n° 17856 | Fiche technique | 10337 caractères | 10337Temps de lecture estimé : 7 mn | 03/04/17 |
Résumé: Je recherche un couple libertin auprès de qui je pourrais être soumis... Histoire vécue. | ||||
Critères: fhh hbi hplusag fplusag inconnu hsoumis fdomine hmast hgode -couple+h -hsoumisaf | ||||
Auteur : Douxbisex |
En ce moment, j’ai de nouvelles envies. Cela fait quelque temps que je suis inscrit sur le site, et j’ai fait quelques belles rencontres. Cela m’a également permis de découvrir ce que j’aime, ce que je n’aime pas et ce que j’ai envie d’essayer. Dorénavant ma recherche s’orientera vers un couple vers qui je jouerais le rôle de soumis. J’aime cette sensation de pouvoir leur appartenir, qu’ils puissent tous deux réaliser leurs fantasmes les plus vicieux en se servant de moi comme un objet sexuel… Je modifie donc mon annonce en conséquence, et attends un hypothétique retour de mes visiteurs. Malheureusement le temps passe et aucun couple ne me contacte depuis huit jours, seuls des hommes seuls se présentent à moi pour des propositions de rencontres, mais cela ne m’intéresse pas.
Ce soir-là pourtant un message retient mon attention. Il s’agit d’une fiche d’un homme seul, quarante-cinq ans, qui habite à cinquante kilomètres de chez moi. Sa fiche ne comporte pas de photo. Il me dit s’appeler Jacques, qu’il a une amie qui serait très intéressée par ma recherche et que nous pourrions prévoir de nous rencontrer tous les trois ce week-end même. Malgré mon appréhension de ne pas l’avoir vu ni son amie, le désir est plus fort et j’accepte la rencontre.
Arrive à l’heure convenue à l’adresse indiquée par Jacques, j’ai une petite appréhension, car le GPS m’a amené devant l’entrée d’une grande usine. Évidemment à cette heure-ci cela semble vide, le portail est fermé. J’appelle Jacques, car j’ai soudain peur d’une mauvaise blague, mais Jacques me confirme le lieu et le portail s’ouvre devant moi. Il m’indique d’avancer et de contourner l’usine. Je me gare devant un petit logement éclairé, frappe à la porte et entre directement dans la cuisine. Jacques m’attend à la table, nous nous serrons la main et je m’assois en face de lui. Je suis intimidé. Jacques est plus grand que moi, le visage carré et le buste massif, je pense tout de suite à un ancien rugbyman. Il me propose un café que j’accepte, il me tend la tasse puis se rassois.
Puis il me pose quelques questions sur ma vie personnelle et professionnelle. Je réponds poliment et lui retourne ses questions. Jacques est gardien de cette usine, auparavant il a bien été rugbyman puis videur en boîte de nuit. C’est d’ailleurs à ce moment-là qu’il a fait la connaissance de son amie Françoise.
Nous semblons seuls chez lui. Je pense que Jacques a perçu mon trouble et il me précise alors que Françoise n’est pas là aujourd’hui.
Je suis franchement désabusé par cette situation, j’ai l’impression que Jacques m’a menti pour me faire venir, je ne sais pas trop quoi dire… Jacques me dit alors :
Très gêné, je réponds par un faible « oui » et Jacques m’invite alors à finir mon café avant de passer à côté. Nous arrivons dans une petite chambre, juste éclairée par la télévision qui diffuse une sorte de porno gay où de jeunes hommes se masturbent.
Je m’avance à côté du grand lit et je remarque plusieurs sextoy posés dessus : un vibro couleur chair et un rosebud en métal. Je suis partagé entre l’envie de fuir et celle de lui obéir sagement… Finalement Jacques me demande de me déshabiller et de m’asseoir sur le lit. J’ôte mon jean et mon caleçon.
Je m’exécute. Le trouble de la situation fait que je bande bientôt et je sens le regard de Jacques sur mon sexe.
Je sens sa main prendre mes couilles, les soupeser puis il les serre un peu.
Il me branle vigoureusement en serrant le poing, ce qui me fait pousser un petit gémissement.
Je me lève sans me faire prier et me dirige vers la salle de bains. Je me douche vigoureusement en espérant que le jeu en vaille la chandelle et que cette prétendue Françoise existe bien !
Je décide de rester entièrement nu et je sors de la salle de bains simplement avec une serviette autour de ma taille. J’entends Jacques qui me demande de revenir dans la chambre.
Et là, quelle ne fut pas ma surprise de voir Françoise, nue sur le lit, en train de faire des va-et-vient dans sa chatte avec le vibro aperçu tout à l’heure, tout en regardant le porno… Jacques est assis sur une chaise en face du lit. Il me regarde à peine et me dit de m’allonger sur le lit, je m’exécute.
Je suis comme figé, nu sur le lit, en attendant de voir la suite… Françoise retire doucement le vibro de son vagin et se tourne vers moi.
Son regard est d’un bleu perçant, et son sourire chaleureux. Ses cheveux sont roux, coupés au carré, sa peau laiteuse. Elle semble avoir quarante ans. Son corps est très mince et tonique, elle a de très beaux seins avec quelques taches de rousseur et des petits tétons roses qui pointent fièrement. Françoise caresse mon torse d’une main.
Je lui souris sans oser répondre, elle prend alors ma verge en main et commence à me branler pendant que de son autre main, elle me pince fortement les tétons. Nouvelle sensation pour moi, faite de douleur et de plaisir mêlés, tous mes sens sont en éveil et mon gland est complètement trempé.
Puis elle se tourne et se positionne au-dessus de moi. Sa chatte entièrement épilée se rapproche de mes lèvres. Je commence à la dévorer littéralement pendant qu’elle aussi s’active sur ma verge. Je sens les mains de Jacques sur mes cuisses, je comprends alors sa demande et écarte les jambes afin qu’il accède à mon anus. Je sens qu’il dépose un peu de gel puis je sens le contact de quelque chose de dur et froid. C’est le rosebud que j’ai vu tout à l’heure, il l’enfonce jusqu’à ce qu’il soit bien position… Je suis ivre de plaisir et je sens que ma jouissance approche, mais je n’ose rien dire.
Heureusement Françoise arrête ses caresses buccales à temps et se dégage de moi. J’espère avoir un peu de répit, mais elle revient face à moi, ses jambes de chaque côté de mon bassin. Elle positionne ma queue puis vient vigoureusement s’empaler sur mon sexe. J’aperçois Jacques à côté du lit qui n’en perd pas une miette. Je crois qu’il se branle, mais sa queue à l’air minuscule, car je ne la discerne pas dans sa main. Françoise redouble d’activité sur ma bite, je prends ses seins en main et je l’entends dire :
Alors je m’exécute et suce avec vigueur ses beaux tétons roses. Elle ne me laisse pas un instant de répit, la jouissance monte en moi. D’une petite voix, j’annonce à Françoise que je vais jouir :
Et elle amplifie ses va-et-vient sur mon sexe, je ne peux pas retenir cette jouissance qui vient si fort. J’essaie de me dégager de son vagin, mais Françoise ne me laisse pas faire. Je jouis en elle dans de grands râles, mon plaisir est décuplé par le rosebud toujours dans mon cul. Françoise se dégage alors de ma verge. Elle paraît déçue et énervée, je ne sais plus où me mettre.
Elle s’assoit devant moi sur le lit et me dit d’une voix forte :
Je me sens honteux, mais je m’exécute et commence à lécher mon propre sperme sur le drap puis je recueille le sperme mélangé à la mouille de Françoise qui s’écoule de son vagin. Je me sens humilié et excité à la fois.
J’essaie ensuite de remonter jusqu’à son clitoris pour peut-être pouvoir la faire jouir de ma langue, mais Françoise refuse cette caresse et recule son bassin. Je relève alors la tête et vois son visage maculé du sperme de Jacques. Elle descend aussitôt du lit et sort de la chambre, sans doute pour aller se doucher.
Jacques et moi, nous nous rhabillons rapidement sans un mot puis nous retournons à la cuisine. Jacques m’offre un rafraîchissement que je sirote lentement en attendant le retour de Françoise. Celle-ci revient peu après, simplement vêtue d’une serviette autour d’elle. Je les remercie pour ce moment et Jacques me dit qu’ils me recontacteront alors bientôt. Mais la froideur de Françoise lorsque je lui fais la bise avant de partir, me fait comprendre que cette rencontre restera unique…