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n° 17875Fiche technique30315 caractères30315
Temps de lecture estimé : 18 mn
21/04/17
corrigé 01/06/21
Résumé:  Un homme, une femme, un réveil coquin.
Critères:  fh hplusag hagé fagée exercice humour
Auteur : Gargentua            Envoi mini-message
Un matin coquin

J’ouvre difficilement un œil, la vue est trouble, je fais le point. Le deuxième reste clos.

Un léger ronflement qui vient d’à côté de moi.

Je jette cet œil à demi ouvert vers le réveil, il est 6 h du matin.

Je récupère mon œil, ça peut toujours servir.

Je m’étire, une bonne nuit de passée, j’ai bien dormi.

J’ai mal partout, mais cela veut dire que je suis vivant…

C’est samedi matin, rien de prévu ce matin, je ne me lève pas.

Le ronflement persiste, je tends la jambe et gratte du bout du pied une jambe qui ne m’appartient pas.

Ça râle, elle n’aime pas, je le sais… Mais ce n’est pas ça qui la réveille… Juste elle arrête de ronfler.

Couchée en position fœtale, elle me tourne le dos.

Je me tourne vers la dame, car c’est une dame qui gît à mes côtés.

Ma main droite voudrait se précipiter pour descendre et rencontrer ses fesses bien rondes.

Mais je vais me retenir dans un premier temps et me contenter de lui caresser le dos.

Je lui caresserai les fesses plus tard.

Je rencontre surtout sa chemise de nuit. Un tee-shirt trop grand pour elle. Une espèce de truc en coton. Plus « utile » que sexy.

Je le remonte doucement pour accéder à mon objectif.

Silence total.

Le dos est câliné ainsi que ses flancs. Mais je ne saurais résister plus longtemps.

Ma main droite descend se poser sur le fessier mis à jour.

Une bien belle paire de fesses, bien rondes et bien joufflues, tendres à souhait.

La position que nous avons ne me permet que l’utilisation d’une seule main.

Je commence à pianoter du bout des doigts, ma main va de haut en bas, de gauche à droite, effleure autant que ne se pose.

Je fouille un peu comme si je ne connaissais pas le chemin.

Un de mes doigts va se perdre dans la raie.

Ma main descend le long de la cuisse, je caresse le mollet pour remonter sur le fessier. C’est un va-et-vient incessant et doux qui continue. Les fesses, la cuisse le mollet, le pied …

Le pied pour moi aussi.

Je m’arrête un peu sur ces fesses, je les malaxe légèrement, tout en douceur.

J’essaye d’être tendre, gentil.

Je remets son maillot en place et ma main file vers le haut, je cherche un sein, je le trouve… un seul… l’autre est coincé sous son bras.

Du bout de l’ongle, à travers le tissu je glisse le long de cette demi-poitrine disponible.

« De la tendresse bordel, retiens-toi ce n’est pas un pamplemousse que tu as sous la main. »

Je le soupèse, caresse le mamelon, le titille, je vérifie la rondeur, je ne peux le soulever il est coincé quelque peu… Je passe le bout de mes doigts dessus, je me sens frustré…

Toujours à travers le coton…

Je cherche le deuxième, mais il est trop inaccessible.

Pas grave, je me contenterai d’un pour commencer.

Ma main court sur le tissu, je quitte ce sein pour remonter, j’atteins la nuque, l’effleure, soulève les cheveux, mes doigts passent sous les oreilles délicatement, sensuellement.

Je redescends un étage plus bas, je retourne au téton, toujours tendrement.

Cette fois, je passe sous le linge.

La peau est douce, on dirait une peau de bébé, quel contact agréable…


Elle ne bouge toujours pas, mais je la sens frissonner… petite coquine…

Je m’enhardis et ma main se dirige vers l’entrejambe de façon un peu plus soutenue.

Tout en continuant ma caresse, mes doigts s’insèrent de plus en plus vers son intimité, mais toujours en douceur.

J’arrive à caresser l’entrée de son intimité, mais c’est limite, juste du bout d’un doigt.

Le majeur nécessiterait une longueur supplémentaire, ça aiderait beaucoup…

J’insiste un peu plus longtemps à cet endroit, mais les caresses continuent en tous sens.

Je remonte ma main sur son ventre.

Un ventre bien rond, avec quelques bourrelets que je suis du bout des doigts.

Comme elle est pliée, je ne peux pas toucher son pubis, je remonte donc encore vers les seins.

Là encore, la position n’ayant pas changé, je n’ai l’accès qu’au même, l’autre étant toujours bloqué sous son corps.

Et encore, quand je dis accès…

Là, c’est à travers le tissu que je caresse ce sein.

Le tee-shirt est toujours là.

Je l’ai surnommé « l’anti-baise ».

Le pied, le mollet, la cuisse, les fesses, le ventre avec ses vagues, bien rebondi, le flanc, avec ses coussinets d’amour, le sein.

Ça caresse, mes doigts ne touchent pas, ils surfacent, ils affleurent, de la gentillesse et de la douceur.

Je la sens frissonner…

Enfin un objectif atteint, la réveiller en douceur.


Le tout sans un mot, ni de ma part ni de la sienne.


Un de mes doigts se perd dans la raie de ses fesses, direction sur son petit trou.

Pas de tentative de pénétration, je respecte, elle ne veut pas de « ça », juste un effleurement. J’humecte mon doigt pour que la caresse soit plus douce.

Je sais qu’elle n’aime pas ça…

Mais je sais où je veux en arriver.


Ça paie, elle gémit, elle allonge ses jambes, s’étire, se tourne indiciblement pour se placer sur le dos…

De cette manière, je ne peux plus caresser la partie de son anatomie que je touchais précédemment.


Mais pas de soucis, c’est bien l’objectif que je visais, je voulais qu’elle fuie cette caresse… Et pour la fuir, quoi de mieux que de se mettre sur le dos…

Et en position dorsale, j’ai accès à beaucoup plus de parties de son corps.

Vive moi… des fois je m’aime !

Ma main en profite pour accéder à son pubis. Mes doigts se perdent dans sa toison, je fouille doucement, mais je ne descends pas plus bas.

Je reste dans cette touffe de poils.

Ici pas d’épilation, du vrai, du naturel, du long, du frisé… Que dis-je, une forêt vierge.

Du plaisir au toucher…

Je ne caresse que le pubis, je fais bien attention de ne pas aller plus loin.

Non pas que je me ferais jeter, loin de là, mais il faut faire durer le plaisir et ne pas mettre la charrue avant les bœufs.

Donc chaque chose en son temps, j’ai bien le temps de m’occuper de la partie inférieure plus tard.

Ma main droite se perd donc sur le pubis et le ventre. Je descends le long de l’aine pour finir dans l’intérieur de la cuisse.

Je saisis un peu plus fermement l’intérieur de cette cuisse, et je la fais rouler sous les doigts tendrement, en faisant bien attention de ne pas toucher à sa partie intime…

Jambe droite puis chemin inverse sur la jambe gauche…

Je profite de cette position pour vérifier mon érection, le bout de mes doigts court sur sa peau et le reste de ma main en profite pour faire une caresse à mon pénis.

Tout cela m’a échauffé le sang, et il afflue là où il se doit dans mon sexe.

Je le sens gonfler, mais ce n’est point là le plus important.

Ce matin, je recherche son plaisir avant tout, de la douceur, de la tendresse, de la délicatesse et surtout du respect.

C’est pour les fois où, allant un peu vite en besogne, je la néglige, et où elle pense plus à mon plaisir qu’au sien.

Aujourd’hui, c’est pour elle…

Elle sur le dos, moi sur le côté, ma main droite est libre, mais la gauche est quelque peu bloquée.

Pas grave, je n’ai que peu de marge de manœuvre, mais ça va suffire.

Ma main gauche donc s’empare d’un sein. Bien que je ne sois pas gaucher, j’avoue être doué dans ce cas-là, j’arrive à me surprendre moi-même.

Ce qu’il faut arriver à faire, c’est dissocier ce que fait sa main gauche de sa main droite.


L’une est en train de monter et descendre le long du corps, ventre, pubis, aine, cuisse… et l’autre est en train de caresser délicatement un sein.


Autant avec la main droite la caresse peut être un peu appuyée, voire incisive dans l’intérieur de la cuisse, autant la main sur le sein se doit d’être douce et délicate.

Il faut absolument que ma main droite ignore ce que fait ma main gauche.

L’ambidextrie c’est ça le secret.

Je commence à avoir des fourmillements dans le bras gauche, il est plutôt coincé. Donc fi de cette situation, changeons.

Je dégage mon épaule gauche et libère mon bras.

Ma main gauche remonte le tee-shirt et libère les deux seins que je m’empresse de saisir des deux mains. Ils sont enfin disponibles au toucher direct.

Et ça, ça me fait bander comme ce n’est pas permis.

Si depuis le début j’avais une demi-molle, je vous assure que le contact avec cette peau douce me fait avoir une érection terrible.

« Mais restons concentré… Ne nous égarons pas… »

Sur le dos, ses seins ressemblent à une masse informe, à plat, ils s’étalent comme des œufs au plat immobiles. Mais un de gros zeufs au plat !

Je passe la main en dessous, l’un après l’autre, ils passent à l’inspection, comme si c’était la première fois que je les découvrais.

J’en fais le tour du bout des doigts.

Je redescends sur le ventre, pubis, retour aux cuisses, les mollets sont devenus inaccessible, trop loin, trop bas.

Je ne m’attarde pas, mon plaisir est tout autre…

De nouveau sur les seins, direction les mamelons, pris entre deux doigts, je les roule délicatement.

Elle n’aime pas si je le fais trop fort, aussi y vais-je en toute délicatesse.

La position que j’ai, sur le côté, ne me convient guère.

J’en change pour me mettre à genoux, légèrement parallèle à elle.

Mes mains quittent son corps pour aller se placer sur le lit de part et d’autre de sa poitrine.

Cela me permet d’avoir la tête au-dessus de sa poitrine.

Cette position me permet de lui lécher les mamelons. Du bout de la langue, je titille le bouton rose, je le suce, je l’aspire, je passe de l’un à l’autre, je suis en extase… Je tète…

Je prends mon pied.

Je me perds au milieu de cette poitrine généreuse, je ne sais plus où donner de la tête, je pose ma tête dessus, je les soulève du bout de la langue l’un après l’autre, je les lèche à langue rabattue.

Je tète encore…

Oserai-je le dire, je retourne en enfance !

Elle se saisit gentiment de mes poignets et m’indique que cela suffit, il faut passer à autre chose.

Les jambes s’écartent, sa main prend la mienne et la dirige vers son bas-ventre.

Message reçu fort et clair.

Cette fois, mes doigts titillent le schmilblick, ils se font plus intrusifs. Je descends sur les lèvres que je caresse et remonte sur le clitoris. C’est un lent va-et-vient qui commence.


Son bras se tend et sa main cherche mon entrejambe et le trouve.

Je dors toujours à poil, donc elle trouve facilement ce qu’elle cherchait.

Elle enserre directement mes bourses à pleine main, et malaxe mes testicules. Délicatement dans un premier temps, histoire de les chauffer un peu. Puis de plus en plus fort.

Une douleur m’irradie immédiatement tout le corps, elle ne fait pas semblant.

Mes couilles sont triturées dans tous les sens, et surtout tirées vers le bas. Elles passent dans des doigts experts, l’une après l’autre ou les deux à la fois.

Ne croyez pas que je crie, pas question, j’adore ça. Si je m’écoutais, je me ferais faire ça en permanence. Jouissance cérébrale aussi forte que la douleur (supportable).

Je continue mon exploration de son minou, je ne dois pas être tenté de faire comme elle, je sais que je dois continuer avec douceur, toujours avec délicatesse alors qu’elle m’éclate les couilles…

Chaque fois qu’elle éprouve un soupçon de plaisir, j’en suis averti, car la pression sur mes testicules s’en trouve augmentée.

Plus elle éprouvera de plaisir, et plus grand sera le mien.

« On ne va pas se gêner, je vais lui en donner du plaisir. »

Mon opiniâtreté paye, je sens ses petites lèvres s’humidifier.

« Doucement, doucement, t’excite pas continue comme ça mon bonhomme. »

Avec la main à plat, je remonte sur les lèvres, le majeur s’attarde sur le clitoris, direction le pubis. Mon va-et-vient continue toujours en douceur, fermement, mais en douceur, c’est toute la gageure.


Je continue.

Son bassin bouge de haut en bas en suivant le mouvement de mes doigts.

La torture des couilles s’arrête, elle se saisit de mon sexe, et cela devient une masturbation lente. Elle a tendance à tirer la peau de la verge vers le haut. Chose qui est loin d’être très excitante. J’aurais préféré un décalottage vers le bas, à fond, mais je me dis que tripoté pour tripoté, je ne vais pas râler, pas à ce stade.

« Je ne dois pas penser à mon plaisir, mais au sien. »

Madame serre les cuisses et m’empêche de continuer, elle se tourne vers moi et continue son tripotage maison à deux mains, une qui masturbe et l’autre sur les couilles.

« Mon Dieu que c’est bon ! »

Elle me repousse. Je me retrouve sur le dos et voilà maintenant qu’elle se penche vers mon sexe.

Un peu de salive pour le lubrifier. Le pauvre il était au bord de la rupture. Astiquer un sexe comme ça, à sec, ça fait mal…

Mais la douleur à ce stade est bonne, limite, mais bonne…

Sa bouche se rapproche et c’est une fellation qui commence.

Mon sexe en feu se calme sous l’effet de la succion.

D’abord le gland puis le reste. Une main sur la queue et l’autre qui tire les testicules vers le bas.

Ensuite les deux mains sur les testicules. « Hummm… »

Sans les mains…

Nous continuons un peu ce jeu quelques instants.

Au bord de l’extase, le gland en feu, je l’arrête et je m’extrais de sa bouche si chaude et humide.

Je me retire avec regret, car l’instant est bon, trop bon, mais il ne faut pas terminer comme ça ce serait dommage.

C’est samedi matin et on a le temps, et quand bien même ne serions-nous pas samedi que cela ne changerait rien, c’est elle d’abord…

Je me lève et me dirige vers la salle de bain avec un petit mot doux.

Le premier du matin.

Mon objectif est de prendre un gant de toilette bien humide avec de l’eau tiède.

Je reviens avec mon gant et je m’assois de son côté. Je la découvre et j’entreprends de lui nettoyer le minou.

Un petit rien d’hygiène. Ce n’est pas moi qui décide.

Ça ne tiendrait qu’à moi je ne le ferais pas, mais elle ne le supporte pas.

Pour moi, son sexe n’est pas sale, ce n’est pas parce qu’elle a passé la nuit allongée qu’il s’est sali. Quand bien même aurait-elle été uriner dans la nuit, que cela n’eût rien changé…

Mais bon, encore une fois, ce n’est pas moi qui choisis. Et je respecte ses décisions.

Donc j’entreprends le nettoyage, encore et toujours en douceur. Ça doit briller.

Elle profite de cet instant pour enlever son tee-shirt. Son putain de tee-shirt, devrais-je dire. Enfin !

La lessive faite, je ne l’essuie pas, je laisse humide, de toute façon un peu plus ou un peu moins cela ne changera pas grand-chose, vu la finalité.

Elle est toujours sur le dos, les genoux repliés.

Je me place entre ses jambes. Mes jambes à moi étant en partie hors du lit.

Ensuite j’écarte ses cuisses pour que je puisse y mettre ma tête. Je me penche sur son sexe encore humide du nettoyage, et j’utilise ma langue pour faire autre chose que discuter. Me voilà entre ses gambettes. Allongé au bas du lit, la tête contre son entrejambe.

J’adore la sucer.

Je lèche et j’embrasse tout ce qui passe à ma portée.

Je passe d’un côté à l’autre, je titille le clito, je m’insinue dans le vagin du bout de la langue.

J’aspire ses petites lèvres indépendamment d’abord celle de droite, puis celle de gauche puis je ne sais plus où j’en suis …

Je perds la boule.

Je pose le bout de mon nez sur son clito, ensuite, un petit mouvement de tête.

Tout ça pendant que ma langue s’insinue dans son petit bénitier.

En vue de cette situation, j’ai eu un bon entraînement.

Je passe des heures à nettoyer le fond des pots de yaourt du bout de langue.

Essayez, vous verrez, au début ça tire, mais ensuite cet exercice trouve toute sa finalité dans la situation présente.

Mon deuxième prénom c’est « Langue agile »…

Elle devient foldingue, son bassin monte et descend de plus en plus rapidement.

Mon nez passe du clito au trou de son vagin gluant d’envie et de plaisir.

Quand mon nez est dans la partie basse de son anatomie, ma langue elle, passe sur le périnée.

Je ne vais pas plus loin connaissant son aversion pour la chose anale.

Et je remonte, et je redescends…

Je bois littéralement ce sexe qui m’est offert en cadeau.

Ses mains se cramponnent à mes cheveux et elle appuie. Je suis son rythme.

J’aspire son petit bouton de rose, je le repousse avec la langue pour mieux le reprendre.

Mes mains à moi ne restent pas inactives, elles remontent sur les seins. Je les pétris délicatement pendant la succion.

Mes mains n’ont pas beaucoup d’autre alternative que de remonter sur ses seins.

Je m’en suis déjà servi pour écarter les jambes pour être plus à l’aise.

Il n’est pas question d’insérer un doigt dans ce lieu sacré, je ne vous parle pas de l’anus… Là on n’en parle même pas… non, juste pas de doigt dans le vagin.

Chaque fois que je m’y suis risqué, j’ai reçu une fin de non-recevoir. À chaque fois mes ongles font mal. Ce n’est pas faute de les avoir fait manucurer. Mais rien n’y a fait.

J’aspire son clito, en alternant, mon frottis nasal ainsi que l’aspiration des lèvres.

J’arrive à continuer malgré quelques poils qui se perdent entre les dents.

Je vous ai dit, l’épilation ce n’est pas son truc, et elle a une toison bien fournie. Elle dit toujours après ce jeu-là qu’elle devrait s’épiler. Mais c’est comme les alcooliques après une cuite, « demain j’arrête de boire », mais ça continue, eh bien là c’est pareil. Que des promesses…

Mais je m’en fiche de sa toison bien fournie. C’est vrai que la vue d’un sexe épilé ne serait pas pour me déplaire, chacun ses fantasmes, mais y aurait-il la même odeur ?

Serait-ce pareil au toucher ?

Si je veux de la chatte épilée, j’irai sur Internet…

Bof !

Continuons la dégustation, car c’est comme ça que je l’entends, je déguste la chatte de Madame.

Je comprends les lesbiennes, donner ou recevoir quel plaisir.

Madame prend son pied, certes, mais quel plaisir aussi que le donner ce plaisir.

Arriver à la mettre dans cet état me met, moi, dans un état jubilatoire… J’en jouirais presque…


Pendant la séance buccale, je profite de la situation pour ajouter à mon plaisir en frottant lentement mon sexe sur les draps.


Je la déguste encore un petit moment.

Le goût vient de changer, un peu plus acidulé. « Hé ! Hé ! Petite coquine, je crois que Madame prend son pied… »

Elle me demande d’arrêter et de la prendre, mais pas encore, pas encore s’il te plaît.

Laisse-toi aller…

Devant l’insistance de la miss, je retire donc mon visage de cet endroit paradisiaque et lui demande de se mettre debout.

La voilà debout au pied du lit.

Je m’assois, et lui demande de se placer devant moi. Vu sa petite taille, sa poitrine m’arrive au niveau du visage.


Pour mon plus grand plaisir, ses seins subissent la dure loi de la pesanteur, et me tombent dans les mains.

Un dans chaque main, je les malaxe, les embrasse, les suce.

Ils ont lourds, et volumineux.

Elle fait un bonnet E. 110E. Ce qui veut dire que c’est une forte poitrine. Elle fait beaucoup d’envieux, mais c’est moi qui ai le droit d’y toucher. Hé ! Hé !

Pas un millimètre de peau n’échappe à mon léchage. Je mets mon visage contre, les seins, c’est ma madeleine de Proust à moi…

Un téton après l’autre, j’aspire, je déguste.

Je regrette le temps où elle allaitait nos enfants. Ils avaient doublé de volume.

Oui ! Oui ! Vous avez bien entendu, ils avaient doublé de volume, ma Lolo Ferrari à moi. En plus il y avait un petit coup à boire à chaque fois.

Il n’y a pas que les enfants qui en ont profité…

Je me lève et lui demande d’échanger nos places.

La voici assise au bord du lit et moi debout.

Elle sait ce qui me fait plaisir, aussi saisit-elle ses deux gros seins et les remonte le plus haut possible.

Je plie légèrement les genoux, et j’approche mon sexe, elle écarte ses lolos et je le glisse dans cette fente.

Voilà mon sexe emprisonné bien au chaud dans cet étui improvisé.

Elle resserre ses lolos l’un contre l’autre et je me laisse aller à un doux va-et-vient.


La cravate de notaire, faut pas que ça dure…


Je retourne vite à une de mes occupations préférées, le tripotage de nénés…

Faut les voir, que du bonheur !

Les voir c’est déjà un plaisir, mais les avoir en main c’en est un autre.

Je passerai rapidement sur le traitement que je leur fais subir…

Ça dure. Mais Dieu que c’est bon !

Elle m’écarte, se penche et me prend la queue dans la bouche de façon frénétique.

Elle a apprécié mes caresses et entend me les rendre.

J’apprécie à sa juste valeur cette pipe gourmande. Sans les mains, vu qu’elles sont occupées à tirer mes testicules vers le bas.

Ça ne sera pas une gorge profonde, la nature m’ayant doté d’un organe non négligeable dans la moyenne haute, elle est donc trop grosse et trop longue… Malgré ses efforts elle n’y est jamais parvenue. Mais ça reste raisonnable.

Elle tire le prépuce en arrière et met ses lèvres autour du gland, pour ensuite avaler goulûment cet obélisque érigé.

Elle s’applique, aspire, suce, titille le frein, plonge autant qu’elle peut, se retire, replonge… Dans le même temps, les couilles sont maltraitées à souhait.

Je me vois dans l’obligation de l’arrêter, je vais éclater, je vais jouir, j’en peux plus.

Comme elle est assise sur le lit, il ne m’est pas difficile de la faire basculer sur le dos. Je me saisis des ses jambes que j’écarte, je me mets à genoux et entreprends de nouveau un cunnilingus.

Les jambes en l’air, je lui broute le minou.

Il faut que mon envie de jouir se calme un peu.

Je sais bien ce qu’elle veut, mais si je la pénètre maintenant, je vais jouir trop vite, je suis au bord de l’explosion.

Je vais donc continuer en attendant de calmer mes ardeurs.

Ce n’est pas que je trouve le temps long, mais la génuflexion me pèse. Ses jambes reposent sur mes épaules, mais la position n’est pas très agréable pour moi, aussi je me redresse, lui prends une jambe dans chaque main et présente mon pieu à l’entrée de son vagin.

Je le frotte de haut en bas contre l’entrée, mais elle ne l’entend pas de cette oreille. Elle me prend le sexe, et le guide vers son entrée.

Avec le temps elle est habituée à la taille de mon engin. Au début il a fallu y aller progressivement.

Oserais-je dire sans passer pour un malotru qu’avec le temps il n’y a plus de problème, le passage est fait.

Lentement mais sûrement j’avance et je recule. Le conduit est bien lubrifié, à chaque fois je vais un peu plus loin, mais elle est trop éloignée de moi et je ne peux rentrer à fond.

Le bord du lit m’empêche d’aller plus loin. Qu’à ne cela ne tienne, si je ne peux pas bouger le lit, il m’est possible de la tirer vers moi.

Tout en étant à l’intérieur de son vagin, je saisis ses jambes qui sont à la verticale, je lui soulève le bassin et le tire vers moi. Durant l’exercice, mon sexe sort et dans l’excitation, je viens buter sur ses fesses.

Elle rit, c’est bon signe.

Mais ça fait mal, merde !

C’est vrai que faire de la gymnastique comme ça de bon matin…

De plus Madame et moi sommes loin d’avoir la taille mannequin.

Mais ce n’est pas grave, je suis arrivé à mes fins. Je me repositionne dans le bon axe, et cela me permet une pénétration plus profonde.

Je m’immobilise. Le joyau est dans son écrin et il y est bien au chaud. Je resterais bien comme ça, mais Madame n’est pas d’accord, elle serre les muscles vaginaux et les relâche pour bien me faire comprendre qu’il ne me faut pas en rester là.

Je m’active donc lentement, faut faire durer le plaisir. Je ne vais pas pouvoir me retenir bien longtemps, excité comme je suis il ne faut pas que j’aille trop vite, penser à autre chose. Mais je vois devant moi cette poitrine opulente qui va-et-vient au gré de mes assauts. Et je ne peux résister à la tentation. Mes mains sautent dessus. Je les caresse tout en la pénétrant et c’est la jouissance. Je n’aurais pas dû lui toucher les seins, je n’aurais pas dû…

J’explose en elle, je la défonce, ce sont des coups de boutoir pour évacuer ma semence. Je me sens bien à fond, je vais et je viens. Je continue, toute la semence doit être déposée au fond, au fond, au fond…

Je résiste à l’envie de me coucher sur elle, de me laisser aller, mais je ne dois pas l’abandonner maintenant, elle est demandeuse.

Elle n’est pas muette, mais elle ne dit rien, son visage change, elle bouge la tête de droite à gauche. Ses yeux sont clos, elle aime. Elle n’est pas du genre qui gueule quand elle prend son pied, tout est en silence.

Je ne la connaîtrais pas, je penserais qu’elle ne jouirait jamais. Mais je la connais et je sais qu’elle est en train de prendre son panard.

Elle sait que j’ai joui, le râle que j’ai essayé de retenir, elle l’a entendu, et il y a du relâchement dans le mouvement de reins.

Ça ralentit.

« Concentre-toi mon grand, concentre-toi, tu ne va pas abandonner en si bon chemin, elle prend son pied, ça se voit. »

L’érection a une légère faiblesse, mais l’envie de la satisfaire reprend le dessus. Je ne pense plus à moi, mais à elle.

Concentrons-nous. Plus facile à dire qu’à faire. Mais bon, je vais plus doucement, plus lentement, lentement. La douleur qui est la suite logique de l’éjaculation doit laisser place au plaisir, ce n’est qu’un sale moment à passer, mais indispensable.

Elle m’aide en utilisant les muscles de son vagin pour enserrer ma bite.

C’est vrai que l’utilisation de ces muscles augmente l’envie de la satisfaire.

Je résiste à l’envie de m’écrouler, mais je sais que je ne suis plus de la première jeunesse et que je ne vais pas tenir longtemps.

Effectivement, je cale, ce n’est pas l’érection qui pose souci, c’est la résistance physique.

C’est ma dernière ligne droite, les mouvements du bassin vont de moins en moins vite. Pour enfin s’arrêter.

Je m’excuse. Elle me sourit, se détend, s’abandonne…

Je reste là un moment, dedans, bien au chaud sans bouger. On est bien. J’ai toujours ses jambes dans les bras.

Je décide de me retirer, je lui rejoins les jambes l’une contre l’autre et les bascule doucement sur le côté du lit pour qu’elles ne tombent pas.

Elle se repositionne dans une position normale dans un lit et allonge ses jambes. Je prends la couette et la recouvre délicatement et je viens m’allonger à ses côtés.

Sous la couette, elle se tourne vers moi, m’enlace se love contre moi.

Plus jeune, j’aurais bien remis le couvert à plusieurs reprises, mais là, la fatigue des années commence à peser.

Pour info, j’ai soixante-dix ans et Madame quelques années de moins que moi…


Chanson de Serge Reggiani – 1967


Si vous la rencontrez bizarrement parée,

Traînant dans le ruisseau un talon déchaussé

Et la tête et l’œil bas comme un pigeon blessé,

Messieurs, ne crachez pas de jurons ni d’ordures

Au visage fardé de cette pauvre impure

Que déesse famine, par un soir d’hiver

A contraint à relever ses jupons en plein-air.

Cette bohème-là c’est mon bien, ma richesse,

Ma perle, mon bijou, ma reine, ma duchesse…


La femme qui est dans mon lit

N’a plus vingt ans depuis longtemps

Les yeux cernés par les années

Par les amours au jour le jour

La bouche usée par les baisers

Trop souvent, mais trop mal donnés

Le teint blafard malgré le fard

Plus pâle qu’une tache de lune


La femme qui est dans mon lit

N’a plus vingt ans depuis longtemps

Les seins si lourds de trop d’amour

Ne portent pas le nom d’appas

Le corps lassé trop caressé

Trop souvent, mais trop mal aimé

Le dos voûté semble porter

Des souvenirs qu’elle a dû fuir


La femme qui est dans mon lit

N’a plus vingt ans depuis longtemps

Ne riez pas n’y touchez pas

Gardez vos larmes et vos sarcasmes

Lorsque la nuit nous réunit

Son corps, ses mains s’offrent aux miens

Et c’est son cœur couvert de pleurs

Et de blessures qui me rassure…