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n° 17825Fiche technique19545 caractères19545
Temps de lecture estimé : 12 mn
14/03/17
Résumé:  Tombée amoureuse, elle va aller loin dans les expériences pour plaire à son amant...
Critères:  fh fhh hplusag extracon caférestau amour fsoumise noculotte intermast fellation cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Mimi6c  (La revanche d'une femme qui reprend sa vie en main)      Envoi mini-message
La revanche d'une blonde

Assise devant un Coca light dans la salle au trois quarts vide du Café Bellecour, Dominique attend son amant. Mélancolique, elle laisse sa pensée flirter avec un passé récent, le début d’une histoire compliquée. Elle revoit très clairement ce soir de février dernier où tout a commencé.


Dans le salon douillet du chalet, Pierrot sert le café et prépare la suite, « la corbeille de fruits » comme il dit : alcool de mirabelle, de poire, marc de Bourgogne et autres friandises. Rien de tel pour se remettre d’une belle journée de ski. Philippe, Pascale, Loulou, Serge, Jean-Louis et Évelyne, la femme de Pierrot, confortablement lovés dans les nombreux canapés, discutent vivement. Les exploits du jour sont largement commentés : descentes rapides, prises de carres, schuss intrépides, chacun a son histoire à raconter. L’alcool aidant, les discussions se font plus vives, les voix plus fortes. On remémore à d’aucuns leurs chutes spectaculaires ou le retard pris sur les copains dans certaines descentes.


Martine est à l’étage et s’occupe de coucher les enfants. Avec Loulou, ils n’ont trouvé personne pour garder leurs trois garçons.


Dominique se revoit finir de ranger la vaisselle, seule dans la cuisine. Que c’est bon, le calme après une journée de plein-air où elle a un peu skié sur des pistes faciles, s’est beaucoup promenée dans la station et fait du ski-bar avec Martine en attendant la fin des cours des garçons. Le lointain brouhaha des conversations du salon la rassure, et les efforts physiques de la journée la plongent dans une douce léthargie. Elle apprécie son sweat-shirt long de chez Chantal B. Cette marque crée vraiment de super vêtements très agréables à porter. Elle ne porte pas de sous-vêtements, le sweat-shirt, vraiment très épais, couvrant ses jambes quasiment jusqu’aux genoux. Le soir, elle ne supporte ni culotte ni soutien-gorge.


Perdue dans ses pensées, elle ne s’aperçoit pas tout de suite de la présence de Philippe dans la pièce. Aussi sursaute-t-elle lorsqu’il rompt le silence :



Dans le mouvement, elle se tourne et se hausse sur la pointe des pieds pour ranger les deux verres dans le placard du haut. Ceci a pour effet de remonter son sweat et découvrir ainsi le haut de ses cuisses. Philippe, qui s’est approché d’elle, relève le tissu pour découvrir ses fesses. Instinctivement, Dominique se retourne et le gifle sans retenue.



Tout en parlant, il s’est encore approché d’elle. Dominique est maintenant coincée contre le plan de travail et elle ne sait pas trop comment se dégager. Elle ne pourra pas lutter physiquement contre cet homme dans la force de l’âge et se dit que si elle crie, elle va rameuter les autres dans le salon et cela va provoquer un scandale, peut-être même une bagarre. Philippe lui maintient les poignets d’une main. L’autre, qu’il a habilement glissée sur le sweat, explore le corps de la belle, les fesses, le ventre, s’attarde sur un sein bien ferme et plein. Sous la caresse, le téton se dresse.



Il l’embrasse dans le cou, cherche ses lèvres. Sa main, redescendue vers son ventre, malaxe fermement ses fesses, cherche à se glisser entre ses cuisses.



Dans un mouvement pour se dégager, elle a légèrement écarté les cuisses et Philippe en profite pour y glisser sa main libre. Elle ne résiste pas longtemps à la main experte qui fouille son intimité. Sans trop savoir comment, elle se retrouve assise sur le plan de travail, les cuisses écartées, la langue de Philippe ayant remplacé ses doigts. Dominique est bouleversée, terrorisée à l’idée que quelqu’un pourrait surgir par la porte de la cuisine, mais totalement incapable de se soustraire à la caresse. Elle est rapidement submergée par un violent orgasme, son corps tremblant de tous ses membres, se mordant une main pour ne pas hurler.


La prenant par la taille, Philippe la repose sur le sol, la retourne et soulève son sweat. À la vue des deux masses blanches de ses fesses, son excitation est à son comble. Dégageant rapidement son sexe, il s’enfonce en elle sans rencontrer de résistance, trempée comme elle est.



Il commence un mouvement de va-et-vient, les mains bien agrippées à ses hanches généreuses, d’abord lent puis de plus en plus rapide. Alors qu’elle sent monter l’ivresse du plaisir, Philippe lui assène deux claques sur une fesse et, dans un râle rentré, explose en elle. Après s’être prestement retiré et avoir rangé son matériel dans son pantalon, il lui fait une petite bise sur la joue, rabaisse son sweat-shirt et s’en va retrouver ses potes dans le salon, non sans lui avoir susurré un « Tu vois, ce n’était pas si mal ! » à l’oreille.


Dominique reste seule dans la pièce, prostrée, essayant de comprendre ce qui vient de lui arriver. Des larmes de colère inondent son beau visage. Elle est furieuse. Furieuse contre ce mufle qui l’a prise comme un soudard en campagne, furieuse contre elle-même de n’avoir pas su résister. Furieuse, humiliée et frustrée aussi.


La semaine s’est terminée dans une ambiance un peu bizarre pour Dominique. Pas simple d’éviter Philippe, ne pas laisser transparaître de malaise vis à vis des autres, surtout Pascale, la femme de Philippe, et Jean-Louis, son propre mari. Bref, trois jours de souffrance.


Au retour à Lyon, Philippe l’a rapidement contactée. Elle l’a éconduit. Fermement. Mais il a insisté. Longtemps. Elle a fini par accepter d’aller boire un verre un après-midi. Ensuite, tout s’est enchaîné : les bons restos, les pubs sympas et, bien sûr, le premier hôtel de charme.


Cela fait maintenant plus de sept mois que Dominique gère tant bien que mal sa double vie. Philippe lui a complètement retourné la tête. Avec lui, elle passe des moments merveilleux, des après-midis très câlins dans des endroits charmants. Mais il peut aussi se montrer distant, ne la touchant pas pendant plusieurs jours. Quelquefois, leurs rendez-vous se limitent à une pipe rapide sur la banquette arrière de son superbe coupé, la laissant totalement désemparée. C’est évident : il l’a harponnée, a pris totalement le dessus dans la relation. Elle est prête à tout pour qu’il comprenne que son bonheur est auprès d’elle. Certes, ses revenus d’hôtesse à temps partiel dans un club de fitness n’ont pas grand-chose à voir avec le salaire conséquent de Pascale, mais elle sait qu’elle a d’autres atouts. Elle est plus jolie, plus sexy, plus marrante.


Un jour qu’après l’amour il évoquait les soirées chaudes lyonnaises, elle lui avait fait comprendre qu’elle n’était pas contre les expériences et qu’elle était même prête à le suivre dans un club échangiste si tel était son désir. Prête à tout, du moment que c’était avec lui.


Aujourd’hui, ils ont un rendez-vous un peu particulier. Il y a quelques semaines de cela, alors qu’ils sont dans son coupé sport, Philippe lui explique qu’un de ses amis, croisé un soir par hasard dans un pub, a flashé sur elle. Ce vieil ami est aussi un de ses plus gros clients, et il lui est redevable d’elle n’a pas saisi quoi. Elle vient de comprendre qu’il lui propose ni plus ni moins qu’une partie à trois.



Sur ce, il la dépose devant la première bouche de métro et démarre sur les chapeaux de roues. Après quelques jours sans nouvelles, n’y tenant plus, Dominique appelle Philippe. Pas de réponse. Elle souffre à en crever ; cette histoire ne peut pas finir comme cela. À la troisième tentative infructueuse, d’une toute petite voix un peu hésitante elle lui laisse le message suivant : « Bébé, si c’est vraiment si important pour toi, je vais faire un effort. »

Voilà comment elle a rendez-vous aujourd’hui avec l’homme qui fait battre son cœur.


Dominique est brusquement tirée de sa rêverie par l’arrivée de Philippe. Il l’embrasse rapidement sur les lèvres, s’assoit et commande un baby. Il la complimente sur sa tenue, mais ne peut s’empêcher de lui dire qu’il la trouve un peu stricte.



Une fois dans la voiture, Philippe se fait plus câlin, plus amoureux, s’efforçant de la rassurer, lui caressant le genou, remontant sur la cuisse.



Ils sortent de la ville et prennent la direction des monts d’Or.



Dominique essaie d’en savoir un peu plus sur ce mystérieux ami, mais Philippe reste assez évasif, lui expliquant simplement que Daniel (Ah, il s’appelle Daniel !), cadre sup dans une grosse boîte cliente de la petite société de Philippe, approche de la cinquantaine. Il vit séparé d’avec sa femme et a deux ados insupportables qui vivent avec leur mère. Tout en discutant, ils arrivent à hauteur d’un grand portail vert qui s’ouvre automatiquement. Seraient-ils attendus ?


Philippe stoppe son moteur au milieu de l’allée ; ils sortent de la voiture au moment où un homme de taille moyenne se précipite vers eux. Il a les tempes grisonnantes et un physique agréable, plutôt sportif.



Sans attendre la réponse, il lui claque deux bises appuyées sur chaque joue puis embrasse également Philippe. Dominique, portée par le tourbillon de cette arrivée, se retrouve confortablement installée dans un canapé au milieu d’un salon meublé avec goût. Sur sa droite, des baies vitrées dévoilent un extérieur bien entretenu ; de l’autre côté, Dominique peut voir la cuisine ouverte sur le salon. Au centre, une cheminée où dansent quelques flammes. Bien qu’il ne fasse pas froid en ce bel après-midi de fin octobre, cela confère une note cosy et douillette à la pièce. Si ce n’était l’appréhension de ce qui peut se passer par la suite, Dominique se sentirait vraiment bien.


Une bouteille de champagne et une grande quantité de mignardises trônent sur la table basse. Daniel ouvre la bouteille et remplit trois flûtes. Philippe et Daniel monopolisent la conversation. Le but est de la mettre en confiance, aussi a-t-elle droit à moult compliments. Daniel lui pose beaucoup de questions sur elle, sa vie, ses goûts, ses hobbies. Dominique n’a pas l’habitude de boire de l’alcool en plein après-midi, aussi est-elle un peu dans le coton lorsqu’elle croit entendre Daniel dire :



Elle se tourne vers Philippe, cherchant de l’aide de sa part, mais il se contente de l’encourager d’un signe de tête explicite signifiant « Ma cocotte, tu as accepté mon deal ; c’est même toi qui m’as rappelé, alors assume ! »


Sans hâte, ses doigts se portent à hauteur de sa poitrine. Doucement, elle défait le premier bouton de son corsage, puis un deuxième. La chemise s’ouvre, laissant apparaître un soutien-gorge en dentelle noire. Délicatement, sa main droite s’insère dans le bonnet et en extirpe son sein gauche. Elle a de magnifiques seins, ni trop gros ni trop petits, avec des aréoles plutôt petites entourant de jolis tétons.



En disant cela, Daniel a sorti son sexe. Sans regarder Philippe, elle s’avance vers Daniel et prend l’engin dans sa bouche. Elle le suce avec beaucoup d’application ; aussi Philippe, au bout de quelques minutes, se plaint de n’être pas traité de la même manière. « Faudrait savoir ce que tu veux, mon petit gars… » pense une Dominique tout excitée par ces deux queues qu’elle enfourne maintenant à tour de rôle dans sa bouche. Elle se dit qu’elle va finalement passer un après-midi inoubliable.


Philippe la prend par la main et l’emmène devant le plan de travail de la cuisine, lui demande de se retourner et de se pencher sur le plan. Pendant que Daniel se déshabille, il remonte la jupe, découvrant totalement ses fesses.



Philippe baisse ladite culotte, la faisant glisser le long des jambes. Voilà Dominique dépoitraillée, la jupe troussée jusqu’à la taille, la culotte sur les chevilles et son magnifique cul à la merci de deux lascars qui ne se gênent pas de malaxer ses fesses, de donner de petites claques.



Lui aussi s’est désapé entretemps, et d’un coup sec il fait entrer son sexe dans la chatte humide de sa maîtresse.



Aussitôt dit, aussitôt fait. Le corsage et le soutien-gorge volent dans la pièce, la jupe glisse le long des jambes de la belle.



Dominique est emmenée nue sur l’épais tapis du salon. Philippe lui demande de se mettre à quatre pattes.



Daniel la prend en levrette, s’enfonçant d’un coup sec dans sa chatte que Philippe a mise en condition quelques instants plus tôt. D’abord gênée, Dominique est peu à peu submergée par le plaisir. La situation lui ayant été imposée par son amant, elle est d’autant plus libérée dans sa tête qu’elle ne se sent pas coupable de ce qui arrive. Elle n’aurait jamais cru prendre autant de plaisir. Les positions s’enchaînent. Elle est prise par-devant, par derrière. Les deux hommes se relaient dans son sexe, dans sa bouche. Elle ne compte plus ses orgasmes, saoulée de plaisir, ni le nombre de fois où Daniel et Philippe se sont déchargés dans sa chatte, dans sa bouche ou sur sa croupe. Deux fois, trois fois chacun ?


Mais tout a une fin ; le début de soirée approche et il va falloir songer à rentrer. Après une bonne douche réparatrice, Dominique rassemble ses affaires. Tout en se rhabillant, elle songe à ce qui vient de se passer. Elle s’est comportée comme une chienne en chaleur, faisant tomber toutes ses barrières. Déjà avec Philippe, elle avait franchi un palier dans sa sexualité. Mais là…


Depuis son adolescence, elle sait qu’elle plaît aux hommes avec son épaisse crinière blonde, son regard clair et ses formes généreuses. Mais c’est quelque chose qu’elle a toujours eu du mal à assumer, marquée par une éducation stricte entre une mère soumise et un père pour qui une femme ne doit plus travailler à l’extérieur dès lors qu’elle a des enfants à élever. Et puis l’œil mauvais de ces femmes qui ne supportent pas le regard que leur mari porte sur elle. Elles la trouvent bien sûr trop sexy, trop comme-ci ou trop comme ça. Mais aujourd’hui, elle est très bien dans sa tête. Elle a eu la révélation, ou plutôt la confirmation de son tempérament de feu, et elle est bien décidée à reprendre sa vie en main. Elle va travailler à temps plein, divorcer et vivre comme elle l’entend, sans attendre le bon vouloir d’un homme.


Le retour en voiture se fait en silence. Philippe a l’air chafouin. Il a voulu l’offrir en « cadeau » à son ami, mais la manière dont l’après-midi s’est passé le laisse un peu dubitatif. Certes, il a assouvi un fantasme, mais il n’a pas aimé voir sa maîtresse s’éclater à ce point avec un autre homme. Dominique se dit qu’il souffre de jalousie, étant pris à son propre piège. Elle lui prouve qu’elle peut avoir du plaisir avec un autre homme et le lui prouve d’autant plus que Daniel se révèle être un très bon amant. On dirait que le rapport de force a changé dans le couple après cette expérience. Serait-ce la revanche de la jolie blonde ?