Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 17900Fiche technique14927 caractères14927
Temps de lecture estimé : 9 mn
08/05/17
Résumé:  Une soirée d'été au restaurant, et une balade au clair de lune qui va déraper.
Critères:  fh couple extracon fépilée forêt parking exhib noculotte confession -couple
Auteur : Langes  (Un couple qui aime la vie et le sexe)
Une chaude soirée

Ce soir, j’ai rendez-vous avec celle qui fait battre mon cœur et, il faut bien le dire, qui accélère l’afflux sanguin dans mon sexe. Nous devons aller dîner au restaurant, et je sais que la soirée sera chaude.


Mais laissez-moi d’abord vous la présenter. Elle, c’est Véronique, une très jolie femme, la petite quarantaine, les cheveux frisés, un regard malicieux, de jolis seins que je peux envelopper dans ma main avec des tétons très réactifs et un cul à damner un saint. Elle est belle, libre, elle aime les plaisirs de la vie, et surtout le sexe. Cela fait bientôt huit ans que nous avons une relation suivie, même si je ne suis pas libre de mon côté. À chaque rendez-vous, on discute, on rit et surtout on baise comme des fous. On adore ça tous les deux, on aime essayer plein de choses différentes, et on a un petit côté exhib… parfois un peu développé.


Donc en cette belle et chaude soirée d’été, nous allons dîner dans un petit restaurant discret en bord d’un petit lac. Je passe chez elle pour l’emmener. Dieu, qu’elle est belle dans sa petite robe d’été avec ses jolis talons qui ont toujours le pouvoir de m’exciter !


On s’embrasse à pleine bouche ; mes mains vont à la rencontre de son corps que je désire déjà, mais elle me stoppe en me disant :



Sur le trajet en voiture, sa légère robe remonte sur ses cuisses nues, et son décolleté me permet d’apercevoir la naissance de ses seins. Je suis de plus en plus excité. Ma main glisse sur ses cuisses en les caressant. Je remonte doucement ; elle me laisse faire en appréciant la caresse, mais au moment où j’arrive à son entrejambe, elle me stoppe. Elle me regarde d’un air coquin :



Mais la belle est aussi excitée que moi. Pendant que je conduis, elle caresse mon sexe par-dessus mon jean. Ma queue gonfle à en être trop à l’étroit. Elle me déboutonne et commence à me masturber lentement en faisant aller son regard de coquine de mes yeux à ma queue. Elle me regarde tout en passant sa langue sur ses lèvres.


Je n’en peux plus, je veux la prendre tout de suite, je veux caresser et mordiller ses jolis seins, je veux lécher son fruit secret, passer ma langue sur les contours de son sexe que je sais luisant de désir…

Mais nous voilà arrivés…


Je me stationne sur le parking entre d’autres voitures. Nous descendons et je me précipite sur elle. Je me sais dehors, mais un peu caché par les autres véhicules. Je l’embrasse à pleine bouche, mes mains s’emparent de son petit cul. Elles glissent sur ses cuisses pour passer sous sa robe et remonter sur ses fesses… nues ! La belle n’a pas de culotte ! Hummm, j’adore quand elle fait ça et qu’elle ne me dit rien pour que je la découvre ainsi. Je la regarde, elle a un regard de biche qui appelle au sexe.


D’une main, je remonte vers son abricot tout lisse, un doigt caresse ses lèvres. Elle se colle contre moi, écarte ses jambes pour faciliter le passage. La terrasse du restaurant est à quinze mètres de nous, on pourrait facilement nous voir à travers les vitres des voitures. Elle est excitée, je glisse un doigt en elle et commence à la branler ainsi. Sentant le plaisir proche, elle se ressaisit, se dégage de mon emprise :



Nous nous installons à une table très légèrement à l’écart des autres sur la terrasse. Nous nous dévorons du regard ; elle me dit :



La table a une grande nappe tombante… heureusement ! Elle fait tomber sa fourchette au sol, vers moi. Par réflexe, je me penche pour la ramasser. Je suis légèrement de côté, alors elle en profite pour se décaler et pour ouvrir grand ses jambes afin de me faire admirer sa petite chatte toute lisse, là dans le restaurant, alors que tout le monde pourrait voir son petit jeu. Hummm, quel spectacle ! Je lui dis :



Et elle de répondre :



Le repas se poursuit, apéritif, repas, vin… il n’en fallait pas plus pour que nos esprits et nos corps se chauffent encore plus. Profitant de la nappe, Véro déchausse un pied et se met à caresser ma queue par-dessus mon jean. Tout en le faisant, elle m’adresse un regard lubrique au possible ce qui en dit long sur son état d’excitation, ce qui renforce le mien.


« Ah, tu veux jouer, ma belle ! » Je décale mes couverts et ma chaise pour m’installer à côté d’elle. Ce qui fait qu’elle tourne toujours le dos aux autres tables et que je suis sur son côté, tout proche d’elle. Je l’embrasse, je me fiche des autres personnes. Les savoir là, juste à côté, ne fait que nous exciter encore plus. Je pose ma main sur sa cuisse et fais remonter le bas de sa robe jusqu’en haut de ses cuisses. Je dirige ma main vers sa petite chatte. D’un seul coup, elle ne semble plus aussi assurée, elle referme ses cuisses, me regarde d’un air de dire « Non, pas là, il y a trop de monde. »


Je laisse ma main posée sur sa cuisse avec une légère pression… lorsque le serveur arrive. Je retire ma main, mais ma belle a toujours ses cuisses et son intimité à découvert. Le serveur a bien dû se rincer l’œil ! Je le dis à mon amour :



Profitant de cet instant, je glisse ma main sur son sexe qui est tout humide, je caresse sa petite chatte doucement. Elle semble s’abandonner un instant puis se ressaisit :



La nuit est tombée, mais en cette période il fait encore chaud. Le repas fini, nous nous dirigeons vers le parking. Il n’y a quasiment plus personne. Tout en marchant, je lui caresse les fesses. Puis je remonte sa robe, si bien que nous marchons ainsi, elle, son cul à l’air, visible par tous. Sans dire un mot, nous dépassons le parking pour nous engager sur le chemin qui fait le tour du lac. C’est un petit chemin, avec de l’autre côté un grand espace dégagé et quelques arbres.



Arrivés à l’espace dégagé, nous nous embrassons et nous nous caressons. Je l’entraîne un tout petit peu à l’écart du chemin, sous un arbre. Il fait nuit, mais la pleine lune et le ciel dégagé offrent une belle visibilité ; nous sommes seulement dans l’ombre de l’arbre.


Je caresse son cul mais elle se dégage, se penche, déboutonne mon jean et fait enfin jaillir ma queue de son carcan. Elle me regarde, approche ses lèvres et commence à lécher le bout de mon gland avec sa langue. Hummm ! Elle s’accroupit, prend ma queue dans sa main et commence à me sucer doucement. Elle passe sa langue en faisant des cercles sur mon gland puis me prend en bouche, d’abord mon gland, puis un peu plus, pour finir par faire entrer toute ma queue. Elle commence doucement, puis un peu plus vite en faisant des allers-retours sur toute la longueur de ma bite toute raide de plaisir. « Humm, oh oui, que c’est bon… » Tout en me suçant, elle plonge son regard dans le mien.


Je n’en peux plus, je veux lui faire du bien. Je la relève. J’écarte son décolleté pour m’emparer de ses seins, je les caresse. Je mordille ses bouts pendant que mes doigts courent sur sa chatte toute liquide. Je presse et j’écarte ses lèvres pour enfin lui mettre un, puis rapidement deux doigts qui glissent tout seuls, tellement l’excitation la fait mouiller. La belle gémit et soupire de plus en plus sous ce délicieux double traitement.


Au bord de la jouissance, elle se dégage à nouveau, fait faire deux allers-retours à ma queue dans sa bouche, puis elle se retourne et prend appui de ses mains sur le tronc de l’arbre en cambrant sa croupe le plus possible. Je me débarrasse de mon jean ; je suis quasiment nu. Alors je passe mes mains sur elle, je caresse son corps, ses seins, j’en fais le tour, je pince ses tétons durcis de désir et doucement, je fais tomber sa robe au sol. Dieu qu’elle est belle, ainsi exposée, nue, juste avec ses talons, au bord du lac sous la lumière de la lune !



Je ramasse nos affaires, je marche vingt mètres, nu à partir de la taille, jusque sous un autre arbre.



Hummm ! Je sais qu’elle aime faire ce genre de chose, être nue en extérieur, pouvant être surprise à tout moment. Elle s’avance alors lentement vers moi en se déhanchant exagérément. Je me caresse en la voyant ainsi, belle, obscène, lubrique. Sur le chemin, arrivée à deux mètres de moi, elle tourne sur elle-même et fait glisser ses mains sur son corps.



Je suis au comble de l’excitation et, je le sais, elle aussi. Je l’attire à moi, je la penche contre un arbre. Je prends son cul dans mes mains, écarte un peu les globes et doucement je m’enfonce en elle, centimètre par centimètre. Elle gémit. Je commence un lent va-et-vient, puis j’accélère. On entend le bruit de nos corps qui claquent ainsi que ses feulements et ses gémissements. Je ralentis ; je fais presque sortir mon gland de sa chatte si chaude et mouillée avant de me renfoncer en elle jusqu’à la garde. Je fais quelques allers-retours ainsi. Elle me chuchote :



Alors je ne me retiens plus, et à chaque coup de boutoir dans sa petite chatte toute mouillée, ma belle me dit :



Elle ne chuchote plus ; elle arrive de moins en moins à se retenir de crier.



Alors je ne me retiens plus ; j’accélère, je la défonce carrément. Je la prends fort, comme elle aime, comme une petite chienne. Et elle aime, en témoignent ses gémissements qui se sont transformés en cris ! C’est à ce moment que j’aperçois la lueur d’un briquet ! Un peu plus loin, posées dans l’herbe, j’aperçois quatre formes assises. Des bruits de conversation à voix basse me parviennent. Je stoppe tout.



Ma belle se redresse, dans un réflexe futile se couvre les seins de sa main, attrape sa robe et la renfile. Pour ma part, je remets mon jean… sans le boutonner. On se blottit l’un contre l’autre et on scrute la pénombre.


Le groupe se trouve à un peu moins d’une vingtaine de mètres de notre position. Ils discutent, fument des cigarettes et ne semblent pas du tout nous avoir vus… malgré les cris de bonheur de Véro. Un peu rassurés, blottis l’un contre l’autre ainsi, très vite notre passion reprend des sommets. Véro prend ma queue dans ses mains et aussitôt je reprends toute ma vigueur. Je la caresse sous sa robe et je lui murmure :



À elle de me répondre :



En disant cela, elle accentue la pression de ma main sur sa chatte toujours aussi mouillée.


Je la retourne contre l’arbre en nous décalant un peu, mais ce faisant nous serons immédiatement visibles par toute personne sur le chemin. Ça nous excite encore plus. Je m’enfonce en elle d’un seul coup, lui arrachant un petit cri.



Je recommence mes va-et-vient doucement en elle en tapant bien au fond. Très vite Véro, qui se retient de crier, me dit en chuchotant :



J’accélère alors, faisant de puissants allers-retours dans sa petite chatte. Je regarde son cul et ma queue disparaître en elle. J’accélère encore, et en même temps je glisse un doigt dans son anus qui, lubrifié par le désir, s’ouvre tout seul. Elle laisse échapper un petit cri de plaisir. J’accélère encore ; nous sommes au bord de la jouissance. Nous essayons de rester discrets et, je le sais, je le sens, Véro a du mal à garder le silence. Ce qui nous excite encore plus. Nous jouissons en même temps. Je me déverse en elle, et nous ne pouvons refréner un gémissement de plaisir tous les deux.


Je reste en elle quelques secondes, le temps de reprendre un peu nos esprits envahis de plaisir. On s’embrasse, puis nous reprenons le chemin de la voiture, heureux et satisfaits. Cette partie de baise sauvage accompagnée d’un brin d’exhib nous a contentés… Enfin, je le pensais. Mais un peu avant d’arriver à la voiture, là, sur le chemin bien éclairé par la lune, Véro fait passer sa robe par-dessus sa tête et se retrouve toute nue en talons.



Je l’attrape, l’attire à moi, l’embrasse, la caresse, passe mes mains sur tout son corps…



Arrivée à la voiture, c’est toujours toute nue et en talons qu’elle s’assied. Nous partons, et bientôt la passion nous regagne…