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Temps de lecture estimé : 42 mn
08/04/17
Résumé:  Les hasards d'un site de rencontre amènent Julien (21 ans) à croiser la route de Carole (44 ans). Récits croisés.
Critères:  fh fplusag fagée gros(ses) grosseins fdomine entreseins pénétratio
Auteur : Bastian      Envoi mini-message
Point de vue

– Lui –


J’ai toujours eu une relation paradoxale vis-à-vis des sites de rencontres : le fait d’avoir pu constater avec des amis que, oui, ça pouvait marcher, faisait que j’y reviens inexorablement, plein d’espoir d’y faire une jolie rencontre. Et puis en général, au bout de quelques semaines, une lassitude m’envahit, je me demande ce que je fais ici, et je me sens un peu ridicule d’avoir été aussi naïf. Je finis donc par me désinscrire, en me jurant à moi-même qu’on ne m’y reprendrait plus. Mais je finis toujours par y revenir au bout de quelques mois, en constatant que la plupart des jeunes de mon âge (j’ai vingt et un ans) sont présents sur ce genre de site, que je rate peut-être quelque chose, que 100 % des gagnants ont tenté leur chance…


Dans l’absolu, je mentirais en disant que ça ne fonctionne pas du tout : je rencontre régulièrement des jeunes filles d’à peu près mon âge, qui m’intéressent plus ou moins. Mais je n’ai encore jamais eu le coup de cœur, je n’ai encore jamais rencontré la fille qui me fera me dire : « elle, je veux la revoir ! » Et c’est ce qui finit toujours par me décourager.


Bref, je suis dans cette phase descendante lorsque je suis en contact avec « Vampirella » qui me dit que mon profil l’a vraiment amusée et que ma description était très distrayante à lire (il est vrai que j’y ai passé beaucoup de temps et que j’en suis assez content). Bien consciente que nous n’avons rien en commun, elle me remercie pour le bon temps passé sur mon profil, me glisse quand même que je suis vraiment mignon sur mes photos, que j’ai l’air d’être intelligent et d’avoir de l’humour, et qu’elle adorerait que son fils soit comme moi plus tard.


Par curiosité, je clique sur son profil, qui me confirme que nous n’avons pas grand-chose à faire ensemble : Carole est une femme de quarante-quatre ans qui s’exprime avec aisance et ne cache rien de sa situation : divorcée, avec un enfant dont elle partage la garde, et qui découvre avec un mélange de curiosité et d’appréhension le monde des rencontres en ligne (ce qui nous fait un point commun, du coup). Physiquement, difficile de se faire un avis : ses photos ne semblent pas toutes récentes. C’est une femme rousse, d’environ 1,65 m, un peu ronde (elle a coché pulpeuse dans sa description). Elle a aussi l’air d’avoir un joli visage, même si la coiffure très typée « années 80 » qu’elle a sur certaines photos me fait sourire. Touché par son dernier compliment, je lui réponds pour la remercier et lui souhaiter bon courage dans la jungle du site, lui avouant être un peu perdu moi-même. Puis, par la suite, je n’y pense plus, voyant juste à nouveau son visage apparaître une fois comme ayant visionné mon profil, juste après avoir envoyé mon message.


Je suis donc un peu surpris quand je vois arriver un nouveau message de sa part, un peu plus d’une semaine après. D’autant plus que je suis vraiment dans la phase où j’attends péniblement la fin de mon abonnement mensuel pour ne pas le renouveler et le quitter pour de bon cette fois, promis juré ! Elle me demande de mes nouvelles, et comment ça se passe pour moi sur le site. Elle m’explique qu’elle, décidément, n’y comprend rien et a bien du mal à se faire à ce système de rencontre en ligne, et qu’elle a l’impression qu’il y a plein de codes et de règles qu’elle ne maîtrise pas. Je la rassure en lui disant que c’est pareil pour moi, et que d’ailleurs, je songe à quitter le site d’ici peu. Elle me demande pourquoi, et me dit que c’est bien dommage : jusqu’à présent, je suis la seule personne avec qui elle correspond et qu’elle aurait envie de croiser pour de vrai, ne serait-ce que pour un café.


Sans doute un peu flatté de susciter un intérêt, même amical, de la part de cette femme d’âge mûr, je ne sais pas ce qui me prend, mais je lui réponds qu’on n’a qu’à le faire… Dans la foulée, elle me propose un rendez-vous dans un petit bistrot qu’elle me dit bien connaître. Je regrette déjà mon précédent message lorsque je regarde l’adresse : c’est à l’autre bout de Paris. Du coup, j’essaye de lui dire que j’ai pas mal de travail en ce moment, un partiel à réviser, la date qui ne me convient pas… Elle insiste gentiment, et me taquine en me rappelant que c’est moi qui l’ai invitée à la base ! Un peu piégé, je finis par accepter de la rencontrer le week-end prochain…


Le fameux jour arrive. Je suis un peu mal à l’aise : j’ai déjà eu des premiers rendez-vous « bof » où j’allais à reculons, mais j’arrivais toujours à me persuader que je pouvais passer un bon moment, que j’aurais peut-être une jolie surprise. Alors que là, je sais pertinemment que j’ai rien à attendre, je me demande même ce que l’on va bien pouvoir se dire. Je me suis désinscrit du site de rencontre, et je ne suis pas retourné sur le profil de Carole. Je suis tenté de lui envoyer un SMS au dernier moment pour annuler, mais je me retiens, par peur de paraître impoli, et je me décide finalement à y aller.


Une vingtaine de stations de métro plus tard, me voilà arrivé aux abords du bistrot dont elle m’avait donné l’adresse. Il n’y a pas grand monde et je trouve facilement Carole, en train de lire seule à une table. Elle sourit largement en me voyant arriver, nous nous faisons la bise avant que je m’assoie à mon tour. Je me dis qu’elle a sans doute un peu forcé sur le parfum, mais en tout cas, les photos n’ont pas menti, même si la plupart d’entre elles devaient avoir quelques années : Carole est une jolie rousse un peu ronde, dont le visage mutin est encadré par un carré court légèrement brushé. Je devine qu’elle est largement maquillée, car sa peau d’albâtre, de là où je suis, ne souffre d’aucun défaut. Pour se rajeunir de quelques années ? Elle porte une jupe mi-longue en cuir bordeaux et de chaussures à talon noires, ainsi qu’un chemisier noir assez large et une petite veste en laine amarante. On voit bien qu’elle a sinon l’âge d’être ma mère, en tout cas qu’elle est bien plus âgée que moi. Je me demande ce que doivent penser les clients autour, tout en espérant ne croiser aucune connaissance, tant la situation me semble bizarre.


Cela se ressent d’ailleurs, car c’est Carole qui fait toute la conversation. La plupart du temps, je me contente d’acquiescer, sans relancer la discussion. En fait, il me tarde que ce rendez-vous se termine, et je ne cherche pas forcément à le cacher. D’autant plus que nous avons remplacé le café par un repas, Carole ayant dit qu’elle avait une petite faim. Je me maudis de ne pas avoir eu le courage de refuser, alors que nous arrivons péniblement au dessert. Je lui dis que je ne prends rien, elle insiste pour jeter un œil à la carte des desserts et jette son dévolu sur une tarte aux fraises en m’affirmant qu’elles sont délicieuses, puis me demande si je suis sûr que je ne veux rien prendre et me glisse le menu sur le table en me conseillant absolument je ne sais quel dessert.


Je m’apprête à refuser poliment quand je réalise tout à coup que le dernier bouton de son chemisier est défait. Comme elle est penchée sur la carte qu’elle me tend, elle m’offre sans s’en rendre compte une vue absolument affolante sur une bonne partie de sa poitrine. Je réalise que le « pulpeuse » de son profil n’est absolument pas usurpé : j’ai devant les yeux la poitrine la plus grosse, la plus volumineuse et la plus lourde que j’aie jamais vue de toute ma vie, en vrai en tout cas… Je ne suis pas un grand spécialiste, mais ça me semble plus gros et plus profond que tout ce que j’ai pu voir jusqu’à présent, sans doute du bonnet E au moins. D’ailleurs, d’où sort cette paire de seins fantasmagorique ? Cela fait plus d’une heure que je suis en face d’elle et je ne me suis douté de rien. Idem sur ses photos de profils, où je me souviens surtout d’avoir vu une femme ronde, voire forte.


En attendant, il faut que je me reprenne si je ne veux pas que Carole me voie en train de loucher dans son décolleté lorsqu’elle relèvera les yeux de la carte des desserts, ce qui serait assez humiliant pour le coup. Je me plonge donc à mon tour dans le menu pour finalement commander ce qu’elle me conseille (une crème brûlée, je crois). Et je m’empresse d’enchaîner sur autre chose, en faisant en sorte que mon regard de n’abaisse pas plus qu’il ne le devrait. Ce n’est pas bien difficile : lorsque Carole se tient droite, du fait de sa chemise ample, on ne devine absolument pas son énorme paire. En tout cas, j’évite à tout prix de regarder, et c’est moi qui, à présent, alimente la conversation, histoire de penser à autre chose.


La fin du repas arrive. Je n’ai pas eu la chance d’en voir davantage, à tel point que je me demande si je n’ai pas rêvé. Une fois sortis, Carole me dit qu’elle a passé un bon moment, que je suis un garçon fort sympathique, et qu’il est étonnant que je n’aie pas de petite amie. Nous échangeons encore quelques banalités devant le restaurant, puis je le lui dis qu’il faudrait que je rentre chez moi, je ne voudrais pas rater le dernier métro (excuse toujours pratique que tous les Parisiens ont déjà utilisée au moins une fois dans leur vie). Lorsqu’elle entend ça, elle prend un petit air moqueur en me faisant remarquer qu’il est à peine 23 heures, et ajoute tout sourire :



Un peu vexé, je lui rétorque que je n’aime pas rentrer chez moi à une heure trop avancée, et que j’ai plein de choses prévues le lendemain.



Je lui dis que bien sûr, il n’y a pas de problème. Dans la foulée, elle m’attrape le bras, et nous voilà partis bras dessus bras dessous, Carole m’assurant qu’il y en a pour dix minutes à peine. Nous continuons à parler de tout et de rien, quand tout à coup je réalise que Carole enserre mon bras et est complètement collée à moi. Au point que mon bras, au gré de notre marche nocturne, effleure régulièrement son sein droit. Voire même s’y frotte complètement. Sa fermeté et sa lourdeur me demandent un petit effort de concentration pour continuer à discuter avec Carole, qui ne se rend compte de rien. Je suis à la fois déçu et un peu soulagé lorsqu’elle me lâche le bras en me disant que nous sommes arrivés. Elle me remercie de l’avoir raccompagnée, et me propose de monter chez elle pour prendre un café. Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, elle ajoute en me regardant d’un air malicieux :



Ah la garce, elle m’énerve ! Je m’apprête à protester, mais elle poursuit dans un rire :



Devant mon air peu emballé, elle ajoute en minaudant :



Carole me fait entrer dans un deux-pièces coquet, décoré avec goût. Elle m’explique qu’elle vient juste de l’acquérir, suite à son divorce : elle souhaitait se rapprocher de Paris et ne voulait pas rester dans la maison de banlieue où elle avait vécu pendant plus de dix ans avec son mari. C’est pour ça qu’il y a encore quelques petits travaux à faire, m’explique-t-elle. Je lui demande où est la salle de bain. Semblant tout à coup se rappeler pourquoi je suis là (« ah oui, l’ampoule ! »), elle se dirige vers une sorte de buffet, en ouvre une porte et s’agenouille pour fouiller dans une espèce de capharnaüm. Involontairement, mes yeux s’abaissent sur son fessier. J’ai toujours préféré les filles menues, et je n’ai jamais eu d’attirance particulière pour les rondes. Mais je me surprends moi-même en m’entendant me dire dans ma tête que Carole me ferait presque changer d’avis. Je réalise que la femme que je trouvais forte sur ses photos de profil, ben que ronde, est en fait superbement proportionnée : il y a sa poitrine imposante, bien sûr, mais il y aussi ces hanches larges, qui mettent en valeur un fessier rebondi, joliment moulé dans cette jupe en cuir. Je sens que le sang commence à me monter à la tête lorsque Carole se relève et me tend une ampoule. Je m’en saisis prestement avant de filer dans la salle de bain. J’ai tout juste le temps d’entendre Carole me dire qu’elle va préparer le café.


Effectivement, il n’y a pas d’ampoule au plafonnier. Je grimpe sur une chaise qui traîne là, et visse rapidement l’ampoule que Carole m’a donnée, en prenant soin de ne pas me casser la figure. Puis je remets la chaise à sa place, et je retourne dans le séjour. Carole n’y est pas, et ne semble pas non plus être dans la petite cuisine qui le jouxte. Pourtant, je vois deux capsules de cafés posées sur le plan de travail et encore brûlantes. Intrigué, je retourne dans le séjour, quand je vois tout à coup surgir Carole de sa chambre, de l’autre côté par rapport à la cuisine, portant un plateau avec deux tasses de café. Enfin il me semble, car tout ce que je peux voir actuellement, c’est qu’elle n’est vêtue que d’une simple nuisette, on ne peut plus moulante et semi-transparente. Involontairement, j’écarquille les yeux, et je sens ma bouche s’ouvrir imperceptiblement, en même temps que le rouge me monte aux joues. Carole arrive devant moi, elle ne dit rien. Elle a un corps magnifique, j’en ai le souffle coupé. Pire, je n’arrive pas à détacher les yeux de son opulente poitrine : ses seins sont vraiment énormes, je n’arriverais même pas à en saisir un avec une main. Du coup, impossible de m’ôter cette image de la tête, et c’est au prix d’un immense effort de concentration que j’arrive à relever les yeux et à vaguement bafouiller qu’il faut que je parle, parce que l’heure, le dernier métro…



Je me rends compte qu’elle est aussi troublée que moi, en tout cas son joli visage d’albâtre est teinté de rouge. Elle me dit qu’elle s’excuse, qu’elle est désolée. Je reste interdit quelques secondes, j’ai l’impression que mon cerveau réfléchit au ralenti. Je ne sais pas quoi dire, et je me dirige finalement comme vers la sortie, un peu comme un automate, alors qu’elle s’écarte pour me laisser le passage, sans oser me regarder ni rien me dire, les mains toujours encombrées par son plateau. En passant devant elle, je ne peux m’empêcher de jeter un dernier coup d’œil vers son décolleté, et ce faisant, je percute le plateau qu’elle tenait au niveau de la taille.


L’une des tasses se renverse, aspergeant mon pantalon de café au niveau des cuisses. La totale. Je me confonds en excuses, Carole fait de même et file chercher une serviette dans la cuisine. Pour éviter que le café sur mon pantalon ruisselle jusque son tapis, je m’assois sur le bord de son canapé. Lorsqu’elle revient, je suis en train d’essayer de limiter les dégâts avec un mouchoir en papier qui traînait dans ma poche. Souhaitant m’aider, la voilà qui commence à tamponner à son tour mon pantalon avec sa serviette !


Pire, pour ne pas se casser le dos, elle s’agenouille devant moi ! Je reste pétrifié : je suis assis sur le canapé d’une quasi-inconnue, elle-même à genoux devant moi, en train de me frotter les cuisses avec une serviette. Ladite inconnue porte en une nuisette on ne peut plus sexy, et est dotée de la paire de seins la plus extraordinaire que j’ai jamais vue de toute mon existence. Réalise-t-elle le côté scabreux de cette situation ? Je pense que oui, car je la vois se figer à son tour, et lever les yeux vers moi, ses pommettes ayant viré à l’écarlate. Je m’apprête à dire quelque chose, n’importe quoi, la remercier, lui dire que ça ira, n’importe quoi pour nous sortir de cette situation. Mais alors qu’elle me fixe dans les yeux, je sens les miens irrésistiblement descendre, comme aimantés par son décolleté, totalement offert juste un peu plus bas, et sur lequel j’ai une vue en plongée irrésistible. De plus, comme en est train de plus ou moins frotter mon pantalon, je vois ses deux gros seins balancer doucement l’un contre l’autre d’une manière hypnotique.


J’ai l’impression que les yeux me sortent des orbites en même temps que les mots se coincent dans le fond de ma gorge. Jusque-là, j’ai plus ou moins réussi à être maître de moi, mais cette fois c’en est trop : je suis pris d’une érection brutale, et en un instant, mon sexe est dur comme jamais. Je suis mortifié, Carole a encore la main apposée sur ma cuisse, elle va forcément s’en apercevoir. Et cela ne manque pas : ses yeux s’écarquillent, puis je la vois sourire, d’un sourire amusé plutôt que moqueur. Elle me dit alors quelque chose, mais mes yeux sont redescendus sur sa fabuleuse poitrine. Impossible de me concentrer, et je ne sais pas du tout ce qu’elle me dit ni ce que je réponds, mais en tout cas, Carole est carrément prise d’un fou rire. Cela a le mérite de me sortir de ma transe, et je me sens totalement ridicule. Carole finit par se calmer, et les larmes aux yeux, me rassure gentiment :



Son discours et son attitude me soulagent, car je n’en menais par large, tenaillé à la fois par la honte et par l’excitation. Du coup, je me sens obligé de la rassurer à mon tour, en lui disant que ce n’est rien et que ne regrette vraiment pas ma soirée. Emporté par mon élan, je lui avoue même que je la trouve très jolie et attirante « pour son âge » (je regrette immédiatement cette précision superflue). Carole n’a pas l’air de s’en offusquer et me demande d’un air amusé :



Je lui réponds que oui et, me sentant obligé d’en dire plus, je lui assure qu’elle aurait tort d’être gênée à cause de sa nuisette, car celle-ci lui allait à ravir et la mettait bien en valeur. Tout en prononçant ces mots, je me répète en boucle tel un mantra : « Regarde-la dans les yeux, regarde-la dans les yeux, regarde-la dans les yeux… » tout en luttant pour ne pas abaisser mon regard. Elle rit de bon cœur, puis se relève lentement. Je suis toujours assis sur le canapé. Elle pose alors ses deux mains sur mes genoux, puis se penche vers moi et vient planter ses yeux droit dans les miens.



Son parfum m’envahit, je ne réponds rien, mon sexe est plus dur que jamais, mais j’essaye de garder la tête froide, et de soutenir son regard.



Carole a assurément retrouvé de la prestance, mes compliments sur son physique lui ont sans doute fait plaisir. Quant à moi, je finis par céder (ce qui m’excite encore davantage) : je bredouille que oui, bien sûr, tout ce qu’elle veut… Et j’abaisse mes yeux sur les deux énormes seins juste devant moi, pour me perdre dans les méandres de leur chair.

Elle poursuit :



À ces mots, doucement susurrés à mon oreille, je deviens fou. Je perds toute retenue, j’abaisse sa nuisette pour faire sortir ses deux gros seins, et je me jette littéralement dessus, avec mes mains, ma bouche, mon visage entier. Je malaxe, je pétris, je lèche, je tète… tout en râlant de plaisir. J’entends tout juste Carole me souffler en deux soupirs :



Tout en lui bouffant la poitrine, je lui réponds que oui, ils me plaisent, je les adore. Ils sont énormes, presque aussi gros que ma propre tête, tout en étant étonnamment fermes, et surtout si lourds…

Carole me laisse jouer quelques minutes, puis saisit l’une de mes mains, qu’elle vient glisser sous sa nuisette pour l’amener sur sa culotte. Elle est effectivement trempée.



J’ai l’impression que ma main bouge toute seule quand elle passe sous sa culotte et enfonce deux doigts dans son sexe. Carole est à présent assise à califourchon sur mes cuisses. Elle a lâché ma main pour venir malaxer mon sexe à travers mon pantalon. Son autre main maintient ma tête contre sa poitrine. Je constate qu’avec Carole, la parole fait partie du jeu. Elle ne cesse de me parler, tantôt en susurrant, tantôt en criant presque. Elle me traite de petit cochon, d’obsédé, ou bien se traite elle-même de salope, me dit qu’elle est ma chienne. C’est nouveau pour moi, je trouve cela bizarre, mais je mentirais si je disais que cela ne m’excitait pas. Je sens qu’elle aimerait que je l’accompagne dans ce jeu, mais j’ai un peu du mal à être grossier avec elle : je me contente d’acquiescer à ce qu’elle me dit entre deux soupirs. Elle finit par se relever et me jette un regard fiévreux qui en dit long. Elle me dit qu’elle veut passer aux choses sérieuses ! Elle s’allonge sur le canapé et écarte les jambes, comme pour m’inviter. N’y tenant plus, j’arrache plus que je n’enlève mon pantalon et mon boxer, et je me jette sur elle. Son sexe est tellement humide que j’entre comme dans du beurre. Je me vautre littéralement sur elle et j’en profite pour encore peloter ses incroyables nichons, tout en donnant des coups de reins vigoureux, afin d’entrer toujours plus loin en elle. Carole me laisse faire, en gémissant suivant le rythme de mes ondulations. Puis elle saisit mes mains d’une manière douce, mais ferme :



Elle poursuit avec difficulté, la voix hachée par les soupirs.



Je me retrouve donc à genoux, les deux jambes de Carole sur les épaules, les mains agrippées à ses cuisses. Position que je ne connaissais pas, mais très intéressante s’il en est ! Et qui semble faire beaucoup d’effet à Carole, qui gémit de plus en plus fort, et se mord même les lèvres pour s’empêcher de crier au fur et à mesure que j’accélère les mouvements de mon bassin. Elle finit par jouir dans un cri de plaisir. Je sens son vagin se serrer par à-coups, en même temps qu’un doux et chaud liquide semble se répandre autour de mon sexe. Carole reste un instant les yeux mi-clos, pendant que je poursuis mon labeur. Pas question qu’elle soit la seule à atteindre l’orgasme ! Mais d’un coup, elle ouvre complètement les yeux, et me sourit tout en me jetant un regard étrange. Puis elle s’extirpe vivement de mon sexe en me disant que si je veux jouir à mon tour, il faudra que je sois un peu plus cochon que ça. Pour le coup, ça me refroidit assez vite, et je lui explique que je ne suis pas vraiment porté par les insultes pendant le sexe.



Dans le même, elle se glisse entre mes jambes, à genoux sur le sol. Puis elle saisit à pleine main son énorme poitrine, qu’elle vient littéralement déposer sur mon sexe.



Je lui confirme que non, ce n’est pas trop mon truc.



Devant ce spectacle irréel, je commence rapidement à rebander.



Puis tout à coup, elle me demande :



Je lui avoue en souriant que non, j’étais loin de m’imaginer vivre ça ce soir avec elle. Elle me lance alors un grand sourire, et j’ai un frisson (de plaisir ?) qui me parcourt l’échine lorsque je l’entends me dire :



Je reste interdit un moment. Devant mon air ahuri, alors qu’elle est toujours en train de me branler, elle commence à raconter :



J’ai du mal à rester concentré, mais j’essaye de l’écouter. Mon sexe est à nouveau dur comme jamais. Carole poursuit :



En disant cela, je sens Carole presser davantage sa poitrine autour de mon sexe. Je suis choqué de l’entendre parler ainsi, mais je ne peux retenir un petit gémissement de plaisir.



Carole me raconte ça comme si c’était une évidence absolue, tout en me regardant un grand sourire aux lèvres. Elle fait toujours glisser mon sexe entre ses seins. Encore bien humide du rapport juste avant, il coulisse parfaitement. De mon côté, je suis interloqué : non seulement elle m’avait vu regarder son décolleté, mais en plus elle l’avait fait exprès. Paradoxalement, je me sens à la fois honteux et excité. Et ce n’est pas fini :



En l’écoutant, je me rends compte qu’elle dit la vérité : je le lui concède entre deux soupirs.



Encore une fois, je réalise qu’elle a raison, qu’elle l’a fait exprès. Je n’arrive même plus à former des mots avec ma bouche : je fais non de la tête.



Cette fois, je lui réponds « Oui ! » d’une voix forte. Elle lâche ma queue d’un coup. Toujours à genoux devant moi, ses énormes seins entre les mains, elle me regarde en minaudant :



Des images violentes s’entrechoquent dans ma tête. Cette grosse vache m’a manipulé depuis le début, et j’ai envie de la défoncer ! Je me lève d’un coup et lui colle mon sexe contre le visage. Je perds toute notion de pudeur, et je lui hurle :



À peine a-t-elle pris mon sexe dans sa bouche, que je lui attrape les cheveux et lui impose des va-et-vient brutaux. Elle s’étouffe presque, mais je m’en fous, je veux lui baiser le visage. Elle bave un peu, je sens sa bave couler le long de mon sexe et de mes testicules et j’aime ça. En même temps, je vocifère des insanités, je la traite de tous les noms, je lui dis que oui, j’ai voulu la sauter dès que j’ai vu ses énormes nibards. De son côté, Carole gémit du plaisir d’être violentée.


Tout à coup, j’ôte ma queue de sa bouche, et la regarde. Son mascara a coulé, elle est complètement décoiffée, de la bave autour des lèvres, mais elle sourit. Je n’en peux plus. Je l’attrape, je la retourne sur la table basse devant le canapé et je la prends en levrette. En même temps, je lui hurle mon désir de la manière la plus vulgaire : puisqu’elle est une chienne, je la prendrai comme une chienne ! D’une main, j’attrape une poignée de cheveux, de l’autre je viens attraper un de ses énormes seins. Elle crie de plaisir, me répond que oui, elle est ma chienne, me supplie de la défoncer. Je la pénètre de la manière la plus brutale qui soit. Je suis comme un fou, je ne vois même plus ce qui nous entoure, juste son énorme cul, devant moi. Nous jouissons tous les deux dans un mélange de râles violents, pendant qu’elle balance par terre le plateau et les tasses de café qui traînaient encore sur la table…


Je reste ainsi allongé sur elle de longues minutes. Lorsque je me relève, je suis revenu à moi : comment ai-je pu dire toutes ces horreurs à cette femme ? J’appréhende la réaction de Carole et je veux m’excuser, mais encore une fois, elle me reprend en me souriant gentiment, le souffle encore un peu court :



Nous restons un instant silencieux, elle garde les yeux clos. Puis elle reprend dans un soupir :



Je lui demande si elle n’a pas été choquée par ce que je lui ai dit, elle m’assure que non, bien au contraire :



Elle m’explique alors que tout ce qu’elle m’a raconté avant notre dernière chevauchée sur la table basse était faux, ou en tout cas très exagéré (elle m’avouera quand même avoir sciemment déboutonné son chemisier).



Oh que oui ! Alors que nous allons nous coucher tous les deux, je lui avoue que je n’ai jamais connu quelque chose de si intense sexuellement… D’ailleurs, nous remettrons ça au petit matin (c’est même moi qui me jetterai littéralement sur elle), et même de nombreuses fois par la suite, mais c’est une autre histoire…




– Elle –


J’ai souvent l’impression que la libido des femmes est un sujet totalement tabou dans nos sociétés occidentales soi-disant modernes (et pas seulement chez les hommes). Et c’est encore pire une fois que l’on est mère et/ou que l’on a passé la quarantaine. J’ai le sentiment qu’une fois l’un de ces deux statuts avérés, une femme se doit d’être totalement inoffensive sexuellement. D’ailleurs, quand on ajoute le substantif « de maman » pour désigner quelque chose, c’est pour signifier quoi ? Quelque chose de tranquille, de sympathique et réconfortant certes, mais d’absolument pas palpitant… Même quand on parle d’érotisme d’ailleurs, quand on qualifie de « mummy porn », c’est-à-dire littéralement de porno pour maman un bouquin plus ou moins équivalent aux romans Harlequin que je lisais quand j’avais quinze ans.


Mais sachez une chose, Messieurs : non, vous n’êtes pas les seuls à avoir une libido. Oui, les femmes aussi ont parfois envie de baiser. Et bien plus que vous ne le pensez ! La seule différence, c’est que nous, nous savons nous tenir, et nous n’irions pas importuner quelqu’un qui ne nous a rien demandé. Bref, tout ça pour dire qu’à l’âge de quarante-quatre ans, et d’aussi loin que je me souvienne, dès que j’ai eu l’âge d’être une femme, j’ai eu des envies de sexe, plus ou moins fortes, plus ou moins longues, cela dépendait des périodes.


Et il m’arrive parfois d’être très frustrée. Comme c’est le cas actuellement, notamment depuis mon divorce. Et c’est assez insupportable, car j’ai l’impression que tout mon cerveau se détraque : je suis à la fois nerveuse et irritable (surtout quand on parle de sexe autour de moi), tout en étant lasse et en n’ayant envie de rien (et de tout en même temps, c’est assez difficile à expliquer). Pire, quand j’ai envie de sexe, je ne me promène plus tranquillement dans la rue, de manière innocente. Non, mon cerveau passe en mode radar, et je scanne absolument tout le monde ! Mon regard devient une antenne, je détaille chaque visage croisé, et dans le même temps, je prononce le verdict dans ma tête : « Toi, je te baise ; toi je te baise pas ; toi je te baise ; toi je te baise, mais personne le saura jamais ; toi je te baise dans cinq ans ; toi je te baise y a dix ans ». Bref, chaque pas devient une opportunité de satisfaire ma libido.


C’est à peu près dans cet état que je retombe un peu par hasard sur le profil de Julien. Oui, nous parlons bien d’un site de rencontre, sur lequel je me suis inscrite il y a quelques mois, sur le conseil d’une amie. Pour être tout à fait honnête, je n’en attendais pas grand-chose. Eh bien malgré ça, j’ai quand même été déçue, voire effarée ! Soyons franche : je suis le genre de femme que les hommes ont du mal à regarder dans les yeux. En effet, côté poitrine, dame nature m’a vraiment gâtée, et ma pourvue d’un beau 95 E. Et j’ai pu constater, à quel point elle fascinait les hommes, en presque trois décennies : entre ceux qui jettent un coup d’œil discret, ceux qui en rejettent un second immédiatement, comme pour être sûr qu’ils n’avaient pas rêvé, ou encore ceux qui bloquent complètement dessus… Après, ça ne m’a jamais réellement dérangé, et lorsque c’est le cas, je sais parfaitement remettre les indélicats à leur place. Mais connaissant également la petite nature des hommes face à mes seins, j’ai également appris à m’habiller de façon à les camoufler du mieux possible quand je veux avoir la paix, même si cela m’énerve de devoir en arriver là.


Autant vous dire que je n’ai pas été déçue lors de mon inscription sur ce site de rencontre : à peine quelques minutes après avoir téléchargé quelques photos, je recevais déjà des messages, et pas des plus fins. Je précise que ces photos n’avaient absolument rien de provocant : pas de photos à la plage, aucun morceau de lingerie, tout au plus devinait-on mon imposante poitrine sous un chemisier. Malgré ça, j’ai eu la désagréable impression d’être un morceau de viande jetée au milieu d’une meute de chiens. Du coup, je me suis résignée à mettre les photos les plus tartes que j’avais, où à les cadrer au mieux sur mon visage.


Bref, c’est alors que j’étais plus ou moins en train de maudire la gent masculine et sa veulerie (car je le sais pertinemment, aucun des individus m’ayant envoyé ces messages pour le moins indélicats n’aurait osé s’adresser à moi de la sorte de vive voix) que je suis tombée sur le profil de Julien. Mignon, intelligent, sa présentation pleine d’humour absurde et d’autodérision m’avait fait rire, bêtement, seule devant mon ordinateur. Bon, il avait vingt et un ans, autant dire bien jeune, bien trop en tout cas pour qu’il ne se passe quoi que ce soit entre nous. Je lui avais envoyé un message le plus neutre possible (oui, un message de maman, c’est exactement ce que je me suis dit aussi pendant que je l’écrivais), pour lui dire que son profil m’avait vraiment amusée, que cela me changeait un peu de tout ce que je voyais sur le site, et pour lui souhaiter bonne chance pour la suite. Gentiment, il m’avait répondu pour me souhaiter la même chose.


Et là, aujourd’hui, alors que j’ai l’impression que ma libido suinte par tous les pores de ma peau, voilà que le site me propose de garder contact avec lui, me jetant son joli minois au visage. Je sens mon pouls s’accélérer alors que je clique sur le bouton « Répondre » dans ma messagerie. Carole, qu’est-ce que tu es en train de faire ? Il pourrait être ton fils, non, mais regarde-le !, Mais oui, je le regarde, et la sentence est immédiate : je le baise, je le baise, je le baise, pas dans dix ans, pas dans cinq ans, mais tout de suite ! En plus, je sais que je n’ai qu’une seule chose à faire pour le mettre le petit Julien et toute sa vigueur entre mes cuisses : modifier ma photo de profil et en afficher une qui mette ma poitrine en valeur, juste un petit peu… (Mal ?)


Heureusement, la maman qui sommeille en moi réussit à reprendre le contrôle, et je lui envoie un message vraiment lamentable où je lui demande comment il va, et lui explique que je suis vraiment perdue sur le site… Alors que je suis encore en train de maudire mon manque de témérité, je vois qu’il me répond, gentiment en plus : il me confie que c’est pareil pour lui, et me dit qu’il va sans doute se désinscrire. Oh non, tout, mais pas ça ! Allez Carole, un peu d’audace : affiche ton plus beau décolleté en photo de profil et propose-lui un rendez-vous !, Mais encore une fois, je n’ose pas, par pudeur, et peut-être aussi pour éviter de constater à quel point cela aura été efficace, même avec lui, et le voir devenir un goujat comme tant d’autres. Je me contente de minauder et de lui dire que c’est dommage, que je le trouvais vraiment son profil super…


Allez, soyons folle ! Harcelée par ma libido, j’ose sous-entendre, comme ça, l’air de ne pas y toucher, que j’aurais bien aimé le rencontrer. Alors que je m’attends au mieux à une absence de réaction de sa part, il me répond pourquoi pas ? Oh, mon dieu, jeune inconscient, tu n’as pas idée de ce que tu viens de faire : Carole la maman vient de laisser sa place derrière le clavier à Carole la cougar ! Dans la foulée de son message, je lui propose un rendez-vous dans un café bistrot pas trop loin de mon appartement, des fois que… Hourra, il accepte ! Cette fois, c’est sûr, nous allons bais… nous rencontrer en fin de semaine.


Je passe les quelques jours qui me séparent de mon tout premier rendez-vous virtuel/réel à faire le grand huit émotionnel. C’est encore pire que lorsque j’ai « juste » envie de sexe : j’ai l’impression que ma raison et ma libido font une partie de ping-pong infernal dans mon cerveau. Finalement, le grand jour arrive, et me voilà devant mon dressing à choisir ma tenue. J’hésite, car je sais que c’est en grande partie là que tout va se jouer. Bon, le bas, pas d’hésitation : ma jupe mi-longue en cuir fétiche bordeaux. Elle est classe, et me met en valeur tout en étant confortable. Mais le haut ? Décolleté, pas décolleté ? Je sais à quel point ce point de détail vestimentaire peut faire travailler l’imagination des hommes. Après d’innombrables essais, j’opte finalement pour un sage et ample chemisier noir, qui camoufle assez bien mes formes. Comme ça, je pourrai avoir une conversation normale avec le petit Julien, sans le voir loucher pendant tout le repas. C’est sans doute mieux.


Cela fait une dizaine de minutes que je suis attablée sur la terrasse, une petite laine sur le dos. Je suis arrivée très en avance, pour ne pas avoir à changer à nouveau de tenue ou rectifier encore mon maquillage. Je suis en train de lire lorsque Julien arrive. Mazette, il est encore plus mignon en vrai que sur ses photos. Alors que je me demande comment je vais faire pour ne pas lui sauter dessus tout de suite, nous nous faisons la bise et il s’installe face à moi.


Commence alors un long calvaire. Vous voyez ces repas de famille interminables, où il y a toujours un oncle ou un cousin un peu lourdingue qui n’arrête pas de parler et qui fatigue tout le monde. Eh bien, c’est pareil ce soir, sauf que je suis l’oncle chiant. Et surtout, j’ai parfaitement conscience d’ennuyer tout le monde. C’est-à-dire présentement mon voisin de table, Julien. Il n’a quasiment pas dit un mot de la soirée. Je pense que je ne supporterai pas qu’il y ait un blanc, du coup, je parle, je parle. Et lui m’écoute, acquiesce parfois, toujours en silence. Il n’a pas envie d’être là, ça se voit… Je dois être un petit peu maso, car je parviens à le retenir en commandant une salade (à la base, nous devions juste boire un café).


Nous arrivons au dessert, je suis de plus en plus mal à l’aise. Il ne veut rien prendre, et attend manifestement la fin du repas avec la plus grande impatience. Je me dis que je n’ai plus rien à perdre. Alors qu’il regarde ailleurs (sans doute vers la sortie), je déboutonne discrètement le dernier bouton de mon chemisier. Et je lui fais glisser la carte des desserts sur la table en lui conseillant une crème brûlée, arguant qu’elles sont excellentes. Bien sûr, tout cela n’est qu’un prétexte pour sournoisement me pencher en avant… L’effet est immédiat : je vois le pauvre Julien se perdre dans mon décolleté (pour le coup assez provocant). Ses yeux s’écarquillent, sa bouche s’ouvre même imperceptiblement. Il doit bien rester bloqué une seconde entière sur ma poitrine, avant de se reprendre et de plonger dans le menu que je lui tends. Je ne peux retenir un léger sourire, même si au fond de moi, je m’en veux un peu. Mais qu’importe, le résultat est là : Julien a commandé une crème brûlée, et force est de constater qu’il est devenu bien plus loquace. Je le soupçonne même de lutter pour continuer à me regarder dans les yeux, heureusement, lorsque je me tiens droite, même avec mon bouton en moins, il n’y a rien de scandaleux. Au final, la fin du repas se passe plutôt agréablement, au point que je regrette presque mon manque de courage vestimentaire : le jeune homme blasé est devenu un vrai gentleman, bavard, intéressé par ce que je fais… Ah le pouvoir magique du décolleté ! Il propose même de m’inviter, c’est dire ! (ce que je refuse, toutefois).


Nous finissons par sortir du bistrot, cette fois, je sens clairement que c’est lui qui cherche à prolonger notre rendez-vous. Il me parle bien du métro qu’il doit prendre, mais sans montrer aucune réelle volonté de départ, j’ai plus l’impression que c’est pour se donner un genre. Du coup, j’en profite pour le taquiner sur son âge, ce qu’il apprécie moyennement. Allez, je rattrape le coup en lui flattant son ego : je lui demande de me raccompagner chez moi, prétextant ne pas vouloir rentrer seule. En gentleman, il accepte.


Je profite de l’aubaine pour m’accrocher à son bras (je cherchais depuis longtemps un premier contact tactile), et nous partons tous les deux, comme un petit couple. Cela me fait un bien fou, et je me rends compte à quel point j’avais besoin de sentir la présence, le contact d’un homme. D’ailleurs, cela fait à peine cinq minutes que je m’agrippe à lui et j’en mouille déjà ma culotte, c’est fou… J’essaye de me reprendre et de ne pas lui sauter dessus, mais je réalise tout à coup que je sens son coude frotter légèrement contre mes côtes lorsque nous marchons. Je me dis que je n’ai qu’à légèrement me tourner vers lui pour amener son bras à effleurer ma poitrine. « Carole, Carole, est-ce bien raisonnable ? » me dis-je dans un soliloque. « OUUIII ! » me hurle ma libido à travers tout mon corps. Tout en continuant de parler, je me tourne imperceptiblement vers lui, de façon à ce que son bras vienne au contact de mon sein droit. Encore une fois, effet immédiat : je sens qu’il a soudain bien du mal à articuler ses phrases et à marcher droit. De mon côté, ma température corporelle augmente encore de quelques degrés, en même temps que mon cerveau commence à divaguer en imaginant sa virilité toute raidie par ma faute…


Je vois me faire violence pour ne pas lui sauter dessus lorsque nous arrivons devant chez moi. Je me dis que je dois avoir l’air d’une folle, tellement j’ai l’impression que mon corps implose de désir : le cœur battant la chamade, le teint écarlate et le regard halluciné. Heureusement, il ne remarque rien. Comment le faire monter chez moi à présent ? Le garçon est timide, et je ne le vois pas s’inviter chez moi de lui-même (même si je n’attends que ça). Malgré l’excitation (ou peut-être grâce à elle), je trouve l’inspiration : l’ampoule de ma salle de bain qui a claqué ce matin ! Il me faut absolument un grand gaillard comme lui pour m’aider à la changer, à défaut d’un escabeau (que j’ai dans un placard, au demeurant). Qu’importe, je lui propose un dernier café, et dans la foulée, je lui parle de mon ampoule à changer. Au passage, j’en profite pour le taquiner encore une fois à propos de l’heure tardive (j’ai pu voir que ça le faisait réagir). Et pour mettre toutes les chances de mon côté, alors que je lui expose mon problème d’éclairage, je tente de dévisser maladroitement une ampoule imaginaire, les bras au-dessus la tête le buste en avant. Manœuvre sans doute peu subtile, mais efficace, puisqu’il accepte volontiers de me rendre ce petit service. Évidemment !


J’ai lu il y a peu sur un blog (oui, quand je suis frustrée, j’aime perdre mon temps à lire des citations qui se rapportent au sexe !) cette citation attribuée à Gorges Clemenceau : « le meilleur moment de l’amour, c’est quand on monte l’escalier ». Eh bien, c’est totalement faux : le plus long, le plus interminable, le plus frustrant, oui ! Quand on arrive (enfin !) devant chez moi, ma culotte est littéralement en train de se liquéfier ! Et j’ai l’impression que mes yeux sont comme deux phares qui lui feraient des appels incessants : « baise-moi, allez, baise-moi ! » Sitôt entrés, je lui donne une ampoule et l’envoie dans la salle de bains, prétextant devoir préparer le café. Ce que je fais d’ailleurs, vite et bien : deux capsules dans la machine, et hop. Et maintenant ? Dans quelques minutes, il va revenir. Je déboutonne un, puis deux boutons de mon chemisier. Suffisant ? Sans doute. Mais mon excitation me fait perdre la raison : d’un coup passe devant mes yeux la nuisette super sexy que je me suis achetée juste après mon divorce (j’en avais besoin et envie, ne me jugez pas !) : courte et vaporeuse, en dentelle noire avec un décolleté on ne peut plus provocant, renforcé par un push-up. Je pose les deux tasses de café sur un plateau et je me précipite dans ma chambre en embarquant le tout. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’ai fait tomber le chemisier et la jupe et j’enfile la nuisette. J’en profite pour changer de culotte (celle que je porte est trempée). Le piège est fermé, et je sors de la chambre avec l’assurance d’une reine, qui doit contraster avec les cafés que je m’apprête à servir.


Et puis le drame. Oh, pas un accident bête, une chute idiote, un café renversé. Juste une image, renvoyée par un miroir accroché au mur alors que je dépose le plateau sur la table basse. Celle d’une pin-up plantureuse dont les apprêts traduisent avec évidence l’intention de séduire ? Peut-être. Mais je ne vois qu’une femme de quarante-quatre ans qui s’est mise à moitié nue pour servir le café à un jeune homme de plus de vingt ans de moins que lui qu’elle a rencontré il y a deux heures à peine. Cela me fait l’effet d’une douche glacée. En un instant, Carole la reine cougar laisse place à Carole la maman. Au pire des moments. Car mon regard ne décolle du miroir que pour tomber sur Julien, qui vient de sortir de la salle de bain. Je pense qu’il voulait dire quelque chose, mais le pauvre s’est figé sur place dès qu’il m’a vue. La bouche béante, il a les yeux littéralement rivés sur ma poitrine, que je ne peux même pas essayer de cacher vu que j’ai toujours le plateau et les tasses de café dans les mains. Cette situation m’aurait rendue folle d’excitation il y a cinq minutes à peine, mais là, je ressens juste un immense malaise, et j’ai envie de disparaître entre deux coussins de mon divan. C’est Julien qui rompt le silence, non sans difficultés :



Je ne suis pas mieux lotie : je parviens à peine à bredouiller que, bien sûr, je comprends, que je suis navrée… Après un instant suspendu qui me semble interminable, Julien semble revenir à lui et se précipite vers la sortie. Un peu trop vite, d’ailleurs : je n’ai pas le temps de m’écarter, et le voilà qui percute le plateau toujours dans mes mains. L’une des deux tasses se renverse, arrosant copieusement le bas de la chemise et le haut du pantalon de Julien. Je lui dis que je suis vraiment désolée, il fait de même, je ne sais plus où me mettre. Je me précipite dans la cuisine pour chercher un torchon, de l’essuie-tout, n’importe quoi. Quand je reviens, Julien s’est assis sur un bord du divan pour éviter que tout le café ne ruisselle par terre, et s’essuie comme il peut avec un mouchoir qu’il a trouvé je ne sais où.


Sans réfléchir, je vais l’aider. Et pour cela, je ne trouve rien de mieux à faire que de m’agenouiller entre ses (grandes) jambes pour venir lui essayer le haut des cuisses avec mon torchon… Je fais cela machinalement (je le jure !), et ce n’est que lorsque je vois que Julien a arrêté de s’essuyer et ne bouge plus que je lève les yeux vers lui. Il a le visage cramoisi et me regarde d’un air hébété. Ou plutôt il regarde mes seins, mais je ne peux pas lui en vouloir étant donnée la vue affolante que je lui offre. Vue d’autant plus provocante que mes deux seins ballottent doucement l’un contre l’autre, vu que je suis toujours en train d’essuyer Julien. Je me fige à mon tour, rouge de honte. Mais un peu trop tard : je sens la verge de Julien durcir d’un coup dans son pantalon. Je ne peux m’empêcher de baisser les yeux vers son entrejambe, où je constate qu’en effet, c’est très, très gonflé. Je ne sais pas ce qui me prend (je voulais sans doute rompre ce silence insupportable), mais je ne trouve rien d’autre à lui dire que je suis rassurée parce qu’il « n’a pas l’air de trop m’en vouloir ». Mais quelle conne ! Le pauvre est sur le point de tomber dans les pommes et je luis sors un truc pareil… Mais le pire est à venir, lorsque j’entends Julien me répondre :



C’en est trop pour mes nerfs : je suis prise d’un irrépressible fou rire. C’est comme si mon cerveau voulait se vider de toute la gêne horrible qui me pèse depuis quelques minutes : je ris, je ris, mais c’est en même temps, je m’en veux terriblement, car je me rends bien compte de ce que doit ressentir le pauvre Julien. Et tout en m’étouffant à moitié, j’essaye de lui faire comprendre en bougeant la tête et les mains que ce n’est pas contre lui. Je réussis finalement à reprendre mon souffle et, les larmes aux yeux, je lui dis que je suis vraiment désolée, qu’il n’y est absolument pour rien et que c’est l’absurdité de cette situation qui m’a fait exploser de rire. Surtout, je m’excuse pour ma tenue, totalement inappropriée : je lui explique que je ne sais pas ce qui m’a prise (alors qu’en fait si, c’est juste que j’ai été incapable d’assumer jusqu’au bout…).

Et là, miracle : Julien n’est pas du tout vexé (alors qu’il y aurait de quoi). Mieux, il me dit que ce n’est rien et me rassure gentiment, ajoutant même qu’il a passé une très bonne soirée. Et surtout, il ajoute :



Bon, je crois qu’il a aussi ajouté « pour votre âge », mais son petit sourire en coin son ton « séducteur timide » suffit pour me le faire oublier, et surtout pour me troubler les sens jusqu’au fond de la culotte… Du coup, je feins l’étonnement (à moitié seulement), comme pour l’inviter à continuer.



Je sens qu’il hésite un peu avant d’ajouter :



Je ne peux m’empêcher de rire en voyant que tout en me disant ça, il lutte comme un fou pour ne pas regarder mon décolleté. Mais même un peu maladroits, ses compliments me vont droit au cœur (et aussi un peu plus pas), et m’ont rendu mon humeur joueuse. Tout en le regardant droit dans les yeux, je me relève doucement et je me penche vers lui. Je lui dis que je suis désolée, que je ne voudrais surtout pas abuser, mais que j’ai un tout dernier service à lui demander. Avant qu’il ne me réponde, je pose mes mains sur ses genoux et je lui plante mon décolleté juste sous le nez, tout en lui disant que je comprendrais qu’il refuse, car il est déjà tard, et je ne voudrais pas lui faire rater le dernier métro. Je vois qu’il essaie de résister, au moins une poignée de secondes. Puis il finit par plonger ses yeux dans mes seins en lâchant un réjouissant :



Je n’en peux plus. Je remonte doucement mes mains vers son entrejambe. Tout semble très dur à nouveau. Je finis par craquer à mon tour et je me lâche complètement : je lui chuchote à l’oreille que je suis vraiment très excitée, que ma chatte est toute mouillée et que j’aurais vraiment besoin d’une grosse bite bien dure, là, tout de suite…


Sans un mot, il empoigne mes deux seins à pleine main, les sortant de ma nuisette, tout en plongeant la tête dedans. J’ai l’impression que son sexe va exploser dans son pantalon alors qu’il me pétrit et me lèche les seins. De mon côté, je lui malaxe le sexe à travers son pantalon d’une main. Je passe l’autre sans ses cheveux, pour lui plaquer davantage la tête contre ma poitrine tout en la lui secouant entre mes deux seins. Il bave, je sens sa salive couler le long de mes seins : je lui demande s’il aime mes gros seins, je le traite de cochon, tout cela m’excite encore davantage.


Du coup, j’aimerais qu’il lâche un peu ma poitrine (j’ai souvent rencontré ce problème avec les hommes au lit) pour s’occuper du reste. J’attrape vivement l’une de ses mains que je fourre littéralement dans ma culotte. Pas besoin d’en faire plus, il semble comprendre ce que j’attends puisqu’il enfonce rapidement deux doigts dans mon vagin. Enfin ! Je me sens devenir une chienne en chaleur, je ne me gêne pas pour le dire d’ailleurs : « je suis sa chienne, sa salope, il peut faire de moi ce qu’il veut… » Hélas, trop réservé ou pas (encore) assez excité, mon jeune étalon n’ose pas se lâcher complètement, il se contente de répondre « oui, oui » à ce que je lui dis entre deux soupirs. Qu’importe, je me lève et le repousse doucement, pour m’allonger sur le divan, écartant légèrement les jambes. Il enlève (enfin !) son pantalon et son joli boxer, et j’ai à peine le temps de voir furtivement son gros membre turgescent qu’il se jette sur moi et me pénètre. Ah, vigueur de la jeunesse !


Il en profite pour attraper à nouveau mes seins (comme la plupart des hommes, j’ai l’impression qu’il a découvert un trésor), mais je l’invite plutôt à attraper mes cuisses et à mettre mes jambes sur ses épaules. Il obtempère, et la position n’a pas l’air de lui déplaire. À moi non plus, c’est même l’une de mes favorites, et elle me permet de profiter au mieux des réjouissants coups de reins et de toute la virilité de mon jeune étalon. Je sens son gros membre me pénétrer de toute sa longueur, encore et encore, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Je dois me retenir pour ne pas crier. Puis finalement, je sens l’orgasme arriver, sans pouvoir l’empêcher. J’arrive dans un petit cri de plaisir, bien qu’un peu trop rapidement à mon goût. Lui n’a pas encore joui, et continue donc ses mouvements de va-et-vient toujours plus intenses. Alors qu’il continue de me prendre, me vient une idée délicieusement perverse. Tout en douceur, je l’arrête et m’extirpe de lui. Il n’était sans doute pas très loin d’arriver, car il me regarde d’un air surpris. Je lui dis que s’il veut jouir à son tour, il va falloir le mériter, et se lâcher un peu plus. Un peu décontenancé, il me dit :



Vraiment ? C’est ce qu’on va voir mon chéri, je vais te rendre fou, te faire perdre la tête… Je l’invite à se mettre en position assise, et je viens me glisser entre ses jambes, agenouillées. Puis j’attrape sa queue, et je viens la glisser entre mes seins, en lui demandant si cela ne lui plairait pas d’avoir une femme comme moi sous ses ordres et de faire de moi tout ce qu’il veut.



Tout en le fixant droit dans les yeux, je commence à faire glisser son sexe encore tout luisant de ma mouille entre mes seins. Je lui dis que ça m’étonne de la part d’un obsédé des gros seins comme lui. Il ne réagit pas. Enfin pas sa tête. Car son sexe, lui, est redevenu bien rigide. Puis je lui demande s’il pensait qu’on en arriverait là tous les deux lorsqu’il m’a répondu sur le site ? Moi à ses genoux, en train de lui faire une branlette espagnole ?



Je lui rétorque que c’est parce qu’il est sans doute un peu jeune et encore naïf. Et j’ajoute malicieusement que moi, je le savais, et que c’est ce que j’avais prévu lorsque je l’ai contacté sur le site. Je vois qu’il est troublé, je continue en lui disant que je peux faire à peu près ce que je veux d’un homme avec ma poitrine. Je lui raconte toutes les photos que j’ai dû supprimer pour éviter de me faire harceler, je lui décris celles (fictives) que j’ai failli lui envoyer pour être sûr qu’il finisse dans mon lit. J’exagère à fond mon côté manipulatrice, et j’emploie volontairement un langage très cru (qui me surprend moi-même) : je lui raconte le chemisier déboutonné. Comment je me suis collé à lui dans la rue, tout ça pour le faire bander et qu’il m’accompagne chez moi. Je mens même de manière éhontée lorsque je lui dis que tout était prévu depuis le début, la lampe à changer, la nuisette, le café renversé pour finir à genoux devant lui.


Et surtout, je lui explique comment à chaque fois, j’ai pu constater à quel point ça marchait : comment il louchait sur mon décolleté au restaurant. Comment il était devenu subitement si gentil et serviable après. À quel point il bandait dans la rue, au point de ne même plus pouvoir marcher droit. Comme il s’est empressé de monter chez moi, comme un gentil petit chien… J’en rajoute, j’en fais des tonnes, et en même temps, je continue de le branler entre mes seins, en le regardant droit dans les yeux. Je vois monter en lui un mélange d’excitation, de gêne et de colère. Il est en train de perdre la tête. Je conclus ma démonstration en affirmant que mon plan a parfaitement marché, et que j’en avais la preuve, là, juste entre les seins. Mais surtout, je veux l’entendre de sa bouche, et qu’il lâche prise complètement. Alors, est-ce que mon plan a bien fonctionné ?



Je suis toujours à genoux, j’ai son énorme queue juste devant le visage. Je lève les yeux vers lui, et en minaudant, je lui demande comment cela se fait ?



J’ai un haut-le-cœur, mais en même temps, je suis excitée comme jamais. Je m’étouffe presque alors qu’il m’impose un va-et-vient brutal dans la bouche, tout en me tenant par les cheveux. J’ai obtenu ce que je voulais, il a carrément perdu toute retenue et toute pudeur, et me tiens des propos on ne peut plus explicites :



D’un coup, il retire sa queue de ma bouche, et me regarde avec des yeux de fous. J’ai de la bave qui coule le long de ma bouche, je suis toute décoiffée, mais que c’est bon ! Je lui dis que je suis sa chose, sa chienne. Il m’interrompt :



Joignant le geste à la parole, il me soulève et me retourne littéralement sur la table basse, avant d’enfoncer sa queue dans ma chatte. Je ne peux retenir un cri de plaisir lorsque je sens son bassin venir percuter mes fesses. Jamais je n’ai été prise comme cela, avec tant de fougue et de violence. Il continue à vociférer son désir pour moi, je l’encourage en lui disant que je suis une salope, une grosse vache, tout ce qu’il veut pourvu qu’il me défonce… Très vite, je n’entends plus rien, et je me contente de gémir et d’ahaner comme la chienne que je suis devenue, plus rien ne compte à part cette énorme bite qui semble vouloir me traverser de part en part à chaque nouveau coup de reins.


Je finis par jouir en hurlant de plaisir, alors que je sens le sexe de Julien vibrer et exploser en moi. Dans les soubresauts de son éjaculation, il vient s’affaler sur moi. Nous restons plusieurs minutes ainsi, sans dire un mot, lui sans doute fortement troublé par ce qu’il vient de vivre, moi à récupérer et à reprendre mon souffle. Il finit par se relever doucement. Je me retourne, et je le regarde en souriant, afin de dissiper tout malaise. Il a manifestement repris ses esprits, et semble très gêné par ce qu’il vient de se passer. Bon sang, il est vraiment trop chou, j’aurais presque envie de lui ressauter dessus, là, toute de suite ! Je le rassure, déjà en lui disant à quel point cela avait été bon ; et surtout en lui disant que j’avais largement exagéré ce que je lui avais dit avant qu’il me saute dessus : je voulais surtout qu’il se lâche complètement, et ça m’avait semblé être un bon moyen…



D’ailleurs, c’est lui qui me sautera dessus au réveil pour remettre ça, et je le laisserai faire avec plaisir, cette fois-ci comme les nombreuses fois qui arriveront par la suite…