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n° 17976Fiche technique15256 caractères15256
Temps de lecture estimé : 10 mn
03/07/17
Résumé:  Comment atteindre l'orgasme.
Critères:  fh complexe bizarre gymnastiqu exhib fellation cunnilingu pénétratio jeu délire humour -couple -lieuxpubl
Auteur : Gf Salinator            Envoi mini-message
L'application



Au même moment, quelques kilomètres plus loin, Jean posa précautionneusement la tablette sur la table de chevet. Pendant ce temps et dans la pénombre due aux rideaux tirés, Nadia s’était glissée sous les draps.



Après quelques secondes où le temps s’était arrêté, Nadia sortit du lit pour tirer les rideaux et laisser la lumière du jour inonder la pièce. Jean vit les formes pulpeuses de sa femme découpées par le soleil. Ses fesses rebondies le firent instantanément bander et la tige commença à se balancer comme la baguette d’un sourcier à la recherche d’un point d’eau. Tout en cherchant maladroitement à cacher ses seins et son sexe, Nadia se tourna vers son mari et remarqua l’érection de celui-ci ; dès lors, un mélange de gêne et d’excitation envahit les deux amants.



Avant qu’il n’ait eu le temps de poser la tablette, Jean vit sa femme détacher les mains de son corps pour se mettre à genoux devant lui. Le mouvement de ses seins tendus était envoûtant, et la douceur avec laquelle elle embrassa le fruit ainsi offert l’hypnotisa. Nadia n’était visiblement pas passionnée par la tâche, mais y mettait un réel sérieux, gobant le gland et léchant la hampe sans chercher à écourter ce moment. Le visage peu enjoué de sa femme mettait néanmoins Jean mal à l’aise, et il se remit rapidement à regarder la tablette à nouveau.



Nadia ressortit le sexe de sa bouche sans regret, tout en restant perplexe sur ce que pourraient apporter les précisions ; pour elle, il n’y avait pas grand-chose à faire de plus.



Jean s’allongea sur le lit. Le court intermède l’avait affaibli, et sa femme dut remettre du cœur à l’ouvrage pour avoir quelque chose d’un peu consistant dans la bouche. Suivant les indications, elle s’était tournée dos à son mari et lui offrait un point de vue direct sur sa croupe. Les monts étaient ainsi offerts de part et d’autre d’une vallée déjà humide sur laquelle une main douce vint s’abandonner. Le sexe désormais vigoureux était léché, embrassé et dégusté quand Nadia poussa un gémissement de plaisir en sentant un doigt glisser en elle. Celui-ci se fit droit puis courbe dans des allers et retours effrénés avant d’être rejoint par un second qui remplit délicieusement le vide ainsi offert. Des halètements de plaisir firent lâcher sa proie à la louve, et la fellation mécanique du début se fit plus saccadée, plus passionnée. Nadia voulait rendre le plaisir qu’elle recevait dans des coups de langue et de lèvres qui devinrent maladroits mais beaucoup plus excitants, et rapidement elle sentit son mari se raidir de plaisir ; elle dirigea les jets sur ses seins, grisée de plaisir par cet être qui donnait ses derniers souffles de vie sur elle.



Péniblement, Jean se tut. Il s’allongea entre les cuisses de sa femme et commença timidement à embrasser les lèvres et le bourgeon qui pointait à leur sommet. Nadia le prit par les cheveux et lui dit tout doucement, avec un ton tendre qui ne correspondait pas au propos :



Soumis, son mari s’exécuta et lécha âprement le sexe offert, aspirant avidement le clitoris, glissant sa langue au plus profond. Les jambes tremblèrent à chaque passage, se tendant et se repliant pour mieux garder prisonnier l’amant affamé contre lui. Nadia prit la tête de Jean dans ses mains pour mieux l’appuyer contre elle. Il lui prit les seins à pleines mains, la dévora une dernière fois, juste le temps de la sentir jouir contre lui.



Une heure plus tard, Jean et Nadia se retrouvaient sur la piste d’athlétisme de la ville. Préparés pour l’épreuve, ils se sont tous deux vêtus d’un ensemble short et tee-shirt sans rien dessous afin de gagner du temps. Malgré leurs regards inquiets, ils s’avancèrent vers la zone des sauts.



Nadia s’allongea sur l’épais tapis de saut à la perche, les seins recouverts de confiture. Jean, avec son chapeau de Zorro et une érection timide, la pénétra difficilement pendant… quelques secondes, juste assez pour valider l’épreuve. Ils rentrèrent rapidement chez eux pour voir leur classement sur l’application.



Les yeux grand ouverts, Nadia regarda Jean quitter le salon quelques minutes avant de revenir avec le marteau promis à la main. Face à sa femme, il le leva avant de l’abattre brutalement sur la tablette. Il répéta l’opération jusqu’à ce qu’elle ne ressemble plus qu’à une masse difforme de métal et de verre. Ceci fait, il regarda sa femme, la prit dans ses bras et l’emmena dans la chambre.


Jean allongea Nadia sur le lit et défit lentement les vêtements qu’elle portait. Il se déshabilla face à elle, la chevaucha. Leurs bouches se joignirent dans une multitude de baisers doux et plus ou moins appuyés. Les langues sucrées s’entremêlèrent dans une danse lascive pendant que plus bas les bassins se rapprochaient. Leurs sexes s’embrassèrent également avant de prendre possession l’un de l’autre. Dans de doux et profonds mouvements de va-et-vient, comme un archet qui joue une musique envoûtante, les deux amants prirent et donnèrent du plaisir, s’épanouissant dans la simplicité de leur union. Rien n’était parfait, rien n’était prévu ; les mouvements de l’un répondaient à ceux de l’autre, et les gémissements et les râles s’entrecroisaient dans une discussion sans fin. Doucement, lentement, tendrement, la jouissance apparut au loin, se rapprocha d’eux et les emporta dans son tourbillon.



Au même moment, dans le cabinet de coaching.