n° 17910 | Fiche technique | 12381 caractères | 12381Temps de lecture estimé : 8 mn | 15/05/17 |
Résumé: Nouvellement célibataire, j'assouvis enfin mon fantasme de rencontrer une prostituée. | ||||
Critères: fh couleurs prost grosseins entreseins nopéné | ||||
Auteur : Simon Lemieux |
J’étais célibataire depuis environ un mois. J’avais passé les huit dernières années en couple. D’abord avec Annie, puis ensuite avec Julia. Les deux relations s’étaient enchaînées très rapidement et je n’avais pas vraiment eu de moment de célibat entre les deux. J’avais quitté Julia et avais rapidement commencé à rencontrer d’autres femmes, avides d’enfin pouvoir laisser libre cours à toutes mes pulsions et mes fantasmes. J’avais déniché un nouvel appartement pour juillet, mais voilà, j’avais quitté Julia en mai.
Après avoir été hébergé chez des amis pendant quelques semaines, Annie m’avait proposé d’habiter dans son appart pour les deux dernières semaines de juin, avant que j’aie accès à mon appartement. Elle ne serait pas en ville de toute façon, j’aurais donc un appartement juste à moi. J’avais besoin de me retrouver seul alors ça m’arrangeait bien. Je trouvais un peu bizarre d’aller habiter chez une ancienne copine, mais la poussière était retombée depuis et je sentais que je pouvais le faire sans que ce soit étrange. Puis tout ça allait finalement nous faire redevenir bons amis, après plusieurs années de distance.
Le soir où je suis arrivé chez elle, elle était déjà partie. Je me suis installé rapidement et j’ai ouvert mon ordinateur. J’ai commencé à surfer sur le net et comme souvent, j’ai commencé à regarder de la porno. Mais depuis plusieurs années, ce n’était pas que la porno qui me titillait en ligne… je dirais même que quelque chose d’autre m’excitait bien davantage ; les petites annonces d’escorts. Je dois avouer qu’à ce stade, je fantasmais énormément sur l’idée de me payer une rencontre avec une prostituée. Je ne sais pas comment ce fantasme a germé en moi, mais il est devenu très envahissant. Je passais littéralement une heure par jour à consulter ces annonces. Je le faisais pendant que j’étais en couple. Jamais je ne serais passé à l’acte, mais je repoussais sans cesse les limites. Je m’étais créé un faux compte courriel pour entrer en contact avec certaines femmes.
Je savais au fond de moi que je ne les rencontrerais pas, mais d’échanger avec elles, de me renseigner sur leurs tarifs, sur les conditions dans lesquelles elles reçoivent… Tout ça m’excitait énormément. Je lisais généralement ces annonces pendant un bon moment, puis je sélectionnais un porno excitant et me masturbais en imaginant que la femme dans le porno était une pute que je m’étais offerte.
Depuis toujours, je suis spécialement attiré par les femmes aux très gros seins, du genre DD et plus, aux courbes généreuses. Mes consultations de petites annonces allaient toujours dans ce sens-là. Rencontrer une prostituée me faisait un peu peur car je ne voulais pas prendre de risques pour ma santé. Par contre, j’avais une forte envie de trouver une escort qui me permettrait d’assouvir mes fantasmes quant aux larges poitrines. Je ne voulais pas vivre une relation sexuelle complète avec elles, mais pouvoir vivre pleinement ma passion des gros seins.
Ce soir-là, en consultant les annonces, j’ai réalisé qu’étant désormais célibataire, rien ne m’empêchait de réaliser ce fantasme pour de vrai. Quand cette pensée m’a traversé l’esprit, je suis devenu plus excité que jamais. J’en tremblais. Je trouvais ça un peu fou, l’idée d’inviter une prostituée dans l’appartement de mon ancienne copine, et en même temps, je m’en fichais un peu. Ma queue était déjà bien dure dans mon jeans et je sentais que je ne pourrais pas reculer. Je n’avais que 60 dollars sur moi, mais je me disais que je trouverais sûrement une femme qui accepterait d’être payée peu, puisque mon simple fantasme était de profiter de ses gros seins.
Je regardais les annonces frénétiquement. Je trépignais d’excitation à l’idée de vivre enfin ce fantasme. Les plus gros seins que j’avais eu la chance de caresser étaient de taille C. Ça m’avait beaucoup plu, mais j’étais fou à l’idée de malaxer des seins énormes qui déborderaient de mes mains. De les lécher et d’y engouffrer mon visage.
Chaque femme dont je consultais l’annonce m’allumait. Je sentais qu’il était important de bien choisir. Je ne m’attendais pas à répéter l’expérience. Je voulais bien en profiter.
Je tombai sur l’annonce d’une plantureuse Haïtienne, dont j’avais remarqué la photo à plusieurs reprises lors de mes navigations précédentes. Ses seins paraissaient vraiment énormes et vraiment attirants. Très lourds, très ronds, et fiers en même temps. Je n’avais jamais contacté une prostituée par téléphone, de peur que mon ex-copine découvre une trace des mes errances. Cette fois, je n’ai pas hésité une seconde. J’ai pris mon téléphone et j’ai composé le numéro de la belle femme, en ne quittant pas ses photos des yeux. Elle décrocha le combiné rapidement en me répondant d’un magnifique et très sensuel « Bonsoir ».
Tout mon corps s’est éveillé.
Je tremblais d’excitation, de stress, de peur de l’inconnu. Je lui ai donné l’adresse de l’appartement d’Annie. J’ai raccroché et je n’y ai pas cru. Je venais de donner l’adresse et de prendre rendez-vous avec une escort. Elle m’a dit qu’elle serait là dans 15 minutes, elle était tout près.
Stressé, j’épiais à la fenêtre pour la voir arriver. Après des minutes interminables, j’ai vu une belle silhouette s’arrêter devant l’escalier, regarder les adresses. Il faisait noir dehors, mais sa silhouette était vraiment très belle et elle était vêtue de façon très suggestive. Elle semblait porter une très courte jupe qui laissait entrevoir de splendides cuisses bien rondes. Et elle ne semblait pas avoir menti sur la taille imposante de ses seins.
Elle arriva à ma porte et je lui ouvris rapidement. Elle était très belle, souriante, un joli visage, et un corps vraiment splendide. Je l’invitai à me suivre au salon.
Je n’en revenais pas. J’allais vivre tellement de fantasmes en même temps. Une prostituée, une femme avec une poitrine énorme, une Noire. J’avais toujours fantasmé sur les belles femmes noires tout en rondeurs. Je lui ai tout de suite tendu mes 60 dollars puis nous nous sommes assis sur le fauteuil.
Elle était très gentille, elle semblait heureuse d’être là. Je posai une main sur sa cuisse et de l’autre commençai à lui palper les seins à travers son chandail. J’étais très excité. Elle a rapidement enlevé son top et m’a offert ses beaux gros seins nus. La douceur de sa peau m’a cloué sur place. Je n’avais jamais touché une peau aussi douce. Quelques expériences futures allaient me confirmer que la peau des femmes noires était particulièrement douce.
Je voulais vivre un fantasme vu mille fois dans des pornos. Je voulais être assis sur le fauteuil et qu’elle s’agenouille devant moi pour masturber mon sexe entre ses deux gros seins. Je lui ai formulé ma demande et elle a tout de suite accepté sans hésitation. Elle a déposé un coussin au sol pour ses genoux puis elle est venue se poser entre mes cuisses. Je sentais ses gros seins frôler mes cuisses. J’étais fou d’excitation. J’ai retiré mon jeans et mon boxer. Mon sexe était tendu, très dur. Elle l’a touché un peu avec ses mains et j’étais tellement excité que j’avais peur de jouir rapidement, au simple contact de sa peau. Elle a tenté de déposer ma queue entre ses seins et je voulais déjà jouir. Je n’avais jamais eu autant envie de jouir rapidement. J’ai très rapidement pris le contrôle de la situation pour ne pas simplement me déverser sur ses seins sans même goûter au plaisir de m’y enfourner bien au chaud.
Je lui ai demandé de ne pas toucher à ma queue parce que j’étais trop excité. Elle riait et elle semblait fière de l’effet qu’elle me faisait. J’ai tenté de me calmer un peu puis j’ai déposé ma queue contre sa poitrine. J’ai moi-même pris ses gros seins lourds et les ai ramenés contre ma queue, pour la presser entre les deux. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. Une seule ex-copine m’avait donné le plaisir de jouir entre ses seins et c’était il y a plus de 10 ans. Je revivais un de mes plaisirs préférés, et en plus, c’était avec une femme merveilleuse, très chaude, très agréable et gentille. Elle semblait heureuse d’être là et de me faire vivre ce fantasme. Puis sans vouloir me flatter, je suis un bel homme, de 30 ans à l’époque, et je ne lui demandais rien de trop impliquant, alors je crois que pour elle, c’était un moment pas trop désagréable non plus.
Elle me regarde en souriant, en riant, fière de l’effet qu’elle me fait. Elle m’aide à apposer encore plus de pression sur ses seins, pour bien serrer ma queue toute dure. Je m’abandonne à mon plaisir et après à peine quelques coups de va-et-vient entre ses seins, je me décharge rapidement d’une quantité abondante de sperme, qui vient se poser sur ses seins, couler entre les deux le long de ma queue. Elle s’assure de faire sortir tout mon jus et d’étirer mon orgasme le plus possible, puis elle me dit :
Je lui fais un large sourire, la remercie pour le moment de sexe tellement parfait, puis, un peu mal à l’aise, j’essuie le reste de sperme sur mon sexe avec un Kleenex et me rhabille rapidement. Elle me demande un verre d’eau. Je le lui sers et nous parlons deux ou trois minutes sur le fauteuil. Elle me remercie et me dit qu’elle espère me revoir. Elle s’approche de moi, je pose mes mains dans le bas de son dos et nous nous faisons la bise. Son sourire ne la quitte jamais, puis elle repart aussi vite qu’elle est arrivée, me laissant sur mon nuage.
Je ressens une légère culpabilité d’avoir fait ça dans l’appartement d’Annie, mais elle s’estompe rapidement pendant que je regarde une dernière fois les photos de ma belle escort sur son annonce. Je suis heureux d’avoir assouvi mes pulsions avec une aussi agréable partenaire. Je me dis que c’était une belle expérience à vivre une fois dans ma vie, me disant que je ne récidiverai pas. J’étais loin de me douter de l’été qui m’attendait…