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Temps de lecture estimé : 18 mn
20/05/17
Résumé:  Sous les tropiques, Aline succombe aux charmes d'un coureur de jupons.
Critères:  fh voisins vacances piscine anniversai préservati pénétratio -amourcach
Auteur : Cristal      Envoi mini-message
Pirate des Caraïbes

La goutte de sueur qui a perlé au niveau de sa gorge dévale maintenant entre ses seins. Est-elle née de la chaleur tropicale qui règne sur l’île ou du trouble déclenché par l’homme qui se trouve près d’elle ?


Pour le savoir, il faut remonter le temps…


Saint-Barthélemy, quarante-huit heures plus tôt. Aline débarque d’un avion venu d’une métropole encore prise dans les fraîches giboulées du début de printemps. Elle est seule, car Christian, son mari, est de son côté en déplacement professionnel à l’étranger. Sa venue sur cette île des Vents n’est pas motivée par la recherche du trésor des pirates, mais plus simplement par l’envie de venir retrouver son amie, Lydia, qui s’y est installée avec son mari quelques mois plus tôt.


L’accoutumance à la chaleur tropicale a été un peu difficile les premiers temps. Tant et si bien que Lydia a quasiment dû la traîner de force à une réception donnée par des voisins du lotissement. Épuisée par le lever au petit jour pour aller aider Lydia à aménager et tenir sa boutique, Aline n’avait ce soir qu’une seule envie, prendre un bain dans la piscine et aller s’écrouler sur son lit. Mais à force d’insistance, son amie a réussi à la convaincre de l’accompagner.


Arrivées devant une petite maison blanche accolée à des palmiers, elles empruntent une allée pavée de gravillons pour rejoindre le joyeux brouhaha d’une vingtaine de convives, qui participent à des discussions animées, un verre de punch glacé à la main. La maîtresse de maison les accueille chaleureusement et leur offre un grand verre rempli d’un breuvage couleur de soleil couchant.



Effectivement, ils sont sympathiques, plutôt directs, mais surtout… captivants, car leurs histoires sont très amusantes. Les deux filles rient à gorge déployée sans se soucier de leurs éclats de rire qui attirent l’attention sur elles. Du coin de l’œil, Aline aperçoit un type qui la dévisage sans aucune gêne et, embarrassée, elle s’efforce de détourner le regard pour s’intéresser au couple qui leur raconte une histoire jardinier local un peu particulier.


Mais comme elle devine que le bonhomme la scrute toujours aussi intensément, elle ne peut s’empêcher de tourner à nouveau ses yeux vers lui.


La cinquantaine élégante, de type hispanique, il est de taille moyenne, très bronzé, musclé sans l’embonpoint qui caractérise les habitants de l’île. Ses cheveux noirs émaillés de fils d’argent sont rassemblés en catogan et une petite boucle discrète orne son oreille droite. L’homme la scrute de la tête aux pieds avec une insistance dénuée de tout embarras. Tant et si bien qu’entre deux histoires, elle attrape Lydia par la manche et lui demande :



Elle ajoute, entraînée par le deuxième verre de punch qu’elle vient de vider.



Mais Mateo, s’avançant vers elle, interrompt la discussion et s’adresse, charmeur, à Lydia :



Avec un sourire carnassier, il fixe Aline dans les yeux, lui serre la main en la conservant dans la sienne autant qu’il est décemment possible de la faire et s’adresse à elle :



Irritée par l’insistance de Mateo, Aline saisit le bras de son amie et l’entraîne pour se soustraire de l’emprise du dragueur invétéré. Elle lui explique ensuite que le type l’agace et qu’elle préfère qu’elles s’en aillent. Sur le chemin du retour, elles discutent entre elles :



Arrivée chez ses amis, Aline s’effondre sur son lit, essaie de trouver le sommeil, mais elle est très énervée. Alors elle tourne, retourne sur le lit et comme elle n’arrive pas à s’endormir, elle envoie un message par WhatsApp à Christian :



Le lendemain, alors qu’elle essaie de baragouiner en anglais avec une grosse touriste américaine, Aline se rend compte qu’elle a du mal à se concentrer. C’est comme si elle était préoccupée par quelque chose, mais de manière inconsciente. Lydia s’en aperçoit et lui dit en riant :



Sur le chemin de retour, elle s’assoupit dans la voiture et laisse son esprit vagabonder. « Je ne comprends pas, aujourd’hui, c’est vrai que je n’étais pas vraiment à ce que je faisais. Il m’est arrivé à plusieurs reprises de penser au dragueur d’hier soir, et je me sens perturbée alors qu’il ne correspond pas du tout à mon type d’homme. Il est plutôt pas mal physiquement, mais son bagout suffisant et insistant, son look, son job, sa voiture décapotable, ce n’est vraiment pas moi tout ça… ».


La situation la trouble bien plus qu’elle ne veut bien se l’avouer. Finalement, elle se trouve même presque flattée que l’on s’intéresse à elle.


Lydia est obligée de la réveiller.



Le lendemain matin, réveillée par des piaillements d’oiseaux qui se battent dans les buissons du bord de mer, Aline jette un coup d’œil sur son téléphone : déjà 9 heures ! Elle en avait bien besoin de cette nuit de sommeil !


Après avoir grignoté son petit déjeuner, elle se dit qu’elle devrait profiter de la piscine avant la forte chaleur. Nue, elle va se plonger avec délices dans l’eau tiède.


Alors qu’elle s’apprête à ressortir de l’eau, une silhouette apparaît entre les buissons : Mateo, le « fameux » voisin ! Surprise, elle n’ose pas sortir de l’eau afin de ne pas s’exposer à poil devant le visiteur impromptu. Il s’approche.



Aline ne sait vraiment pas quoi dire, elle ne sait pas non plus si elle doit sortir de l’eau sans se soucier de sa nudité, ou attendre qu’il veuille bien s’en aller. Mais lui n’a pas du tout l’air décidé à la laisser tranquille.



Dans un premier temps, Aline, prise de court, ne trouve pas ses mots, interloquée par ce type qui a le culot de venir s’asseoir sur la margelle de la piscine sans y avoir été invité. Mais elle se ravise et se dit qu’après tout, elle va bien arriver à lui faire comprendre qu’il doit lui ficher la paix.



Là, se dit Aline, s’il n’a pas compris… Si elle évite soigneusement de croiser le regard de son interlocuteur, le sien s’attarde malgré elle sur la bosse imposante qui déforme le maillot – blanc et presque transparent — que porte le visiteur qui lui fait face. Il s’en aperçoit aussitôt et cela l’encourage à s’aventurer plus loin.



Aline, piégée par la question, ne lui répond pas. Manifestement satisfait de l’avoir mise en difficulté, il poursuit leur petit jeu :



Aline se dit « Si je sors de l’eau, il va me voir à poil, et je si je n’en sors pas, je risque de lui répondre de manière désagréable pour mettre un terme au questionnement. Bon, je ne vais pas en mourir s’il se rince l’œil et puis même… pourquoi pas après tout ! ». Elle se décide brusquement à sortir de la piscine.


Dès qu’elle a posé les pieds sur les caillebotis, Mateo se précipite derrière Aline pour entourer galamment ses épaules de la serviette qui gisait en boule sur un des deux transats.


Aline ramène prestement les pans de la serviette sur son buste puis esquisse un pas en avant, pour s’éloigner un peu de lui. Mais les mains de Mateo, qui sont restées posées sur ses épaules, l’en dissuadent. Il lui dit d’une voix assurée :



Aline s’est immobilisée. La goutte d’eau poursuit son chemin et vient mourir dans son nombril, suivie d’une autre, puis d’encore une autre… Assurément, ces gouttes d’eau ne sont pas uniquement dues à la moiteur de ce matin surchauffé.


Lorsque les mains de l’homme glissent des épaules vers le dos, son esprit dit non, mais aucun mot ne sort de sa bouche, elle reste comme paralysée. Mais petit à petit, les doigts inconnus qui la massent font hésiter son corps. Les mains progressent vers la peau nue de son cou et insistent pour découvrir les épaules d’Aline.


Prise au piège, elle s’entend dire d’une voix qui manque de conviction :



La serviette tombe sur le sol. Les mains chaudes, qui font naître des frissons sur sa peau, progressent dangereusement. Avec stupeur, Aline s’entend lui dire :



Devant une excuse aussi naïve que pas crédible, il a presque envie d’éclater de rire. Mais il la rassure :



Il l’a tutoyée. La tête embuée par une émotion incontrôlable, elle murmure un « non, pas du tout » pas convaincant du tout. Ce sera le dernier. Lorsque les mains viennent emprisonner ses deux seins dont la pointe se dresse, elle s’abandonne à la tentation avec un soupir et laisse aller sa tête en arrière, vaincue par le désir qui émerge malgré elle.


Lorsque la bouche de Mateo se pose sur son cou, elle se mord la lèvre inférieure. Puis il se colle franchement à elle, si bien qu’elle sent le désir de l’homme tout contre le bas de son dos. Elle a honte d’abdiquer si vite, mais elle se cambre, renverse sa tête, offre sa bouche.


La main droite de l’homme a quitté le sein qu’elle enserrait pour descendre lentement sur le ventre. Les doigts s’aventurent vers son petit bouton, puis encore plus bas… Sa chatte déjà trempée, Aline lui cède définitivement. Mateo triomphe de ses hésitations mal feintes. Avec un ton dominateur, il lui murmure à l’oreille :



La promesse contenue dans ces mots libère totalement Aline ! Alors, elle se retourne vers lui et l’embrasse à pleine bouche. Ensuite, il s’accroupit, ses doigts aventureux lui écartent les cuisses, remontent lentement vers son intimité et s’y insinuent avec douceur. D’abord le majeur, puis l’index, d’abord doucement puis plus virilement et plus profondément. Elle ne proteste pas, elle n’en a plus la moindre envie, elle est trop excitée.


Elle reste là, les jambes écartées, une main posée sur la clôture de bois pour mieux s’offrir, se laisser caresser par ce presque inconnu et… elle gémit doucement, longuement, durant de longues minutes. Elle aime ça. Ses hanches ondulent sous les caresses de cette main inquisitrice, mais habile.


Elle ne peut résister plus longtemps au désir inavoué qui la taraude depuis qu’elle a croisé son regard. D’une voix remplie d’une émotion mal contenue, elle lui demande de mettre un préservatif.


Les doigts abandonnent sa grotte humide et Mateo s’équipe rapidement d’une protection. Il jette au sol le matelas d’un des deux transats et Aline s’étend sur la couche improvisée. Il s’allonge sur elle, se glisse entre les jambes accueillantes et elle sent aussitôt un gland impatient se presser à l’entrée de sa chatte tout aussi désireuse de l’accueillir. Le regard d’Aline se trouble lorsqu’il s’enfonce en elle. Oh… ce sexe brûlant, épais, long… en un mot, différent ! Les premières fusées explosent dans son ventre alors qu’il ne bouge pas encore en elle.


Les premiers va-et-vient sont lents, rythmés, permettant à leurs corps de s’apprivoiser. Chacun des mouvements de bassin de Mateo arrache à Aline un gémissement plaintif.


Puis, méthodiquement, avec un art redoutable, il accélère progressivement la cadence, tout en douceur. Lydia avait raison, il est doué ce type… Très rapidement, la respiration haletante d’Aline se synchronise avec les assauts qu’elle subit. Pour le plus grand bonheur d’Aline, il maintient sans faiblir et pendant de très nombreuses minutes le rythme de cette mécanique infernale, mais délicieuse. Tandis que Mateo la conduit sûrement vers l’orgasme, le tempo de ses cris de plaisir, dont le niveau sonore augmente, s’accélère.


Aline ne résiste plus au plaisir qui l’envahit. Submergée par un plaisir égoïste, elle plante ses ongles dans le dos de son bourreau. C’est le signal qu’attendait son partenaire pour la besogner de manière déchaînée afin de la propulser vers le septième ciel. Après deux minutes de cette cadence infernale, Aline crie son plaisir. Elle jouit et jouit encore.


Bouquet final, il se vide en elle.

Reprenant leur respiration, ils restent quelques secondes soudés l’un à l’autre, puis lentement, ils reprennent chacun leur liberté et il lui propose tout de go :



Ils plongent de concert dans l’eau tiède. Après quelques mouvements de brasse effectués dans un silence complice, chacun d’eux s’appuie contre un bord de la piscine, de part et d’autre de l’échelle en acier. Mateo, décidément très bavard, reprend l’initiative d’une conversation.



Aline se dit qu’il est bien prétentieux, mais un prétentieux qui assure… Avec une assurance mêlée d’une perversité dont elle ne se serait jamais crue capable, elle ajoute dans sa tête « on va bien voir jusqu’où ! »


Elle quitte le côté de la piscine auquel elle s’était adossée et s’avance lentement vers Mateo, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus séparés que par quelques centimètres. Saisissant d’une main habile le sexe de Mateo, qu’elle jauge avec une satisfaction assumée par un large sourire, elle lui dit, en le fixant droit dans les yeux :



Aline active ses caresses empressées sur le membre de Mateo dont la fermeté se développe rapidement entre ses doigts qui, au passage, en apprécient avec gourmandise la belle taille. Elle se rapproche encore de Mateo jusqu’à sentir son désir palpitant cogner contre son ventre. Elle se plaque contre lui, s’accroche à son cou, l’embrasse à pleine bouche et lui dit très directement :



Il sort très vite de la piscine pour enfiler un préservatif et la rejoint aussitôt dans l’eau.


Il l’enserre dans ses bras musclés, descend les mains le long de son dos et emprisonne ses fesses. Aline remonte aussitôt ses jambes pour entourer les hanches de l’homme et s’empale sur sa queue bien dure qui la pénètre sans difficulté, tellement elle est excitée.


Ils restent soudés ainsi pendant quelques instants, savourant le calme qui précède la tempête de plaisir qu’ils espèrent tous les deux. Quittant les lèvres d’Aline, Mateo lui murmure à l’oreille :



Aline se surprend à lui répondre :



À la fin de sa phrase, d’un coup de reins puissant, il la pénètre profondément.



Les ongles qui s’enfoncent dans ses épaules répondent à la question posée et la sensation d’être totalement remplie par le sexe entreprenant lui arrache un premier gémissement. Vient un autre coup de boutoir plus énergique encore. La colonne de chair brûlante vient cogner au fond de son vagin, lui arrachant un petit cri cette fois.



Il poursuit ainsi ses assauts pendant quelques minutes, mais, comme la position est assez monotone, il la maintient bien contre lui, l’emporte hors de l’eau et la dépose sur le matelas qui avait accueilli leur premier ébat. Après l’avoir installée à quatre pattes, il la pénètre en levrette d’un puissant coup de reins, sans autre forme de procès. Elle gémit encore plus fort. C’est bon, intense, puissant. Chaque coup de boutoir lui arrache un petit cri de plaisir. Il la lime comme ça pendant de longues minutes, puis, il se plante au fond d’elle et murmure à son oreille :



Les mots crus de Mateo décuplent le désir d’Aline. Elle se cambre et se met à envoyer en cadence régulière ses hanches à la rencontre du sexe de Mateo. Lui reste immobile et continue de lui murmurer des paroles qui l’excitent.



À nouveau, les mots crus accompagnés d’un puissant coup de reins la font gémir très fort.


Il s’enfonce en elle et l’immobilise contre lui pendant que ses mains enserrent ses seins tellement gonflés de plaisir que leur pointe en est presque devenue douloureuse. Les doigts qui martyrisent ses mamelons glissent ensuite vers son bouton pour l’agacer savamment, déclenchant en elle de nouvelles ondes de plaisir. Mateo continue de lui parler à l’oreille :



Ces mots la transforment en une femelle en chaleur qui vient lubriquement à la rencontre du mâle dominant.


Ils baisent ainsi de longues minutes. Des « Oh, c’est bon » et des « ouiiii » s’échappent de leur bouche. Ces expressions de leur plaisir partagé sont entrecoupées des longs et forts gémissements lascifs d’Aline et des grognements satisfaits de Mateo, lorsque sa bite cogne au fond de la chatte inondée qui s’offre à lui. Le rythme de plus en plus soutenu des saillies conduit Aline à un plaisir animal, cru, purement sexuel.


Épuisée par l’orgasme qui vient de la dévaster, elle halète bruyamment et s’effondre sur le matelas.


Lorsque Mateo, qui n’a pas encore consommé son plaisir, la retourne sur le dos, lui écarte les jambes et s’enfonce à nouveau en elle pour la pilonner intensément, les mots de Christian reviennent subitement à l’esprit d’Aline : bête de sexe… Sous l’effet des assauts réguliers de l’homme qui la baise avec une vigueur qui ne faiblit pas, une liqueur de plaisir s’échappe de sa chatte délicieusement malmenée. Un nouvel orgasme la ravage. Elle crie très fort son plaisir. Lorsqu’il la rejoint dans la jouissance, elle ressent au plus profond de son ventre les spasmes du sexe délivrant sa semence.


Alors qu’ils reprennent leurs esprits avant que leurs sexes ne se séparent, Aline pense : « je ne pourrai pas le confirmer à Lydia, mais c’est vraiment un bon coup. »




[Quelques jours plus tard, très exactement le jour de l’anniversaire d’Aline]



Aline obéit sans discuter.



Contre toute attente, arrivée dans sa chambre et subitement beaucoup moins épuisée que ce qu’il semblait, Aline ne s’écroule pas sur son lit. Elle enlève ses sous-vêtements, enfile une jupe courte et une tunique fluide, ouvre délicatement la porte-fenêtre qui donne sur le jardin et s’enfuit sur la pointe des pieds, en direction de la maison bleue dont l’une des fenêtres est éclairée d’une lumière rouge.


Ce soir, elle a une dernière bougie à souffler avant de repartir bientôt vers la métropole, tout excitée et pressée à l’idée d’avoir une histoire de plus à partager avec Christian, pour leur plus grand plaisir à tous les deux.




[Un peu plus tard dans la soirée…]


Lydia ne dort pas. Alors qu’elle écoute le doux bruissement du vent dans les palmiers, son attention est attirée par des cris de plaisir, indiscutablement féminins, qui vont crescendo durant des minutes que le silence ambiant – ou bien une pointe d’envie – lui fait paraître des heures.


Eh bien, pense-t-elle, un sourire amusé aux lèvres, il y en a qui ne s’embêtent pas ce soir ! Ça doit vraiment être un bon coup, ce pirate de Mateo. Dommage pour elle qu’Aline ne se soit pas laissé tenter, elle ne saura jamais ce qu’elle a raté ! Mais tout n’est pas perdu, peut-être qu’elle reviendra bientôt à Saint-Bart…