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n° 17978Fiche technique24385 caractères24385
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Temps de lecture estimé : 15 mn
04/07/17
Résumé:  En bonne soumise, je relève à nouveau votre défi en essayant de narrer avec mes mots mon ressenti pour la visite du salon de l'érotisme à Bruxelles, dans les Caves de Cureghem, un bien bel endroit !
Critères:  fh couple fdomine voir exhib sm lettre -dominatio
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Collection : Lettres à Monsieur Jacques
Les Caves de Cureghem

Le récit ci-dessous est particulièrement soft et gentillet.

Il faut savoir se reposer de temps à autre de toutes les folies de nos corps enfiévrés :)




Bonjour, Monsieur Jacques.


En bonne soumise, je relève à nouveau votre défi et satisfaire votre curiosité, je vais donc essayer de narrer avec mes mots mon ressenti pour la visite du salon de l’érotisme à Bruxelles, dans les Caves de Cureghem, un bien bel endroit !


Comme vous le savez, avant d’aller visiter le donjon du Verger aux Verges, quelques jours auparavant, avec ma consœur Marine, nous avons batifolé au salon de Bruxelles. Ce fut ma première prestation, ma première réelle exhib. Depuis, nous avons été à d’autres salons, à d’autres endroits, mais je crois que je me souviendrai toute ma vie de cette première fois.


On se souvient toujours de ses premières fois, non ?


Je vais tenter de tout vous raconter comme si vous y étiez…


Ce fameux samedi, nous sommes arrivés tous les quatre, Marine, son Maître, le mien, et moi, bien sûr. Je suis très nerveuse, c’est ma première sortie dans pareille condition, et ce n’est pas évident d’oser franchir le pas. Heureusement que je suis accompagnée pour cette expérience, sinon il y a belle lurette que j’aurais pris mes jambes à mon cou et que je serais déjà à l’autre bout de la planète !


Mes hauts talons aiguilles claquent sur le bitume du parking puis dans le long couloir qui descend vers les Caves. C’est presque une mise en condition pour entrer petit à petit dans cet antre de la perdition ! Quasiment maternelle, Marine prend ma main et la serre :



Posant sa large main sur mon épaule, mon Maître répond :



C’est une façon de voir. Oui, j’ai déjà fait, lors d’un passé loin d’être antique, quelques gentilles exhibs, mais celle d’aujourd’hui, c’est quand même le niveau supérieur, voire deux ou trois par-dessus de ce que j’ai pu faire auparavant !


Nous arrivons à l’endroit des caisses, puis une fois la porte franchie, nous confions nos affaires au vestiaire. Mon Maître garde son sac, je sais qu’il y a dedans des petites choses pour jouer avec. À regret, je quitte mon long manteau, révélant à tous ma tenue particulièrement sexy !


Que je vous décrive cette tenue, Monsieur Jacques : ma tenue est composée d’une courte robe noire, dos-nu, en vinyle qui révèle complètement mes seins, dont les deux masses blanches sont encadrées par trois bandes sombres (une entre mes seins, et une de chaque côté) qui raccordent le bas du buste au collier de mon cou. Des petites chaînettes relient ces trois bandes dans la partie haute. Cette robe s’arrête au-dessus du genou et devant, une fermeture Éclair part du bas pour remonter un peu plus haut que mon pubis.


Pour le reste de mon habillement, c’est plus classique : mes jambes sont gainées par des bas sombres autofixants, et à mes pieds, des chaussures à talons-aiguilles de couleur ébène. Détail amusant, une large bande entoure mes chevilles, avec un petit anneau sur le côté auquel est accroché un cadenas. Vous voyez le genre, Monsieur Jacques ?


Si mes seins sont à nu et soumis au regard de tous, mes tétons sont cachés par des petites croix autocollantes, noires elles aussi. Perchée sur mes hauts talons, je sens distinctement mes seins libres de leurs mouvements se balancer à chaque pas que je fais. Et je sens aussi parfaitement le regard des hommes et parfois celui des femmes sur mes deux masses blanches qui oscillent ainsi. Je me sens flattée…


Nos voisins les Belges sont nettement plus libérés que dans l’Hexagone. Quelque chose me dit que si j’avais été habillée de la sorte dans un salon de l’érotisme en France, j’aurais sans doute eu des soucis. Ce point de détail m’a d’ailleurs été confirmé par la suite par d’autres personnes.


En parlant de personnes, je constate que certaines d’entre elles ne se gênent absolument pas pour me scruter de la tête aux pieds, s’attardant de préférence sur les courbes mises à nu. Certains hommes se plantent même carrément sur place pour zieuter à tout-va. On dirait qu’ils n’ont jamais vu une femme ou quoi ? La plupart du temps, les regards sont caressants, et je découvre que j’aime ça. Oui, j’aime cette convoitise sur ma petite personne…


Me tapotant le bras, Marine me sort de ma semi-rêverie :



Ma consœur rigole franchement :



Nous rions de bon cœur. Nos Maîtres restent derrière nous, veillant sur nous, nous laissant la lumière et les regards. Et croyez-moi, Monsieur Jacques, capter pour la première fois la lumière du désir qu’on suscite, c’est franchement quelque chose ! À prime vue, Marine connaît déjà ce genre d’ivresse, elle qui est quasi-nue !


Ah oui, j’ai oublié de décrire sa tenue qui est totalement grenat, un grenat sombre et profond : à ses jambes jusqu’au genou, des hautes bottes de cette couleur ; à ses bras, des longs gants vermillon qui montent jusqu’au coude ; autour de son ventre, un simple serre-taille assorti. Et c’est tout ! Eh oui, mis à part ça, Marine est quasiment nue, ses menus seins bien visibles, son pubis glabre révélé et les fesses à l’air !


Bref, elle ne cache rien, ou pas grand-chose !


C’est vrai que moi, à côté d’elle, je suis plutôt prude ! Alors, comme émulée par cette fausse rivalité, je relève un peu vers le haut la fermeture Éclair, révélant à présent le haut de mes cuisses ainsi que la bande noire du haut de mes bas. Je n’ose pas encore aller plus loin et révéler, moi aussi, mon pubis tout aussi glabre. Mais quelque chose me dit que ce sera fait d’ici la fin du salon…


Nous déambulons tranquillement dans les couloirs du salon, nous arrêtant sur la plupart des stands, jouant avec les accessoires. Parfois, des hommes seuls ou plus rarement des couples nous demandent si on accepte d’être prises en photo. C’est très amusant, c’est très bon enfant.



Je prends en main le gros godemiché, et je caresse du bout des doigts cette impressionnante tige en latex bien nervurée. Je me demande si on a moulé une vraie zigounette ou si ça a été inventé. Toujours est-il que je comprends que ça peut faire envie ! Par contre, le prix fait moins envie ! Surtout que c’est un simple morceau de plastique, sans vibro à l’intérieur, et bien sûr aucune télé ou radiocommande.


Après m’être amusée quelques instants avec ce gros machin et y avoir donné un petit coup de langue sous l’objectif de divers appareils photo numériques, je le repose, puis nous passons au stand suivant, suivies toutes les deux par des voyeurs en quête d’images et de souvenirs. Marine se penche sur moi :



Et nous continuons nos visites dans divers stands. Les couloirs sont longs et ce salon de l’érotisme ne se limite pas à quatre pelés et deux tondus ; il y a largement de quoi visiter sur de nombreuses heures et on ne fera pas le tour en un quart d’heure, c’est certain. De plus, une certaine recherche est présente sur la plupart des stands ; ça ne se limite pas à une table jonchée de prospectus et de gadgets. Je suis agréablement surprise. Pour être plus précise, c’est ainsi que je voyais un salon : un lieu convivial, achalandé, et qui soit un vrai plaisir à visiter. Hélas, tous les salons ne sont pas ainsi…


Après quelques couloirs, diverses échoppes et même quelques menus achats, mon Maître désigne un pilier de pierre :



Je fais comme Maître Dumuzh m’a demandé. Il relève la fermeture Éclair du bas de ma robe, puis extirpe une laisse de son sac. Je constate que cette laisse se termine par un anneau métallique auquel sont accrochées deux pinces munies de molettes. Je comprends tout de suite l’utilité quand mon Maître s’accroupit devant moi et attache posément une première pince à une de mes lèvres intimes. Puis il fixe la seconde. Ensuite, il règle les molettes de pression afin que l’ensemble tienne et qu’il ne se détache pas impunément de mon sexe. Durant tout ce temps, un petit attroupement se fait autour de nous. Puis il se relève, contemplant son œuvre :



Précédée par mon Maître qui se met sur le côté afin que tous puissent voir, je déambule, ma robe largement ouverte par-devant révélant sans complexe mon pubis ainsi que la laisse attachée à mon sexe. Telle une petite chienne, je suis baladée dans les couloirs sous le regard attentif, amusé ou étonné des personnes que nous croisons. Ça me fait tout drôle, mais j’aime cette sensation d’être au final un objet, un bibelot qu’on exhibe.


Mon maître m’avouera par la suite que c’est à cet instant précis qu’il aura l’idée de me faire porter des anneaux à cet endroit intime. Une initiative qui nous procurera, à lui comme à moi, bien des satisfactions… mais j’anticipe…


Quelques mètres plus loin, Maître Bergen se penche vers son confrère :



Puis c’est au tour de Marine de se voir attacher la chatte par une laisse. Même attroupement autour d’elle que pour moi ; néanmoins je devine vite que son Maître a serré les pinces sur les lèvres nettement plus que le mien. À présent, c’est main dans la main que nous, les soumises, nous nous promenons dans les couloirs du salon aux larges voûtes en brique. À notre façon, nous mettons de l’animation. Nous croisons ci et là d’autres personnes qui s’amusent comme nous, dont une jeune femme qui, voyant comment nous sommes habillées, décide d’ôter carrément son petit top moulant sous l’œil à la fois effaré et intéressé de son compagnon, et pour la plus grande satisfaction de la plupart des mâles présents qui ne se gênent pas pour la mitrailler aussitôt avec leur appareil photo ou leur caméra.


En parlant de ça, Monsieur Jacques, je me suis demandé à diverses reprises si nous n’étions pas au salon de la photo, car vu le nombre de personnes qui se baladent avec du matos de pro, on peut se poser la question !


Nous nous éloignons de cette jeune femme topless qui connaît son quart d’heure de célébrité, comme le disait Andy Warhol. Qu’elle en profite ! Et je pense que, vu son tempérament et son physique, elle aura d’autres quarts d’heure de célébrité dans sa vie !


Nous batifolons dans les couloirs, dans les stands. Nous bavardons avec plein de personnes de tous âges, de toute nature et, croyez-moi, Monsieur Jacques, quand je dis de toute nature, c’est bien de toute nature car j’ai aussi rencontré des phénomènes, mais ce fut toujours bon enfant.


Soudain, mon Maître glisse carrément la sangle de ma laisse en dessous de mes seins, sous mon espèce de bustier. Il explique :



Plus le temps passe, plus je me délure. Finalement, c’est simple de se laisser aller, surtout quand on est accompagnée ! Il faut dire que ma consœur n’est pas en reste et qu’elle en connaît un sacré rayon sur le laisser-aller. Elle s’amuse souvent à exciter son petit monde. Moi au début, je n’osais pas trop, et puis Marine m’a prise par la main, et petit à petit je me suis prise au jeu.


C’est ainsi que nous, les soumises, nous posons sur des stands en train de faire joujou avec divers accessoires, dans des cages, à quatre pattes, sur des chaises, la chatte largement offerte, à califourchon sur une sorte de tréteau issu de l’Inquisition, et aussi sur des croix de Saint-André. Certains hommes et aussi des femmes nous demandent s’ils ou elles peuvent toucher. Marine dit systématiquement oui ; quant à moi, j’étais un peu réticente au début, puis j’ai accepté, et finalement, ça me plaît beaucoup.


Décidément, je me découvre être une autre femme…


Il commence à se faire tard et mon estomac réclame. Être nourrie par le désir et la convoitise, c’est bien, mais un simple hot-dog, c’est mieux ! Nous nous approchons du coin restauration du salon. À ma grande surprise, les tarifs sont raisonnables, et un rapide coup d’œil sur les tables avoisinantes m’indique que les rations dans les assiettes ne sont pas rikiki.


Nous nous installons, et aussitôt, une soubrette nous apporte les menus. Elle possède un beau costume ; je ne parlerai pas de son décolleté. Il faudra que je demande à mon Maître la même tenue. J’entends alors la voix de mon mari retentir :



Avec un sourire un peu pervers, je réponds :



Mon Maître répond placidement :



Je n’aime pas trop quand il répond de la sorte : ça signifie souvent qu’il vient d’avoir une idée derrière la tête. Nos repas arrivent peu après. Ce n’est pas de la grande cuisine, mais ça se laisse agréablement manger, surtout dans ce décor voûté, aux briques rouges patinées et aux joints blancs granuleux. Ça me plairait bien d’avoir ce genre de cave sous ma maison ! Je me plais à imaginer tout ce qu’on pourrait s’amuser à faire dans pareil lieu…


Une fois nos estomacs repus, nous recommençons nos réjouissances dans les couloirs et les stands. Il y aurait beaucoup à raconter, mais je vais me limiter à ce qui m’a la plus marquée, étonnée ou amusée.


Pour commencer, deux Écossais en kilt, un grand et un petit. Aussitôt en les voyant, je souhaite faire une photo avec eux, un dans chaque bras, le plus petit tenant ma laisse. Je les ai récompensés à ma façon par un gros bisou. Le plus grand – et aussi le plus jeune – n’arrivait pas trop à me regarder, comme gêné. Par contre, le plus petit, mais aussi le plus âgé, ne se privait pas de lorgner mes seins à découvert et jetait souvent un coup d’œil du côté où était attachée ma laisse. Un certain contraste entre ces deux hommes…


Puis divers amusements avec quelques hôtesses de stand, assez contentes que ce soit deux femmes qui souhaitent folâtrer avec elles. Je suppose que ça doit les changer de la lourdeur de pas mal de mâles ! Bref, beaucoup de photos collé-serré, pour la plus grande joie des mitrailleurs présents.


Comme nos deux Maîtres ne sont pas des chétifs et qu’ils sont capables d’avoir sur leur visage un air possessif et peu commode, nous n’avons pas été importunées. Il y a bien eu un groupe de trois individus qui semblaient vouloir s’intéresser trop à nos petites personnes, mais aussitôt nos Maîtres sont intervenus d’un même élan, et le petit groupe a sagement passé son chemin. C’est bon de se sentir en sécurité avec deux gardes du corps !


À divers endroits, il y a de la musique et même des démos de danses plutôt lascives ou acrobatiques, surtout autour d’une barre verticale, un truc auquel je ne me risquerai pas ! Soudain, alors qu’une musique douce résonne quand nous arrivons à un croisement, Marine s’empare carrément de moi et me demande :



Et je me laisse emporter sous les regards des divers visiteurs et aussi ceux de nos Maîtres. Je me laisse aller, c’est très agréable, je ne pense à rien, plaisamment ballottée par notre danse et la musique qui nous enveloppe.


Un, deux, trois, comme une valse, sous les lumières tamisées, sous ces voûtes de pierre, parmi des voyeurs qui n’en perdent pas une miette, c’est excitant, transportant. Et danser seins contre seins, étreinte par les bras d’une femme, je reconnais que ça me fait quelque chose. Sentir ces douces masses tremblotantes contre ma peau, nos tétons tout durs qui s’entremêlent, c’est… c’est… divin ! Pourtant, aux dernières nouvelles, je ne suis pas attirée par les femmes. Il me semblait être plutôt hétéro, et non bi…


C’est alors que je suis perdue dans mes pensées que Marine s’empare de mes lèvres. Comme grisée par l’ambiance, nos peaux, nos odeurs, je ne lui résiste pas, et c’est collées l’une à l’autre que nous finissons notre danse jusqu’à ce que la musique s’arrête…


Puis doucement, je reviens sur terre tandis que nos spectateurs s’éloignent. Par leurs mimiques, certains nous félicitent. Je les remercie machinalement, comme absente. C’est mon Maître qui me sort de ma rêverie, m’entraînant à l’écart :



Puis sans prévenir, il m’embrasse, me plaquant contre lui. J’adore ce genre de démonstration de sa part. J’aime quand il me désire, quand il me le prouve. Nous ne sommes pas ensemble depuis toutes ces années pour rien. Mais je reconnais que le baiser de Marine m’a troublée plus que de raison. Je me pose des questions, mais pour l’instant je me laisse désirer par mon mari et Maître. Chaque chose en son temps…


Nous reprenons nos déambulations sous les voûtes rouges. Nous croisons plein de couples ou de groupes, nous nous mêlons parfois quelques minutes à eux pour explorer ce salon dans lequel je m’amuse follement. Finalement, j’ai bien fait de venir et d’oser. Et surtout, mon Maître a bien fait de me pousser un petit peu…


Parfois, je dois ôter mes chaussures et marcher un peu pieds nus, car je ne suis pas très habituée aux très hauts talons sur une si longue durée. Souvent, je dois boire – car il fait très chaud dans ces caves – on pourrait sans problème être nu ; d’ailleurs, Marine l’est quasiment, et elle s’en porte très bien ! Nous avons d’ailleurs croisé d’autres femmes encore plus dévêtues qu’elle, c’est dire ! Et aussi deux hommes pas très habillés, eux aussi. Je reconnais les avoir bien zieutés car ils n’étaient pas mal de leur personne. J’ai même fait quelques photos assez… comment dire… sensuelles avec l’un d’eux.



Sourire aux lèvres, je proteste faussement :



Et sous l’œil étonné de nos Maîtres qui n’ont visiblement rien entendu de nos propos, nous nous esclaffons. Oh oui, je pourrais en raconter ; il faudra d’ailleurs que je consigne tout ça par écrit, un beau jour. Néanmoins, au bout de quelques heures, Marine et moi commençons à fatiguer. Ça va faire quand même quelques heures que nous nous exhibons et que nous nous dépensons sans compter !


Vers deux heures du matin, je crois, nous sommes sortis du salon ; dehors, il faisait assez frais. Je me suis carrément endormie dans la voiture au bout de quelques kilomètres. Il faut dire qu’il y avait environ cent vingt kilomètres pour rentrer at home, et que j’étais fourbue. Je me souviens vaguement m’être réveillée pour sortir de la voiture, mais sans plus. Le lendemain, j’ai appris que c’est mon mari qui m’a carrément transportée dans ses bras jusqu’à notre lit.


Ah oui, j’oubliais : Marine et son Maître sont restés dormir chez nous. Ce dimanche fut d’ailleurs une belle journée bien remplie, même si nous nous sommes levés assez tard. Mais ceci, comme on dit, est une autre histoire que je vous narrerai ultérieurement…


Je vous présente mes respects, Monsieur, et au plaisir d’avoir de vos nouvelles.


Votre dévouée Ininna, soumise de Maître Dumuzh.




Toujours avec l’aide de ma très dévouée femme…