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n° 17884Fiche technique9344 caractères9344
Temps de lecture estimé : 7 mn
28/04/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  L'étudiante et le chibre.
Critères:  fh hplusag hotel fellation préservati pénétratio fouetfesse -totalsexe
Auteur : Canne_magique  (Des récits issus de mes rencontres...)            Envoi mini-message
Rencontre non tarifée

Étudiante, je suis en contact avec lui depuis une semaine, haut fonctionnaire il me semble inaccessible. Je n’arrive pas à percer sa défense, il refuse de jouer à mon jeu, et j’essaie maladroitement de jouer au sien… Maladroitement, car je ne suis pas la femme insatiable et la salope brûlante qu’il recherche. Il me demande des photos. Parfois je lui en envoie parfois je refuse. Merde ! Je ne suis pas du genre à me plier à tous ses caprices d’autant que je n’ai pas que ça à foutre…


Je cherche un tout, il ne veut que du cul. Il est très clair. Il est très cash.

Peu de chances que ça fonctionne donc.


Nous nous rencontrons enfin, un hasard presque, avec nos emplois du temps. Plus tard il m’a dit n’être monté à Paris que pour passer deux heures en ma compagnie. La dernière photo de mon cul avait fait de l’effet. Je découvre que j’aime ça, le montrer, savoir l’effet que je fais.


À l’approche de la rencontre, nos échanges se font plus « normaux ». Aaah, ce n’est pas un psychopathe.


Je pénètre dans l’hôtel, le hall est énorme, je suis perdue. Je me sens mal perchée trop haut sur mes talons, ma jupe est très courte, je n’ai pas mis de soutien-gorge et ma blouse transparente. Mes tétons pointent. Je me sens totalement indécente.


Je toise la réceptionniste. J’ai envie de lui crier « Non, je ne suis pas une pute. » Je fonce droit devant, d’un pas qui se veut assuré, mais j’ai les jambes en coton. Un panneau lumineux indique les toilettes, je m’y lave les mains, je ne peux pas m’empêcher de remettre du rouge, un peu de maquillage. Je me trouve excitante, mais tellement différente, tellement… pute.


Un SMS pour lui demander sa chambre. Je me scrute, me trouve surfaite, de toute manière j’ai plus vraiment le choix, alors autant y aller. Nouveau message :


Chambre 467. Attends que quelqu’un monte on ne peut y accéder qu’avec une carte.



Je retourne vers l’accueil, trouve les ascenseurs, un homme attend également. Mon estomac se tord. J’ai déjà retiré ma culotte comme il m’a été demandé. Je sais que l’homme le voit, je me sens offerte, à poil. Attentive aux réactions de cet homme qui me fait monter, je m’attends à ce qu’il me plaque contre la paroi de l’ascenseur à chaque seconde. Atmosphère électrique. Nous montons ensemble, mes yeux sont rivés sur mon portable.


Quatrième étage… je sors. Mon cerveau est vide, mon bas-ventre chaud, liquide. J’arpente le couloir de mon pas décidé. Une porte claque derrière moi, ce n’est pas lui, je m’arrête. Je stoppe, attentive à tous les bruits. Quelques secondes, seule, submergée d’excitation. Je reviens sur mes pas pour trouver la chambre 467.

Toc-toc… Silence puis la porte s’ouvre.



Le mec est sûr de lui, j’ai tout de suite envie de l’essayer, de lui monter dessus, je fonds d’un coup. Nous échangeons des phrases insignifiantes, je balance mon sac dans un coin comme si j’étais habituée à me faire sauter dans les hôtels. Il me regarde comme un objet. Sous toutes les coutures. Et puis il m’embrasse doucement. Passe ses mains sur les épaules, dans mon dos et fait glisser ma veste. Il plonge ses mains sous ma blouse elles rencontrent mes seins, mon ventre, mon nombril. Me voilà nue. J’ai chaud, je suis en sueur. Je l’observe encore m’observer.


Il lèche mes seins, je lui enlève son tee-shirt. Il continue de me déshabiller, et enfonce un doigt en moi, je fonds, je gicle immédiatement…


Je veux lui rendre ce plaisir, je m’agenouille devant lui et tire sur son pantalon, sa bite est dressée devant mon visage, je la lèche, il soupire, je fais glisser mes dents sur son gland avant d’engouffrer son sexe dans ma bouche. Il me tient par les cheveux. Je le sens se durcir, il m’arrête.


Allongée sur le lit, ses caresses sont douces, mais je ne trouve pas son regard, il est perdu sur mon corps, ses mains aussi d’ailleurs. Et puis il me demande si j’ai envie de lui, de sa bite, je lui murmure… oui.


Il s’allonge sur moi, s’empare de mes mains qu’il tient fermement entre ses doigts. Je ne peux pas lui échapper. Je suis serrée, mais il entre lentement, mais fermement. Il trouve tout de suite le bon rythme. Nos lèvres se touchent je perds la notion du temps, je suis baisée profondément.


Il me demande si je veux me mettre sur lui, il pose une main sur mon ventre une autre sur ma hanche. Et combine mes montées et descentes avec le mouvement de ses reins. J’ai besoin de décharger mes cuisses du poids de mon corps je me penche en avant, tente de varier les efforts.


Je bouge dans tous les sens. Lorsque je suis redressée, je sens son dard au plus profond de moi. Je n’aime que si je peux maîtriser l’arrivée de ce corps en moi… Après s’être attardé sur le spectacle de son sexe disparaissant dans le mien son regard se plante dans mes yeux. Il me prend les seins. Les fesses. Il les écarte je suis exposée. J’ai envie de quelqu’un derrière moi. Je suis épuisée.


Il finit par me retourner pour me prendre en levrette, il est long et me pénètre profondément j’essaie de me cambrer, mais ses assauts ont raison de ma courbure. Mon dos s’arrondit malgré moi, il appuie dessus pour bénéficier de tout le spectacle de mon large cul. Puis il me fesse une fois… deux fois… plusieurs fois, ce qui a le don de m’exciter encore et encore. Sa queue glisse en moi parfaitement… comme dans du beurre. Il porte un doigt à ma bouche, je m’applique à le sucer. Je me sens chienne. Il me caresse les fesses, il introduit son doigt petit à petit, il me manque juste une main sur mon clito pour que la position soit jouissive.


Il me prend par la taille, ramène mes fesses. Il sent mes mouvements quand il va trop loin ou trop fort. J’adore sentir ses mains sur mon dos, mon ventre, mes hanches, mes fesses. Il me redresse, je sens son souffle et continue de m’activer sur son sexe, cette fois je peux me cambrer.


Je me couche sur le ventre, je me touche en même temps qu’il accélère. Son corps s’écrase contre mes fesses produisant un claquement à chaque pénétration. Il finit par jouir, son corps se crispe tout entier et il pousse un cri de satisfaction, il m’enfile encore deux ou trois fois avant de sombrer dans un repos régénérateur sur mon dos. Je n’ai qu’une envie… Recommencer.


J’ai envie qu’il m’attache, qu’il m’entrave pendant qu’il me baise. J’ai envie qu’on soit plusieurs. J’ai envie qu’il me prenne partout… Je suis hypnotisée par son aura sexuelle. Je réalise que l’excitation dans laquelle il m’a mise pourrait lui permettre de faire ce qu’il veut de moi. Et ça m’excite d’autant plus que je ne comprends pas pourquoi.


Nous faisons une brève pause pendant laquelle il me raconte qui il est, ce qu’il fait il m’interroge. Il lui suffit de caresser mon corps à nouveau pour que je sois excitée.



La blague, putain, oui j’ai encore envie, je veux qu’il me démonte, je pourrais faire ça pendant une journée entière !


Je descends à sa bite pour le sucer encore, je veux comprendre comment elle fonctionne. Mais il me remonte. Il me dit de l’attendre. Assise de dos, j’attends qu’il enfile son préservatif, je dégouline, je le sens s’approcher de moi, il passe de mes seins à ma chatte, enfonce encore un doigt en moi, remonte à mon clito et je ne sais plus bien comment je me sens pénétrée. Je me retrouve en pont au-dessus de sa bite, mes cuisses mises à rude épreuve encore. Il me soutient, mes jambes sont complètement ouvertes et il me touche et me pénètre en même temps, vu ma sensibilité je n’aurais jamais cru pouvoir supporter une telle position.


Il prend mes fesses pour me faire rebondir sur sa bite, malgré mes formes disgracieuses mon cerveau ne lutte pas il prend trop son pied pour ça. Je n’ai plus conscience de grand-chose, je me sens voler, libre. Je ne lui dois rien, peu m’importe de jouir, tout ce que je veux c’est qu’il continue à me prendre… Je lui dis que je veux le voir jouir. Je ne sais plus comment cette partie de baise se termine.


J’adore ce mec. Ce mâle. Il est parfait.


Il me ramène vers le centre de Paris sur le chemin de la gare. C’est étrange j’ai envie de lui poser tellement de questions, mais le chauffeur nous écoute, j’ai l’impression que les réponses seraient longues alors que le trajet est si court. Alors je me tais ou pose des questions débiles.


Je le regarde parfois, il est détendu.

Tu sens le mec qui a l’habitude alors que je suis encore toute chamboulée d’émotions. Il me passe une main sur la jambe, la remonte. Instantanément je suis chaude. J’ai envie de lui grimper dessus. Je palpite.


Je me sens bien.



SIBYLLE