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n° 17928Fiche technique9653 caractères9653
Temps de lecture estimé : 6 mn
29/05/17
Résumé:  Samia goûte aux plaisirs villageois, parfois surprenants.
Critères:  couplus cocus inconnu vacances pénétratio fsodo -couple+h
Auteur : Pedennasi  (Samia goûte aux plaisirs de l'amour rustique)
Il n'y a pas que les mouches qu'on...

Samia et Didier étaient en vacances dans un village de la France profonde où ils avaient loué une petite maison, confortable, avec terrasse et piscine. Lors d’une chaude soirée de juillet, ils décidèrent de s’encanailler et d’aller au bal du village. La fête populaire battait son plein ; Samia et Didier dansaient comme des fous.


Ils étaient jeunes, ils étaient beaux et pleins de cette énergie propre à leur âge. Ils auraient bientôt trente ans et, après leur BTS, ils avaient facilement trouvé un job dans l’industrie automobile. Didier était grand, karatéka, et de nombreuses femmes – jeunes ou moins jeunes – n’avaient jamais résisté longtemps à son charme et, après avoir tâté de son corps musclé et goûté à ses caresses, elles avaient même, parfois, tendance à vouloir prendre un abonnement quand il ne leur proposait qu’un voyage simple. Samia était plus petite, mince, le ventre hospitalier, les seins généreux, mais fermes, que quelques connaisseurs avaient eu la chance de pouvoir effleurer, peloter, sucer, car elle était bonne fille, peu avare de ses charmes et qu’elle aimait beaucoup, passionnément, faire plaisir…


Justement… alors qu’elle se déhanchait en face de Didier, Samia s’aperçut que l’un des villageois la regardait avec insistance, manifestement très intéressé par les mouvements de ses seins, libres sous une robe légère, et de ses fesses, fermes et toniques. Il était aussi jeune que Didier, mais moins grand, moins beau aussi, mais il se dégageait de son corps robuste, de son visage, de son regard, quelque chose de brut, de sauvage, qui la troubla.


Lorsqu’ils se rassirent, elle fit part à son compagnon de son émoi. En homme galant et mari prévenant, Didier lui proposa de la laisser vérifier l’exactitude de son sentiment, éventuellement par une séance de travaux pratiques. Il sortit de la salle des fêtes et s’en revint chez eux.


Cédric, le jeune paysan, voyant que Samia était seule et qu’elle semblait s’ennuyer, s’empressa de l’inviter à danser. Il se révéla être un bon danseur qu’elle suivit avec entrain et confiance. Il plaquait son ventre contre celui de la jeune femme, et elle en vint à se demander, moderne Mae West, s’il avait dans la poche une arme (de poing ?) ou s’il était tout simplement content de danser avec elle… En tout cas, son arme semblait être d’un calibre respectable !


Chauffée, excitée, Samia proposa à Cédric de sortir prendre l’air, proposition qu’il accepta avec empressement. Ils marchèrent côte à côte dans le village ; les mains de Cédric partaient à l’aventure pour frôler, toucher, la taille et les fesses de Samia. Quand Samia lui dit qu’elle se sentait bien à marcher avec lui, ne se sentant plus de joie, Cédric poussa Samia dans le recoin d’une porte complaisante, la prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement. Ses yeux étaient grand ouverts pour se repaître des yeux de la femme qui s’offrait à lui. Ses mains remontèrent la robe pour (enfin !) pétrir énergiquement les fesses de Samia, à nu (à poil ?). Puis il lui descendit les bretelles du corsage pour se saisir de ses seins qu’il prit à pleines mains, toujours aussi énergiquement, les malaxa, les maltraita de ses mains rugueuses. Samia était aux anges, troussée, pelotée, embrassée par un étalon enthousiaste. Elle en aurait presque joui sur place…


Mais elle ne voulait pas se faire culbuter comme ça, à la sauvette, vite fait, et elle lui proposa d’aller chez elle. Cédric hésita :



Arrivés dans la maisonnette qu’ils louaient, Samia emmena Cédric sur la terrasse, prétexta un besoin urgent et se rendit dans la chambre pour retrouver son mari, l’informer de la situation et quêter son aval. Didier l’embrassa tendrement, l’assura de son amour et lui assura que son plaisir était important pour lui. Il lui demanda de venir le rejoindre, « après », pour qu’il puisse le lui prouver.


Samia rejoignit Cédric qui l’attendait, assis sur une chaise longue. Sans se déshabiller, elle s’allongea sur l’un des matelas. Son sexe était brûlant ; il avait besoin d’être pénétré, ramoné, brossé, arrosé. Cédric se jeta sur elle, l’étouffant de son corps, de ses caresses et de ses baisers. Elle apprécia la robustesse de ses fesses, qui sauraient bientôt pousser en elle un sexe finalement pas si gros, mais dur comme un soc, qu’elle sortit de son pantalon, prit en main et caressa, tout en le préservant de l’orgasme pour éviter de lui faire cracher sa semence avant l’heure.


Il la caressait avec ferveur, la dépoitrailla pour mieux la peloter, puis lui écarta le slip pour plonger un, puis plusieurs doigts dans un sexe qui bâillait de faim, pour les remuer dans l’étroit fourreau, provoquant gémissements et petits cris. Quand il la fit se retourner se mettre à genoux, le cœur de Samia battit encore plus vite, et elle fut prise d’un long frisson quand il frotta son gland entre ses lèvres, impatiente de le recevoir dans sa chatte. Il retroussa sa robe sur ses hanches, exposant ses fesses au clair de lune, puis frotta son gland contre les lèvres de son sexe, la faisant feuler d’impatience…


Mais quelle ne fut pas la surprise de Samia quand Cédric éloigna sa queue de l’entrée de sa chatte pour se placer en face de son anus… Elle n’eut même pas le temps de protester qu’il s’enfonçait lentement, profondément en elle, puis, comme elle ne poussa qu’un seul cri, sourd, sans davantage se plaindre, il commença à aller et venir entre les reins de sa maîtresse.

Effectivement, passée la surprise de la prise de ses fesses, Samia ne souffrait pas, car l’impétrant, de taille honnête sans plus, avait été bien lubrifié par sa cyprine, même si elle eût néanmoins préféré une autre entrée en sa matière…


Le bougre était vigoureux, impétueux et endurant ; il la tenait fermement par les hanches pour mieux enfoncer son vit en elle et accompagnait ses mouvements de claques sur ses fesses. Samia finit par apprécier ses allers et retours dans son cul, et elle ne se força pas pour se mettre à ahaner au rythme des coups de boutoir de son enculeur. Et quand elle sentit ses mouvements en elle se faire plus rapides et plus violents, elle accompagna le râle de l’homme par un cri, non feint, de plaisir sincère.

L’homme, repu, s’endormit pendant que Samia se levait pour aller se rafraîchir dans la piscine.


Depuis la fenêtre du salon qui donnait sur la terrasse, Didier avait vu sa femme se faire trousser et prendre en ce qu’il crut être une belle levrette, et il en était bigrement excité. Il ouvrit la porte-fenêtre de la terrasse pour que Samia le rejoigne à l’intérieur. Celle-ci, bien sodomisée, mais la chatte en demande – et connaissant bien les goûts de son époux – ne se fit pas prier pour une autre partie de baise, qu’elle prévoyait plus académique.


Didier s’assit sur la table basse du salon, déshabilla Samia, la plaça à cheval sur ses genoux et, les yeux dans les yeux, il prit ses seins dans ses mains, dans ses lèvres, lui enfonça un doigt dans la chatte, obtenant en retour un soupir de remerciement. Mais Samia avait passé le stade des jeux de touche-pipi : elle voulait sentir un sexe viril remuer dans son ventre et le lui dit crûment. En voyant ses yeux, Didier n’hésita plus, plaça ses mains sous les fesses pour la rapprocher de lui, la souleva au-dessus de son bas-ventre et la fit doucement descendre pour qu’elle s’enfile sur son braquemart impatient. Il s’étonna de ne pas retrouver la viscosité du sperme qui devait y avoir été déversé, mais Samia lui avoua que Cédric avait préféré l’entrée de service et que son con avait encore très, très faim, faisant sourire Didier en son for intérieur.


Avec amour et dévouement, il employa toute son ardeur amoureuse à faire l’amour à sa belle épouse infidèle qui ne bouda pas son plaisir, la faisant jouir plusieurs fois tout en lui titillant l’anus pour lui rappeler que si tous les chemins mènent à Rome, il en est de plus agréables que d’autres… Après avoir joui ensemble, il la renvoya rejoindre son amant pour qu’il voie qu’il existait d’autres pratiques, avant de le retrouver pour un autre round. La coquine accepta avec enthousiasme…


En regagnant la terrasse, Samia vit que Cédric se réveillait et elle lui avoua qu’elle était tombée dans un piège que son mari lui avait tendu, et qu’il lui avait fait ce qu’elle aurait voulu que lui, lui fasse. Cédric ne savait plus à quel saint se vouer, se demandant où diable il était tombé, mais la diablesse était brûlante, et peu lui importait ce qu’elle faisait avec son démon de mari. Samia, nue, les seins arrogants, était fichtrement bandante, et à nouveau prêt à l’assaillir (la saillir ?), il l’attira sur lui. Pendant qu’il lui caressait les seins avec frénésie, elle le chevaucha en amazone, maîtresse d’un fougueux étalon. Cédric trouvait le con de sa maîtresse bien lubrifié, mais ne savait pas pourquoi ; il n’en appréciait pas moins sa douceur et ne tarda pas à se cabrer pour jouir de tout son saoul.