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n° 17843Fiche technique13483 caractères13483
Temps de lecture estimé : 8 mn
24/03/17
Résumé:  En déplacement avec son directeur, ma femme se laisse séduire et ensuite veut aller plus loin.
Critères:  fh fhhh extracon collègues danser fellation cunnilingu 69 -extraconj
Auteur : Jacques nostalgique  (Jacques raconte les expériences vécues de sa femme)
Ma femme me trompe

Présentations…


Ma femme et moi sommes nés la même année. Pour l’histoire, elle s’appellera Agnès et moi André. Nous nous sommes connus lorsque nous avions 22 ans. Ce fut le coup de foudre et nous étions mariés six mois plus tard.


Oui ma femme était superbe : 1,70 m, 52 kg, de longs cheveux noirs, un visage ravissant, une jolie paire de seins bien fermes, de longues jambes. Elle avait posé quelques fois pour un couturier. Mais elle était trop réservée, presque distante.


Peu avant notre mariage, nous avons fait l’amour : c’était la première fois pour elle et pour moi ! J’ai découvert que ma femme était accroc au sexe : à partir de ce moment, nous baisions au moins trois fois par jour !


L’histoire :


Elle s’est passée il y a très longtemps et ma femme ne m’en a parlé que plusieurs années plus tard. À ce moment, ma femme avait 30 ans. Suite à ses trois accouchements, ses seins avaient gagné du volume, sans perdre leur fermeté. Son cul s’était aussi arrondi… Elle était encore plus désirable qu’au moment de notre mariage.


Elle était secrétaire dans une entreprise d’importation de cosmétiques allemands. Ayant séjourné quelques années en Allemagne, elle maîtrisait bien la langue, ce qui était un précieux atout. C’est pour cette raison que son directeur lui avait proposé de l’accompagner une semaine à la maison-mère pour négocier un contrat. Ma femme était hésitante : nous n’avions jamais été séparés plus d’un jour. J’ai insisté pour qu’elle accepte : il y avait une promotion à la clé…


Après qu’elle eût donné son accord, le voyage fut programmé pour le lundi suivant. Nous nous levâmes très tôt : prévoyant une longue période d’abstinence, nous baisâmes pendant une heure. Et ma femme avait les yeux mouillés quand elle entra dans la voiture de son directeur.


Le voyage devait durer huit heures, sans compter les pauses et le repas de midi. En bavardant, ils s’aperçurent que, sortis du contexte du bureau, ils ignoraient tout de leurs familles respectives, de leurs goûts, de leurs divertissements. Un moment donné ma femme eut un coup de pompe et s’endormit.


Son directeur jeta un coup d’œil différent sur sa secrétaire : comme d’habitude, ma femme était habillée très classique : veste, chemisier sage, jupe droite au-dessus du genou, des bas, des souliers avec un talon de 6 cm. En s’étendant, la passagère fit remonter sa jupe. Son directeur, agréablement surpris, admira les jolies jambes dévoilées jusqu’à la limite de ses bas. Il ne put résister à l’envie de caresser cette peau nue et remonta encore la jupe, suivant une attache du porte- jarretelles en dentelle noire. Sa secrétaire devait être très sensible : elle gémit. Il n’avait jamais remarqué combien elle était sexy. Il se promit de croquer ce fruit pendant leur séjour.


Ils arrivèrent à la nuit tombante, mangèrent rapidement et se retirèrent dans leurs chambres respectives qui avaient été réservées par la société. Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, ils se rendirent au siège de la société. Ils furent accueillis par le président que ma femme n’avait jamais vu. Elle s’étonna : alors qu’elle imaginait rencontrer un vieux bedonnant, elle se trouvait en présence d’un bel homme d’une cinquantaine d’années, élancé, musclé, aux yeux vifs qui s’attardèrent sur sa silhouette. Dans un grand sourire, il lui tendit la main qu’il garda un moment et la complimenta sur sa beauté.


Matinée de travail. Déjeuner décontracté. Après-midi libre, mais le président les invita à un dîner-dansant le soir. Jacques (son directeur) demanda à ma femme si elle avait prévu une robe de soirée. Sur sa réponse négative, il lui proposa d’aller en acheter une en ville, aux frais de la société. Ils se rendirent donc dans un magasin de haute couture du centre-ville.


Jacques lui proposa plusieurs modèles qui avaient tous un point commun : un maximum de peau visible ! Il lui expliqua que le président aimait les femmes sexy et que lui plaire pouvait aider à la signature du contrat. Finalement, devant l’insistance de son patron, elle se décida pour une robe longue rouge, fendue des deux côtés jusqu’à la hanche et retenue par deux bretelles étroites qui étaient attachées dans le cou. Il était évidemment impossible de porter un soutien-gorge ! À leur arrivée au club, le président complimenta ma femme qui était la reine de la soirée, dit-il.


Le buffet était copieux, les vins délicieux et ma femme en but quelques verres. Elle était entourée par des hommes chaque fois qu’elle se rendait au buffet… Elle ne réalisait pas qu’en se penchant les bretelles de sa robe se détendaient et, de côté, on pouvait voir distinctement ses seins et ses tétons.


Elle accepta de danser avec quelques collaborateurs du président qui étaient avec leurs épouses et qui se tenaient bien. Le président dansa quelques fois avec elle, mais il prenait à chaque fois quelques libertés : après avoir caressé son dos, ses mains se rapprochaient dangereusement de ses bretelles. Elle demanda discrètement à Jacques d’être son chevalier-servant.


Elle avait bu beaucoup et devait parfois se raccrocher à son cavalier qui la serrait de plus en plus contre lui. Il glissa la main sous la bretelle de sa robe. Elle le repoussa, surprise. Il revint à la charge, caressa ses joues, ses épaules. Elle se sentait bien, une douce chaleur l’envahissait. Quand une main reprit son sein, elle ne réagit plus. Les doigts trituraient maintenant son téton. Elle ne put retenir un profond gémissement. Quand la bouche de son directeur effleura la sienne, elle ne s’écarta pas. Elle se laissait aller contre son épaule pendant qu’il excitait ses seins.


Elle sentit que son slip était trempé. La tête lui tournait, elle demanda à son cavalier de la ramener à l’hôtel. Après s’être excusés auprès du président, ils partirent. Leurs chambres étant voisines, il accompagna Agnès jusqu’à sa porte, lui souhaita bonne nuit et déposa un baiser sur sa joue, très près de sa bouche. Elle chercha sa clé, ne réussit pas à l’introduire dans la serrure. Jacques proposa de l’aider et l’accompagna dans sa chambre. Elle se laissa tomber sur son lit et se mit à pleurer. Jacques la prit dans ses bras, sécha ses larmes.



Son directeur la poussa et la coucha sur le lit. Il l’embrassa. Elle ne se déroba pas et finit par ouvrir sa bouche, mêlant sa langue à la sienne. La main de Jacques repassa sous la bretelle de sa robe et il empauma son sein, titillant son téton. Elle se serra d’avantage contre le torse de Jacques et gémit doucement. De son autre main, Jacques ouvrit la fermeture des bretelles de sa robe et laissa glisser celles-ci. Elle avait tout le haut de son corps nu, ses seins pointant fièrement. La bouche de Jacques s’empara d’un téton, le suça pendant que sa main caressait l’autre sein qu’il suça à son tour. Agnès haletait, elle tendait sa poitrine, provocante. Quand Jacques commença à caresser son genou, remontant sur sa cuisse, elle se redressa :



Jacques releva le pan de la robe d’Agnès, découvrant ses cuisses, son porte-jarretelles et son mini slip noir également, transparent : il laissant apparaître sa fente, à peine voilée par sa toison coupée court. Il descendit et embrassa ses cuisses, remontant jusqu’à son slip qu’il lécha, appuyant ses lèvres sur sa fente. Agnès poussa un cri, gémit plus fort, tenta de le repousser :



Jacques agrippa son slip et tira. Elle souleva ses fesses pour permettre son passage, marquant sa capitulation, offrant son sexe sans protection. Jacques dégrafa sa robe et l’enleva. Elle était à sa merci, nue, à l’exception de ses bas et de son porte-jarretelles qui la rendaient encore plus désirable. Jacques embrassa sa chatte découverte, suivit sa fente de ses lèvres, trouva son clitoris et le suça, l’étira, faisant hurler de plaisir sa maîtresse qui se raidit, terrassée par un premier orgasme.



Jacques prit sa main, la posa sur sa bite bien dressée :



Sans s’en rendre compte, elle caressait maintenant cette belle queue et luttait contre l’envie de s’empaler dessus. Jacques s’était glissé entre ses cuisses et frottait sa bite sur son clitoris, puis ouvrait ses petites lèvres.



Sans l’écouter, Jacques poussa et introduisit son gland dans cette chatte bien chaude, dégoulinante de désir.



Agnès s’étonnait elle-même : elle n’avait jamais parlé de la sorte. Elle se délectait de se faire posséder par une si bonne bite.



Lorsqu’il se retira, elle se mit à jouer avec son sexe.



Jacques pivota sur le lit, se mettant en 69. Il se mit à lécher le sexe de sa maîtresse qui gémit de contentement.



Elle approcha ses lèvres de sa queue, embrassa le bout, le prit entre ses lèvres, ouvrit sa bouche et goba la queue qui commençait déjà à se redresser. Instinctivement, elle descendit jusqu’à mi-hauteur. Jacques gémit. Il maintint la tête d’Agnès et poussa brusquement. Elle faillit s’étrangler, chercha de l’air, essaya de cracher puis fit coulisser ses lèvres sur le pieu. Sentant son amant durcir, elle activa le mouvement.



Jacques se remit en position et enfonça sa queue dans cette chatte brûlante. Ma femme haletait, elle joignit ses jambes dans le dos de son partenaire, poussant son ventre en avant. Elle ne tarda pas à se raidir, hurlant sa jouissance…



À suivre