’ai rêvé de posséder à nouveau, imaginant diverses…
J’avais pensé que nous devrions aller lentement avec Maryse. Mais elle est si volontaire, si manifestement avide de se faire baiser, de retrouver le goût de la jouissance, que…
lorsque je me retire pour aller chercher la capote, tous deux me suivent des yeux :
Elle s’en saisit. J’aime son sourire de remerciement, sourire d’un visage en sueur, d’une bouche d’où coulent des filets de salive qui la relie encore l’espace d’une seconde à la bite qu’elle abandonne. Une bite qui bientôt se retrouve chapeautée puis lentement couverte lorsque Maryse déroule la capote. C’est dans un mouvement de cette sorte que l’on découvre la taille de l’engin, au nombre de tours qu’il faut pour le recouvrir. La pharmacienne avait eu un sourire et ne m’a pas cru lorsque j’ai demandé la plus grande taille. Elle n’avait pas XXL, mais XL seulement. « On ne m’en a jamais demandé » a-t-elle ajouté d’un ton qui me semblait bien peu professionnel, et je me suis dit que je devrais lui envoyer Éric.
Le mandrin est protégé. Maryse s’est relevée. Je la vois enjamber l’homme, poser ses genoux de part et d’autre et venir se placer à la verticale de la bite que déjà elle guide de la main. Je ne veux pas rater le spectacle et vais m’asseoir à côté d’eux.
Que c’est beau cette femme qui va se faire posséder. Que c’est beau ce gland qui se place juste en face. Cette chatte dont les lèvres s’ouvrent sous la poussée. Les premiers centimètres disparaissent assez vite. C’est facile pour eux, car ma bite leur a préparé le terrain. Mais c’est encore plus beau pour la suite. La femme dressée, les yeux fermés, les mains qui se caressent les seins et tord ses tétons, comme si elle voulait détourner son attention de ce qui se passe en bas. Mais les soupirs, le « ohhhhh » sans fin ne peuvent mentir alors qu’ils accompagnent la lente disparition de la queue.
Voilà c’est fait. La belle est assise sur les cuisses d’Éric. Elle paraît surprise d’avoir réussi cet exploit et son ventre qui bouge lentement semble en comprendre la réalité.
Je suis à côté, mais elle ne me voit pas. Maintenant c’est Éric qu’elle regarde alors qu’elle ondule sur lui, puis qu’elle commence les longs mouvements sur l’engin qu’il lui offre. Elle se penche sur lui, les bras en appui afin de se baiser langoureusement. Moi, je me lève. Par-derrière, la scène est encore plus belle. Voir la longue tige apparaître et ne jamais quitter totalement la tiédeur de la grotte.
Le petit cul m’attend. D’un geste je force la pute à s’allonger sur son amant. Tout m’est dévoilé et je me penche. Ma langue joue avec l’anneau, le titille, l’apprivoise. Il est déjà humide de ma salive, reconnaît son envahisseur d’hier, mais autre chose m’attire. À portée de langue ! À portée de bouche ! À portée de main ! Je ne résiste pas au plaisir de la découverte. Lécher le peu de tige qui n’est pas au chaud. Caresser les couilles. Elles sont douces, gonflées, pesantes. Je ne me sens pas "homo", mais juste curieux. Curieux, mais aussi admiratif.
Je ne sais si Maryse sent ma curiosité, mais toujours est-il qu’elle bouge assez pour que la bite soit libérée. Alors je fais ce que je n’aurais jamais pensé être capable ni même avoir imaginé. Je pose mes lèvres sur le bout. Il sent l’odeur de la femelle. Je m’essaye à le gober un peu plus. Pour la première fois de ma vie, je suce un homme. C’est chaud, vivant, palpitant. Bien vite le gland heurte le fond de ma gorge et je comprends pourquoi ce n’est pas si facile de pomper une belle bite.
Que pense Éric ? A-t-il de la réticence à se faire pomper par un mec. Je ne le vois pas. En tout cas il ne se refuse pas. Au contraire, de petits coups de reins montrent qu’il veut se faire gober encore plus.
Je joue à la salope encore le temps de quelques montées et descentes. Et puis je reviens à la réalité. Je guide la femme afin qu’elle revienne s’empaler.
Moi, je suis chaud bouillant, même pas honteux de ce que je viens de faire, au contraire. Ma bite se place toute seule. Je cherche un moment le bon appui entre les corps de mes partenaires. Et puis, je pousse. Je pousse.
« Ohhhhh », dit la femelle. « C’est gros », constate la pute. Mais non, ce n’est pas gros ! Hier, ton cul n’a pas protesté de mon invasion ! C’est juste que la grosse bite d’Éric refuse de me céder la place. Mais je l’apprivoise et ma queue rampe contre la sienne, bâton que si peu sépare du mien.
Nous ne faisons plus qu’un. Parfaite communion des corps. Doublement possédée, cette femme ne s’appartient plus. Elle est notre jouet. Mais un jouet plein de vie. Et si nous lui laissons le choix des mouvements, c’est afin qu’elle se sente pleine de nos queues. Bâtons durs, mais flexibles, lui permettant toutes les audaces, toutes les contorsions.
Mais ce petit jeu à ses limites. Les miennes arrivent et j’impose un instant mon rythme. Je laboure ce cul ouvert, mais qui débouche dans une grotte étroite. Je me frotte à la queue d’Éric et c’est bon. Je m’active avec entrain. Chacune de mes poussées fait bouger mes partenaires. Enfin je sens que ma sève monte. Je m’immobilise, enchâssé au plus profond et déverse enfin tout ce désir accumulé. Je souille à nouveau les entrailles de Maryse. Je me sens libre, libre de crier ma jouissance par des « C’est bon ! C’est bon ! Quel cul ! »
Et puis je me retire, guettant cet instant où mon foutre apparaît. Mais Maryse en veut plus. À peine libérée de la cheville qui limitait ses mouvements elle se baise sur Éric. C’est une cavalière qui saute les obstacles, enchaînant les figures, retombant sur les cuisses de sa monture, tirant des gémissements à l’homme qu’elle chevauche. Et puis la jouissance arrive. Tous deux cherchent à la rendre synchrone. Je dois féliciter Éric de savoir se retenir ainsi et apporter son édifice à celui de la femme.
C’est beau ce sourire et ces yeux brillants. Aucune parole ne pourra jamais remplacer cela. Maryse est heureuse, comblée par ses deux amants. Mais ce n’est que le début. Deux amants qui vont la combler pendant toute cette journée.
Le lendemain c’est une inconnue que je croise dans le couloir et qui part avec sa fille. Adieu, belle Maryse. Je te souhaite tout le bonheur possible. Ton mari ne te mérite pas et cette infidélité de deux jours, c’est par sa faute. Ne te sens pas coupable.
----------------------------------
Mais, alors que je pensais avec nostalgie à cette aventure, je reçois ce message :
Cher Franck.
Tu dois être étonné de recevoir de mes nouvelles après de si longues semaines. Tu as dû penser que nos échanges de 06 et de mails n’étaient que symboliques. Mais je veux te raconter mon retour.
Après ce doux et si intense séjour à la montagne, grâce à toi et à Éric, je n’ai pas pu retrouver les mauvaises habitudes avec mon mari. Alors j’ai pris le taureau par les cornes. En résumé, je lui ai dit que :
– J’en avais marre d’être surveillée sans raison.
– J’en avais marre de servir de « faire valoir » pour ses affaires en m’exposant, mais surtout en me le reprochant après.
– Que s’il continuait ainsi, alors il aurait toutes les raisons de se sentir cocu, car j’allais me taper les mecs qui me mataient avec envie alors que mon mari me délaissait.
– Que d’ailleurs, au ski j’avais rencontré quelqu’un et que j’avais couché avec.
– J’ai parlé de toi, pas d’Éric, en parlant de quelqu’un qui m’avait aidé et qui avait su me séduire. Me séduire au point de me rappeler combien c’était bon de faire l’amour.
– Sans donner tous les détails, j’ai parlé du GPS qui n’est pas assez précis et qui m’a permis de passer un après-midi avec un amant.
– Tu vois, même en me surveillant de si près, si je voulais te cocufier je pourrais… ai-je dit pour bien enfoncer le clou.
Après, comme il ne disait rien, je me suis faite « câline ». Et pour une fois il n’a pas résisté. J’ai tout donné et nous avons fait l’amour pendant des heures.
Le lendemain, le soir à son retour de travail je l’attendais très provocante, un peu pute, comme lorsque je le recevais du temps d’escort. Je sais que c’était un peu quitte ou double. Si vraiment c’est mon passé qui le travaillait alors il n’y aurait rien à faire. Par contre si c’était une autre raison dont nous pourrions parler plus tard, alors tous les espoirs étaient permis.
Il a apprécié. Mais alors qu’on venait de baiser, il m’a dit :
- — Tu sais, je n’ai pas cru ton histoire avec ce Franck. Tu as tout inventé, mais tu avais raison.
Alors j’ai eu une idée saugrenue. J’ai pensé à la légende de Shéhérazade, celle qui racontait toutes les nuits une nouvelle histoire au sultan afin de ne pas périr.
- — Je peux te raconter comme cela s’est passé, tu jugeras.
- — Mais oui, ma chérie, raconte-moi comment un homme t’a séduite au point de coucher avec toi.
Je voyais bien qu’il ne me croyait pas. Mais quelle importance ? Après tout ce qui comptait, c’est que nous puissions parler de cocufiage sans cette lueur dans son regard qui me terrifiait avant.
- — Oui, il s’appelait Franck. Bel homme, sportif et c’est sur la route que…
Je me suis efforcée de tout dire, surveillant mon mari du coin de l’œil pour voir sa réaction. Et ce que j’ai vu m’a rassurée. Il ne disait rien lorsque j’ai parlé du stratagème de l’appart’ voisin, de la façon dont je me suis préparée pour aller te rejoindre, de notre premier baiser…
On était sur notre lit. Moi en appui, presque assise, légèrement tournée vers lui, et lui allongé. Au bout d’un moment, j’ai remarqué qu’il avait une érection. J’en étais au moment où, en cavalière sur toi, il m’avait appelé au téléphone. Sans réfléchir, j’ai rampé vers lui et je me suis empalée sur sa queue, mimant la conversation tout en ondulant sur son mandrin.
La suite, tu la devines. Alors, chaque soir j’ai fait ma Shéhérazade, introduisant Éric dans mes récits. C’était une évidence, mon mari bandait de se savoir cocu, même si ce n’était pour lui qu’en pensée.
J’étais heureuse. Nous avions retrouvé un équilibre. Jeux un peu pervers, mais si bons.
Mais un dimanche midi où nous allions recevoir beaucoup d’amis et de relations, j’ai été stupéfaite de l’entendre dire :
- — Tu sais chérie, je compte sur toi pour t’habiller sexy, comme j’aime. Mais si tu en as envie, j’aimerais que tu séduises un de nos invités.
- — Séduire, mais que veux-tu dire ?
- — Séduire et… consommer.
- — Tu veux dire coucher ?
- — Oui
- — Chéri, tu es certain de le vouloir ?
- — Uniquement si tu en as envie. La seule chose que je te demande, c’est de ne pas choisir un ami et surtout de faire signe.
- — Te faire signe ?
- — Oui, je voudrais te voir.
- — Mais…
- — Rassure-toi, je ne me ferai pas remarquer et, quoiqu’il se passe, je ne ferai aucun reproche. Je voudrais juste vérifier que…
- — Vérifier quoi ?
- — On en parlera après, d’accord ?
- — D’accord.
Cher Franck, j’ai obéi. J’ai choisi un jeune, que je ne connaissais pas. Je l’ai entraîné dans notre chambre. Je n’ai même pas eu besoin de faire signe à Hervé, car il me couvait du regard. Le mec n’a pas compris ce qui lui arrivait. À peine dans la chambre, que je lui baisse le pantalon, que je le suce un peu, question de faire monter la verge, que je lui mette une capote, capote que mon mari m’avait fournie, que j’enlève mon slip, que je remonte ma robe, que je m’agenouille en levrette et que le mec vient me baiser.
Lorsqu’il a terminé, je l’expédie avec un « Merci, c’était très bien, mais pas un mot à quiconque ». À peine parti, Hervé sort de la salle de bain qui a deux entrées. Sans un mot, il me positionne comme avec le jeune et me bourre d’une trique énorme.
Voilà, maintenant tout est clair. La jalousie maladive de mon mari n’était qu’une façon de se détourner de ce qu’il rêvait en secret. Voir sa femme avec un autre. Depuis nous avons reproduit, mais en choisissant bien des inconnus pour éviter tout problème.
Cher Franck, tu n’habites pas si loin. Et si tu venais nous voir. Notre maison est grande. Notre chambre d’ami pourrait de recevoir. Je pourrais te rejoindre et si tout va bien pourquoi ne ferions-nous pas, Hervé, toi et moi ce que nous avons fait avec Éric ?