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n° 17977Fiche technique10146 caractères10146
Temps de lecture estimé : 7 mn
03/07/17
Résumé:  Une femme mariée trop peu comblée par son mari va connaître un moment de plaisir inattendu.
Critères:  fh médical miroir cunnilingu init -occasion
Auteur : Crunchee  (Homme marié, un peu voyeur)      
En robe légère chez le podologue

Le dernier « 10 km » des foulées de la forêt a eu raison de mon genou. C’est la course de trop et je suis obligée de faire quelque chose. Visite chez le médecin et diagnostic rapide : tendinite sous-rotulienne (un classique chez les coureurs…). Je me vois donc prescrire podologue pour des semelles et dix séances de kiné. Tout un programme de galère…

Bien décidée quand même à ne pas laisser s’installer cette saleté de tendinite, je me résous à prendre rendez-vous chez le podologue le plus proche de chez moi dans un premier temps.


J’ai rendez-vous aujourd’hui à 18 h, il a fait très chaud toute la journée. Pas question que j’arrive chez lui avec des pieds sales… Je prends donc une douche avant.


Le contact de l’eau presque froide me fait du bien. Pour mes quarante-cinq ans et après deux accouchements, je trouve que je suis encore pas mal. 1,65 m pour 62 kg, quelques jolies rondeurs harmonieusement réparties, de belles jambes que j’aime montrer avec un beau fessier bien galbé par la course à pied. Mon 95B se tient encore très bien sans soutien-gorge l’été, et je remarque souvent les regards plus ou moins discrets des hommes… Malheureusement la routine et le travail ont fait qu’avec mon mari, c’est rapport tous les samedis soirs et dodo ! J’aimerais plus…


Sous l’eau savonneuse, mes mains jouent sur mon corps et la caresse de l’eau sur mes seins les rend encore plus fermes. Je joue avec mes tétons qui durcissent, descends quelques doigts jusqu’à ma toison fraîchement entretenue de la veille. Mes doigts effleurent mes lèvres, jouent avec mon bouton, pénètrent mon intimité… L’orgasme vient vite et me fait du bien. Cela tombe bien, car je dois y aller si je ne veux pas être en retard !


Vu la chaleur, j’opte pour ma robe blanche moulante, mais pas trop, qui arrive juste au-dessus des genoux, classe et décontractée à la fois. Je laisse mes seins libres, ils sont de toute façon bien tenus par le tissu, bien que très légèrement transparent. J’hésite à mettre une culotte, je vais quand même à un rendez-vous médical, mais il fait tellement chaud que finalement, je décide de ne pas en mettre. Après tout, c’est le genou et les pieds que je vais montrer, pas le reste… Je finis la panoplie avec des sandales en semelles compensées qui allongent encore plus mes jambes déjà bien dessinées.


À 17 h 55, je sonne chez le podologue et entre. C’est une petite maison de ville transformée en cabinet et décorée avec goût : pierre apparente, parquet massif et objets modernes dans la salle d’attente. Elle est commune avec le cabinet d’infirmière libérale et d’ostéopathie, je ne suis donc pas seule à attendre. En effet, une femme et un jeune homme sont déjà là. Je sens le regard jaloux et désapprobateur de la femme sur ma silhouette. Il est vrai qu’elle n’a pas l’air de prendre trop soin d’elle et peut difficilement rivaliser avec mon allure. Par contre, le jeune homme, environ vingt-cinq ans je dirais, se retient, mais s’il le pouvait, il ouvrirait une langue à la « Tex Avery » et de la fumée sortirait par ses oreilles tellement il me dévore des yeux… Ce n’est pas mon style, trop petit et trop musclé par trop de gonflette. Je m’amuse quand même à croiser et décroiser furtivement les jambes régulièrement !


Assez vite, c’est mon tour. Un rendez-vous médical à l’heure, c’est rare et j’apprécie cette délicatesse. Le podologue est un homme d’environ quarante-cinq ans, grand et mince, mais d’allure sportive, grisonnant. Son regard est pétillant et sa voix est chaude et accueillante. Mais le plus accueillant ce sont ses mains, longues, fines et puissantes à la fois. Il m’invite à entrer dans le cabinet et le regard flatteur qu’il me porte ne me laisse pas insensible…


Pendant qu’il remplit mon dossier, puisque c’est ma première visite, il fait la conversation banale et usuelle, mais agréable, ce qui me met en confiance et me détend. On en vient donc au but de ma visite, c’est moins glamour ! Il m’écoute, me dit que c’est une pathologie classique pour des coureurs et qu’il va procéder à différents examens afin de déterminer les meilleures semelles.


L’auscultation commence… Il me demande de marcher en ligne droite devant lui. Ce petit manège doit lui plaire, car cela recommence cinq à six fois. En effet, pendant ce temps il a tout loisir de me mater les fesses moulées dans ma robe légère ! Puis il me demande de joindre les deux pieds et d’aller les toucher avec les doigts, jambes tendues. Il se place derrière moi… Ce petit jeu a pour effet de faire remonter assez haut ma robe sur mes cuisses. De plus, ainsi tendue, la transparence du tissu doit laisser voir ma raie. Je sens également ses mains se poser sur mes hanches et parcourir ma colonne vertébrale. Il ne peut pas ne pas sentir que je ne porte pas de soutien-gorge… Ce contact et ma robe relevée plaquée le long de mon corps, avec lui derrière, commence à vraiment m’émoustiller. Il détecte une légère lordose sans gravité et m’explique qu’il va examiner mes courbures plantaires à l’aide d’un podoscope.


Il me montre l’appareil et m’explique que grâce à un jeu de miroir, il peut voir la plante de mes pieds et ses appuis sur le sol et en garder un marquage, afin de constituer les semelles. Je comprends alors que c’était peut-être une erreur de venir sans culotte, mais en même temps l’idée que je puisse lui dévoiler fortuitement mon intimité m’excite un peu. Je monte donc sur l’appareil, mais les jambes assez serrées. Non prévu au programme, l’appareil diffuse une lumière par en dessous… C’est alors que le podologue m’écarte délicatement les pieds l’un de l’autre et il m’explique que cela permet de conserver l’écartement naturel dû aux hanches. A-t-il déjà compris que je ne porte également pas de culotte ?


Je me retrouve donc les jambes un peu plus écartées sur un miroir, rétroéclairé par en dessous ! Le pire c’est que cela commence à vraiment m’exciter. Je sens un échauffement dans mon bas-ventre et je sens également que je commence à mouiller. Je risque un œil discret sur le miroir et je constate que positionnée ainsi, il ne peut rien louper de mon anatomie ! Il passe d’ailleurs beaucoup de temps à examiner mes voûtes plantaires tout en m’expliquant ce qu’il fait. Je sens l’excitation monter de plus en plus à l’idée qu’il savoure la vue et c’est alors que je sens du liquide couler entre mes cuisses. Je mouille tellement qu’une goutte finit par tomber sur l’appareil. Impossible qu’il ne l’ait pas vue…


Imperturbable, il finit par me faire descendre de l’appareil. Il me dit que j’ai de très belles jambes et que si j’ai un peu de temps, comme je suis sa dernière patiente, il peut pratiquer un massage des pieds. Je m’entends dire dans ma tête qu’il vaut mieux que je parte, mais que c’est d’accord par ma bouche ! Trop tard, j’ai dit oui…


Je m’allonge donc sur le dos sur la table de massage, ma robe recouvrant normalement mes jambes. Il commence à me masser les pieds avec une crème. Le contact doux de ses mains et les mouvements sont très agréables. Cependant imperceptiblement, il m’écarte de plus en plus les jambes et commence à remonter les massages vers les mollets. Je ne fais rien pour m’y opposer et l’encourage même à continuer en relevant légèrement les genoux et en écartant un peu plus les jambes. Ses mains sont habiles et, délicatement, mais sûrement, remontent de plus en plus le long de mes jambes. Je sens également que je mouille comme une folle. Je décide donc de plier encore plus les genoux ainsi que d’écarter de plus en plus les jambes. Je sens ma robe qui commence à glisser le long de mes cuisses. Ainsi positionné, il a maintenant une vue plongeante sur ma vulve humide de désir. Ses mains arrivent le long de mes cuisses et glissent lentement vers le feu qui m’assaille.


J’écarte maintenant complètement les jambes dévoilant mon papillon dans une position sans équivoque sur mon consentement à ses massages. Il effleure mes lèvres, repart vers les cuisses, revient, effleure mon clitoris gonflé et en ébullition, repart, glisse vers mes fesses, les caresse, revient et introduit un doigt dans mon âtre. Ce geste me fait tressaillir et a pour effet de cambrer mon bassin le long de la table. Je suis maintenant tout offerte à lui. Je sens ses lèvres embrasser mes cuisses et poursuivre vers le paradis. Sa langue est habile et parcourt mes lèvres avec avidité. Il se délecte de mon bouton complètement sorti de son capuchon le titillant de plus en plus fort, relâche la pression, se délecte du nectar qui s’écoule de mes cuisses… Il a maintenant deux doigts en moi et j’accompagne de mon bassin les mouvements de ses mains et de sa langue.


Au bout de quelques minutes de ce délice, je sens la pression se libérer en moi et je jouis fort accompagné d’un jet de mouille qui lui inonde le visage. Tout mon corps est parcouru de spasmes et je ne peux retenir un cri de satisfaction. Cela faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi agréablement. Nous restons l’un contre l’autre un petit moment. Une de ses mains caresse doucement mes cuisses encore souillées de mon plaisir tandis que l’autre me caresse tendrement le visage. Nos regards se croisent et nous n’avons pas besoin de parler pour savourer ce moment.


Vu l’heure, je dois repartir et me sens un peu égoïste de ne pas lui avoir rendu les honneurs. Cependant, lorsqu’il me dit que je pourrais repasser prendre mes semelles dans une semaine et qu’il me demande si le dernier rendez-vous de 18 h me convient, je comprends tout de suite qu’il ne sera pas la peine de mettre une culotte pour essayer mes nouvelles semelles…