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Temps de lecture estimé : 7 mn
26/05/17
Résumé:  Hervé est expatrié en Thaïlande ; il nous parle de sa soirée avec sa copine, une katoy...
Critères:  hh asie hféminisé travesti trans fellation anulingus hsodo -hhomo
Auteur : Olivier J.  (Et n'oubliez pas d'aller voir mon Blog, Le point Q !)      
Une copine qui en a

J’adore mon boulot. J’adore ma vie. En plus, aujourd’hui, c’est vendredi ! Je m’appelle Hervé. J’ai 32 ans, j’ai les cheveux châtains, je mesure 1,70 m pour 70 kg et je travaille comme chef de projet dans l’industrie. Ma boîte possède une filiale en Thaïlande et j’ai tout de suite demandé une mutation. Pourtant, mon chef essayait de me convaincre. Pour lui, l’expatriation, c’est une voie de garage. À ses yeux, c’était dommage qu’un jeune ingénieur plein d’avenir aille ruiner sa carrière là-bas… Mais j’ai insisté. Je voulais changer d’air.


Quand on pense « Thaïlande », on songe à Bangkok, avec sa vie nocturne ou à Phuket avec ses plages… Mais les entreprises, elles sont à Rayong, au nord du pays. Un site industriel, ça ressemble toujours à la même chose, en France ou en Thaïlande. Idem pour l’immeuble où je possède un trois-pièces. Mais, je vous rassure, il y a quand même des palmiers, et en prenant la voiture on peut tomber sur de belles plages.


Au boulot, tout va bien. C’est tellement rare, en tant qu’ingénieur, d’être en-deçà du budget, en avance sur le planning et d’être correctement staffé ! On peut s’offrir de longues pauses à la machine à café. L’un des clichés sur la Thaïlande, c’est les filles. En fait, les gens ne font qu’évoquer les bars à putes. D’ailleurs, ce sont souvent des Cambodgiennes ou des Birmanes qui tapinent. Moi, je trouve ça un peu glauque. Et c’est encore plus glauque, à Bangkok, de voir les gens qui ne viennent que pour ça. À peine descendu de l’avion, ils sont déjà dans les quartiers chauds.


Dans le temps, à la machine à café, je croisais souvent René, un « historique » de la filiale, fort en gueule et plutôt rigolard. Il cherchait des gens pour aller avec lui dans un bar miteux, encore plus au nord, près de la frontière avec le Laos. Naïvement, je me demandais pourquoi il allait là-bas. Les autres me disaient de ne surtout jamais y aller. Je l’envoyai donc promener. Un jour, on ne l’a plus revu : il s’était fait arrêter par la police…


En fait, toutes ces histoires de chaudasses, c’est un mythe : les Thaïlandais(es) sont des gens très religieux et très nationalistes. Dans les villes, les filles sont réticentes à sortir avec un « farang ». Pendant de longs mois, je suis resté célibataire. Puis j’ai rencontré Lara. Elle mesure 1 m 55 et doit peser 40 kg ; elle est très fine. Elle travaille comme traductrice pour un cabinet d’avocats. Je ne vais pas vous mentir : Lara est un « katoy ». À sa naissance, « elle » s’appelait Will. Ses parents sont assez tolérants ; ils ont toujours accepté sa différence. À l’âge adulte, Will s’est laissé pousser les cheveux, elle ne s’habillait plus qu’en femme. Puis elle s’est fait greffer deux seins en silicone. Et c’est comme ça qu’elle est devenue Lara. Elle a néanmoins gardé le principal… On a pris l’habitude de passer nos week-ends ensemble ; le reste du temps, elle habite chez parents. J’ai donc hâte que ma journée se termine.


On s’est donné rendez-vous dans un hôtel chic. Parce qu’ils ont un bon bar et des fauteuils confortables. Lara m’a donné rendez-vous à 19 h : elle est partie se changer avant de me rejoindre. Elle est très coquette. Dans son cabinet, ils lui imposent une tenue très stricte, et pour elle il n’est pas question de sortir habillée comme ça ! Je m’installe en terrasse et je commande un whisky-Coca. La terrasse, c’est un truc de farang : il fait 30° dehors et les Thaïlandais préfèrent rester à l’intérieur. Mais ils ont tendance à mettre la climatisation à fond !


Je sirote tranquillement mon verre : là où Lara est une vraie femme, c’est qu’elle n’est pas très ponctuelle… Il est bien plus de 19 h 30 lorsque je la vois enfin apparaître. Elle porte une robe blanche très cintrée avec un décolleté et des hauts talons-aiguille. La blancheur de sa tenue fait ressortir sa peau caramel. Elle possède une démarche bien chaloupée. Un groupe d’hommes d’affaires – sans doute des Américains – se retournent sur son passage. Elle arrive derrière moi et se penche de manière à bien faire ressortir ses fesses, puis elle m’embrasse longuement. Les Américains n’ont pas dû en perdre une miette !



Elle me submerge de questions. Un vrai moulin à paroles ! Elle possède un master en français et maîtrise très bien la langue. Ça tombe bien car j’ai beaucoup de mal à apprendre le thaï… Je lui commande un bloody mary, son cocktail préféré. On parle de nos vies respectives. Lara peste après un avocat un peu novice. Il promet à ses clients français des délais impossibles à tenir. De mon côté, j’ai un chef de projet qui se fait harceler par l’épouse d’un ingénieur de passage en Thaïlande. Elle a peur qu’il la trompe et elle veut croiser les infos auprès de son chef… Heureusement pour elle, le chef en question, c’est Bertrand. Il répond consciencieusement à chacun de ses quinze mails, alors qu’il y en aurait plus d’un qui aurait répondu sèchement à l’épouse jalouse, voire qui aurait renvoyé l’ingénieur dans un avion à coups de pieds aux fesses !


Une fois nos boissons finies, on va dans un restaurant. Le Tom’s Steak House propose des hamburgers. Pour l’instant, il est surtout fréquenté par les Thaïlandais. Dès que les expatriés ont jeté leur dévolu sur un établissement, les prix doublent ! Lara n’est pas trop burger, d’ailleurs ; elle commande une salade pour conserver sa taille de guêpe, mais elle fait un effort, parce qu’elle sait que j’ai quand même un peu la nostalgie de la France…


Lorsqu’on rentre, il fait nuit. Je possède un Toyota Hilux, comme tous les gens ici. C’est un automatique et j’en profite pour passer mon bras droit sur l’épaule de Lara, qui se colle à moi. J’ai hâte de prendre mon dessert…


À peine rentré chez moi, on s’embrasse tendrement. Mes mains parcourent son petit corps. Ses seins, ses fesses… Il me faudrait quatre mains ! Elle me pousse sur le canapé. J’enlève mon pantalon tandis qu’elle s’agenouille. Elle descend mon caleçon et prend mon sexe en bouche. Ma compagne suce divinement bien et mon membre gonfle. La bouche ouverte de plaisir, je caresse sa longue chevelure de jais. Ses petites mains ne restent pas inactives. Elles massent mes bourses, puis ma prostate. Elle mouille ensuite un doigt qu’elle insère dans mon petit trou. Très affairée, elle a relevé sa robe jusqu’à la taille et elle se masturbe.


Elle arrête la fellation et elle se relève. Elle fait tomber sa robe à ses pieds, elle la plie et la range sur une chaise. J’admire son soutien-gorge pigeonnant et son tanga. Pour que je la reluque un peu plus, elle tourne sur elle-même et se cambre. Je fais entrer la lanière du tanga au plus profond de son sillon… Puis elle se tient devant moi. Je me penche en avant pour dire bonjour à son petit membre, droit comme un i. J’avoue que j’ai des progrès à faire en matière de fellation. Puis je m’allonge dans la longueur du canapé, bassin relevé. Lara vient contre moi. Elle pointe son dard sur mon anus. Ça m’excite beaucoup de la sentir en moi. Elle prend mon sexe en main et me branle avec délicatesse. Je l’attire à moi pour l’embrasser. Elle déboutonne ma chemise et je sens ses tétons contre les miens. Elle se retire. En fait, Lara est passive ; elle préfère être en dessous.


Cette sodomie n’était qu’un préliminaire avant que je ne m’occupe d’elle. Elle va dans la chambre et se met à quatre pattes sur le lit. Je me mets à quatre pattes derrière elle et je lèche son anus tout en pétrissant ses petites fesses bien fermes. C’est à mon tour de lui faire plaisir. Son œillet plissé se déploie sous mes coups de langue. Ma copine m’encourage :



Il est temps de passer aux choses sérieuses. Je me relève et la pénètre. Mon sexe, plus gros que le sien, disparaît facilement dans son trou. Je la pilonne comme un soudard parce que je sais qu’elle adore ça. Mon amoureuse jappe à chaque saillie. Elle s’allonge et je viens sur elle. Je fais quand même attention à ne pas mettre tout mon poids, sans quoi je l’écraserais !


Le nez dans sa nuque, je respire son parfum. Elle tourne la tête pour que je l’embrasse. On est si tendre, alors que plus bas, à coups de pelvis, je défonce son petit cul. On effectue un roulé-boulé et je passe en dessous. J’en profite pour prendre à pleine main ses seins. Je suis au bord de la jouissance, mais elle en veut encore. Elle s’agenouille sur moi, de face, et se penche en arrière. J’adore cette vision de mon sexe qui pistonne son anus. Lara monte et descend tellement vite que son sexe fait l’hélicoptère ! Elle affiche une expression de bonheur, voire de sérénité. On dirait une figure d’un des vieux temples de la ville… Je la préviens que ça y est presque :



Elle pince mon sexe très fort, comme un cockring naturel et elle se retire. Elle se met contre le mur, les fesses bien cambrées. Je la prends comme ça. Elle est si légère que je n’ai pas de mal à la soulever. Je la pénètre tout en la portant. Dans cette position, je ne vois pas son sexe, mais les spasmes de son anus ne font aucun doute : elle est en train de jouir. C’est le coup de grâce.


Je me répands en elle par grandes saccades. Puis on tombe ensemble, sur le lit. Je n’ai plus aucune force. Mon sexe se dégonfle et sort d’elle. Elle est un peu dépitée de voir qu’il est flasque. Je rampe sous les draps et mon amante vient se blottir contre moi. Je tombe dans les bras de Morphée alors qu’elle me couvre de bisous. J’adore ma copine. J’adore ma vie.