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Temps de lecture estimé : 13 mn
09/05/17
corrigé 06/06/21
Résumé:  Nous voici à nouveau sur cette fameuse plage naturaliste/nudiste. Côté passager, Claudine, ma femme, est assez fébrile, elle croise et décroise les jambes depuis notre départ, elle a visiblement hâte d'être déjà arrivée !
Critères:  fhh plage cérébral -couplea3
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Plagismes

Chapitre 03 / 03
Plagisme - Le re-retour

Comme l’histoire Plagisme, à la demande de certains lecteurs, a eu une suite (Plagisme – Le retour), voici la suite de la suite…

Y aura-t-il enfin du sexe débridé ? Ceci est une bonne question !

Ne pas confondre auteur et narrateur, même si j’emprunte parfois à mon vécu.

Bonne lecture :)




Nous voici à nouveau sur cette fameuse plage naturalistes/nudistes. Côté passager, Claudine, ma femme, est assez fébrile, elle croise et décroise les jambes depuis notre départ, elle a visiblement hâte d’être déjà arrivée ! Elle est très enthousiaste de ses dernières avancées en matière de liberté de mœurs en bord de mer ! Il y a peu, j’aurais dit que ça faisait bien mes affaires et mes fantasmes, mais voilà, je me méfie beaucoup de ce fichu Adrien, que je surnomme à juste titre Grosse-Queue, et je sais qu’il sera là, j’en mettrais ma… main à couper ! C’est dire…



Je préfère éviter de répondre. Quand je pense qu’il y a quelques jours, je me faisais un plaisir d’aller à la plage afin de la voir se balader seins nus et même plus. Mais voilà, ma chère femme a pris goût au naturalisme, voire même à l’exhibition. Elle l’a très bien prouvé quand elle est sortie sensuellement de l’eau et qu’elle a traversé nonchalamment entre les serviettes des divers plagistes présents qui la zieutaient sans vergogne !


Je reconnais que ça fait plaisir d’avoir une femme qui provoque le désir et l’envie. Mais tout est aussi une question de dosage. Le sel ou le poivre, c’est très bien pour relever un plat, mais quand il y en a trop, ça devient immangeable !


Comme les autres fois, grâce à l’autoroute, nous arrivons vite à destination. Après quelques zigzags sur des petites routes, je gare la voiture sur le même parking sableux et pas mieux entretenu que les autres fois. Piaffant d’impatience, Claudine saute aussitôt hors de la voiture. Quel changement par rapport à il y a quelques jours ! Après avoir pris ce qu’il fallait dans le coffre, ma fébrile de femme et moi, nous nous dirigeons vers le bord de mer en traversant comme de coutume un mince cordon dunaire grâce à un chemin pavé de dalles de béton.


Nous sommes à peine arrivés aux abords de la plage que ma femme s’arrête, cherchant visiblement quelque chose ou quelqu’un du regard. C’est avec une évidente satisfaction qu’elle dit :



Que voulez-vous que je réponde à ça ? Que je fasse une scène alors que c’est moi qui me suis fourré dans cette situation incongrue ? Le point positif est que ma femme accepte à présent d’être nue sur une plage. Mon fantasme est enfin assouvi et c’est très bon de la voir déambuler complètement dévêtue devant tous ces hommes à la langue pendante, même si c’est un certain gugusse à grosse queue qui en profite le plus…


Claudine lui fait des grands signes, il répond de même. Arrivé à peu près au même endroit que la fois dernière, je dépose mes affaires. Ma femme s’étonne :



Et elle m’échappe en riant, courant carrément vers celui qui semble l’attendre avec une certaine impatience. Je plante le parasol à environ vingt mètres de ce fichu Adrien. Ma femme est déjà assise auprès du bellâtre, et elle est en train d’enlever tous ses vêtements. Et c’est toute nue et avec un naturel désarmant qu’elle entame la conversation.


Quelle différence avec il n’y a pas si longtemps ! Il n’y a même pas une semaine, elle tergiversait pour enlever le haut, se tortillant sur place, balbutiant des « oui, mais », et maintenant, elle fait tout voir de la pointe de ses cheveux aux ongles de ses orteils ! Décidément, le proverbe qui dit qu’il faut se méfier de l’eau qui dort est bougrement vrai !


Je lève les yeux au ciel. Là-haut, les nuages semblent me narguer en me mettant sous le nez et surtout devant les pupilles des scènes de sexe, de couples qui baisent, des turlutes géantes, et bien d’autres turpitudes. Je secoue la tête ; décidément, tout ce climat délétère me turlupine, et c’est le bon jeu de mots !


Tandis que j’installe nos affaires, du coin de l’œil, je surveille, d’autant que le dénommé Adrien est visiblement très content de faire causette avec ma femme, dont les seins nus et arrogants semblent narguer tous les hommes du secteur. En tout cas, ces seins fermes qui s’agitent intéressent au premier chef son interlocuteur dont le regard est nettement plus dirigé sous le cou que sur le visage de ma femme. Et même souvent plus bas, au-dessus de ses jambes et plutôt en dessous de son nombril… Je préfère ne rien voir de tout ça, et tournant le dos à ce spectacle, je continue d’installer nos affaires.



Alors que j’avais le dos tourné, ma femme m’interpelle. Intrigué, je me retourne :



Intrigué, je fais ce qu’elle me demande. À peine suis-je près d’elle que ma femme m’annonce le plus tranquillement du monde, large sourire lumineux sur son mignon visage :



Je sens venir quelque chose gros comme un pâté de maisons, et même pire, une petite ville. Par simple acquis de conscience, je demande de ma voix la plus neutre :



Et sans attendre ma réponse, elle se jette comme une louve affamée sur le corps sculpté de son voisin. Pour ma part, je reste figé comme une statue de sel, incapable du moindre mouvement.


Peu importe si leurs corps nus se plaquent sensuellement et impudiquement l’un à l’autre.

Peu importe si leurs mains se cherchent, se caressent, se prennent, se possèdent.

Peu importe si leurs lèvres se soudent, se dévorent, s’engloutissent.

Peu importe si une bouche vorace lèche, suce, tète, dévore les seins fermes et les tétons érigés qui lui sont offerts.

Peu importe si une autre bouche lèche, suce, tète et dévore un large torse, puis un ventre dur et modelé.


De saisissement, j’en tombe littéralement sur le cul, les fesses dans le sable chaud, sans arriver à détacher mon regard du spectacle licencieux, la bouche ouverte, les yeux exorbités. Avec une voix de chatte en chaleur, Claudine murmure entre deux soupirs :



Ils s’enhardissent, tandis que je reste toujours figé. Déjà la menue main de ma femme s’empare d’un sexe dur et long qui palpite sous ses doigts. Déjà cette même main le branle délicatement, puis de plus en plus posément, comme possessive et victorieuse, sûre de son affaire et de son pouvoir, les doigts légèrement écartés pour mieux prendre possession de toute cette tige chaude.


Puis, baissant la tête, impudiquement, ma femme dépose un léger baiser sur le bout écarlate, tout en me regardant droit dans les yeux. Puis, comme au ralenti, elle ouvre la bouche, écartant ses lèvres rosées afin d’engloutir petit à petit cette grosse queue goûteuse. Avec application, elle suce, elle pompe suavement ce nouveau jouet. Puis peu après, elle s’en détache, sans lâcher pour autant ce braquemart bien frémissant. Levant la tête, yeux mi-clos, lèvres humides et légèrement baveuses projetées en avant, elle me susurre d’une voix un peu rauque et très sensuelle :



Puis se mettant bien face à moi, se soulevant au mieux, jambes bien écartées, elle positionne sans hésitation cette grosse queue juste à l’entrée des lèvres frissonnantes et entrouvertes de sa chatte déjà détrempée. Avec le bout du gland, elle taquine son intimité, frotte le méat contre son clitoris, lentement, longuement, sensuellement, vicieusement.



Elle ouvre grands les yeux, me fixe de son regard clair, les pupilles largement dilatées, puis d’un seul coup, elle se laisse choir, s’empalant en gémissant sur ce gros mandrin qui entre sans effort en elle !


Paniqué, ulcéré, sortant de ma torpeur, je me lève d’un bond ! Trop, c’est trop !


Et je me réveille en sursaut en plein beau milieu de la nuit !


Hagard, je regarde autour de moi. Ma femme dort tranquillement à mes côtés. Je glisse un œil vers le radioréveil : il est environ trois heures du matin. Flageolant, je me cale contre l’oreiller, mon front est inondé, mes mains tremblent, ce rêve était décidément bien trop réaliste. J’ai du mal à m’en remettre, et aussi à admettre que ce n’était qu’un cauchemar, tant ça m’a paru vrai. Je soupire de soulagement, peut-être que j’ai trop mangé ce soir et que ça me reste sur l’estomac. Il est vrai que je me suis morfalé en saucisses dont la date était limite-limite, mais je n’allais quand même pas les jeter ! Elles étaient pourtant très bonnes, mais qui peut dire les diverses cochonneries qu’il pouvait y avoir dedans !


À moitié rassuré, je me recouche, calant au mieux ma tête sur l’oreiller. Il ne me faut pas longtemps pour sombrer à nouveau dans le sommeil, accompagné de rêves moins stressants, du moins je le suppose, car à mon réveil, je n’en aurai aucun souvenir…


Quand j’ouvre un œil, ma femme n’est plus à mes côtés. Je suis étonné, car d’habitude, elle aime paresser au lit. Je jette un coup d’œil vers mon radioréveil : ah oui, quand même ! Me levant à mon tour, je la rejoins dans la cuisine pour lui faire un petit bisou matinal. Devant ma mine chiffonnée, elle s’exclame :



Sous le regard interrogateur de ma femme, j’ouvre le frigo, je plonge la main dedans et je referme. Puis arrivé à la table de cuisine, je m’assieds, mon yaourt en main, et je commence à expliquer :



Toujours un peu dans les brumes du sommeil, j’enlève lentement l’opercule, puis je prends une cuillère dans le tiroir. Après un bref silence, ma femme s’esclaffe :



Amusée, elle secoue la tête, puis elle boit une gorgée de son café, puis une seconde. Quand elle repose son bol, elle consent à lâcher :



Elle boit une dernière gorgée puis pose le bol vide sur la table :



Je me contente de sourire. Peu après, nous retournons sur cette fameuse plage naturiste. Tout se passe exactement comme les autres fois. En informatique, on appellerait ça un copier-coller. Environ une heure plus tard, nous voici sur ce bord de mer, en train de nous installer à peu près à la même place que les autres fois. Regardant aux alentours, je suis un peu étonné : il n’y a pas grand monde aujourd’hui. Alors que je suis en train d’installer les affaires, j’entends un vigoureux bonjour derrière moi.


Je me retourne. Déjà complètement nue (finalement, sa pudeur était plutôt mince), ma femme se jette littéralement sur le nouvel arrivant qui l’est tout autant. Nu, je précise, et toujours cette fichue lance à incendie bien évidente entre les jambes.



Ma belle ? Cet Ostrogot l’appelle déjà « ma belle » ? Tandis qu’elle est collée contre lui, Adrien me tend une main que je saisis machinalement. Sa poigne est ferme, il ne cherche pas à me broyer la paume, alors que physiquement, il aurait pu le faire. Cet importun remonte un peu dans mon estime, même s’il ressemble un peu trop à un maître-nageur « musculaté » de partout, un autre détail que semble apprécier ma garce de femme.


Ma femme et Adrien s’allongent sur leur serviette, l’un à côté de l’autre. Aussitôt, ils papotent de tout et de rien. J’ai la nette impression d’avoir sous les yeux un couple qui se connaît depuis longtemps. Je me sens un peu étranger.


À mon tour, je me mets en tenue d’Adam. Ma femme s’amuse à me regarder ôter mes vêtements. J’apprécie le fait qu’elle ne fait aucun comparatif entre mon anatomie et celle de son voisin. Ni en parole ni en regard. C’est toujours ça de pris. Mais bon, je sais très bien que la comparaison ne tournerait pas précisément à mon avantage. Néanmoins, ma femme m’a bien précisé dans la voiture que j’étais son mari et que c’est moi qu’elle aimait. Ce dont je suis fier. Mais je me méfie quand même de la concurrence, surtout quand elle est formatée comme cet Adrien de malheur.


Alors que je m’apprête à m’allonger un peu à l’écart, ma femme m’interpelle :



Je suis un peu interdit, j’hésite un peu, ma serviette en main. Un grand sourire aux lèvres, ses mignons seins dressés vers moi, Claudine tapote sur le sable, juste à côté d’elle :



Je m’exécute. Une sourde sensation me murmure qu’une étape risque d’être franchie dans peu de temps. À peine suis-je allongé que Claudine pose sa main sur mon ventre. Son contact ne me laisse pas de marbre et aussitôt, ma virilité se manifeste, ce qui fait rire doucement ma tentatrice :



Ses doigts glissent vers mon sexe déjà bien dressé et dur. Et sans complexe, ces mêmes doigts s’emparent de ma tige tandis que son autre main en fait de même sur Adrien. Puis de façon synchrone, Claudine nous branle, lentement, mais fermement. Je le vois bien à son visage, cette situation l’excite beaucoup. Elle s’amuse posément avec nos joysticks de chair, ses doigts coulissant amplement le long de nos colonnes chaudes.


Le temps semble suspendu. Sous le soleil, je me laisse aller, ma bite entre les doigts de ma femme, sachant qu’elle fait la même chose à mon rival. Je jette un rapide coup d’œil vers celui-ci. Lui aussi profite pleinement de l’instant présent, les yeux fermés. Les yeux brillants, ma femme affiche, quant à elle, un sourire à la fois pervers et gourmand.


Puis, peu après, Adrien pivote sur le côté, sa bouche vient aussitôt se poser sur un téton qui n’attendait que ça. Une large main caresse quelques instants un sein totalement acquis, puis les doigts glissent lentement plus bas, cajolant délicatement un ventre doré par le soleil. Puis ils s’aventurent encore plus bas, vers un petit mont tout doux. Arrivés là, ils le câlinent tendrement. Puis voyant que l’accès vers une fente interdite s’entrouvre de plus en plus, un doigt, plus impertinent que les autres, décide d’aller explorer cette contrée secrète.


Saisissant à sa base son sein blanc, je m’empare à mon tour de son autre téton, lui faisant subir un traitement que je sais qu’elle adore.


Sous cette triple attaque, Claudine soupire d’aise, la pression de ses doigts autour de nos verges s’accentue, je commence à avoir quelques soucis de concentration pour ne pas lâcher mes réserves tout de suite. Je constate du coin de l’œil qu’il en est de même pour mon partenaire de jeu, je vois bien à certaines contractions qu’il essaye de se contenir. Pour sa part, ma femme se laisse aller à quelques lents et longs gémissements qui ne facilitent notre résistance.


Haletante, elle tressaille de plus en plus sous nos caresses buccales et digitales. Comme pour se venger, elle augmente la fréquence de ses mouvements de va-et-vient, nos bites étant copieusement calottées puis décalottées, bien en longueur et en pression. C’est puissant sans que ce ne soit douloureux. C’est surtout très efficace !


Je me retiens du mieux que je peux, mais c’est de plus en plus difficile ! Les sensuels gémissements de ma femme s’accentuent de plus belle. Je serre les poings et même les doigts de pied, tant ma tension est forte, puissante, irrésistible ! De son côté, Adrien a le bout du gland bien luisant, je constate distinctement que deux gouttes de sperme, qui se sont échappées de son méat, glissent lentement le long de sa tige de chair, puis l’une d’elles vient se répandre sur la base du pouce de ma femme. L’autre en fait de même sur l’index.


Ma femme se tortille, voulant échapper à nos bouches, à ces doigts qui farfouillent en elle, mais nous tenons bon. Elle murmure alors :



C’est la première fois que j’entends ce genre d’expression dans sa bouche et c’est ce qui fait ouvrir mes vannes. N’y tenant plus, je me laisse aller, un mini-geyser de sperme s’expulse de ma queue chauffée à bloc, s’élance au ralenti vers le ciel d’azur, pour venir ensuite s’écraser lourdement sur le ventre douillet de ma femme. Une autre salve fuse elle aussi vers le bleu du ciel, puis d’autres autres suivent. J’entends un sourd grondement qui m’indique qu’Adrien doit avoir cédé, lui aussi. Avant de fermer les yeux et de sombrer, je constate que la main qui continue de me branler est poisseuse de sperme.


Je me dis alors qu’à partir de maintenant, bien des choses ne seront plus comme avant…