n° 17912 | Fiche technique | 14334 caractères | 14334Temps de lecture estimé : 9 mn | 16/05/17 |
Résumé: Un homme décide de s'offrir le plaisir d'un massage érotique et rencontre une Latina plantureuse. | ||||
Critères: fh inconnu prost grosseins groscul douche massage entreseins nopéné québec -tarifé | ||||
Auteur : Simon Lemieux |
J’étais maintenant célibataire depuis deux ou trois mois. J’en profitais allègrement, et je gardais toujours en tête certains fantasmes reliés aux travailleuses du sexe depuis ma rencontre avec une escort haïtienne aux très gros seins, qui m’avait fait vivre un moment vraiment agréable en me procurant une délicieuse, bien que très courte, branlette espagnole.
Ce soir-là, j’étais dans une fête chez des amis, mais la tête n’y était pas vraiment. J’avais passé une bonne partie de la journée à regarder des petites annonces, encore. Le fait d’avoir franchi le pas une fois rendait simplement encore plus facile l’envie de le refranchir. Je fantasmais par contre sur quelque chose de nouveau cette fois ; les salons de massage érotique. Je trouvais que c’était idéal pour mes envies, car comme je souhaitais simplement profiter des belles courbes de femmes sans une relation sexuelle complète, le massage érotique m’apparaissait la meilleure option, et pas trop dispendieuse non plus.
J’étais sexuellement un peu à cran, j’avais très envie de le vivre et ce soir-là, c’était devenu clair dans ma tête que je devais m’y rendre. J’avais remarqué les annonces d’un salon en particulier, pas trop loin de chez moi. Je décidai donc de m’éclipser de la fête pas trop tard. Je me rendis dans un guichet bancaire pas très loin de là, retirai une bonne somme (160 dollars), puis j’arrêtai un taxi sur la rue et lui nommai une intersection pas trop loin du salon de massage. J’étais quasiment stressé que le chauffeur devine où j’allais. Le parcours en taxi m’a semblé si long. Mon excitation grimpait rapidement en moi et je caressais discrètement ma queue à travers mon jeans. J’étais heureux à l’idée d’aller m’offrir un bon moment physique.
J’étais nerveux en marchant sur la rue vers le salon de massage. L’entrée était un peu sordide, avec de vieux néons. Je regardai rapidement autour de moi et m’y engouffrai rapidement, pour y disparaître. Une fois pénétré à l’intérieur, je me suis senti dans un monde parallèle, dédié au sexe. Où je n’avais plus à m’inquiéter du regard des autres autour, puisque tout le monde était ici pour les mêmes raisons. Une belle femme noire vêtue d’une robe très sexy m’indiqua une chaise dans la salle d’attente. Je m’y suis assis, un peu nerveux mais excité. Rapidement, elle m’a ensuite emmené dans une salle de massage où elle m’a demandé de patienter. Je me suis assis sur une chaise. Autour de moi, il n’y avait presque rien. Seulement un matelas de massage avec une fine pellicule hygiénique, une douche et une petite table. L’hôtesse m’a dit que les masseuses viendraient se présenter à moi.
La première qui est entrée était assez ronde. Blonde, avec un corps assez opulent. Grosses cuisses, gros seins, ventre généreux. Elle se nommait Mélissa. Elle est venue me serrer la main et est ressortie aussitôt. La deuxième qui est entrée était une Latina, brunette vraiment très jolie. Un corps plus irrégulier, mais très en courbes lui aussi. Mieux découpée aussi, la générosité se concentrant dans le fessier, les cuisses et les seins, qui semblaient peser une tonne. Elle se nommait Ewa. Elle m’a très doucement pris la main, elle était très sensuelle. Elle est aussi ressortie. Ont suivi Justine, une rousse un peu trop maigre à mon goût, Charline, une Black qui ne semblait pas très en forme, et Catalina, une belle blonde, début vingtaine, mince, très sexy. Lorsqu’elle a quitté la pièce, l’hôtesse est revenue me demander avec quelle masseuse je désirais passer mon heure.
J’ai un peu hésité, tiraillé entre plusieurs fantasmes. La première était très ronde, et c’est une curiosité que j’ai toujours eu envie d’assouvir, mais elle ne m’attirait pas tant que ça. La deuxième, Ewa, n’était pas parfaite, mais elle avait un charme particulier et j’avais senti toute sa sensualité lorsqu’elle est venue me saluer, alors j’ai finalement opté pour elle.
L’hôtesse m’a donc donné une serviette. Elle m’a dit de me dévêtir et de prendre une douche, qu’Ewa viendrait me rejoindre dans dix minutes. Je me suis donc retrouvé seul dans la pièce, un peu intimidé, mais excité. Je me suis dévêtu et j’ai pris une douche rapide pour me rafraîchir. Je me suis séché avec la serviette, en me posant des questions sur l’hygiène de tout ça. Je commençais à douter de mon idée et ce stress n’aidait pas mon confort physique.
Je ne savais plus trop quoi faire, nu, à attendre dans cette pièce. Je me demandais quelle position prendre pour être le plus attrayant pour Ewa lorsqu’elle allait entrer dans la pièce. Je me suis étendu sur la table, en me disant que je ne jouerais pas les timides et lui offrirais à la vue mon sexe bien dressé dès qu’elle entrerait dans la salle. Je commençai donc à jouer avec mon pénis, mou et un peu replié sur lui-même à ce moment-là. Mes hésitations et mes craintes sur l’hygiène du lieu n’aidaient pas mon état. J’arrivais un peu à redresser mon sexe, mais pas suffisamment pour réellement offrir un si beau spectacle à Ewa. Puis, je me suis aussi dit que ce serait peut-être trop vulgaire de l’attendre nu sur la table, la queue dressée.
Je décidai donc de remettre la serviette autour de ma taille, et de m’asseoir sur la table. Ewa vint me rejoindre peu après. Lorsqu’elle entra, je la trouvai encore plus belle. Elle portait des sous-vêtements minuscules ; un soutien-gorge qui recouvrait à peine plus que ses mamelons et un string ficelle qui glissait entre ses deux fesses bien rondes. Le tout était recouvert d’un léger peignoir semi-transparent, qui lui arrivait juste un peu plus bas que la chatte. Elle me salua et me dit qu’elle était heureuse que je l’aie choisie, que nous allions passer un bon moment ensemble.
Je lui ai avoué que c’était ma première fois et elle m’a expliqué comment tout ça fonctionne :
J’étais surpris qu’il soit possible d’avoir une relation sexuelle complète. De toute façon, je ne voulais pas déroger à mon plan de seulement pouvoir profiter des courbes sensuelles d’une femme bien en chair. Pas de pénétration.
J’étais un peu intimidé, et mon sexe était toujours mou, alors je me suis rapidement étendu pour ne pas la laisser voir mon sexe un peu petit à ce moment. Elle a retiré ses sous-vêtements à côté de moi et j’en ai profité pour regarder ses beaux gros seins. Je n’ai pas pu m’empêcher de la complimenter. J’ai tout de suite tendu une main pour soupeser son sein gauche. Hmmm, c’était un vrai délice.
Rapidement, elle m’a dit d’être patient, qu’elle allait me masser un peu. Elle s’est rempli les mains d’une huile de massage puis elle a commencé à masser mes épaules et mon cou. Bien honnêtement, je n’avais pas vraiment envie de ce genre de massage. J’avais la tête tellement remplie de fantasmes sexuels que je souhaitais surtout lui tripoter les seins et me faire tripoter la queue. Je la laissai tout de même faire un moment, mais ensuite je me retournai et je commençai à caresser ses seins. Elle se laissait faire en souriant. J’enfonçais mon visage dans ses seins. Je caressais son ventre rond, ses cuisses, ses fesses. Sa peau était vraiment douce et je n’avais jamais massé d’aussi gros seins. Ils étaient énormes. C’était les plus gros seins que j’avais vus de toute ma vie. Je m’étais relevé et je caressais ses seins. Mon sexe commençait à se dresser. Après un moment elle m’a dit :
Je me suis recouché, mais cette fois, je sentais ma queue durcie légèrement qui forçait contre le matelas. Ses mains ont commencé à s’adonner au massage plus bas dans mon dos, puis sur mes fesses et mes cuisses. Le contact de ses mains huilées était électrisant. Je sentais ma queue de plus en plus dure et le matelas contre elle me faisait souffrir. Puis, elle s’est huilé les seins et ses seins ont commencé à frôler mon dos pendant qu’elle massait l’intérieur de mes cuisses.
Elle n’a rien dit et m’a laissé faire. Soudainement, elle s’est étendue sur moi, et c’est tout son corps qui me huilait et me massait. J’étais fou d’excitation et de plaisir. J’aimais tellement sa sensualité. J’avais soudainement envie de tellement plus avec elle. Je caressais ses fesses et ses seins avec beaucoup d’ardeur. J’avais envie de lui faire l’amour. Nous étions maintenant étendus côte à côte sur le matelas. Tout son corps était pressé contre le mien et je malaxais ses fesses. Soudain, une envie folle me traversa l’esprit :
Je réalisai alors que je ne pouvais pas prendre ce risque. Mais j’étais fasciné pas la douceur et la sensualité d’Ewa. C’était une femme très chaude et affectueuse. Je sentais qu’elle était très dévouée dans le massage qu’elle m’offrait et je me sentais chanceux. Je lui fis signe que non de la tête et elle continua à caresser mon corps en souriant. Elle tenta d’empoigner ma queue dans ses mains à quelques reprises, mais encore une fois, comme avec l’escort haïtienne, l’excitation était trop grande pour que je la laisse me toucher. J’aurais joui en deux secondes si je l’avais laissée faire. Elle ne comprenait pas pourquoi j’enlevais ses mains de sur ma queue. Je lui ai expliqué que je voulais faire durer le moment, alors elle m’a laissé la tripoter pour mon plaisir.
Après un bon moment de caresses érotiques où mon excitation était devenue à son plus haut point, je n’en pouvais plus et je décidai de me laisser jouir. Elle était couchée près de moi et je lui ai demandé si elle pouvait se coucher sur le dos pour que je jouisse sur elle. J’hésitais beaucoup entre jouir sur ses seins ou jouir sur ses fesses, car ses fesses m’avaient aussi beaucoup excité. Elles étaient très grosses et rondes, mais aussi très dures. Son corps était ferme et sculpté comme une déesse. Je n’avais jamais touché d’aussi gros seins et j’avais envie d’emmener cette femme chez moi. Elle s’étendit sur le dos alors je m’agenouillai au-dessus d’elle puis je commençai à me masturber moi-même au-dessus de ses seins. Je jouis très rapidement à plusieurs jets qui tombèrent sur ses beaux gros seins. Je me donnai le droit d’ensuite étendre le sperme un peu sur ses seins, mélangé à toute cette huile qui lui recouvrait le corps.
Je sentais qu’elle en avait envie elle aussi, mais que pour sa propre sécurité elle ne pouvait s’accorder ce plaisir. Elle nettoya ses seins et se ré-étendit à mes côtés un moment. Nous avons discuté pendant un moment, très tendrement, en poursuivant des caresses. J’insistais pour qu’elle me dise son vrai nom. Elle me disait qu’elle faisait ce boulot pour payer ses études. Je lui ai demandé si elle aimait ça. Elle m’a dit que c’était difficile mais qu’avec moi elle avait aimé ça. Ensuite, elle m’invita à ce qu’on prenne une douche ensemble. Elle me dit que les filles ont une salle de bain privée pour elles, mais que pour moi, elle prendrait sa douche ici. Elle me demanda de la savonner, ce que je fis avec plaisir. Je soupesais pour une dernière fois ses seins en les savonnant sous l’eau. Son corps me plaisait tellement, son visage était joli et elle était très gentille.
J’ai le souvenir d’avoir insisté un peu pour connaître son nom. D’avoir proposé à quelques reprises que nous nous voyions en dehors du salon de massage. J’aurais aimé l’inviter pour un verre, et en dehors de tout ce contexte, lui faire l’amour dans mon lit. Je savais que c’était un peu fou, mais je me sentais vraiment bien en sa compagnie et elle m’avait donné une expérience de sensualité inégalée.
Vers la fin de la douche, elle m’a finalement dit qu’elle se nommait Luisa. Nous nous sommes séchés ensemble, je lui ai donné l’argent (j’ai donné 80 plutôt que 60) et nous nous sommes enlacés une dernière fois. Le moment avait été très sexuel, sensuel et romantique à la fois. J’allais revivre ce genre de massage, mais jamais la même connexion avec une masseuse…