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n° 17915Fiche technique25633 caractères25633
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19/05/17
Résumé:  En bonne soumise, je relève votre défi, Monsieur Jacques, je vais donc essayer de narrer avec mes mots mon ressenti sur cette fameuse soirée.
Critères:  fh fsoumise cunnilingu fgode fdanus sm donjon attache fouetfesse lettre -dominatio
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Lettres à Monsieur Jacques
Le Verger aux Verges

Bonjour Monsieur Jacques,



En bonne soumise, je relève votre défi, je vais donc essayer de narrer avec mes mots, mon ressenti sur cette fameuse soirée.


Ma première soirée au donjon « Le Verger aux Verges » fut, honnêtement, pour moi un moment merveilleux. Bien qu’accompagnée de Marine et de son Maître qui ne connaissaient pas non plus ce donjon, je ne pouvais m’empêcher de ressentir de l’angoisse : qu’allais-je découvrir ? Serais-je à la hauteur ?


Ce soir-là, mon Maître Dumuzh avait demandé que je sois habillée avec ma robe d’O grenat et noire – celle qui laisse à découvert les seins, un petit cadeau de mon Maître. Un beau cadeau que j’aime beaucoup, car cette robe est franchement magnifique. Le bustier rigide de cette robe dévoile mes seins qui sont bien mis en valeur grâce au contraste chair sur noir. Un collier en cuir autour du cou, des bas noirs autofixants et des talons aiguilles complètent le tout.



Très contente de moi intérieurement, je rougis :



Nous sommes accueillis très chaleureusement, le Maître des lieux nous fait visiter son antre, ainsi que les différents meubles et jouets de torture. Enfin, je vois cela de mes propres yeux ! Eh oui, à part Internet et les belles photos, jamais encore, je n’avais vu ça ! Sauf quelques martinets et cravaches, et ce que nous avons à la maison.


Ce donjon, qui est installé dans une maison individuelle à l’écart, est quand même assez grand. Après l’entrée qui sert aussi de vestiaire se trouvent un salon cossu et un bar bien garni. Un peu plus loin, une petite salle plus intimiste sur le côté, puis surtout la grande salle avec plein d’instruments. À l’étage, des coins-repos avec de larges banquettes et lits, ainsi qu’une salle de bain avec des douches. Enfin, il y a aussi une cave voûtée parsemée de diverses grilles, ce qui fait très atelier de bourreau ! Mon Maître confirme mon impression :



Je suis un peu soulagée de voir qu’il n’y a pas beaucoup de monde sur place. Bien que, la semaine dernière, je me sois déjà baladée presque nue, je dis bien « presque », au salon de Bruxelles parmi je ne sais combien de visiteurs, je croyais être débarrassée de ma timidité. Eh bien non, je constate que ce n’est pas encore le cas !


Nous nous installons tous les quatre dans un coin, pas loin du bar, afin de prendre un verre, nos Maîtres sur les fauteuils, et nous les soumises, devant eux, sur des poufs, en position d’attente, comme il se doit dans pareil cas. Ça me fait un peu bizarre d’être là, habillée ainsi avec ces personnes autour de nous et qui savent pourquoi nous sommes venus ici ce soir.


Puis le moment fatidique arrive, nos Maîtres se lèvent puis nous conduisent dans la fameuse salle. Par quoi mon Maître va commencer ? Calmement, celui-ci me demande :



Je me plaque, le ventre en premier sur le bois de la croix. Mon Maître m’attache les poignets, puis les chevilles. Ensuite, il relève les pans de ma robe d’O afin de bien dégager mes fesses. Puis soigneusement, il choisit un premier martinet et m’administre les premiers coups. Mes fesses claquent, ce bruit me plaît, je ne saurais dire pourquoi. Mon Maître a la main, il sait doser et aller progressivement, tout en alternant ses frappes.


Je dois dire que des martinets, et aussi des fouets et des cravaches, il y en a beaucoup sur les murs de cette salle ! Des petits, des grands, avec beaucoup de lanières, d’autres moins, des courts, des longs et même avec des barbelés. Ces instruments sont accrochés sur de grands panneaux pourpres, ce qui fait qu’ils se détachent parfaitement. Après divers essais sur mon cul rougi, mon Maître a trouvé celui qui lui correspondait le mieux ainsi qu’à mes fesses.


Un peu avant, sur la route, Marine, en grande soumise qu’elle est déjà, m’avait donnée des conseils qui, ma foi, m’ont beaucoup aidée. Appliquant ses recommandations, au fur à mesure des coups, je me laisse aller petit à petit, malgré le regard des autres personnes présentes dans ce donjon. Je me souviens…



Penchée sur moi, elle ajoute en catimini, avec un sourire complice :



La séance commence, sérieuse, cruelle. Tout d’abord, mon corps est parcouru de frissons, le claquement du martinet sur mes fesses me fait ressentir une onde dans tout le corps, je me sens bien. Mes fesses picotent au début, ensuite je ressens lentement une douce chaleur, je sens mes seins gonfler, devenir lourds, mes pointes s’ériger presque à me faire un peu mal. Je comprends à ma grande honte que je suis réellement excitée, que j’aime le regard des autres sur moi, mon corps, mes fesses qui rougissent, ma chatte s’humidifie petit à petit sous les coups de martinet.


Soudain, je pivote un peu la tête pour découvrir Marine attachée elle aussi sur une autre croix. Je me demande si elle ressent la même chose que moi… Je vois distinctement son cul qui claque et vibre sous le battoir qu’utilise fermement son Maître. Ces deux-là sont nettement arrivés à deux ou trois étages au-dessus de nous !


Au début des coups, serrant les dents, je ne disais rien. Puis petit à petit, je me libère, en poussant un petit cri au rythme des morsures des lanières sur mon cul. C’est quelque chose très dur à expliquer… Pendant un moment, je suis dans un état second, comme si je faisais l’amour, prête à avoir un orgasme ! Je reconnais avoir déjà été fessée et avoir eu du plaisir, mais pas à ce point !


Le décor BDSM ?

Le contexte ?

Le public présent autour de nous ?


Franchement, je me pose encore des questions : peut-on avoir carrément un orgasme en se faisant fouetter les fesses ? De plus, vicieusement, mon Maître dirige les lanières qui viennent caresser délicatement mes lèvres déjà humides entre mes jambes écartées en V inversé ! J’adore cette alternance de douceur et de cruauté ! C’est… c’est divin, comme un certain Marquis très connu…


Soudain, j’entends mon Maître dire derrière moi :



C’est la voix de Maître Bergen qui répond :



Soudain, une main vient saisir une de mes fesses, et j’entends à mon oreille une voix rauque dire :



Dès le premier coup, je ressens toute la nuance entre mon Maître et celui de Marine. Mon Maître est plutôt ludique, il aime les expériences, les essais, les zigzags, l’heureuse découverte. Maître Bergen a le coup de main pour aller efficacement à l’essentiel. Je pousse des petits cris à chaque coup de battoir. C’est dur, c’est sec, mais la sensation qui est assurément plus brute, plus primaire, fait son effet !


J’oserai, Monsieur Jacques, faire cette comparaison : avec mon Maître, c’est comme faire l’amour avec plein de préliminaires. Avec Maître Bergen, c’est comme être prise à la hussarde. Ce n’est pas pareil, mais on a tout autant son content de sensations et de plaisir. Ceci dit, je préfère les longs préliminaires, même si être bousculée de temps à autre n’est pas mal non plus.


Je regarde mon Maître s’activer sur l’autre soumise. Je vois bien que ce n’est pas le même style entre ces deux Maîtres. Marine semble être surprise de certaines initiatives. Elle me confiera plus tard qu’elle a été agréablement surprise.


En tout cas, quand mon nouveau Maître me détache, mon cul est brûlant, tandis que ma chatte est bel et bien mouillée, et pas qu’un peu !


Je me frotte les fesses, elles piquent très fortement, elles sont même incandescentes, mais ça me fait aussi du bien. J’aime cette ambiguïté entre plaisir et douleur. À ma grande surprise, mon Maître s’accroupit devant moi, puis il dégrafe la partie basse et amovible de ma robe. Me voici à présent uniquement habillée d’un bustier laissant à nu mes seins, mais toujours en talons aiguilles noirs et bas autofixants assortis.


Sans oublier mon collier qui indique ma condition…


Ce que n’oublie pas mon Maître, puisqu’il prend la laisse en main et me balade ainsi dans le donjon pour bien m’exhiber dans toutes les pièces et sous tous les regards. Ce qui m’excite beaucoup, je l’avoue !


Puis nous revenons dans la grande salle. Mon Maître m’ordonne de mettre ma tête et mes poignets dans un carcan accroché par des chaînes au plafond. Un peu angoissée quand même, je m’exécute. Puis il referme le morceau de bois qui m’immobilise. Maître Bergen et Marine sont présents, mon Maître leur dit :



Il sort un petit sachet de velours noir et en extirpe un rosebud que je reconnais aussitôt, c’est le modèle XXL, celui qui a un rubis. Mon Maître le donne à l’autre soumise :



Mon Maître sourit tandis que Marine s’agenouille derrière moi et commence à me faire une feuille de rose que j’apprécie beaucoup. Parfois sa langue s’égare plus bas, cueillant au passage ma cyprine pour mieux me gamahucher à cet endroit secret. Petit à petit, je sens une langue agile et pointue s’enfoncer dans mon sombre puits. J’en soupire d’aise, tendant les fesses pour mieux en profiter.



Quelques coups de langues vicieuses plus tard, je sens un objet un peu froid à l’orée de mon anus. Marine écarte posément mes fesses, elle joue ensuite avec le rosebud sur les rebords de ma cuvette puis, profitant d’un relâchement de ma part, elle pousse posément. Je pousse un petit cri sous l’énormité de l’intrusion, même si mon Maître m’a habituée à la sodomie depuis un certain temps. L’objet lourd et frisquet est totalement entré en moi, seule la rondelle rubis émerge de mes entrailles. Je me sens remplie, obstruée, tout en savourant un certain plaisir incongru.



Je sens d’abord les lanières d’un martinet, suivies ensuite de la morsure d’une cravache. Mes fesses vibrent sous les coups, et à nouveau, un plaisir naît dans mon ventre. Il irradie mon corps telle une douce chaleur, tandis que mon cul malmené cuit petit à petit. Je me tortille, à la fois sous la douleur et sous le plaisir qui envahit ma chatte détrempée. J’ai déjà connu plus d’une fois ce mélange détonnant, mais ce soir, c’est monté d’un cran, voire de deux !



D’autres coups pleuvent, ciblés, cherchant à me chauffer plus encore. Je sens distinctement le rosebud s’agiter en moi, mû par les coups sur mes fesses bondissantes. C’est comme si je subissais une masturbation de mon cul, de mes entrailles. Une sensation différente de celle que je ressens quand mon Maître m’encule, car je suis sa chose, son objet.


C’est dans un brouillard à la fois piquant et cajolant que j’entends mon Maître dire :



Une langue agile s’insinue aussitôt dans ma fente détrempée, cherchant puis trouvant mon clitoris déjà en feu. C’est géant qu’avoir le cul et le clito brûlants tous les deux ! Une sensation démentielle ! Si c’est qu’on subit aux enfers, je signe tout de suite, et avec mon sang s’il le faut !


Je crie à la fois de plaisir et de douleur, sans frontière entre les deux, les deux se mélangeant, se renforçant, me poussant vers l’abîme, vers ce gouffre obscur du subspace. Je ne me sens plus, je décolle, je plane là-haut, si haut. Je ne veux plus jamais redescendre, je ne veux plus jamais poser mes pieds sur le sol.


J’explose en mille morceaux dans une jouissance infernale parmi plein d’étoiles qui brillent de mille feux !


Vous ne pouvez pas savoir, Monsieur Jacques ! Cette jouissance fut franchement extraordinaire, et j’ai tout de suite compris que j’avais franchi une nouvelle étape dans ma soumission, et je sais au fond de moi que je connaîtrai à nouveau ce merveilleux état !


De cette soirée, je pourrais raconter bien des choses…


Oh oui, bien des choses !


Par la suite, je fais subir à Marine la même chose, fourrageant dans sa délicieuse chatte tandis que son cul rougissait lui aussi. Quel plaisir de l’entendre jouir tandis que je m’abreuve de sa cyprine ! Hmmm, c’est franchement délicieux !


Plusieurs fois, mon Maître me promène en laisse, à quatre pattes, telle la chienne que je suis, sous le regard de tous. J’en ai plein de frissons, de délicieux frissons !


Ah oui, que je vous raconte un petit truc… Durant cette soirée épique, nous expérimentons toutes les croix, les piloris, les carcans et autres que ce donjon nous proposait. Dans un coin trône un cheval d’arçon surmonté d’un beau godemiché bien raide et nervuré. Mon Maître s’en approche, l’examine puis quitte la salle, me demandant de ne pas bouger. Intriguée, je le regarde s’éloigner.


Il revient peu après, quelque chose en main. Sous mes yeux étonnés, il nettoie lui-même soigneusement le godemiché. Puis, une fois qu’il a fini, il se tourne vers moi pour me commander :



Haussant des sourcils, je me pince un peu les lèvres, car c’est quand même un sacré morceau, mais comme je suis la soumise de mon Maître, j’obéis. Je m’installe à califourchon sur le cheval d’arçon, la bite artificielle entre mes cuisses. Je me demande comment faire, car mes pieds ne touchent plus le sol. La seule solution serait que je hisse sur mes mains et que j’enfourche le godemiché ainsi. Mais comme celui-ci n’est pas petit, il va falloir que je me rehausse bien en hauteur ! D’autant que cette bite n’est pas flexible, ce qui aurait bien fait mes affaires.



Je sens alors deux mains glisser sous mes fesses et me soulever assez aisément. Je dirige alors le gland artificiel vers l’entrée de mes lèvres. Mais ce n’est pas encore ça.



Mon Maître relâche un peu sa poussée et le haut du godemiché entre en moi. Peu après, mes mains peuvent à nouveau prendre appui sur le cheval d’arçon. Quand je sens que c’est OK, je dis :



Il retire lentement ses mains, tout mon poids repose alors sur mes mains, avec cette bite rigide qui menace de me perforer si je fais une fausse manœuvre ! Lentement, mais sûrement, je fléchis des bras afin que cette queue bien droite s’enfonce petit à petit. Les centimètres s’engouffrent en moi sur l’œil très intéressé de diverses personnes qui sont plantées autour, avides de voir si toute cette tige bien grosse et rigide entrera bien complètement.


Je me sens envahie par cette chose plutôt monstrueuse, mais j’arrive lentement à mes fins. Plus que quelques centimètres et mes lèvres intimes pourront toucher le cuir du cheval. Je me sens comme écartelée, mais ça rentre toujours. C’est avec un grand soupir de soulagement que mes lèvres se posent enfin sur le cuir. Je suis fière de moi, d’avoir obéi à mon Maître et d’accueillir en moi cette si grosse chose !



Mon Maître se tourne vers Maître Bergen :



Un peu surpris, mon Maître s’étonne :



Mon Maître se tourne vers moi :



Et sans attendre une quelconque réponse de ma part, il lie mes chevilles par-dessous le cheval d’arçon. Puis il en fait de même avec mes poignets qu’il entrave dans mon dos. J’ignore où il veut en venir, mais je sais que je le saurais bientôt. Il lâche :



Il s’éloigne vers le bout de la pièce, et en revient avec un presse-seins en bois. Mon Maître ôte la partie supérieure, puis il attache la lanière dans mon dos, une fois la base nichée sous mes seins. Il serre afin que ça tienne bien, puis il cale la partie supérieure dans les tiges filetées. Ensuite, de ses deux mains, simultanément, il serre petit à petit les écrous.


Pour l’instant, c’est supportable. Doucement, je vois mes chairs déborder des mâchoires en bois. Puis mes seins deviennent lentement douloureux, de plus en plus. Mon Maître me surveille du coin de l’œil, ralentissant à présent ses tours de vis. Je souffle, la sensation est forte, avec l’impression que mes nichons maltraités vont exploser comme des fruits trop mûrs si cette torture continue. Je serre les dents, ça devient trop horrible ! Voyant ma réaction, mon Maître desserre un peu, je soupire de soulagement. Il me demande :



Un murmure approbateur monte de l’assistance devant mes seins aplatis et meurtris, de mes chairs qui débordent, essayant d’échapper aux mâchoires de bois. Je reste ainsi exposée à la vue de tous durant un certain temps, tandis que, de temps à autre, mon Maître claque mes fesses ou taquine mon clitoris, sans se soucier de qui regarde.


C’est une grande délivrance quand enfin il me détache, quand les seins meurtris sont libérés, quand la chatte se désemplit, quand je peux finalement dégourdir mes jambes. Alors que je viens de finir de me frotter les poignets, et que maintenant, je masse mes seins, mon Maître s’approche soudainement. Sans mot dire, il me serre dans ses bras un long moment !


Normalement, un vrai Maître ne se comporte pas de la sorte, mais comme il s’agit aussi de mon mari, je suppose que nous pouvons nous permettre des petits écarts par rapport à la doctrine. Je me laisse aller contre lui, et les yeux fermés, je profite de sa chaleur. Quand il se détache de moi, il murmure un simple :



Il se contente de sourire.


Toute la soirée, je me comporte en soumise docile et obéissance, c’est une soirée magnifique, extraordinaire, que je veux revivre encore et encore. Peut-être est-ce l’attrait de la nouveauté, mais je fais confiance à mon Maître pour me faire découvrir d’autres horizons.


Je mentirais en disant qu’il n’y a pas eu de sexe, mais ce ne fut qu’avec mon Maître. Même si je sais qu’un jour viendra où un autre homme que lui profitera de moi. Je le sais, cette étape fait partie de mon éducation. Mais chaque chose en son temps.


Voilà, Monsieur Jacques, je voudrais dire que je ne me sens aucunement humiliée d’écrire ce que j’ai pu ressentir ce soir-là. Au contraire, au fil de l’écriture de mon histoire, je suis excitée comme si j’y étais encore sur cette croix, sur ce cheval d’arçon, et de subir à nouveau toutes ces délicieuses avanies !


Croyez-vous que je sois une dévergondée ? Allez-vous demander à mon Maître de me punir de n’avoir eu aucune honte et d’en redemander ?


Merci à mon Maître Dumuzh avec qui j’ai eu mes premiers émois dans la D/s et le BDSM. Lui qui a su me faire découvrir ce milieu étrange, mais jouissif.


Et tout ceci, grâce à notre première soirée D/s chez Maître Lutèce et sa soumise Sortilège, soirée qui fut le déclic. Merci encore à eux. Il faudra d’ailleurs que je vous explique un peu mieux cette soirée, même si je vous ai déjà touché un mot dernièrement.


Puis, tout ceci, grâce à Marine et Maître Bergen avec qui j’ai fait mes premiers pas en public. Nous en avons parlé, il y a quelques jours, souvenez-vous.


Merci, Marine, de m’avoir si bien conseillée et aidée dans ces découvertes.

Merci à Maître Bergen de m’avoir, en quelque sorte, prise en main !

Et bien sûr, à nouveau un gros merci à mon Maître… mais je lui ferai mes remerciements en très privé…


Je vous présente mes respects, Monsieur, et au plaisir d’avoir de vos nouvelles.


Votre dévouée Ininna, soumise de Maître Dumuzh




Ancien texte initialement écrit par ma femme, puis exhumé et augmenté par mes soins avec son accord et son aide.