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n° 17869Fiche technique16128 caractères16128
Temps de lecture estimé : 10 mn
14/04/17
Résumé:  Une amitié entre collègues qui se concrétise.
Critères:  fh frousses collègues voir noculotte fellation pénétratio fsodo
Auteur : Lafurie            Envoi mini-message
Amitié



J’ai toujours travaillé dans des milieux d’hommes, ce qui fait que je suis habituée à leurs allusions graveleuses et à leurs discussions cul, ça ne m’a jamais choquée, d’ailleurs je n’ai jamais été la dernière à en rajouter une couche, les surprenant le plus souvent. De la dernière entreprise où j’ai travaillé deux ans, j’ai gardé quelques contacts, dont Pascal.


Pascal est un homme, petit, gros, pas très beau, mais très sympathique, jovial, enjoué et toujours prêt à rendre service, à me rendre service. Secrètement amoureux de moi, sans doute, bien qu’il m’ait toujours certifié n’aimer que l’exotisme via l’Afrique noire. Moi, qui suis nulle en informatique, il était toujours là pour me dépatouiller et m’aider dans mes périples bureautiques.


J’ai trente-deux ans et lui quarante-deux, nous avions nos bureaux non loin l’un de l’autre, un peu à l’écart du pool de gestion, ce qui a fait qu’on s’est rapidement trouvé des atomes crochus. Même avant d’être mutée pour prendre des fonctions plus hautes, nous avions pris l’habitude d’échanger par mail.


C’est là que ça a commencé. Une discussion sur nos habitudes vestimentaires. « Ne mets pas ça », ou « ça c’est joli », « ouvre un bouton de plus », « ce coloris ne te va pas »… bref, nous nous amusions à faire la critique constructive de nos habitudes vestimentaires. Lui pour sa bonhomie désastreuse envers les femmes quand il draguait, moi pour ma timidité maladive.


Mais vint le temps de mon départ et nous avons dû continuer à discuter sur MSN, par twit et toujours par mails, pour garder le contact et continuer à nous conseiller de façon ludique. Coquins, mais sérieux et toujours soft, nos petits jeux nous soulageaient d’un travail fastidieux et répétitif.


Il a donc continué à me conseiller dans le choix de certains de mes vêtements, en allant jusqu’à me vanner en prétendant que jamais je n’oserais me promener sans sous-vêtements. Piquée au vif et vexée, je lui avais dit que je pouvais le faire sans problème, avouant qu’il me fallait certes un peu de préparation psychologique, mais que j’étais sûre d’y arriver. Durant plusieurs semaines, il n’avait de cesse de me taquiner avec cette histoire. Je lui ai donc proposé de vérifier le samedi même, car je venais en tournée dans sa ville et je savais que je ne pouvais le faire sans le revoir.

L’affaire était conclue, je devais juste aller boire un verre avec lui, uniquement vêtu d’une robe.


Ce jour-là, je portais une robe boutonnée sur le devant, juste au-dessus du genou. Rien de bien provocant. En me voyant me diriger vers lui à la table du box du restaurant, Pascal a rigolé, il m’a fait la bise et en a profité pour me murmurer à l’oreille :



Je lui pris la main et la posais sur ma fesse.



Nous étions presque collés l’un à l’autre et je dois avouer que sa main sur ma fesse, son ventre tout près du mien et sa voix qui murmurait me troublaient. Finalement, nous nous sommes installés au fond du box, quasi invisibles de la salle. Il attendit que notre commande soit servie pour se pencher sur la table et nous parlâmes de tout et de rien. Tels deux amis de longue date que nous étions, à nous raconter nos aventures, nos coups ratés et les quelques réussis, les potins du boulot. Mais après une demi-heure de papotage, il en vint à me demander tout bas :



Je ne lui répondis pas. Je réfléchis en plantant mon regard dans le sien. Fera ? Fera pas ? Oh, et après tout, c’est un ami et je ne risque rien avec nos petits jeux puérils. J’ouvris deux boutons et écartai un peu les tissus. Mes tétons à peine cachés, il rougit en s’apercevant que, là non plus, il n’y avait rien, esquivant même un geste vers l’échancrure.



Doucement, il me prit ma main dans la sienne et commença à me la caresser. La retournant, il en griffa un peu la paume en tournant son ongle doucement.



Et il rigola franchement. Il prit un regard détaché et garda son regard fixé sur sa main qui jouait avec la mienne. Pendant ce temps, je retenais mon souffle, le fixant, ahurie sans même penser à retirer ma main de la sienne. Soudain, je me rendis compte que s’il n’était pas d’une beauté à couper le souffle, ni même beau, il y avait quelque chose de magnétique chez lui, sa voix grave et basse à cet instant précis, ses épaules larges, son côté brut et pourtant doux. Je n’osais pas répondre, il continuait en caressant doucement l’intérieur de mon bras, là où je suis si sensible, qu’il ne connaissait pas.



Je déboutonnai alors trois boutons du bas de ma robe et, me plaçant de profil je croisai mes jambes, lui révélant mon intimité dans l’ombre.



Et alors que j’allai reprendre ma place face à lui, il me dit en me reprenant le bras de ses doigts si doux :



Je ne répondis pas, hypnotisée par ses doigts sur mon bras.



Il ne releva pas la tête, captivé lui par mon entrejambe. Il sourit en me voyant rouge comme une pivoine du coin de l’œil, incapable de lui répondre, incapable de le quitter des yeux.



Ses doigts tourbillonnent lentement sur mon bras m’hypnotisant presque.



Il me lâche la main, et se déboutonne le Pascals.



Et de se contorsionner pour baisser ses Pascals. Son gros ventre cache une partie de son sous-vêtement.



Il sourit penaud, et déboutonne le malheureux bouton de son caleçon. Et extirpe sa queue. Sa petite queue, tendue, raide, humide, mais indubitablement petite.



Je ne sais pas si c’est une remarque adéquate, mais il ne réagit pas et décalotte son gland turgescent. J’écarte un peu plus les jambes pour lui offrir un meilleur point de vue sur ma chatte déjà toute dégoulinante, tant qu’elle perle sur la banquette de simili cuir.

Il hésite, et finit par se tenir le ventre et se branler du bout des doigts sa petite queue au gland violacé. Du coup, je ne peux pas moi-même en rester là, je me glisse un doigt sur la chatte et comme délicatement à me frotter le clito.



Je lui désigne le bord de la banquette de mon côté. Il réajuste son caleçon, s’approche en remontant ses Pascals, et m’interroge du regard.



Je le tire vers moi par le pantalon avant qu’il ait pu le reboutonner. Passe mes mains sur son ventre sous son tee-shirt. Je les glisse sous l’élastique de son sous-vêtement. Et je lui saisis la petite queue. Huit centimètres à tout casser. Je la regarde de près, un gland vraiment gros par rapport au diamètre aussi modeste en proportion, que la longueur de sa queue. Bref, il est vraiment mal proportionné le pauvre. Violacée, turgescente, elle suinte beaucoup et mes doigts sont tout collant de son liquide séminal. Je me baisse un peu, la sens. Elle sent étonnamment bon, un peu sucrée. Je la touche du bout de la langue. Agréable, même si bizarre vu sa taille.



Je prends sa petite bite dans ma bouche, éprouvant l’étrange sensation de ce gland en « bille » sur sa petite tige toute rigide. Je faillis pouffer en pensant que sa queue est comme une Chupachup, mais je sais qu’il se vexerait. Je réussis sans effort à la gober entièrement, malgré son ventre qui m’oblige à me contorsionner. Je donne peut-être douze coups de bouche quand je le sens se raidir et m’exploser dans la bouche son chaud liquide. Il jouit pendant de longues secondes et me tenant les cheveux et en me plaquant contre lui. Craignant d’étouffer avec la quantité impressionnante de sperme qu’il m’a joui en bouche, je gémis et me force à finalement avaler sa semence. Après quelques coups de ventre, il finit par me relâcher, et se cachant le bas-ventre des deux, mains, il me regarde gêné.



Et il se redresse. C’est maintenant à son tour d’être confus et hésitant. Il relâche ses mains de sa queue, laisse retomber son gros ventre qui lui recouvre la queue, et se rhabille maladroitement.



Je ne me souviens plus comment nous nous sommes retrouvés devant l’ascenseur de son immeuble. En attendant qu’il s’ouvre, il se colla derrière moi, une main sur mon ventre et l’autre me tenant simplement un sein. Il embrassait mon cou en collant son bas-ventre contre mes fesses.



Nous sommes entrés toujours collés dans l’ascenseur.



Il passa sans main sous ma robe avant de me laisser souffler et répondre.



Nous arrivâmes enfin devant la porte de son appart’. À peine la porte fermée, il me plaqua face à celle-ci en écartant mes cuisses d’un genou. D’une main, il dégrafe son pantalon que j’entends chuter sur le sol.



Par chance, nous faisions la même taille. Il s’enfonça d’un coup sec en moi, jusqu’à la garde. Je ne pus retenir un cri.



Il resta un long moment sans bouger et se fit pardonner par une longue et douce caresse de ses mains sur mon ventre et mes seins. Il ne tarda pourtant pas à me besogner, ses lèvres dans mon cou. Il pilonna profondément, et à chaque coup de boutoir j’avais l’impression qu’il me clouait à cette porte.


Puis, alors qu’il ne me restait plus suffisamment de force pour crier, il se retira et se présenta devant mon cul. Jamais je ne m’étais fait sodomiser autrement que par un petit jouet ou des petites boules de Geisha. Son petit gland bien humide de ma cyprine me força le cul, il attendit encore quelques secondes et m’enfonça d’un seul et unique mouvement de rein, le reste de sa queue dans mon ventre.


Sensation bizarre d’avoir une queue comme la sienne dans les entrailles, je sentais bien la boule de son gland, mais mon cul n’était pas trop dilaté, bizarre, mais délicieuse.

Il ne tarda pas à jouir pour la seconde fois.

Nous restâmes un moment contre cette porte, il pesait de tout son poids contre moi, mais je n’osais faire un geste.



Je me retournai vers lui. Il eut un large sourire, toute gêne disparue. Je secouai la tête :