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n° 17882Fiche technique13205 caractères13205
Temps de lecture estimé : 9 mn
27/04/17
Résumé:  Léa rencontre un inconnu alors qu'elle se croit seule.
Critères:  fh extracon inconnu bain nudisme fellation pénétratio
Auteur : Philcoquin61            Envoi mini-message
Léa et la vasque d'eau fraîche

L’été s’est installé et la chaleur caniculaire impose la sieste à l’ombre ou de connaître un endroit frais pour se poser. Léa connaît une vasque d’eau bleue où se jette une petite cascade. Elle est non loin de chez elle sur un petit cours d’eau qui descend de la montagne. Très peu de monde fréquente cet endroit magique en dehors de la période de pêche. Une petite île se forme en sortie de la vasque, et c’est là que la belle vient bronzer sous un soleil tamisé par les arbres qui entourent le ruisseau. Léa est venue par un petit sentier de pêcheur, et comme d’habitude, il n’y a personne quand elle arrive à la vasque. Elle franchit le petit gué qui conduit sur l’île de galets. Cela fait trois jours qu’elle vient se prélasser ici sans jamais rencontrer personne. La robe relevée jusqu’à sa petite culotte, elle franchit l’eau fraîche. Elle regarde autour d’elle et décide qu’elle se fera bronzer intégralement aujourd’hui. Au milieu de l’île, un petit lit de sable est accueillant ; un saule y fait un peu d’ombre et autorise un retranchement protecteur au cas où un intrus viendrait aussi pour se rafraîchir.


Léa aspire à la tranquillité mais elle rêve souvent qu’elle pourrait vivre une aventure coquine dans cet endroit merveilleux « Ah, être aimée à l’abri du saule ou même dans l’eau, éclaboussée par la cascade, les seins dressés par le désir et l’effet de l’eau fraîche… » La veille, alors qu’elle était restée dans son délicieux deux-pièces noir, elle avait osé esquisser quelques caresses sous celui-ci, surprise d’avoir un orgasme aussi rapidement : la magie du lieu, la peur d’être surprise…


Le soleil était très fort, et malgré l’ombre du saule il faisait très chaud. Léa avait ôté ses sous-vêtements, et nue elle se glissa dans la vasque après un tour d’horizon pour s’assurer de son intimité. L’eau fraîche l’avait saisie ; elle prenait un divin plaisir à avoir osé cette liberté. Mais la fraîcheur de la vasque n’autorisait pas d’y rester très longtemps. Elle faisait quelques brasses pour regagner son île quand elle fut surprise de se trouver nez à nez avec deux gros chiens assis l’un contre l’autre qui la fixaient sans animosité. Mais leur aspect dissuasif, bien qu’elle n’ait pas habituellement peur des chiens, la faisait hésiter à sortir de l’eau… Elle quêtait également avec une légère gêne l’arrivée de leur maître.


C’est à cet instant que je fais irruption dans cette histoire. En effet, depuis longtemps je viens descendre en randonnée aquatique cette petite rivière délicieuse et sauvage. Je viens si souvent que mes chiens connaissent tous les secrets des berges et me rejoignent tout seuls au pied de chaque cascade dans lesquelles je prends plaisir à plonger. Les chiens lèvent la tête quand j’apparais en haut de la cascade ; Léa suit leur regard et croise le mien. Un doux sourire la rassure et me voilà dans les airs, me prenant pour un ange ; enfin…


Je ressors la tête de l’eau à quelques brasses de la jolie femme que j’ai aperçue du haut de mon promontoire. Je la sens à la fois gênée et rassurée. Elle se rapproche de moi quand les chiens se mettent à aboyer dans notre direction. Je la rassure en la prenant par la main un instant. Je sors de l’eau et repousse les chiens de l’autre côté du gué où, répondant à un signe de ma main, ils se couchent à l’ombre des arbustes. Je me tourne vers la belle naïade qui ne sait plus quoi faire, mais qui tremble de froid.


Je remarque ses affaires au milieu de l’île ; ses jolis sous-vêtements, posés sur sa robe, me confirment qu’elle doit être entièrement nue. Je me saisis de sa serviette et viens à sa rencontre, lui tendant celle-ci pour l’envelopper. Elle ne veut pas paraître prude et prend sur elle pour sortir de l’eau. Sa peau frissonne et les pointes de ses seins sont délicieusement érigées.


Je lui souris et l’enveloppe du tissu éponge. J’aperçois ses délicieuses fesses quand elle s’enroule dans celui-ci. Belle fin de randonnée ; divine surprise pour moi qui n’ai jamais rencontré personne lors de mes fréquentes excursions aquatiques. Elle est un peu étourdie et surprise ; je profite de son hésitation pour la frictionner. Elle n’ose pas réagir devant mes gestes rassurants. Elle me remercie toutefois après quelques frictions. Je lui réponds que je lui dois bien cela : les chiens m’appartenant, je suis responsable de son séjour prolongé dans l’eau fraîche. La voilà qui rit de sa mésaventure et me rend mon sourire.


Je lui tends la main qu’elle saisit pour l’accompagner vers ses affaires. Elle rougit quand elle s’aperçoit que ses jolis sous-vêtements sont visibles sur sa petite robe à boutons. Je récupère mon sac étanche qui flotte sur l’eau et lui propose un thé chaud pour la réchauffer. Elle s’assoit sur un tronc, détourne pudiquement les jambes et accepte mon offre.


Je me présente : « Philippe. » Elle me répond avec une voix délicieuse : « Léa. » Nous échangeons quelques banalités d’usage ponctuées de sourires réciproques. Les chiens ont retraversé et viennent quêter quelques caresses. La serviette passée autour de sa poitrine glisse lentement ; Léa feint de ne pas s’en apercevoir jusqu’au moment ou elle tombe, dévoilant sa délicieuse poitrine.


J’essaie de ne pas me laisser surprendre en fixant ses fruits divins, pris de l’envie de profiter de ce délicieux spectacle et restant en même temps correct. La tâche n’est pas facile, d’autant que la serviette vient de s’ouvrir sur les jambes de la belle alors qu’elle répond à la demande de caresses de mes chiens. Nous reprenons nos échanges sans que Léa se réajuste. Nos genoux se frôlent quand nous bougeons, nos regards deviennent de plus en plus complices. La chaleur devient insupportable ; les chiens jouent dans l’eau pour se rafraîchir.


C’est Léa qui prend les devants et propose que l’on se rafraîchisse à notre tour. Elle se lève, et totalement nue se dirige vers la vasque. Je la suis des yeux ; son sourire m’autorise à porter ceux-ci sur ses reins aux mille promesses. Je me lève à mon tour. Léa s’est tournée vers moi, l’eau jusqu’au ventre, et elle se laisse immerger lentement. À chaque fois que l’eau glacée atteint sa poitrine, elle se relève brusquement. Ses seins bougent délicieusement à chaque fois. Léa remarque mon regard et me sourit, m’invitant à la rejoindre. Je quitte mon shorty, et la coquine sourit à nouveau en constatant que je ne suis pas resté de glace devant son manège.


L’eau gelée n’a aucun effet sur mon désir, et quand je me colle à la belle Léa, notre premier baiser ne reste pas sage bien longtemps. Coquinement, Léa me prend en main alors que je caresse ses reins, ses fesses. Elle ouvre ses jambes pour me permettre l’accès à sa fleur d’amour. Nous voilà lèvres collées, nous caressant comme deux amants qui seraient restés trop longtemps sans pouvoir s’aimer charnellement. Je soulève ma belle qui ceinture ma taille de ses jambes. Je trouve sans peine le cœur brûlant de sa fleur et glisse ma tige en elle. Nous écartons nos visages l’un de l’autre pour reprendre notre souffle et chavirer devant nos désirs réciproques brillant dans nos yeux. Nous ne savons presque rien l’un de l’autre, et pourtant nous sommes déjà en harmonie. Nos corps répondent aux avances, aux désirs de l’autre.


Léa, suspendue à mon cou, monte et descend sur ma tige comme en apesanteur. Ses seins sont gonflés par la froideur de l’eau ; érigés, ils frottent contre ma poitrine à chaque mouvement dans un délicieux clapotis. Un premier éclair saisit ma coquine qui se cambre pour s’enfoncer plus avant sur mon désir. Son pistil écrasé contre mon pubis, elle s’immobilise et crie sans retenue. Ses cris sont étouffés par la cascade.


Lentement, Léa reprend ses esprits. Elle est couverte de frissons. Je retire de sa fleur mon désir toujours tendu. Léa sourit devant mon indécente posture. Je la frotte dans son drap de bain pour la réchauffer. Coquinement, elle me caresse avec sa main habile et se laisse glisser accroupie à la hauteur de mon gland. Ses lèvres me happent goulûment. Ses mains ont pris possession de mes fesses ; elle s’y accroche et entame un délicieux va-et-vient le long de ma tige. Je m’écarte un peu pour mieux la regarder m’offrir ce divin plaisir. Je la trouve encore plus belle m’offrant sensuellement cette caresse irrésistible. Je caresse tendrement ses cheveux sans imposer le moindre mouvement. C’est elle qui est maîtresse de la situation, et c’est elle qui m’offre jusqu’à sa gorge, les yeux larmoyants de cette intrusion érotique, gourmande.


Je devine à la pression de sa main sur mes fruits, à son doigt glissant dans ma raie, qu’elle ne veut pas que je résiste. Je m’abandonne à mon tour et jouis comme jamais dans sa bouche merveilleuse. Quelques gouttes de ma liqueur d’amour débordent de ses lèvres. Léa se relève et partage le surplus de mon plaisir dans un langoureux baiser. Enlacés amoureusement, nous sommes tirés de notre moment d’abandon par les chiens qui grognent et nous préviennent de l’approche d’autres personnes vers notre paradis.

Nous nous séparons et nous rhabillons sans hâte avec de complices regards. Je calme les chiens et nous laissons notre île à deux pêcheurs qui viennent sans doute taquiner la truite.

Les chiens les ont tenus à distance, mais peut-être ont-ils profité du spectacle depuis le petit promontoire sur le chemin qui conduit ici. Nous les saluons en quittant l’île sous leurs regards bien concupiscents. Main dans la main, nous nous sourions, complices, coquins.


Je raccompagne Léa jusqu’à sa voiture ; le sentier est étroit, et je me régale de la voir évoluer dans sa petite robe blanche, devinant la dentelle de sa petite culotte en transparence sous le tissu tendu sur ses fesses. Quand nous arrivons sur le petit parking, Léa se retourne et se moque de mon désir qui déforme mon shorty. C’est vrai que ce n’est pas discret, mais à qui la faute, si tant est qu’il s’agisse d’une faute ?


Un petit coup d’œil aux alentours : pas de bruit dans le chemin rocailleux, personne à l’horizon. Je laisse tomber mon sac à terre et m’empare des hanches de ma belle penchée dans le coffre de sa voiture qu’elle vient d’ouvrir. Léa s’immobilise mais ne réagit pas quand je retrousse sa petite robe. Son derrière enveloppé de dentelle est irrésistible ; je me contente d’écarter le tissu de côté pour y glisser ma tige dardée. Léa m’accueille avec un gémissement de bonheur, les mains en appui sur le bord du coffre, les reins cambrés, un appel à une chevauchée sauvage.


Je prends quelques instants pour savourer cette vision sublime que celle de mon désir qui va-et-vient avec lenteur au cœur de sa fleur encadrée par ses fesses délicieuses. Léa creuse les reins encore plus et projette son derrière à ma rencontre ; ma tige est luisante de son humide attente. Je comprends à son mouvement qu’elle réclame un assaut plus sauvage. J’accélère mes mouvements ; mon ventre claque contre ses fesses à chaque aller-retour. Les râles de ma belle m’indiquent qu’elle ne résistera pas longtemps à ma danse endiablée. Je la sens qui s’envole vers le nirvana ; je m’immobilise au fond de sa fleur quand je la sens au bord de se pâmer. Nous restons quelques instants immobiles.


Les chiens grognent à nouveau en direction du sentier par lequel nous sommes arrivés. Sans doute les pêcheurs, qui aujourd’hui se sont adonnés à une pêche différente de celle à la mouche ! Je range mon membre dans mon shorty et réajuste la petite culotte de ma belle. Léa reprend ses esprits, et prenant conscience de l’heure tardive elle s’excuse de devoir me quitter.

Je lui explique rapidement comment elle peut se rendre à mon chalet en rondins et lui propose de nous y retrouver le lendemain. Elle me sourit mais ne me promet rien. Nous ne savons presque rien l’un de l’autre, et pourtant nous venons de faire l’amour comme de fougueux amants. Léa referme la portière de sa voiture, la robe ouverte sur ses jambes affolantes.


Un petit signe de la main et la voilà qui disparaît dans un nuage de poussière. Je reprends le sentier qui mène en amont à mon chalet, ramassant çà et là quelques plantes aux vertus médicinales avec lesquelles je fabrique de doux onguents. Qui sait, j’aurai peut-être une visite et l’occasion de faire découvrir à ma belle l’art du massage tantrique, usant et abusant de mes huiles parfumées.

C’est avec ces pensées coquines que je rejoins mon nid où je vis une partie de l’année.