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Temps de lecture estimé : 17 mn
03/05/17
Résumé:  Un jeune homme a une aventure avec des copines de sa grande sœur.
Critères:  fh vacances fdomine fellation cunnilingu pénétratio -prememois
Auteur : Gauthier

Série : Les copines de ma soeur

Chapitre 02
Mélanie

Résumé de l’épisode précédent : « Adeline »


Alors que des copines de ma sœur se retrouvent dans la maison familiale, je me retrouve à coucher avec l’une d’elle, Adeline, à l’issue d’une soirée arrosée.



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Le lendemain, je me réveillai à plus de 11 h avec joli petit mal de crâne. Les verres de vodka de la veille se rappelaient à mon bon souvenir. J’entendais en bas les discussions animées de ma sœur et de ses copines et les intonations aiguës de leurs rires n’aidaient pas à soigner ma migraine. Je m’habillai simplement d’un boxer, d’un bermuda et d’un t-shirt et je sortis de ma chambre.


Au moment où j’allais descendre l’escalier, je vis Adeline sortir de sa chambre vêtue d’une nuisette rouge. Elle se contenta d’un sourire, d’un petit salut et fila dans la salle de bain. Je rejoignis ma sœur et trois de ses amies dans la salle à manger. Elles étaient en train de débarrasser le petit-déjeuner et étaient déjà prêtes pour sortir. Seule ma sœur était encore en pyjama. Alors que je faisais le tour de la table pour leur faire la bise, ma sœur se leva et se dirigea dans la salle de bain. Je me fis un café et échangeai quelques paroles avec les filles restantes.


Dans les trois présentes, seule Manon était attirante. Elle n’avait pas un visage extraordinaire, mais agréable à regarder quand même, des seins et des fesses de taille moyenne, mais surtout de longues jambes fort bien dessinées. De plus, elle s’habillait très souvent avec des tenues courtes, voire très courtes, ce qui mettait encore plus ses jambes en valeur. Elle avait l’habitude de dire que s’il y avait des gens qui trouvaient qu’elle s’habillait comme une pute, ils n’avaient qu’à pas la regarder ! Elle n’avait pas fait défaut à la règle aujourd’hui : elle portait un collant en nylon noir, une jupe grise courte et moulante et un top mauve.


Une fois mon café fait, je m’installai à table de manière à pouvoir la mater en train de faire un peu de vaisselle, sans pour autant que ça soit trop flagrant. Je profitais du spectacle quelques minutes notamment quand elle se pencha en avant pour ranger des tasses dans un placard. Son mouvement eut pour effet de faire remonter sa jupe à la limite de ses fesses ! Je me délectai de cette vision quand ma sœur redescendit, accompagnée d’Adeline. Cette dernière, toujours aussi ravissante dans un jean bleu ciel et un top blanc, me fit la bise comme si de rien n’était. Ma sœur demanda aux autres si elles étaient prêtes et annonça un départ dans les dix minutes. Toutes allèrent se préparer.


Manon demanda si Mélanie (la seule de la bande, non descendue) venait, car elle était surprise de ne pas la voir. Adeline, qui dormait dans la même chambre lui répondit qu’elle était encore trop « fatiguée » par ses excès d’alcool de la veille et allait rester se reposer pour le début de l’après-midi. Elle les rejoindrait après si elle se sentait mieux. Alors que les filles allaient partir, Mélanie descendit l’escalier. Elle souhaita une bonne journée aux autres qui sortirent puis vint me rejoindre dans la salle à manger. Mélanie est une blonde aux yeux bleus avec des cheveux lisses s’arrêtant au niveau des épaules, de jolis seins (90C, je le savais, car une fois j’avais regardé l’étiquette d’un de ses soutiens-gorge qui traînait…) et portait des lunettes noires carrées qui lui donnaient un air à la fois sage, mais coquin. Son problème était que son poids fluctuait assez souvent et elle pouvait par moment avoir un fessier normal et de belles jambes, mais par moment, elle pouvait avoir plus de cinq kilos en trop tous localisés sur les fesses et les cuisses…


Heureusement, ce jour-là, sa courbe de poids se trouvait plutôt dans un creux. Ses cheveux étaient en bataille et elle portait un pantalon de pyjama gris clair et un débardeur blanc. Elle vint me faire la bise et alla se faire un café. À son haleine encore chargée, j’eus la confirmation qu’elle avait bien bu hier soir ! Son pantalon un peu transparent me permit d’apercevoir une culotte blanche en coton alors qu’elle se penchait pour prendre une tasse. Son café fait, elle s’assit à côté de moi.


À voir ses tétons sous son débardeur, je compris qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Nous discutâmes de choses et d’autres, mais surtout de leur soirée et elle me raconta les abus qu’elle avait faits. Son café fini, elle alla mettre sa tasse dans le lave-vaisselle et monta dans sa chambre. Je finis de débarrasser la table puis, ayant un mal de crâne persistant, je décidai d’aller prendre un Doliprane dans la salle de bain. Je montai l’escalier et entrai sans frapper dans la salle de bain. C’est alors que je vis Mélanie debout devant un des deux lavabos, en train de démêler ses cheveux face au miroir. Mais maintenant, elle n’était plus vêtue que de son débardeur et que d’une culotte blanche qui retenait ses jolies fesses rebondies. Je restais interdit, n’osant pas entrer, les yeux rivés sur ses fesses :



Je rentrai donc dans la salle de bain alors qu’elle continuait à se brosser les cheveux face à la glace. Je me plaçai devant l’autre lavabo et commençai à me brosser les dents pour essayer d’atténuer mon haleine chargée d’alcool, caractéristique des lendemains de fêtes. Cependant, je restais un peu en retrait du lavabo pour pouvoir mater le plus discrètement possible ses fesses. Je ne sais pas si elle s’en rendit compte, mais elle ne me fit aucune remarque. Quand j’eus fini, j’allai vers l’armoire de toilette à côté d’elle pour prendre mon cachet de paracétamol. Quand j’eus attrapé la boîte, je pris deux cachets de 500 mg et lui en proposai. Elle se tourna vers ne souriant :



Je retournai donc vers mon lavabo pour prendre une rasade d’eau pour avaler mon cachet. Alors que j’étais en train de boire au robinet, elle me lança :



Je manquai de m’étouffer en entendant cela et me relevai pour la regarder, interdit.

Tout en rigolant, elle enchaîna :



Elle posa sa brosse à cheveux et entra dans la douche.



Alors qu’elle allait fermer la porte de la douche, elle ajouta en me faisant un clin d’œil :



À travers la paroi, je la devinai en train de se déshabiller et je la vis balancer son débardeur et sa culotte par-dessus. Alors que l’eau se mit à couler, elle me lança :



J’acquiesçai et sortis de la salle de bain pour aller dans ma chambre. Encore un peu éberlué par ce qu’elle m’avait dit, je me déshabillai pour me préparer à aller à la douche quand celle-ci serait libre. Je gardai juste mon boxer et m’allongeai sur mon lit, attendant avec impatience que le Doliprane fasse effet. Les yeux fermés, je repensais à Mélanie, si peu vêtue dans la salle de bain. Je m’imaginais me placer derrière elle, lui caresser les seins. Sans un mot, baisser sa culotte et la prendre par-derrière appuyée contre le lavabo.


Forcément, mon sexe se dressait dans mon boxer à ces pensées et ma main se glissa dedans pour caresser lentement ma verge. J’étais perdu dans mes rêves quand la porte de ma chambre s’ouvrit d’un coup. Je me redressais immédiatement sur mon lit en enlevant ma main de mon boxer pour voir Mélanie dans l’encadrement de la porte. Elle sortait de la douche, les cheveux encore mouillés et avec juste une serviette mauve autour d’elle. Elle s’approcha de mon lit et se planta devant moi. La serviette s’arrêtait juste au-dessous de son entrejambe, me dévoilant presque l’intégralité de ses jambes. Elle fixait alternativement mon regard et mon sexe tendu sous mon boxer :



Je restai quelques secondes comme un idiot à la regarder, encore complètement retourné par ce qui se passait. Déjà qu’hier cela avait été totalement imprévu et soudain de coucher avec Adeline, mais nous étions fortement alcoolisés… Mais là, avoir Mélanie, une autre amie de ma sœur que je trouvais excitante depuis que je la connaissais, qui se plantait devant moi et me demandait sans autre forme de procès de lui faire l’amour, il y avait de quoi être sous le choc ! Sous l’effet de la surprise, mon érection retomba :



Elle fit mine de partir, mais je la stoppai nette :



Elle défit la serviette qu’elle portait autour d’elle et la laissa tomber à ses pieds. En un regard, je découvris son corps nu. Ses seins imposants ne tombaient pratiquement pas, se prolongeaient par de larges aréoles brun rose qui se terminaient par deux tétons rose vif. Son sexe était épilé façon brésilienne. Sa peau était d’une blancheur impressionnante. Elle monta sur le lit à genoux, me poussa la poitrine pour que je me rallonge et vint se mettre à califourchon sur mon entrejambe. Elle se pencha et m’embrassa. Je répondis aussitôt à ses baisers et mes mains vinrent caresser ses fesses et ses cuisses. Puis elles remontèrent sur ses côtes pour chercher à saisir ses seins. Mélanie comprit vite mon intention et se redressa un peu pour s’appuyer sur ses bras. Alors qu’avec des petits mouvements de son bassin, elle frottait mon sexe, je saisis ses deux seins qui penchaient vers moi. Je les malaxai avec bonheur, pinçant entre mon pouce et mon index ses tétons qui pointaient. Je soulevai mon torse pour venir embrasser à pleine bouche ses obus si jolis. D’une main, elle soutenait ma tête contre sa poitrine. J’aspirai ses tétons goulûment alors que ses cheveux encore mouillés tombaient sur mon visage.



Alors que je restais collé à ses seins, elle se redressa complètement. Mes mains glissèrent jusqu’à ses fesses. Elle passa sa main entre les miennes pour aller caresser mon sexe qui restait désespérément mou…



Elle me repoussa pour que je m’allonge et vint se mettre à cheval sur mon visage, les mains posées sur le haut du bois de lit… J’avais son sexe à quelques centimètres de mon visage et je pouvais sentir qu’elle était déjà bien excitée. Mes mains vinrent saisir ses fesses pour approcher son sexe tout contre ma bouche. Je me mis à la lécher de bas en haut avec de grands mouvements de langue et presque instantanément ses lèvres s’écartèrent et ma langue put se glisser entre elles. Son sexe fut rapidement mouillé et je me délectai de ce liquide si spécial. Mélanie me laissait faire et j’entendais par moment des soupirs de plaisir. Ma bouche monta ensuite vers son clitoris que je titillai du bout de ma langue. Je faisais des mouvements circulaires autour ou l’aspirais entre mes lèvres. Cette succion lui arrachait à chaque fois des soupirs plus intenses. Ma langue redescendit vers le bas de son sexe et je glissai mes mains entre ses jambes pour venir écarter ses lèvres avec mes pouces. Je rentrai ma langue dans son sexe le plus que je pouvais et frottai le haut de ses lèvres avec mon nez. Puis, j’introduisis mon pouce en elle, lui arrachant un cri de plaisir. Elle me laissa bouger mon pouce en elle et glissa sa main sur mon ventre vers mon boxer. Je pus apercevoir sa mine déçue devant le manque de réaction de mon sexe. Moi aussi j’étais sur les fesses de ne pas bander alors que je faisais l’amour avec une fille si jolie :



Elle retira mon pouce en elle, puis glissa jusqu’à mes jambes. Elle fit glisser mon boxer pour découvrir mon sexe toujours au repos. En me regardant droit dans les yeux, elle me dit :



Elle saisit la base de mon sexe entre son pouce et son index et se mit à le branler lentement alors qu’elle mettait le reste dans sa bouche. Elle fit tourner sa langue autour de mon gland alors que ses lèvres enserraient bien ma verge. Rapidement, mon sexe commença à grossir et à mesure qu’il gonflait, elle accélérait les mouvements de sa main. Elle me branlait maintenant avec toute sa main et ses lèvres montaient et descendaient sur mon gland qui s’était décalotté grâce à ce traitement. Même si elle m’avait demandé de fermer les yeux, je ne pouvais m’empêcher de regarder cette chevelure blonde qui s’affairait sur ma queue.


En quelques minutes, mon sexe avait atteint sa taille maximale. Elle arrêta de me branler, mais maintenait ma verge dans sa main. Elle releva la tête, me sourit comme satisfaite de son « travail » puis se mit à titiller le gland du bout de sa langue tout en me regardant avec ses beaux yeux bleus. La scène était excitante au possible. J’aurais pu bien évidemment la prendre sur-le-champ, mais elle reprit mon sexe en bouche. Elle faisait descendre lentement ses lèvres autour de mon sexe, arrivant à en avaler une bonne partie. J’avais l’impression qu’elle voulait profiter un peu du résultat de son traitement. Forcément, je la laissais faire ! Ayant déjà joui deux fois durant la nuit, j’étais assez confiant dans ma capacité de résistance, même si elle me faisait un effet fou ! Au bout de quelques minutes, elle arrêta et vint se placer au-dessus de moi et m’embrassa. Les goûts de nos sexes respectifs se mélangèrent dans un concert de langues. Puis elle me murmura :



Et elle s’allongea à côté de moi, les jambes légèrement écartées. Je vins m’allonger au-dessus d’elle, mon sexe contre le sien et me mis à l’embrasser. D’un habile mouvement des reins, elle introduisit mon sexe en elle. Je le fis entrer d’un seul coup de reins jusqu’à la garde et restais planté en elle ainsi quelques secondes. Puis je me mis à bouger lentement elle. Ses mains se baladaient sur mon dos et mes fesses alors que je caressais ses jambes ou ses seins. Je variais le rythme et la profondeur de la pénétration et par moment, en serrant mes fesses avec ses mains ou ses jambes, elle me l’imposait. Parfois, je ne bougeais plus et je la laissais frotter son bassin contre le mien comme bon le lui semblait. Ma main glissait souvent sous ses fesses pour les écarter ou les serrer, afin qu’elle sente plus ou moins mon sexe en elle. Elle poussait des soupirs de plaisir, plus ou moins intenses en fonction du moment. Je relevais ses jambes pour varier l’angle de la pénétration.


Je ne sais combien de temps nous restâmes ainsi à faire l’amour dans la position du missionnaire. Puis elle souleva son bassin du lit, attrapa un oreiller et le glissa sous le bas de son dos. Elle souleva ses jambes pour venir les placer sur mes épaules. Je m’appuyai sur le lit bras tendus et me remis à bouger en elle. La pénétration était vraiment maximale avec cette position et ses soupirs se transformaient de plus en plus en cris étouffés. Je m’amusais à retirer presque entièrement mon sexe, ne laissant que le bout de mon gland en elle et à me laisser tomber d’un coup sur elle pour la prendre jusqu’à la garde. À chaque fois, je lui arrachai un cri plus fort. Quand j’accélérai mes va-et-vient, elle cria de plus en plus sous mes coups de boutoir répétés. Ses jambes finirent par glisser de mes épaules pour retomber sur le lit. Au bout d’un moment, elle me demanda d’arrêter et de me retirer. Un peu déçu, je m’exécutai, mais elle me rassura vite :



Elle souleva son bassin pour dégager l’oreiller. Elle s’allongea sur le côté et m’invita du regard à venir me mettre derrière elle. Je m’allongeai donc contre elle, mon sexe collé à la raie de ses fesses. Je l’embrassais dans le cou et sur la nuque alors que ma main se promenait sur sa poitrine et jouait à avec ses seins. Puis je fis glisser sous son cou mon bras qui était coincé contre le lit pour pouvoir caresser ses deux seins en même temps. Je descendis ensuite ma main libre vers ses hanches pour écarter légèrement ses cuisses et remettre mon sexe en elle, mais elle attrapa ma main et la plaqua sur son sexe humide.



Je m’exécutai et commençai à la caresser. Assez vite, je glissai un puis deux doigts en elle et les faisait aller et venir dans son sexe alors que ma paume caressait son clitoris. Pendant plusieurs minutes, je continuais ces mouvements et l’écoutais exprimer son plaisir alors qu’elle glissait une main entre nos deux corps pour saisir ma verge. Au bout d’un moment, elle écarta son bassin pour faire venir mon sexe contre le sien. Je retirai mes doigts de son vagin pour venir caresser son clito avec. Elle posa mon gland contre ses lèvres et, d’un coup de rein, je rentrai en elle. Je bougeais en elle tout en titillant son bouton d’amour. Quand elle le décida, elle attrapa à nouveau l’oreiller pour le poser à côté d’elle. Elle nous fit rouler dessus pour se retrouver étendue sur le ventre. Toujours fiché en elle, je suivis ses mouvements et me retrouvai sur elle. Elle était appuyée sur les avant-bras, les jambes écartées et le bassin surélevé grâce au coussin. Les bras tendus appuyés sur le lit, je me maintenais au-dessus d’elle et la pénétrais de lents, mais profonds coups de reins.


À chaque fois que je m’enfonçais en elle, je lui arrachais un soupir de plaisir. Puis elle me poussa avec ses fesses pour que nous changions de position et nous nous retrouvions en levrette. Je continuais à aller et venir en elle, penché sur son corps, une main caressant ses seins, l’autre son clitoris. Puis je me redressai et voulus la saisir par les hanches. Mais elle redressa elle aussi et vint se coller contre moi. Je l’embrassai alors dans le cou tandis que mes mains allèrent saisir chacune un de ses seins. Pendant qu’elle caressait mes fesses d’une main et son sexe de l’autre, elle faisait faire à son bassin de petits mouvements circulaires pour faire bouger mon sexe complètement planté en elle. Je ne me lassais pas de jouer avec ses seins et elle s’amusait à me caresser les testicules. Puis elle se lança en avant pour être à nouveau à quatre pattes. Je la saisis donc par les hanches et commençai de profonds et rapides aller-retour en elle. Mes cuisses claquaient contre ses fesses et rapidement, je sentis que j’étais proche de la jouissance. J’accélérais donc mes coups de reins et elle comprit que je n’en avais plus pour longtemps. Mais au lieu de me laisser faire, elle me stoppa et saisit mon sexe à sa base et le sortit du sien.



Je m’exécutai et m’allongeai sur le dos à côté d’elle. Elle vint me chevaucher en glissant mon sexe en elle.



Elle avait une main appuyée sur mon ventre pour rester redressée et l’autre était glissée entre nos deux corps pour caresser son clitoris. Elle faisait de petits mouvements de bassin autour de mon sexe, assez lents, mais suffisants pour que je sente ses chairs bouger autour de mon sexe. Elle gardait les yeux fermés et sa respiration devenait de plus en plus haletante. Je caressais alternativement ses fesses, ses cuisses et ses seins, mais j’avais toutes les peines du monde à me retenir de jouir. J’essayais de penser à tout ce qui pouvait faire baisser mon excitation, mais ce n’est vraiment pas facile quand on est en train de caresser de si jolis seins ! Elle accélérait progressivement ses mouvements et les faisait gagner en amplitude. Rapidement, je lui fis savoir que j’étais vraiment au bout. Elle pinça mon ventre avec ses ongles. La surprise et la douleur firent quelque peu reculer le déclenchement de mon éjaculation si proche.



Sa phrase avait été entrecoupée de soupirs de plus en plus appuyés. Ne pouvant plus trop retarder ma jouissance, j’essayais d’accélérer la sienne en pinçant doucement ses tétons, ce qui lui arracha un petit cri de plaisir. Alors que j’allais lui annoncer que j’avais atteint l’extrême limite de ma résistance, elle se laissa tomber en avant sur moi et me cria :



Alors que ses seins vinrent s’écraser sur ma poitrine et que sa tête vint se coller contre la mienne, je pris appui sur mes talons pour pouvoir soulever mon bassin à ma guise, je saisis ses fesses, les écartai au maximum et me mis à la pilonner de toutes mes forces. La différence de rythme des mouvements de mon sexe en elle transforma ses soupirs en cris de moins en moins étouffés. Je bougeais aussi vite que je le pouvais en elle et en quelques secondes, j’atteignis cette jouissance si longtemps repoussée. Son orgasme se déclencha en même temps que le mien et alors que je me vidais en elle, elle poussa de longs cris de plaisirs non contenus cette fois-ci. Alors que mon plaisir retombait, je ralentissais mes mouvements en elle pour les stopper au bout de quelques secondes. Je serrais ses fesses autour de mon sexe qui ramollissait et je sentis son vagin se contracter autour de mon sexe. Nous restâmes de longues secondes ainsi à reprendre nos souffles. Je voulais profiter au maximum de ce moment. Cependant, Mélanie se redressa vite, me sourit et m’embrassa puis sortit de la chambre en ramassant sa serviette de bain. Sans un mot, elle me laissa seul, allongé sur lit. Je me levai à mon tour et me dirigeai vers sa chambre. Je la vis penchée sur sa valise à chercher des affaires. Je restais dans la l’ouverture de la porte, nu avec le sexe retombé. Elle se redressa et me vit :



Tout en parlant, elle avait enfilé un string et un soutien-gorge blanc en dentelle.



Elle passa une robe en coton rayée bleu et blanc assez près du corps et s’avança vers la porte. Je m’écartai pour la laisser passer. Elle attrapa mon sexe dans sa main et me murmura à l’oreille :



Puis elle descendit l’escalier, enfila des sandales et sortit.

Je la croisai quelques fois encore pendant la fin de son séjour, mais, comme Adeline, elle ne laissa rien paraître sur le fait que nous ayons couché ensemble…